Les États-Unis ouvrent une enquête commerciale sur les engagements de la Chine lors de la première phase, avant les négociations Trump-Xi.

Économique

Résumé:

« L'ouverture de cette enquête souligne la détermination de l'administration Trump à obliger la Chine à respecter ses engagements dans le cadre de l'accord de phase 1 et à protéger les agriculteurs américains... »

Le représentant américain au Commerce, Jamieson Greer, a annoncé il y a quelques instants que les États-Unis avaient ouvert une enquête au titre de l'article 301 concernant la mise en œuvre par la Chine de l'accord commercial de phase 1, un accord passé inaperçu depuis le premier mandat du président Trump. Cette annonce intervient moins d'une semaine avant la rencontre prévue entre Trump et le président chinois Xi Jinping en marge du sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) pour apaiser les tensions commerciales. La multiplication des gros titres récents sur le commerce, des terres rares au soja en passant par les moteurs d'avion, suggère que les deux superpuissances économiques cherchent à renforcer leur influence en amont des négociations commerciales.

« Le président Trump a marqué l'histoire lors de son premier mandat lorsqu'il a défendu les travailleurs américains et a négocié l'accord de phase 1, établissant une relation commerciale plus juste et plus réciproque avec la Chine », a déclaré l'ambassadrice Greer.

Greer a écrit dans un communiqué, ajoutant : « L'ouverture de cette enquête souligne la détermination de l'administration Trump à obliger la Chine à respecter ses engagements dans le cadre de l'accord de phase 1, à protéger les agriculteurs, les éleveurs, les travailleurs et les innovateurs américains et à établir une relation commerciale plus réciproque avec la Chine au bénéfice du peuple américain. »

L'USTR a fourni des informations complémentaires sur l'accord commercial de phase 1 conclu en décembre 2019, qui imposait à la Chine de mettre en œuvre des réformes structurelles dans des domaines tels que la propriété intellectuelle, le transfert de technologie, l'agriculture et les services financiers, et d'augmenter significativement ses achats de biens et services américains. La tendance de Pékin à s'approvisionner en produits agricoles américains vers le Brésil a pesé sur la ceinture agricole du Midwest américain et constitue probablement l'une des principales raisons de l'ouverture de cette enquête.

Cinq ans après la signature de l'accord, la Chine n'a pas respecté ses engagements, notamment en ce qui concerne les barrières non tarifaires, l'accès au marché et les objectifs d'achat. En prévision de la rencontre Trump-Xi qui se tiendra la semaine prochaine à l'APEC, Greer enquêtera pour déterminer si le non-respect par la Chine de l'accord de phase 1 viole les droits commerciaux des États-Unis au titre de l'article 301.

Malgré l'enquête, le président Trump a déclaré jeudi : « Je pense que nous allons très bien nous en sortir et que tout le monde sera très content. »

La rencontre Trump-Xi intervient également juste avant l'expiration de la trêve commerciale entre Washington et Pékin, le 10 novembre. Trump a menacé d'imposer un tarif supplémentaire de 100 % sur les produits chinois le 1er novembre si Pékin ne facilite pas les expéditions de minéraux de terres rares vers les États-Unis. Trump a déclaré cette semaine que les prochaines discussions avec Xi aboutiront à un « bon accord » sur « tout » lié au commerce.

L'attention du marché se porte désormais sur les déclarations des deux côtés ce week-end. Jusqu'à présent, la réaction du marché a été modérée sur les marchés actions, obligations et devises, la baisse de l'IPC aux États-Unis ayant poussé les principaux indices boursiers vers midi.

Source : Zero Hedge

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Une inflation plus faible que prévu maintient la Fed sur la voie d'une baisse des taux la semaine prochaine

Adam

Économique

Une nouvelle lecture vendredi montrant que l'inflation a légèrement ralenti en septembre devrait maintenir la Réserve fédérale sur la bonne voie pour une nouvelle baisse d'un quart de point de pourcentage des taux d'intérêt la semaine prochaine, dans un contexte d'inquiétudes persistantes concernant le marché du travail.

L'indice des prix à la consommation (IPC) s'est établi à 3 % en septembre, soit un dixième de point de moins que prévu, mais en légère hausse par rapport aux 2,9 % d'août. Sur une base « core », qui exclut la volatilité des prix des produits alimentaires et de l'énergie et constitue la mesure privilégiée par la Fed, l'inflation a également progressé de 3 % en septembre, contre 3,1 % le mois précédent. Sur un mois, l'inflation core a progressé de 0,2 % après 0,3 % les deux mois précédents.

« Les prix des biens se raffermissent à nouveau sous la pression des droits de douane, mais la baisse des indicateurs du logement et des services témoigne d'une progression dans les secteurs les plus importants », a déclaré Gargi Pal Chaudhuri, stratège en chef des investissements et des portefeuilles chez BlackRock. « La tendance à la désinflation est intacte, ce qui maintient la Fed sur la voie d'une baisse des taux la semaine prochaine. »

Le ralentissement tant attendu des prix du logement devient enfin plus apparent dans l’IPC, les loyers connaissant la plus faible augmentation mensuelle depuis mars 2021.

