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Zone Euro Emploi en glissement annuel (SA) (Troisième trimestre)A:--
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Canada Emploi à temps partiel (SA) (Novembre)A:--
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Canada Taux de chômage (SA) (Novembre)A:--
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U.S. Dépenses personnelles MoM (SA) (Septembre)A:--
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U.S. Prévisions d'inflation à 5-10 ans (Décembre)A:--
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ROYAUME-UNI BRC Like-For-Like Retail Sales YoY (ventes au détail à l'identique) (Novembre)--
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Australie Taux directeur O/N (emprunts)--
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Relevé des taux d'intérêt de la RBA
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U.S. NFIB Indice d'optimisme des petites entreprises (SA) (Novembre)--
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Mexique Inflation à 12 mois (CPI) (Novembre)--
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U.S. Weekly Redbook Commercial Retail Sales YoY (en anglais)--
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U.S. JOLTS Offres d'emploi (SA) (Octobre)--
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U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
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U.S. Prévisions de la production de gaz naturel de l'EIA pour l'année prochaine (Décembre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Corée du Sud Taux de chômage (SA) (Novembre)--
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Japon Indice Reuters Tankan des entreprises non manufacturières (Décembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales MoM (Novembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales en glissement annuel (Novembre)--
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Zurich (awp) - UBS préparerait de nouveaux licenciements en grand. D'ici 2027, quelque 10'000 emplois pourraient être supprimés, a rapporté le Sonntagsblick. Ce chiffre est basé sur des informations internes à la grande banque et les suppressions interviendraient aussi bien en Suisse qu'à l'étranger.
La banque aux trois clés n'a pas voulu confirmer. Contactée dimanche par AWP, elle a indiqué ne pas commenter les spéculations autour de 10'000 emplois. Elle veut limiter autant que possible les suppressions d'emplois en Suisse et dans le monde.
Les suppressions d'emploi doivent être réparties sur plusieurs années et intervenir principalement grâce aux fluctuations naturelles, retraites anticipées, mobilité interne et internalisation des rôles externes. De plus, les collaborateurs concernés doivent se voir offrir de l'aide dans leur recherche d'un nouvel emploi, au sein ou hors de la banque. A cet effet, il existe un plan social complet.
En Suisse, après la reprise de Credit Suisse, UBS avait indiqué prévoir la suppression d'environ 3000 emplois d'ici fin 2026.
Selon le Sonntagsblick, en cas de suppression de 10'000 emplois, il en resterait encore 95'000 (équivalent plein temps). Depuis l'été 2023, la banque a déjà supprimé environ 15'000 emplois.
Par ailleurs, l'intégration de Credit Suisse se fait plus lentement que prévu et a pris plusieurs mois de retard par rapport au plan initial. Actuellement, près de 85% des clients Credit Suisse ont migré sur UBS avec succès. Il subsiste encore de nombreux cas complexes et de grosses relations clients, qui seront transférés en dernier.
D'ici là, l'ancien système CS reste en exploitation, ce qui implique des coûts et retarde les économies annoncées de 13 milliards de dollars comme annoncées par le patron de la banque Sergio Ermotti. A fin septembre, 10 milliards avaient été économisés, soit 77% du total prévu.
jb/rp
Zurich (awp) - La direction des fonds d'UBS a fixé les distributions pour trois fonds immobiliers pour l'exercice 2024/2025, clôturé fin septembre. Les distributions restent globalement au niveau de l'année précédente.
Les rendements des placements des fonds UBS "Interswiss", UBS LogisticsPlus, UBS 1a Immo PK se situent dans une fourchette de 5,2 à 6,7%, indique vendredi dans un communiqué le numéro un bancaire suisse. L'année précédente, ils étaient compris entre 3,5% et 4,1%.
Pour une part du fonds Direct 1a Immo PK, 45,00 francs seront distribués; pour Swiss Commercial "Interswiss", 4,81 francs et pour Direct LogisticsPlus, 3,50 francs.
La direction des fonds souligne qu'au 30 septembre 2025, 9786 parts ont été résiliées, ce qui correspond à 0,38% des parts en circulation. Les parts résiliées seront, conformément au délai de préavis ordinaire, probablement remboursées en décembre 2026. De plus, les 196'550 parts résiliées à la fin de l'exercice 2023/2024 seront remboursées le 17 décembre 2025. Par conséquent, le nombre de parts passera de 2'550'200 à 2'353'650 au 18 décembre 2025.
