Vodacom, géant sud-africain des télécoms, prend le contrôle du kényan Safaricom

par Foo Yun Chee

Les opérateurs européens de télécommunications sont en passe d'obtenir l'accès à la majeure partie du spectre clé convoité également par les fournisseurs d'accès à Internet, avec le soutien d'un organe consultatif de la Commission européenne, ont déclaré mercredi des personnes ayant une connaissance directe de la question.

La question oppose Deutsche Telekom >, Orange >, TIM >, Vodafone et d'autres entreprises de télécommunications à Amazon >, Apple >, Meta Platforms >, Microsoft et d'autres entreprises technologiques.

Les premiers réclament davantage de spectre pour les services mobiles, avertissant que l'Europe pourrait se laisser distancer par les États-Unis dans le déploiement futur de la 6G si elle n'a pas accès à la partie supérieure de la bande des 6 GHz, l'un des rares grands blocs de spectre de bande moyenne encore disponibles.

Ce dernier groupe estime que des fréquences supplémentaires sont essentielles pour les services wi-fi et la prochaine génération de services et de produits numériques. Les deux groupes souhaitent que la totalité de la bande supérieure de 6 GHz leur soit attribuée.

Le groupe pour la politique en matière de spectre radioélectrique, qui s'est réuni à Bruxelles plus tôt dans la journée de mercredi, publiera prochainement son avis proposant que 540 MHz de la bande de 6 GHz soient attribués aux opérateurs de téléphonie mobile, ont indiqué les sources.

Les 160 MHz restants, qui pourraient être attribués aux sociétés de Wi-Fi, seront gelés jusqu'à la conférence mondiale des radiocommunications de 2027 organisée par l'Union internationale des télécommunications (ITU), qui établira une feuille de route pour les bandes de fréquences destinées aux futures technologies mobiles, ont-elles précisé.

L'avis du groupe politique sera transmis à la Conférence européenne des administrations des postes et des télécommunications (CEPT), composée de 46 pays qui coopèrent sur les questions de réglementation et de normalisation technique.

La CEPT définira les conditions d'utilisation des 540 MHz par les opérateurs de téléphonie mobile, a déclaré l'une des sources.

Les experts s'attendent à ce que la 6G soit lancée commercialement dans les années 2030. Les États-Unis, le Canada, la Corée du Sud et plusieurs autres pays ont déjà alloué des portions de la bande de 6 GHz pour l'utilisation du wi-fi.

Le plus grand opérateur de téléphonie mobile d'Afrique du Sud, Vodacom Group , a signé un accord avec Starlink d'Elon Musk pour fournir un accès internet à haut débit et à faible latence aux entreprises dans toute l'Afrique, a déclaré l'entreprise de télécommunications mercredi.

Malgré l'empreinte de Vodacom, qui compte plus de 223 millions de clients, l'Afrique rurale reste une frontière difficile à franchir. Des populations clairsemées, un terrain difficile et une faible pénétration des smartphones rendent les déploiements de tours traditionnels coûteux.

La société africaine, détenue majoritairement par le britannique Vodafone , a cherché à combler les lacunes en matière de connectivité sur le continent grâce à la technologie des satellites en orbite basse, qui peut aider à fournir l'internet même sur des terrains difficiles.

Vodacom intégrera la technologie satellitaire de Starlink pour le relais de données dans son réseau mobile et sera autorisé à revendre des équipements et des services de l'entreprise détenue par SpaceX à des clients en Afrique, a déclaré l'entreprise dans un communiqué.

"Nous continuons à traiter avec de multiples fournisseurs de satellites, y compris Starlink, là où Starlink a obtenu une licence, y compris AST SpaceMobile ainsi qu'Amazon Kuiper", a déclaré le directeur général Shameel Joosub à Reuters après les résultats intermédiaires de Vodacom lundi.

MTN Group , le grand rival africain de Vodacom, explore également des partenariats avec des fournisseurs de satellites, tandis que la société mère Vodafone s'est associée à la constellation de satellites LEO d'Amazon, Project Kuiper, et à AST SpaceMobile .