L'IPC, initialement prévu pour être publié le 15 octobre, a été publié avec retard malgré la fermeture du gouvernement, car les données sont requises par la loi pour calculer les augmentations du coût de la vie pour les paiements de la sécurité sociale avant le 1er novembre.

Bien que les responsables de la Fed utiliseront ces informations dans leur décision sur la politique monétaire la semaine prochaine, ils n'ont pas reçu le rapport sur l'emploi de septembre, les ventes au détail ou l'indice des prix à la production, ce qui complique leur décision.

À 3 %, l'inflation se maintient à un point de pourcentage au-dessus de l'objectif de 2 % de la banque centrale. Les responsables de la Fed prévoient que l'inflation finira l'année à 3,1 % avant de revenir à 2,6 % l'an prochain. Ces chiffres maintiendraient l'inflation au-dessus de l'objectif de 2 % de la Fed, mais de nombreux décideurs politiques s'inquiètent désormais davantage de la faiblesse du marché du travail que des prix. La Fed a un double mandat : maintenir la stabilité des prix et maximiser l'emploi.

Les données sur l'emploi dans le secteur privé ont montré une détérioration du marché du travail cet automne. L'agence de recrutement ADP a indiqué que l'emploi salarié dans le secteur privé avait chuté de 32 000 postes en septembre. Le Livre beige de la Fed, une compilation d'observations anecdotiques à travers le pays, a également dressé un tableau plus sombre du marché du travail.

« L'IPC plus faible que prévu confirme ce que nous avons observé globalement à partir des données privées pendant la paralysie du gouvernement : peu d'indications d'une flambée de l'inflation ou d'un effondrement du marché du travail. Pour une Fed axée sur une gestion prudente des risques, cela devrait se traduire par une nouvelle baisse des taux la semaine prochaine, et probablement par d'autres », a déclaré Ellen Zentner, stratégiste économique en chef de Morgan Stanley Wealth Management, dans un communiqué.

Patrick Harker, ancien président de la Fed de Philadelphie et professeur distingué Rowan à la Wharton School de l'Université de Pennsylvanie, constate toutefois davantage de frictions.

« Il est intéressant de constater que les marchés accueillent cette nouvelle positivement, car les chiffres étaient encourageants », a déclaré Harker à Yahoo Finance. « Si tout le monde a pris cela comme une bonne nouvelle, ce n'est pas mon cas. Je pense que c'est une période difficile. »

Harker a souligné que l'inflation est toujours à 3 % et qu'elle « ne va pas baisser de sitôt car les tarifs douaniers s'infiltrent dans l'économie et n'arrivent pas tous en même temps ».

Il a souligné que les détaillants et les entreprises interentreprises ont dans certains cas retardé les augmentations de prix, mais qu'ils ne peuvent pas le faire éternellement et qu'ils augmenteront leurs prix.

Les yeux rivés sur l'emploi

La semaine dernière, le président de la Fed, Jerome Powell, a souligné que « les risques de baisse de l'emploi semblent avoir augmenté » et a modifié l'évaluation des décideurs politiques sur l'équilibre des risques, même si la fermeture du gouvernement a retardé la publication du rapport sur l'emploi, très important.

Cela semble impliquer qu'une autre baisse des taux est possible lors de la prochaine réunion de la Fed la semaine prochaine, même si Powell a déclaré que la politique monétaire serait définie réunion par réunion.

L'économiste en chef du Wilmington Trust, Luke Tilley, craint davantage que les droits de douane pèsent sur la croissance et le marché du travail plutôt que sur l'inflation. En analysant les données sur l'emploi du BLS de mai à août, dont la publication a été retardée en septembre en raison de la fermeture des administrations publiques, M. Tilley a indiqué que la croissance totale de l'emploi dans le secteur privé s'est élevée à 157 000 sur cette période de quatre mois. Le secteur de la santé a créé 249 000 emplois durant cette période, mais tous les autres secteurs privés, y compris l'industrie manufacturière, la construction, le commerce de détail, l'information, les services professionnels aux entreprises et l'hôtellerie-restauration, ont enregistré une perte de 92 000 emplois.

Tilley estime que le ralentissement du marché du travail est davantage dû à une baisse de la demande de main-d'œuvre qu'à une simple baisse de l'immigration. Il a cité les enquêtes d'embauche menées auprès des entreprises et des dirigeants, qui indiquent que les effectifs sont suffisamment nombreux pour maintenir les niveaux d'effectifs ou qu'ils sont réduits par attrition, ce qui est attribué à l'incertitude quant à la demande, à sa faiblesse ou à la baisse des ventes. Il ne s'attend pas non plus à une nouvelle accélération de la croissance de l'emploi.