Dès le 8 décembre 2025, les fonds seront négociés pour la première fois à la Bourse suisse sur la base de leurs nouvelles valeurs d'inventaire nettes. A partir du 9 décembre 2025 (date de détachement), il convient de prévoir la correction habituelle du cours boursier, correspondant approximativement au montant de la distribution.
La valeur d'inventaire du fonds Direct 1a Immo PK s'élèvait à 1307,09 francs à fin septembre, celle du Swiss Commercial "Interswiss" à 193,24 francs, et celle du Direct LogisticsPlus à 104,47 francs.
cw/
par Ariane Luthi et Oliver Hirt
Le gouvernement suisse est prêt à assouplir en partie la réglementation bancaire sur les fonds propres en vertu de laquelle UBS devra renforcer ses liquidités d'un montant pouvant atteindre 24 milliards de dollars (20,62 milliards d'euros), ont rapporté à Reuters trois sources au fait du dossier.
Cet assouplissement porterait sur les règles pour lesquelles le gouvernement à un contrôle direct, ont précisé deux des sources sous couvert d'anonymat.
Il s'agit, entre autres, de la valorisation des actifs d'impôts différés et des logiciels, ce qui représenterait environ 11 milliards de dollars sur le total des capitaux supplémentaires qu'UBS pourrait être amenée à détenir. On ignore pour le moment l'ampleur des mesures d'atténuation que l'exécutif souhaite mettre en place.
UBS a déclaré à plusieurs reprises que la banque et la Suisse seraient lésées si les règles sur les fonds propres n'étaient pas assouplies. Ces dernières semaines, groupes industriels, autorités cantonales et élus influents ont fait écho à UBS, mettant en garde contre le risque de perte de compétitivité du secteur bancaire.
"Le processus décisionnel en la matière n'est pas encore achevé et le Conseil fédéral n'a pas encore pris de décision. Nous ne sommes donc pas en mesure de commenter le contenu (des règles)", a réagi le département fédéral suisse des Finances (DFF).
UBS pour sa part s'est refusé à tout commentaire.
La réglementation sur les fonds propre est divisée en deux catégories : les mesures que le gouvernement peut prendre directement et celles dépendant du Parlement.
Le gouvernement devrait s'en tenir à la proposition qu'il présentera au Parlement, à savoir qu'UBS doit capitaliser intégralement ses filiales étrangères en Suisse, une mesure qui représenterait l'essentiel de l'enveloppe des 24 milliards de dollars, ont ajouté deux des sources.
L'action UBS a fini en hausse de 4,09% après l'information rapportée par Reuters contre un gain de 0,33% pour le principal indice de la Bourse de Zurich.
par Diana Mandia
Les Bourses européennes ont terminé sur une note hésitante vendredi, les investisseurs digérant une série de données et anticipant une nouvelle baisse des taux d'intérêt américains la semaine prochaine, ce qui a redonné aux investisseurs le goût du risque en ce début de mois.
À Paris, le CAC 40 a perdu 0,09% à 8.114,74 points vers. À Francfort, le Dax a avancé de 0,66% et à Londres, le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 abandonné 0,45%.
L'indice EuroStoxx 50 a fini sur une hausse de 0,13%, le FTSEurofirst 300 a reculé de 0,04% et le Stoxx 600 a grappillé 0,01%.
Sur la semaine, le Stoxx 600 a pris 0,42% et le CAC 40 a abandonné 0,10%
Les marchés d'actions ont entamé le mois de décembre avec plus de confiance grâce à la politique monétaire américaine, les investisseurs s'attendant largement à une nouvelle baisse des taux d'intérêt par la Réserve fédérale (Fed) afin de soutenir, en particulier, un marché du travail menacé par le ralentissement.
Les données publiées vendredi n'ont pas beaucoup changé ces perspectives : selon l'outil FedWatch de CME, les opérateurs estiment à 87% la probabilité d'une baisse des taux de 25 points de base lors de la réunion des 9 et 10 décembre.
L'indice des prix de la consommation personnelle (PCE) "core", la mesure que la banque centrale privilégie généralement en matière d'inflation, est ressorti à 2,8% en septembre, moins que prévu (2,9%), ce qui a contribué à maintenir les paris sur les taux pratiquement inchangés, même si le retard dans la publication de cet indicateur, affecté par la fermeture prolongée de l'administration américaine, a quelque peu réduit son intérêt pour les investisseurs.