Les Bourses mondiales sont partagées mardi, entre d'une part les espoirs de résolution imminente de la paralysie budgétaire record aux Etats-Unis, et d'autre part, les prises de bénéfices face aux doutes suscité par les valorisations liées à l'IA.

En Europe, la Bourse de Paris a terminé en hausse de 1,15%, Francfort de 0,53% et Milan de 1,24%.

Le FTSE 100, l'indice vedette de la Bourse de Londres, s'est montré "en grande forme, alors que le ralentissement de la croissance des salaires renforce l'espoir que la Banque d'Angleterre réduira ses taux en décembre", relève Matt Britzman, analyste actions chez Hargreaves Lansdown.

Le taux de chômage britannique progresse régulièrement depuis le début de l'année et la croissance des salaires a freiné dans le secteur privé, selon les chiffres publiés mardi par l'Office national des statistiques (ONS).

L'indice britannique a terminé en hausse de 1,15% après avoir touché un record en clôture mais aussi en séance, dépassant temporairement les 9.900 points.

A Madrid, l'indice vedette Ibex a également atteint un nouveau sommet historique en séance comme en clôture, dépassant momentanément les 16.400 points.

Ces hausses et records sont aussi portées par un vent d'optimisme entourant la possible fin de paralysie budgétaire aux Etats-Unis.

Le Sénat américain a adopté lundi un texte qui, une fois approuvé par la Chambre des représentants, lèverait la paralysie budgétaire après plus de 40 jours de "shutdown". Le texte doit désormais être débattu et adopté à partir de mercredi à la Chambre des représentants.

"Ainsi, si tout se passe bien, le +shutdown+ pourrait être terminé d'ici la fin de la semaine", explique Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB.

A Wall Street, vers 16H45 GMT, le Dow Jones prenait 0,47%, l'indice élargi S&P 500 reculait de 0,22%, quand l'indice Nasdaq, à forte valeur technologique, perdait 0,75%.

Les questions sur le secteur de l'intelligence artificielle causent "une nouvelle fois des tensions sur les marchés financiers, après qu'un autre grand investisseur a exprimé des inquiétudes concernant une bulle de l'IA", relève Mme Brooks.

Mardi, le géant japonais des investissements dans les technologies SoftBank, a annoncé sans l'expliquer, s'être entièrement défait en octobre de la totalité de sa participation dans Nvidia, pour un total de 5,83 milliards de dollars.

Le géant des puces Nvidia perdait 3,08%, de même que Microsoft de 0,41%, ou Alphabet, la maison mère de Google, de 0,27%. Intel cédait 1,22% et Palantir 1,78%.

Nvidia "publiera ses résultats le 19 novembre, un événement majeur pour l'ensemble du marché", la société étant perçue comme "le baromètre de toute la dynamique de marché autour de l'intelligence artificielle qui a soutenu les actions cette année", note par ailleurs Neil Wilson, analyste chez Saxo Markets.

Une fois le shutdown terminé aux Etats-Unis, l'attention des investisseurs devrait se tourner vers le flot de données économiques à venir, qui avaient été retardées par la paralysie budgétaire.

"Les attentes sont élevées", résume Mme Brooks. "On espère que les données du marché du travail et celles de l'IPC (l'indice d'inflation américaine, NDLR), retardées, soutiendront de nouvelles baisses de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed)."

Dans ce contexte, le dollar cédait 0,32% face à la monnaie unique, à 1,1595 dollar pour un euro vers 16H45 GMT.

Le pétrole en légère hausse

Les prix du pétrole restent stables avant la publication de plusieurs rapports, dont le très attendu World Energy Outlook de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et le rapport mensuel de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui doivent apporter de la clarté sur l'état du marché.

"Les tensions géopolitiques persistent, les sanctions américaines touchant les majors pétrolières russes, ajoutant une couche d'incertitude à un marché déjà fragile", note par ailleurs Matt Britzman.