« Le marché du travail est un indicateur retardé, et il existe un risque que sa baisse se poursuive et que l'économie soit déjà en phase de redressement », a déclaré Tilley. « Cela ne se reflète pas encore dans les données du PIB, mais si l'emploi est un indicateur retardé, c'est qu'il y a une faiblesse. »

La banque centrale a abaissé ses taux en septembre pour la première fois en 2025 et a prévu deux autres baisses pour l'année, ce qui signifierait des réductions lors des réunions du FOMC la semaine prochaine et début décembre.

La trajectoire de l'inflation reste incertaine alors que les tarifs douaniers du président Trump se répercutent sur l'économie américaine.

Powell a déclaré la semaine dernière que les tarifs douaniers entraîneraient probablement une augmentation ponctuelle des prix, mais que celle-ci pourrait ne pas se produire d'un seul coup et pourrait s'étaler sur plusieurs trimestres, se traduisant ainsi par une inflation légèrement plus élevée au cours de cette période.

Il a souligné que la Fed cherchera à s'assurer que cette augmentation ponctuelle des prix ne devienne pas un problème d'inflation permanent, ce qui est important pour les anticipations d'inflation.

Le gouverneur de la Fed, Chris Waller, a déclaré jeudi dernier qu'il était favorable à une réduction supplémentaire des taux d'intérêt d'un quart de point de pourcentage à la fin du mois, mais qu'après cela, il souhaitait agir avec prudence.

D'autres membres de la Fed, du président de la Fed de Chicago, Austan Goolsbee, au président de la Fed de Kansas City, Jeff Schmid, et à la présidente de la Fed de Cleveland, Beth Hammack, ont exprimé leur inquiétude quant au risque de voir l'inflation devenir plus durable.

Les marchés anticipent une baisse des taux lors de la prochaine réunion et celle de décembre est considérée comme une affaire conclue.

Source : finance.yahoo

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Rapport spécial : L’or et l’argent réduisent leurs pertes quotidiennes ; attendez-vous à une nouvelle forte volatilité la semaine prochaine

Adam

Marchandise

Les prix de l'or et de l'argent ont récupéré la plupart de leurs pertes de la nuit dernière vendredi vers midi, suite à un rapport sur l'IPC américain peu encourageant qui place la Réserve fédérale sur la bonne voie pour abaisser les taux d'intérêt américains d'un quart de point la semaine prochaine.

Cette semaine, la volatilité quotidienne des prix sur les marchés à terme de l'or et de l'argent est devenue si extrême que les haussiers comme les baissiers auraient pu être contraints de quitter les marchés au cours de la même séance, en raison d'une importante fluctuation des prix. Il faut s'attendre à une volatilité accrue la semaine prochaine sur les deux marchés des métaux précieux ; si tel est le cas, elle favoriserait les baissiers. Cette forte volatilité a probablement poussé de nombreux spéculateurs à quitter les marchés à terme de l'or et de l'argent, par crainte de négocier sur une telle volatilité. Une faible participation du segment spéculatif des marchés à terme est généralement baissière, car on peut affirmer que la majorité des spéculateurs préfèrent se positionner à l'achat plutôt qu'à la vente.

Pour les traders ambitieux souhaitant investir immédiatement sur les marchés de l'or et de l'argent, les contrats à terme micro et mini sur l'or sont la solution idéale. Même la négociation de contrats de plus petite taille dans un contexte de volatilité des marchés peut s'avérer très risquée. Ces contrats permettent aux traders d'accéder aux marchés avec un investissement en capital plus faible. Les contrats à terme micro sur l'or du CME Group (MGC) représentent un dixième de la taille d'un contrat à terme standard de 100 onces sur l'or du Comex, soit 10 onces troy d'or par contrat. Cette taille réduite se traduit par des exigences de marge nettement plus faibles, ce qui les rend idéaux pour les nouveaux traders ou ceux disposant de petits comptes. Avec un tick plus faible (10 centimes, soit 1,00 $, soit une variation de 1,00 $ pour 10,00 $), les contrats à terme micro sur l'or ont un impact financier moindre sur les fluctuations de prix, ce qui en fait un outil utile pour tester des stratégies de trading ou gérer des portefeuilles de petite taille.

Fondamentalement, les investisseurs haussiers sur l'or et l'argent peuvent affirmer que des facteurs haussiers sont toujours en jeu. La paralysie du gouvernement américain est entrée dans sa quatrième semaine, sans aucun signe de fin, ce qui signifie que les données économiques américaines importantes persistent. Cela se traduit par une incertitude accrue sur le marché, ce qui est haussier pour les métaux précieux, valeurs refuges.

Une baisse des taux d'intérêt mondiaux est probable dans les prochains mois. Après la baisse des taux de la Fed la semaine prochaine, le marché continue de penser que la Fed procédera à deux baisses supplémentaires d'un quart de point. De récentes données économiques plus faibles en provenance de Chine incitent le gouvernement chinois à annoncer un assouplissement de sa politique monétaire dans les semaines et mois à venir. D'autres pays, dont le Canada, le Royaume-Uni et l'Australie, ont également abaissé leurs taux d'intérêt.