Bastien Drut, responsable de la stratégie et des études économiques de CPRAM, note que ce chiffre s'accompagne d'un rythme de croissance de la consommation nettement plus faible en 2025 que sur les deux années précédentes.
"L'indice d'inflation le plus suivi par la Fed, c'est-à-dire le 'core PCE', sort en dessous des attentes à 2,8%, soit nettement en dessous de la prévision des membres du FOMC pour la fin d'année 2025 (3,1%). Cela va clairement dans le sens d'une baisse de taux en décembre mais aussi de la poursuite du cycle de baisses en 2026, surtout avec la morosité des chiffres de la consommation", dit-il dans une note publiée vendredi.
Le moral des consommateurs américains s'est pour sa part amélioré début décembre, ceux-ci anticipant également un ralentissement de l'inflation au cours de la prochaine année à 4,1%, contre 4,5% à la fin novembre, selon les résultats préliminaires de l'enquête mensuelle de l'Université du Michigan.
En Europe, les investisseurs ont recu une série de données macroéconomiques vendredi, parmi lesquelles figurent les chiffres définitifs de la croissance dans la zone euro, qui a été révisée à la hausse et renforce l'idée que la Banque centrale européenne (BCE) n'est pas pressée de baisser à nouveau ses taux.
François Villeroy de Galhau, membre du comité de politique monétaire de l'institut de Francfort, a par ailleurs déclaré lors d'une conférence que la BCE devait garder toutes les options ouvertes lors de ses prochaines réunions, les risques à la baisse sur l'inflation étant aussi importants que ceux à la hausse.
Les investisseurs ont également tourné leur regard vers la France, où les députés ont adopté vendredi de justesse en deuxième lecture la partie consacrée aux recettes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, ouvrant la voie à une adoption du texte d'ici la fin de l'année.
VALEURS
À Paris, Alstom a progressé de 4,9% après que Citigroup a relevé sa recommandation sur le titre.
Derichebourg s'est envolé de plus de 16% après que le prestataire français de services aux entreprises a annoncé un bénéfice annuel supérieur aux prévisions.
Ailleurs en Europe, Swiss Re a reculé de 6,5% après l'annonce de ses objectifs financiers pour 2026, qui ont déçu les investisseurs.
UBS a fini sur une hausse de 4%, alors que trois sources ont dit à Reuters que le gouvernement suisse s'apprêtait à assouplir une partie d'un ensemble de mesures réglementaires qui pourraient contraindre la banque à augmenter son capital de 24 milliards de dollars.
A WALL STREET
La Bourse de New York progresse légèrement vendredi, les investisseurs analysant le rapport sur l'inflation PCE.
A l'heure de la clôture en Europe, le Dow Jones prend 0,25%, le Standard & Poor's 500 0,20% et le Nasdaq Composite 0,13%.
LES INDICATEURS DU JOUR
Le déficit commercial de la France s'est établi à 3,918 milliards d'euros à fin octobre, montrent les données publiées vendredi par le bureau des Douanes françaises.
La production industrielle française a enregistré une légère baisse de 0,1% en octobre, conformément aux attentes, montrent les données publiées vendredi par l'Insee.
Les commandes industrielles en Allemagne ont augmenté plus que prévu en octobre, a déclaré vendredi l'Office fédéral des statistiques.
En Allemagne, la reprise économique restera modérée l'année prochaine en raison des difficultés des exportations et du ralentissement du commerce mondial, selon les prévisions de l'Institut économique allemand (IW) dont Reuters a pris connaissance vendredi.
CHANGES
Le dollar, qui reste proche de son plus bas niveau en cinq semaines, gagne 0,08% face à un panier de devises de référence , tandis que l'euro perd 0,13% à 1,1628 dollar .
TAUX
Les rendements des bons du Trésor américain progressent légèrement, les investisseurs consolidant leurs positions avant la baisse des taux d'intérêt attendue de la Fed la semaine prochaine.
Celui des Treasuries à dix ans prend 2,9 points de base à 4,1370%, tandis que celui de son homologue à deux ans (US2YT=RR) avance de 3,1 points de base à 3,5624%.