Vers 16H45 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord gagnait 1,75% à 65,21 dollars et celui de WTI américain 1,76% à 61,19 dollars.

par Mara Vilcu

Les Bourses européennes ont terminé dans le vert mardi, alors que les investisseurs attendent avec impatience la fin imminente du "shutdown" américain, dont la durée record sème l'incertitude depuis plusieurs semaines sur les marchés.

À Paris, le CAC 40 a gagné 1,25% à 8.156,23 points. A Francfort, le Dax a avancé de 0,57% et à Londres, le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 a monté de 1,15%, soutenu par une livre sterling plus faible après la publication de données moroses sur l'emploi au Royaume-Uni.

L'indice EuroStoxx 50 a progressé de 1,11%, le FTSEurofirst 300 a gagné 1,31% et le Stoxx 600 a avancé de 1,33%.

Lundi soir, le Sénat américain a approuvé lundi soir un projet de loi de financement temporaire de l'administration fédérale destiné à sortir du "shutdown" le plus long de l'histoire du pays.

Le texte est désormais entre les mains de la Chambre des représentants, dont le président Mike Johnson a déclaré qu'il souhaitait le faire adopter dès mercredi et le transmettre à la Maison blanche.

Une fois promulgué par le président américain Donald Trump, le texte - qui prévoit le financement des opérations de l'administration jusqu'au 30 janvier prochain -, entrera en vigueur, mettant fin à des semaines d'impasse.

Par ailleurs, la journée a été calme en ce qui concerne les résultats financiers.

Sur le front des données économiques, le marché du travail s'est nettement refroidi au Royaume-Uni au troisième trimestre, avec un ralentissement de la croissance des salaires et une hausse du taux de chômage, selon les données de l'Office national de la statistique (ONS).

Ces chiffres renforcent les arguments en faveur d'une baisse des taux par la Banque d'Angleterre (BoE) le mois prochain, mais montrent également l'incertitude qui pèse sur les ménages et les entreprises britanniques à l'approche du budget annuel de la ministre des Finances Rachel Reeves, le 26 novembre, qui devrait comporter de nouvelles hausses d'impôts.

VALEURS

Vodafone , qui a relevé ses prévisions de bénéfice et de flux de trésorerie pour l'ensemble de l'année, a progressé de 8,32%.

A WALL STREET

A l'heure de la clôture en Europe, le Dow Jones avance de 0,61%, le Standard & Poor's 500 cède 0,21% et le Nasdaq Composite abandonne 0,75%.

LES INDICATEURS DU JOUR

Le moral des investisseurs en Allemagne a reculé de manière inattendue en novembre, selon l'enquête mensuelle de l'institut d'études économiques Zew.

CHANGES

Le billet vert baisse, en raison des inquiétudes liées à la détérioration du marché du travail américain après la publication d'un rapport indiquant que les employeurs privés ont supprimé des postes le mois dernier.

Le dollar perd 0,21% face à un panier de devises de référence .

L'euro gagne 0,32% à 1,1593 dollar .

La livre sterling baisse après la publication de données moroses sur l'emploi au Royaume-Uni. Elle cède 0,05% face au dollar et 0,36% face à l'euro.

TAUX

Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) a perdu 0,8 point de base (pb) à 2,6565%. Le deux ans (DE10YT=RR) a abandonné 0,3 pb à 2,0014%.

Le marché obligataire américain est fermé aujourd'hui, à l'occasion du "Veterans Day", un jour férié honorant les anciens combattants.

PÉTROLE

Les prix du pétrole sont en hausse après avoir baissé plus tôt dans la journée, tiraillés entre les craintes liées à l'offre excédentaire et l'impact des dernières sanctions américaines contre le pétrole russe sur l'approvisionnement.

Le Brent avance de 1,86% à 65,25 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) progresse de 1,81% à 61,22 dollars.

A SUIVRE LE 12 NOVEMBRE :

(Certaines données peuvent accuser un léger décalage)

Les Bourses mondiales progressent mardi dans un marché aux échanges peu fournis, les investisseurs attendant une résolution du blocage budgétaire américain, qui pourrait intervenir d'ici la fin de la semaine, après plus de 40 jours de "shutdown".

Vers 14H45 GMT en Europe, la Bourse de Paris gagnait 1,17%, Francfort 0,33% et Milan 0,88%.