Cependant, psychologiquement, beaucoup de choses ont changé la semaine dernière. Soyons francs, les haussiers et les baissiers de l'or et de l'argent ont tous deux été effrayés à un moment ou à un autre la semaine dernière. Cela joue en faveur des baissiers.

Les indices boursiers américains ont également enregistré de solides rebonds et ont atteint aujourd'hui (vendredi) des records. Le marché boursier est une classe d'actifs concurrente des métaux précieux, considérés comme des valeurs refuges. Les indices boursiers à des niveaux record suggèrent un meilleur appétit pour le risque sur le marché, ce qui est baissier pour l'or et l'argent.

L'indice du dollar américain est en hausse depuis la mi-septembre. En règle générale, une hausse de l'indice du dollar américain est un facteur baissier pour les marchés de l'or et de l'argent.

Permettez-moi de vous laisser sur ce point important, dont je vous ai mis en garde la semaine dernière : le facteur le plus déterminant, selon moi, pour l’évolution des cours de l’or et de l’argent est probablement le niveau de l’argent au-dessus de 50 $. Raison : l’historique des prix des 50 dernières années montre que lorsque le prix de l’argent atteint 50 $ ou s’en approche, ce qui s’est déjà produit à trois reprises, les deux premières fois, l’argent n’a dépassé 50 $ que pendant une courte période. Dans deux semaines, si le prix de l’argent dépasse 50 $ l’once, le marché peut alors commencer à penser que l’or et l’argent entrent dans de nouvelles fourchettes de prix à plus long terme, qui resteront bien supérieures à ce que l’historique des prix des 50 dernières années a montré. Et si l’argent reste sous 50 $ la semaine prochaine, l’histoire se répétera, ce qui suggère que l’or et l’argent sont voués à des corrections à la baisse prolongées, voire à des marchés baissiers à plus long terme, perpétuant ainsi le cycle historique d’expansion et de récession observé sur tous les marchés des matières premières. À l’heure actuelle, il semble que les prix de l’argent auront du mal à revenir au-dessus du niveau clé de 50,00 $.

Source : kitco

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Semaine à venir pour les devises et les obligations : la Fed devrait baisser ses taux ; des négociations sino-américaines sont envisagées.

Adam

Économique

Vous trouverez ci-dessous les événements mondiaux les plus importants susceptibles d’affecter les marchés des changes et des obligations au cours de la semaine commençant le 27 octobre.

Tous les regards seront tournés la semaine prochaine vers la Réserve fédérale américaine, qui devrait réduire ses taux d’intérêt de 25 points de base supplémentaires, alors même que la fermeture du gouvernement américain se poursuit.

En Europe, l'attention se portera sur une décision de la Banque centrale européenne, tandis qu'en Asie, une rencontre très attendue entre Trump et le président chinois Xi Jinping sera surveillée de près pour déceler des signes d'apaisement des tensions commerciales.

Le président américain rencontrera également le nouveau Premier ministre japonais, alors que la Banque du Japon prend sa première décision sur les taux d'intérêt depuis le changement de gouvernement. Une décision sur les taux d'intérêt est également attendue au Canada.

POU

La Réserve fédérale annonce une décision sur les taux mercredi et devrait largement réduire les taux d'intérêt de 25 points de base, abaissant le taux des fonds fédéraux à 3,75-4,00 %, en particulier après des données d'inflation récentes plus faibles que prévu.

Les marchés ont pleinement anticipé une baisse des taux de la Fed dans un contexte de signes récents de faiblesse du marché du travail américain, même si des inquiétudes subsistent quant au fait que les tarifs douaniers pourraient accroître la pression sur l'inflation.

« Nous nous attendons à une nouvelle baisse des taux de 25 points de base… car la faiblesse persistante du marché du travail reste la principale préoccupation de la Fed », ont déclaré les analystes d'Allianz Research dans une note.

Les investisseurs se concentreront sur les commentaires de la Fed pour obtenir des signaux sur la mesure et la vitesse à laquelle les taux chuteront à partir de maintenant, d'autant plus que la fermeture continue du gouvernement américain retarde les données économiques clés.

Les marchés monétaires américains intègrent pleinement une nouvelle baisse des taux en décembre, selon les données du LSEG.

La paralysie des services publics entre dans sa quatrième semaine. Allianz estime que cela a probablement déjà réduit la croissance annualisée du PIB au quatrième trimestre de 0,45 point de pourcentage.

Cela signifie que les données officielles continueront d'être retardées, laissant les investisseurs se concentrer sur les données de confiance des consommateurs du Conference Board pour octobre mardi.

Les données officielles prévues comprennent les commandes de biens durables de septembre lundi ; les données du PIB du troisième trimestre et les demandes hebdomadaires d'allocations chômage jeudi ; et les chiffres de l'inflation PCE de septembre vendredi.

Le Trésor mettra aux enchères 69 milliards de dollars d'obligations à deux ans et 70 milliards de dollars d'obligations à cinq ans lundi, et 44 milliards de dollars d'obligations à sept ans mardi.