Les rendements des obligations souveraines de la zone euro ont augmenté vendredi, à la fin d'une semaine où les titres de dette à très long terme ont subi l'une de leurs plus fortes baisses en trois mois, les investisseurs restant préoccupés par les finances publiques.
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) a pris 2,9 points de base à 2,7995%. Le deux ans (DE10YT=RR) a quant à lui gagné 2,4 points de base à 2,0988%.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a obtenu vendredi la majorité absolue au Parlement allemand pour son projet de loi sur les retraites, qui garantit le maintien des pensions à leur niveau actuel, malgré les contestations de certains membres de son parti conservateur.
En France, le rendement de l'OAT à dix ans (FR10YT=RR) a pris 1,0 point de base à 3,5314%.
PÉTROLE
Les prix du pétrole sont en légère hausse vendredi, soutenus par l'enlisement des négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine, même si leur progression est limitée par les craintes d'une surabondance de l'offre.
Le Brent prend 0,68% à 63,69 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) avance de 0,64% à 60,05 dollars.
A SUIVRE LE 8 DECEMBRE :
(Certaines données peuvent accuser un léger décalage)
L'opérateur de la Bourse suisse SIX va confier la présidence de son conseil d'administration à André Helfenstein, un ancien cadre dirigeant de Credit Suisse, à compter du 1er janvier, a-t-elle annoncé vendredi.
Il doit succéder à Thomas Wellauer, 70 ans, à la tête du conseil d'administration depuis 2020, qui avait déjà savoir en mai qu'il ne comptait pas se représenter lors de la prochaine assemblée générale qui soit se tenir en mai 2026.
Dans un communiqué, l'opérateur de la Bourse suisse a mis en avant la "vaste expérience de direction au niveau national et international" de M. Helfenstein, 58 ans, qui est déjà membre du conseil d'administration depuis 2020.
M. Helfenstein est l'ancien directeur de Credit Suisse (Suisse) SA, la branche helvétique de la banque qui regroupait les activités de banque de détail, crédits hypothécaires et crédits aux entreprises suisses.
Il a fait une grande partie de sa carrière chez Credit Suisse qu'il avait rejoint en 2007 après avoir travaillé pendant plus de dix ans chez Boston Consulting Group, indique le communiqué.
En 2023, Credit Suisse avait été racheté dans l'urgence par sa concurrente UBS sous la pression des autorités suisses afin d'éviter sa faillite. La banque, ex-numéro deux du secteur bancaire helvétique, avait été secouée par une série de scandales dans ses activités de banque d'investissement et dans la gestion d'actifs.
La branche helvétique qui englobait la banque de détail pour le marché suisse était considérée dans la communauté financière comme la branche la plus stable de la banque déchue.
M. Wellauer restera membre du conseil d'administration jusqu'à l'assemblée générale du 6 mai 2026 "afin d'assurer une transition en douceur", précise le communiqué.
Une grande vague d'héritages s'amorce chez les milliardaires, avec quelque 6.900 milliards de dollars (5.909 milliards d'euros) qui devraient être transmis au niveau mondial durant les 15 prochaines années, selon les projections d'UBS.
En 2025 déjà, 91 personnes (64 hommes et 27 femmes) ont hérité d'un montant cumulé de 297,8 milliards de dollars, en hausse de 36% par rapport à l'année précédente, selon un rapport publié jeudi par le géant bancaire suisse, qui souligne qu'il s'agit d'un montant "record".
"Le transfert de richesses s'accélère", souligne dans un communiqué la banque qui avait déjà constaté cette tendance dans de précédents rapports.
Dans le détail, ces héritages en 2025 ont surtout concerné l'Europe de l'Ouest, avec 48 personnes qui ont reçu un montant cumulé de 149,5 milliards de dollars, ce que la banque suisse explique par une importante succession dans l'industrie pharmaceutique en Allemagne.
En Amérique du Nord, 18 personnes ont hérité de 86,5 milliards de dollars contre 11 personnes en Asie du Sud-Est pour un montant total de 24,7 milliards de dollars.
A un horizon de 15 ans, les plus gros transferts de patrimoine devraient s'effectuer aux Etats-Unis, où vivent actuellement un tiers des milliardaires. Ils devraient y léguer 2.779,9 milliards de dollars de patrimoine d'ici 2040, selon les calculs de la banque.