Londres avançait de 0,94% après avoir touché un record en début de séance européenne, frôlant les 9.900 points, "alors que les marchés actions mondiaux profitent d'un soulagement dans l'espoir que le long +shutdown+ du gouvernement américain prenne bientôt fin", commente Neil Wilson, analyste de Saxo Markets.

A Wall Street, dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,17%, quand l'indice Nasdaq perdait 0,52% et l'indice élargi S&P 500 reculait de 0,19%.

"La principale information qui domine les marchés financiers mardi est que le +shutdown+ américain pourrait prendre fin (...) lorsque le projet de loi de financement du Sénat atteindra la Chambre des représentants", souligne Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB.

Le Sénat américain a adopté lundi un texte qui, une fois approuvé par la Chambre des représentants, lèverait la paralysie budgétaire après plus de 40 jours de "shutdown", mais qui est encore source de dissensions dans le camp démocrate.

La proposition de loi adoptée à 60 voix pour et 40 contre étend le budget actuel jusque fin janvier. Le texte doit désormais être débattu et adopté à partir de mercredi à la Chambre des représentants.

"Si le texte est adopté, le président Trump devra le signer pour qu'il devienne loi", poursuit Mme Brooks. "Ainsi, si tout se passe bien, le +shutdown+ pourrait être terminé d'ici la fin de la semaine".

Et avec la fin de la paralysie budgétaire qui avait retardé de nombreuses publications économiques officielles aux Etats-Unis, l'attention des investisseurs devrait se tourner vers le flot de données économiques à venir.

"Les attentes sont élevées", résume Kathleen Brooks. "On espère que les données du marché du travail et celles de l'IPC (l'indice d'inflation américaine, NDLR), retardées, soutiendront de nouvelles baisses de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed)."

Dans ce contexte, le dollar cédait 0,37% face à la monnaie unique, à 1,1601 dollar pour un euro vers 14H45 GMT.

Côté publications d'entreprises, les "résultats dans l'ensemble sont très solides à l'approche de la fin de la saison de publication du troisième trimestre: 90% des entreprises du S&P 500 ont publié leurs résultats, et 82% ont dépassé les attentes de bénéfices par action", relève Neil Wilson.

Le géant Nvidia "publiera ses résultats le 19 novembre, un événement majeur pour l'ensemble du marché - non seulement en raison de son poids (...) mais aussi parce qu'elle est perçue comme le baromètre de toute la dynamique de marché autour de l'intelligence artificielle qui a soutenu les actions cette année", ajoute M. Wilson.

L'engouement autour de l'IA s'essouffle

Les questions sur le secteur de l'intelligence artificielle causent "une nouvelle fois des tensions sur les marchés financiers, après qu'un autre grand investisseur a exprimé des inquiétudes concernant une bulle de l'IA", relève Mme Brooks.

La semaine dernière, Michael Burry, le gérant du fonds spéculatif Scion Capital et rendu célèbre par le film "The Big Short' avait "déclaré qu'il vendait des actions clés du secteur IA, dont Nvidia", rappelle l'analyste.

Mardi, le géant japonais des investissements dans les technologies SoftBank, a annoncé sans l'expliquer, s'être entièrement défait en octobre de la totalité de sa participation dans Nvidia, pour un total de 5,83 milliards de dollars, avec une probable plus-value considérable.

"Pour la communauté financière au sens large, lorsque de grands investisseurs encaissent leurs positions IA, cela se remarque - d'où la baisse du titre" mardi, note Kathleen Brooks.

A Wall Street, vers 14H45 GMT, le géant des puces Nvidia glissait de 2,10%, de même que Microsoft de 0,33%, ou Alphabet, la maison mère de Google, de 0,26%. Intel cédait 1,14% et Palantir 0,97%.

Les Bourses mondiales évoluent de façon inégale mardi dans un marché du 11 novembre aux échanges peu fournis, les places européennes progressant timidement, soutenues par l'espoir d'une résolution du blocage budgétaire américain tandis que Wall Street s'apprête à ouvrir hésitante.