Canada

La Banque du Canada annoncera sa prochaine décision politique mercredi, lorsqu'elle devrait réduire davantage ses taux d'intérêt.

Cette décision intervient dans un contexte de tensions entre les États-Unis et le Canada après que le président Trump a déclaré qu'il mettait fin à toutes les négociations commerciales avec le Canada.

« Nous pensons que cette évolution augmente légèrement la probabilité d'une nouvelle baisse des taux de la Banque du Canada », a déclaré l'analyste d'ING Francesco Pesole dans une note.

Selon LSEG, les marchés monétaires anticipent une baisse de 25 points de base des taux directeurs, à 2,25 %, dans une fourchette de 82 %. ING s'attend à une baisse de 25 points de base, l'incertitude commerciale et les tarifs douaniers américains pesant sur les projets d'investissement et d'embauche des entreprises canadiennes.

Selon M. Pesole, le tableau inquiétant de l'activité économique et de l'emploi devrait prévaloir sur les données d'inflation plus élevées que prévu de septembre.

Les données du PIB canadien pour le mois d’août sont attendues vendredi.

Zone euro

La décision politique de la Banque centrale européenne jeudi sera au centre de l'attention, même si aucun changement des taux d'intérêt n'est attendu, le taux de dépôt devant rester à 2%.

« Les responsables de la banque centrale indiquent unanimement qu'ils considèrent que le niveau actuel des taux d'intérêt directeurs est bien positionné », a déclaré Christian Reicherter, analyste chez DZ Bank, dans une note. L'attentisme reste de mise, a-t-il ajouté.

Même si l'inflation a dépassé les 2% en septembre, « cela ne devrait pas inquiéter durablement les responsables monétaires européens », a déclaré l'analyste.

L'Allemagne donnera le coup d'envoi de son flux de données de fin de mois habituel avec la publication lundi de l'indice Ifo du climat des affaires pour octobre.

Ces données pourraient ajouter une nouvelle couche d'optimisme aux investisseurs suite aux estimations rapides des indices des directeurs d'achat pour octobre, nettement meilleures que prévu.

Ces données seront suivies mardi par l'enquête GfK sur le climat des consommateurs en Allemagne et par les enquêtes de confiance des consommateurs et des entreprises en Italie. Les dépenses de consommation françaises pour septembre et les enquêtes de conjoncture de la zone euro pour octobre sont attendues jeudi, ainsi que les chiffres du chômage en Allemagne pour octobre, en Italie et dans la zone euro pour septembre.

Les premières estimations du PIB du troisième trimestre pour l'Espagne sont attendues mercredi, suivies de publications similaires pour la France, l'Allemagne, l'Italie et la zone euro jeudi.

L'Espagne et l'Allemagne publieront jeudi des estimations rapides de l'inflation des prix à la consommation pour octobre, suivies vendredi par les publications de l'IPC français, italien et de la zone euro.

« Nous prévoyons que l'inflation [de la zone euro] tombera temporairement en dessous de 2 % début 2026 en raison d'effets de base et de facteurs ponctuels, mais comme ce dépassement devrait être de courte durée et que l'inflation devrait revenir à l'objectif d'ici la mi-2026, il est peu probable que la BCE procède à une nouvelle baisse des taux, même si nous constatons que les risques d'inflation sont orientés à la baisse », a déclaré Antonio Villarroya de Santander CIB, responsable de la recherche macroéconomique et de la stratégie à revenu fixe du G10.

La Belgique vendra lundi des obligations conventionnelles à échéance 2030 et 2035 et des obligations vertes à échéance 2033. L'Allemagne vendra mardi des obligations Bobl à échéance octobre 2030 et mercredi des obligations Bunds à échéance août 2035. L'Italie organisera également deux adjudications, une mardi et une autre jeudi.

ROYAUME-UNI

Dans une semaine calme pour les données britanniques, l'attention se portera sur la publication mercredi des données sur les prêts hypothécaires, les approbations de prêts hypothécaires et le crédit à la consommation au Royaume-Uni pour septembre, alors que les investisseurs continuent d'attendre le budget du gouvernement le 26 novembre.

« Nous nous attendons à une poursuite de la faiblesse des données observées le mois dernier, alors que l'incertitude entourant le budget d'automne continue de peser sur l'activité », a déclaré Lottie Gosling, économiste chez Investec, dans une note.

L'indice des prix des magasins du BRC pour octobre sera publié mardi. Les données nationales sur les prix des logements pour octobre seront publiées dans le courant de la semaine.

Le Royaume-Uni prévoit de vendre des obligations d'État d'octobre 2030 par appel d'offres programmatique jeudi.

Scandinavie

La Norvège organisera une vente aux enchères d'obligations mercredi.

Japon

Trump se rendra au Japon de lundi à mercredi pour son premier sommet avec la nouvelle Première ministre japonaise, Sanae Takaichi. Cette rencontre constituera un test pour la nouvelle administration, alors que les données commerciales montrent que les exportations japonaises vers les États-Unis demeurent un point faible, accentuant les inquiétudes quant à l'impact des droits de douane.