En Europe de l'Ouest, le patrimoine qui va être transféré par les milliardaires est estimé à 1.300,2 milliards de dollars, d'après UBS, les plus grosses successions concernant la France, avec 347,1 milliards de dollars, l'Allemagne (227,2 milliards) et la Suisse (206,3 milliards).
En Chine, Hong-Kong et Taïwan, UBS évalue le patrimoine qui va être transféré par les milliardaires d'ici 15 ans à 407 milliards de dollars et à 764,6 milliards de dollars en Asie du Sud-Est.
Au total, les milliardaires devraient léguer quelque 6.900 milliards de richesse au niveau mondial d'ici 2040, dont "au moins 5.900 milliards" à leurs enfants, "directement ou indirectement" par leurs conjoints", estime la banque.
-Hausse pour milliardaires de la tech -
UBS, qui compte parmi les plus gros gestionnaires de fortune au monde, a réalisé ses calculs sur la base du nombre de milliardaires dans le monde âgés de plus de 70 ans, en prenant pour référence l'espérance de vie moyenne en Suisse qui est de 85 ans, afin de formuler des prévisions sur 15 ans.
Selon cette étude, réalisée sur la base de données collectées sur 47 marchés, le nombre de milliardaires aura augmenté de 8,8% en 2025, passant de 2.682 à près de 3.000 au niveau mondial.
La banque a répertorié 196 nouveaux milliardaires en 2025 qui ont fait fortune par eux-mêmes, et non par héritage, avec leur entreprise notamment dans les secteurs des logiciels, génétique, gaz naturel liquéfié et infrastructures.
L'augmentation de la richesse des milliardaires en 2025 a été portée par la "création d'entreprises audacieuses", selon la banque qui note cependant qu'avec l'envolée en Bourse des valeurs technologiques associées à l'intelligence artificielle, la fortune des milliardaires du secteur technologique a augmenté de 23,8%.
Les six plus grands milliardaires de la tech américaine dont la fortune a le plus augmenté se sont encore enrichis collectivement de 171 milliards de dollars par rapport à l'année précédente, d'après ses calculs.
Zurich (awp) - Un groupe d'investisseurs japonais a intenté une action en justice contre la Confédération suite à la dépréciation des obligations AT1 émises par la banque Credit Suisse, avalée par UBS. Il ne s'agit que de la première vague de poursuites, selon leur cabinet d'avocats.
Les 184 investisseurs ont déposé une demande d'arbitrage auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), comme l'a annoncé jeudi leur cabinet d'avocats, Drew & Napier. Ils reprochent à la Confédération d'avoir violé l'accord de libre-échange entre les deux pays en ordonnant la dépréciation de plus de 16,5 milliards de francs d'obligations AT1 lors du sauvetage de Credit Suisse en mars 2023.
Les investisseurs affirment avoir été traités de manière injuste et arbitraire, et avoir subi une expropriation de fait. "Les plaignants détiennent des obligations d'une valeur de plus de 138 millions de dollars", a précisé le cabinet d'avocats singapourien à l'agence AWP.
La Confédération rejette les prétentions des plaignants
Contacté, le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) confirme qu'une procédure d'arbitrage investisseur-État a été engagée contre la Suisse le 2 décembre 2025 en rapport avec Credit Suisse. "Il s'agit de la première procédure de ce type. Les 184 plaignants fondent leur action sur l'accord de libre-échange entre la Suisse et le Japon, qui contient un chapitre sur les investissements", a expliqué une porte-parole du Seco.
Selon elle, les investisseurs japonais font effectivement valoir que leurs instruments AT1 avaient une valeur nominale d'environ 138 millions de dollars américains, mais ne chiffrent pas leur demande de dommages-intérêts.
"La Suisse rejette intégralement les prétentions des plaignants. Elle soutient avec force qu'elle n'a violé aucun accord international", poursuit la porte-parole, ajoutant que les mesures ont été prises afin d'empêcher l'effondrement incontrôlé de Credit Suisse - une banque d'importance systémique mondiale - et de protéger la stabilité financière nationale et internationale.
Il ne s'agit que de la première vague de poursuites, d'autres sont attendues dans les prochains mois. Le cabinet Drew & Napier représente actuellement environ 560 détenteurs asiatiques d'obligations au Japon, à Hong Kong et à Singapour, qui font valoir des pertes supérieures à 300 millions de dollars.
cw/fr/al/ck
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