Vers 12H20 GMT, la Bourse de Paris gagnait 0,65%, Milan 0,80% tandis que Francfort stagnait (0,00%). Londres avançait de 0,75% après avoir touché un record, le FTSE frôlant les 9.900 points à l'ouverture.

A New York, le Nasdaq devait ouvrir en repli de 0,31% et le S&P 500 de 0,16%, tandis que le Dow Jones paraissait stable (+0,05%), selon les contrats à terme à Wall Street.

Le Sénat américain a adopté lundi un texte qui, une fois approuvé par la Chambre des représentants, lèverait la paralysie budgétaire après plus de 40 jours de "shutdown", mais qui est encore source de dissensions dans le camp démocrate.

"La prudence reste de mise: un simple blocage parlementaire pourrait encore retarder la reprise des activités fédérales", a averti John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement chez Cité Gestion Private Bank.

Les marchés restent soucieux des statistiques américaines qui devraient être diffusées avec retard.

Tokyo a clôturé en retrait de 0,13%, Taipei a perdu 0,30% et l'indice chinois Shenzhen a lâché 1,03%.

En Europe, la Bourse de Londres saluait paradoxalement une montée du taux de chômage au Royaume-Uni et la baisse de la croissance des salaires.

"Le FTSE 100 a ouvert avec entrain, alors que la baisse de la croissance des salaires alimente les espoirs que la Banque d'Angleterre réduise ses taux en décembre", a commenté Matt Britzman, analyste senior chez Hargreaves Lansdown.

"L'argument en faveur d'un assouplissement de la politique monétaire gagne en crédibilité", une perspective toujours favorable au marché actions, souligne l'analyste.

A Francfort, le Dax traînait les pieds (0,00%) alors que le moral des investisseurs allemands s'est affaissé à 38,5 points en novembre contre 39,3 le mois d'avant, selon le baromètre de l'institut ZEW publié mardi que les analystes espéraient voir s'afficher à 41 points.

Softbank cède sa participation dans Nvidia

Le géant japonais des investissements dans les technologies SoftBank Group a progressé de 1,98% à Tokyo. Profitant à plein de la réorientation de son portefeuille vers l'IA, Softbank a vu son bénéfice s'envoler de façon stratosphérique au 2e trimestre de son exercice décalé.

Il a dégagé un bénéfice net de 2.500 milliards de yens (14 milliards d'euros).

Le groupe a par ailleurs indiqué, sans l'expliquer, s'être entièrement défait en octobre de la totalité de sa participation dans Nvidia, pour un total de 5,83 milliards de dollars, avec une probable plus-value considérable.

Le titre du géant des puces pour l'IA, Nvidia, devait ouvrir en baisse à Wall Street (-1,40% à 12H00 GMT) après avoir gagné 5,79% la veille.

LVMH ouvre des magasins en Chine

Le géant français du luxe avance de 1,73% à Paris à 628,60 euros vers 12H00 GMT. Le groupe s'apprêterait à ouvrir plusieurs magasins en Chine, dont quatre à Pékin en décembre aux enseignes de Louis Vuitton, Dior, Tiffany et Loro Piana, selon des informations de Bloomberg.

Vodafone recherché

Le groupe britannique de téléphonie Vodafone avance de plus de 5% à Londres. Il a annoncé mardi un bénéfice en baisse au premier semestre, mais un rebond en Allemagne -un marché clé-, des prévisions optimistes et une hausse du dividende.

Changes et pétrole

Le dollar cédait un peu de terrain par rapport à la devise européenne à 1,1573 dollar pour un euro (-0,14%).

Lestée par la hausse du chômage au Royaume Uni, la livre sterling perdait 0,19% par rapport au billet vert, à 1,3152 dollar pour une livre. La devise britannique glissait également de 0,35% face à la monnaie unique européenne, à 88 pence pour un euro.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord gagnait 0,76% à 64,55 dollars vers 12H15 GMT.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) prenait 0,71% à 60,56 dollars.

Aux Etats-Unis, le marché obligataire reste fermé pour observer le Veterans Day.