Les yeux seront également rivés sur les commentaires des membres du cabinet choisis par Takaichi, y compris le nouveau ministre des Finances du Japon, Satsuki Katayama, qui a déclaré que la politique de la BOJ devrait s'aligner sur la politique du gouvernement.

Les spéculations sur le calendrier de la prochaine hausse des taux par la banque centrale vont bon train avant sa décision de jeudi. Les marchés s'attendent largement à ce que la Banque du Japon maintienne son taux directeur à 0,5 %, le temps d'évaluer l'impact des droits de douane américains sur l'économie japonaise et son secteur privé. Les économistes notent également que la Banque du Japon souhaitera probablement disposer de plus de temps pour communiquer avec la nouvelle administration Takaichi avant toute action. Elle publiera également ses projections de croissance et de prix.

Vendredi, les données sur les prix à la consommation à Tokyo pour octobre offriront un premier indicateur des tendances nationales. Elles seront complétées par les chiffres de la production industrielle nationale et des ventes au détail pour septembre.

Le ministère japonais des Finances prévoit de mettre aux enchères vendredi environ 2 700 milliards de yens d'obligations souveraines à deux ans – l'échéance considérée comme la plus sensible aux anticipations de taux d'intérêt. Les acteurs du marché suivront attentivement cette vente d'obligations, qui intervient dans la foulée de la décision de la Banque du Japon.

Chine

Une semaine importante pour la Chine débute avec la publication des données sur les bénéfices industriels de septembre, les marchés observant si le rebond observé en août se maintiendra alors que Pékin poursuit sa campagne contre la concurrence excessive et la guerre des prix, connue sous le nom d'« involution ».

Mais c'est la rencontre Xi-Trump en Corée du Sud, jeudi, qui devrait attirer l'attention. Malgré une récente recrudescence des tensions commerciales, la plupart des analystes s'attendent à une désescalade des tensions et à une forme de trêve, ce qui donnerait un coup de fouet aux marchés.

La Chine devrait également publier vendredi les chiffres de l'indice des directeurs d'achat (IPM) d'octobre. « L'activité économique chinoise devrait rester faible mais stable en octobre », a déclaré Zhaopeng Xing, stratège chez ANZ Research.

Il s'attend à ce que l'indice PMI manufacturier soit resté sous la barre des 50 séparant expansion et contraction, s'établissant à 49,6 contre 49,8 en septembre. La diminution du nombre de jours ouvrés en octobre pèse généralement sur la production, même si l'allongement des délais de livraison lié aux nouvelles taxes portuaires américaines pourrait apporter un certain soutien, a déclaré Xing. Il s'attend à ce que l'indice PMI non manufacturier, intégrant l'activité des services et de la construction, ait légèrement progressé pour atteindre 50,3.

Australie

Les marchés obligataires australiens se concentreront sur les données d'inflation du troisième trimestre, attendues mercredi, qui pourraient montrer que les pressions sur les prix persistent près de la limite supérieure de l'objectif d'inflation de 1 à 3 % de la banque centrale.

Si l'IPC se révèle conforme aux prévisions, les paris sur une baisse des taux d'intérêt par la Banque de réserve d'Australie en novembre s'évanouiront.

Cependant, si la RBA laisse passer l’occasion de procéder à sa quatrième baisse cette année en novembre, elle gardera probablement la porte ouverte à un nouvel assouplissement l’année prochaine, compte tenu du contexte d’une récente hausse inattendue du chômage.

Plus généralement, les enquêtes de conjoncture ont été relativement optimistes, indiquant une reprise progressive de l’économie, mais qui ne risque pas de surchauffer à court terme.

Les facteurs mondiaux encourageront également la RBA à conserver une orientation accommodante.

Corée du Sud

La croissance économique de la Corée du Sud s'est probablement accélérée au troisième trimestre, portée par les mesures de relance budgétaire et la résilience des exportations. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal prévoient une hausse du PIB de 1,0 % sur la période juillet-septembre par rapport au trimestre précédent et de 1,5 % sur un an, contre respectivement 0,7 % et 0,6 % au deuxième trimestre.

« La hausse anticipée est principalement due aux aides financières du gouvernement », a déclaré Min Joo Kang, économiste chez ING. Les exportations soutenues de semi-conducteurs et de navires pourraient se poursuivre, mais leur impact sera probablement compensé par la faiblesse des expéditions d'autres biens, a ajouté M. Kang.

Source : Morningstar

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Les États-Unis lancent une nouvelle enquête sur les tarifs douaniers chinois avant la rencontre Trump-Xi

Devin

Économique

L'administration Trump lance une enquête commerciale qui ouvre la porte à de nouveaux tarifs douaniers sur les produits chinois, augmentant les tensions à l'approche d'un sommet très attendu la semaine prochaine entre les dirigeants des deux pays.

Le représentant américain au Commerce, Jamieson Greer, a annoncé vendredi l'ouverture d'une enquête pour déterminer si la Chine s'était conformée à un accord commercial limité conclu en 2020 pendant le premier mandat du président Donald Trump.

L'enquête « examinera si la Chine a pleinement mis en œuvre ses engagements dans le cadre de l'accord de phase 1, le fardeau ou la restriction sur le commerce américain résultant de toute non-mise en œuvre par la Chine de ses engagements, et quelles mesures, le cas échéant, devraient être prises en réponse », a déclaré l'agence vendredi dans un communiqué.

Cette décision menace d'exacerber les relations tendues entre Washington et Pékin, et pourrait servir de nouveau point de levier à Trump lors de sa rencontre jeudi prochain avec le président chinois Xi Jinping en Corée du Sud.

L'enquête est menée en vertu de l'article 301 de la loi sur le commerce de 1974, qui autorise l'administration à ajuster les importations en provenance de pays réputés avoir des pratiques commerciales défavorables. Ces enquêtes durent généralement plusieurs mois, voire plus, mais servent de base juridique au président pour imposer unilatéralement des droits de douane.

L'accord commercial du premier mandat de Trump avec la Chine reposait en partie sur les promesses de Pékin d'augmenter ses achats de produits agricoles américains, une source de tensions renouvelées cette année.

Depuis le retour de Trump au pouvoir, les États-Unis et la Chine se livrent à un bras de fer commercial acharné, qui s'est ravivé ces dernières semaines malgré une trêve qui a abaissé les taxes douanières entre les deux pays pour permettre de nouvelles négociations. Cette trêve sur les droits de douane plus élevés expirera mi-novembre.

L'administration Trump a imposé de nouvelles restrictions à la Chine sur les exportations de technologies, tandis que la Chine a pris des mesures pour restreindre les flux de terres rares, minéraux essentiels à de nombreux secteurs, notamment l'énergie, les semi-conducteurs et les transports. Trump a également menacé d'imposer de nouveaux droits de douane de 100 % à compter du 1er novembre si la Chine ne renonçait pas à ces restrictions sur les terres rares.

La guerre commerciale a également vu la Chine suspendre ses achats de soja américain, ce qui a porté préjudice aux agriculteurs américains, qui ont vu leurs marchés se contracter sous l'effet de la guerre commerciale menée par le président américain. Malgré cela, Trump a prédit qu'il parviendrait à un accord avec Xi Jinping sur le commerce et d'autres sujets, suscitant des attentes quant à leur sommet tant attendu.

Source : Bloomberg Europe

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Voici les cinq principaux points à retenir du rapport sur l'indice des prix à la consommation de vendredi.

Adam

Économique

Le Bureau of Labor Statistics a publié vendredi son très attendu rapport sur l'indice des prix à la consommation, retardé d'une semaine et demie en raison de la fermeture du gouvernement.

Voici les cinq points les plus importants à retenir :

Bien que l'inflation reste largement supérieure à l'objectif de 2 % de la Réserve fédérale, elle ne montre aucun signe d'emballement et connaît même un léger ralentissement dans certains secteurs clés. Les hausses globales de 0,3 % sur un mois et de 3 % sur un an sont légèrement inférieures aux prévisions consensuelles. Il en va de même pour les indices core hors alimentation et énergie, qui se sont établis respectivement à 0,2 % et 3 %.

Les marchés ont continué à anticiper une quasi-certitude quant à une baisse des taux de la Fed la semaine prochaine, et ont augmenté les chances d'une autre en décembre, avec seulement 4 % de probabilité que la banque centrale n'assouplisse pas finalement ses taux deux fois de plus avant la fin de l'année, selon FedWatch du CME Group.

Outre les chiffres clés, le principal point d'attention des marchés a été l'impact des droits de douane et de l'immigration, qui s'est fait sentir... légèrement. Les prix des vêtements ont augmenté de 0,7 % et ceux des articles de sport de 1 %. En revanche, les prix des smartphones ont reculé de 2,2 % et sont en baisse de 14,9 % sur un an. Les services de jardinage et d'entretien des pelouses, une catégorie liée à l'immigration, ont enregistré une hausse annuelle de 13,9 %.

Les frais de logement constituent une autre catégorie clé, puisqu'ils représentent un tiers de la pondération de l'indice. Un certain soulagement a été constaté à ce niveau, l'indice n'ayant progressé que de 0,2 % par mois et se maintenant à 3,6 % par an. Le loyer équivalent propriétaire, une composante essentielle des frais de logement qui interroge les propriétaires sur leur capacité de loyer, n'a augmenté que de 0,1 %, soit la plus faible hausse de ce type pour cette mesure depuis novembre 2020.

La collecte de données et les rapports gouvernementaux étant suspendus en raison du confinement, le BLS n'a compilé ce rapport que pour servir de référence pour les ajustements du coût de la vie de la Sécurité sociale. Il s'agira donc probablement du dernier rapport officiel publié jusqu'à la résolution de l'impasse.

Source : CNBC

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Cinq points clés à retenir du rapport sur l'indice des prix à la consommation de vendredi

Olivia Brooks

Économique

Le Bureau of Labor Statistics a publié vendredi son très attendu rapport sur l'indice des prix à la consommation , retardé d'une semaine et demie en raison de la fermeture du gouvernement.

Voici les cinq points les plus importants à retenir :

1. Bien que l'inflation reste largement supérieure à l'objectif de 2 % de la Réserve fédérale, elle ne montre aucun signe d'emballement et connaît même un léger ralentissement dans certains secteurs clés. Les hausses globales de 0,3 % sur le mois et de 3 % sur l'année sont légèrement inférieures aux prévisions consensuelles. Il en va de même pour les indices core hors alimentation et énergie, qui se sont établis respectivement à 0,2 % et 3 %.

2. Les marchés ont continué à anticiper une quasi-certitude quant à une baisse des taux de la Fed la semaine prochaine, et ont augmenté les chances d'une autre en décembre, avec seulement 4 % de probabilité que la banque centrale n'assouplisse pas finalement ses taux deux fois de plus avant la fin de l'année, selon FedWatch du CME Group .

3. Outre les chiffres clés, le principal point d'attention des marchés a été l'impact des droits de douane et de l'immigration, qui s'est fait sentir… légèrement. Les prix des vêtements ont augmenté de 0,7 % et ceux des articles de sport de 1 %. En revanche, les prix des smartphones ont reculé de 2,2 % et sont en baisse de 14,9 % sur un an. Les services de jardinage et d'entretien des pelouses, une catégorie liée à l'immigration, ont enregistré une hausse annuelle de 13,9 %.

4. Les frais de logement constituent une autre catégorie clé, puisqu'ils représentent un tiers de la pondération de l'indice. Un certain soulagement a été constaté à ce niveau, l'indice n'ayant progressé que de 0,2 % par mois et se maintenant à 3,6 % par an. Le loyer équivalent propriétaire, une composante essentielle des frais de logement qui interroge les propriétaires sur le montant de leur loyer, n'a augmenté que de 0,1 %, soit la plus faible hausse de ce type pour cette mesure depuis novembre 2020.

5. La collecte de données et les rapports gouvernementaux étant suspendus en raison du confinement, le BLS n'a compilé ce rapport que pour servir de référence pour les ajustements du coût de la vie de la Sécurité sociale. Il s'agira donc probablement du dernier rapport officiel publié jusqu'à la résolution de l'impasse.

Ce qu'ils disent :

Dans l'ensemble, les chiffres d'inflation d'aujourd'hui sont encourageants, même s'ils restent supérieurs à l'objectif d'inflation de 2 % fixé par la Réserve fédérale. Cependant, nous pensons que la tendance générale de l'inflation pourrait continuer à se modérer au cours de l'année prochaine… comme l'ont récemment suggéré les points morts d'inflation, permettant à la Fed de maintenir sa préférence pour les baisses de taux. — Rick Rieder, responsable des titres à revenu fixe chez BlackRock et finaliste pour succéder à Jerome Powell à la présidence de la Fed l'an prochain.

« Lorsque l'on regarde au-delà des gros titres, on constate, sur une base annuelle, de fortes augmentations du coût de l'alimentation, de la viande, du logement et des services publics. Les ménages de la classe moyenne à revenus modestes, confrontés à un ralentissement de la croissance des salaires, ont manifestement du mal à s'adapter à la hausse persistante du coût de la vie… Il est tout à fait naturel que ceux qui freinent la croissance du K se demandent : qu'est-ce que ceux qui se réjouissent d'une augmentation plus modérée du rythme des hausses de prix voient qui indique que l'inflation n'érode pas mon niveau de vie ? » — Joseph Brusuelas, économiste en chef chez RSK, à propos de l'économie en K.

« Les signes de répercussions des tarifs douaniers restent faibles et soutiennent l'idée que les hausses de tarifs se traduiront par une hausse ponctuelle des prix plutôt que par des pressions inflationnistes persistantes », a déclaré Krishna Guha, responsable de la politique mondiale et de la stratégie de la banque centrale chez Evercore ISM.

Source : CNBC

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Les États-Unis ouvrent une enquête commerciale sur les engagements de la Chine lors de la première phase, avant les négociations Trump-Xi.

Source : Zero Hedge

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Rapport spécial : L’or et l’argent réduisent leurs pertes quotidiennes ; attendez-vous à une nouvelle forte volatilité la semaine prochaine

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Semaine à venir pour les devises et les obligations : la Fed devrait baisser ses taux ; des négociations sino-américaines sont envisagées.

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Les États-Unis lancent une nouvelle enquête sur les tarifs douaniers chinois avant la rencontre Trump-Xi

Source : Bloomberg Europe

Voici les cinq principaux points à retenir du rapport sur l'indice des prix à la consommation de vendredi.

Source : CNBC

Cinq points clés à retenir du rapport sur l'indice des prix à la consommation de vendredi

Source : CNBC

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