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Uber va s'associer à Starship Technologies pour lancer des livraisons robotisées autonomes au Royaume-Uni en décembre, avec des projets d'extension à d'autres marchés européens l'année prochaine et aux États-Unis en 2027, a annoncé jeudi la société de covoiturage.
Dans un premier temps, les clients d'Uber Eats pourront recevoir des livraisons robotisées de Starship dans les régions de Leeds et de Sheffield, a précisé Uber.
Ce partenariat est le dernier d'une longue série d'accords qu'Uber a conclus avec des entreprises de véhicules autonomes et de technologie, alors que la société redouble d'efforts pour automatiser divers aspects de son activité afin de stimuler sa croissance.
Uber a déjà conclu des partenariats avec Avride et Serve Robotics pour la livraison robotisée de nourriture (link) aux États-Unis.
Les robots de Starship, basés à San Francisco, fonctionneront avec une autonomie de niveau 4, ce qui signifie qu'ils peuvent opérer sans intervention humaine dans une zone déterminée.
L'épicier américain Kroger a déclaré mardi qu'il fermerait certaines installations de traitement automatisé des commandes et qu'il subirait une perte de valeur d'environ 2,6 milliards de dollars au cours du troisième trimestre de l'exercice 2025.
Kroger a déclaré que la fermeture de ces installations d'exécution automatisée aurait un effet neutre sur ses ventes de base.
La société, qui s'est concentrée sur les promotions et le maintien de prix de produits bas pour répondre aux consommateurs à la recherche de valeur, a déclaré mardi qu'elle avait élargi son partenariat avec des sociétés d'épicerie et de livraison de nourriture en ligne telles que Instacart >, DoorDash et UberEats dans le cadre de ses efforts pour atteindre de nouveaux clients et livrer des produits en 30 minutes.
Il prévoit également d'améliorer la rentabilité du commerce électronique d'environ 400 millions de dollars en 2026, qui seront utilisés pour améliorer l'expérience client grâce à des prix plus bas et à de meilleures conditions dans les magasins.
Des chauffeurs remplacés par des voitures autonomes chez Uber ou Lyft ? Les deux plateformes de VTC travaillent à l'intégration progressive de la conduite autonome, en multipliant les partenariats, mais avancent prudemment face à des consommateurs attachés à la présence humaine derrière le volant.
Construire des véhicules autonomes plus sûrs que les conducteurs humains est une question "presque entièrement résolue", a estimé mardi lors du Web Summit de Lisbonne Andrew Macdonald, directeur des opérations d'Uber.
"Maintenant, c'est une question de commercialisation", a-t-il ajouté lors de ce salon spécialisé dans les innovations de la tech.
"D'ici cinq ans, si (la conduite autonome) représente même 10% de notre activité, ce serait un énorme succès", a déclaré pour sa part à l'AFP le directeur de Lyft, David Risher, lors d'un entretien mercredi.
Pour cette entreprise américaine de VTC, cela représenterait environ 500 millions de dollars par trimestre, ses réservations s'élevant à 5 milliards de dollars, selon les derniers chiffres communiqués.
Une somme qui reste bien inférieure à celle des courses payées sur la plateforme Uber sur la même période, dont le montant total atteint 50 milliards de dollars, avec une gamme de services toutefois plus large incluant la livraison de nourriture.
Lyft, qui représente environ 30% du marché américain et a récemment racheté l'application européenne FreeNow, prévoit de déployer des projets pilotes dans certaines villes aux États-Unis et en Europe.
- Partenariats démultipliés -
A Nashville (Tennessee), l'entreprise lancera en 2026 un projet en partenariat avec la start-up californienne Waymo, qui propose déjà des trajets autonomes à San Francisco. En Allemagne et au Royaume-Uni, elle s'associera avec le géant technologique chinois Baidu.
Ces deux pays ont été "les plus rapides d'Europe" à se lancer dans des projets officiels de conduite autonome, a déclaré à l'AFP le patron de FreeNow, Thomas Zimmermann.
Le secteur a récemment vu fleurir les partenariats entre un petit nombre d'entreprises, tant du côté des plateformes de transport que du côté des entreprises spécialisées dans les technologies de conduite autonome.
Dans les villes américaines d'Austin (Texas) et d'Atlanta (Géorgie), Uber travaille également avec Waymo, tandis qu'à Abu Dhabi la plateforme de VTC s'est associée avec le chinois WeRide.
Quant à Lyft, l'entreprise a conclu un partenariat avec des groupes américains comme Tensor, ainsi qu'avec l'entreprise américano-israélienne Mobileye.
Contrairement à l'intelligence artificielle ou aux semi-conducteurs, pour lesquels la Chine et les États-Unis se livrent à une course acharnée, la conduite autonome permet encore des partenariats entre entreprises chinoises et américaines.
Des alliances qui concernent toutefois des pays en dehors des États-Unis. En raison des tensions géopolitiques entre les deux pays, les fabricants chinois ont peu de chance de conquérir le marché automobile américain avec leurs offres de conduite autonome, a souligné le patron de Lyft.
- Contact humain -
S'agissant de l'Europe, "les entreprises chinoises estiment qu'elles ont besoin d'un partenariat avec une entreprise comme la nôtre pour commercialiser leur technologie", a-t-il ajouté.
L'avènement de la conduite autonome ne pourra cependant se faire qu'à petits pas. La conduite humaine restera encore prépondérante pour les années, voire les décennies à venir, selon les deux géants du secteur des VTC.
"Ce sera une transition délicate de passer d'une main-d'oeuvre entièrement humaine à de l'IA dans des véhicules autonomes", selon Andrew Macdonald, d'Uber.
Pour l'instant, "il n'y a tout simplement pas assez de véhicules autonomes dans le monde pour satisfaire toute la demande", a indiqué de son côté David Risher.
Les habitudes et les besoins des passagers restent aussi orientés vers les chauffeurs humains, selon le dirigeant. "A de nombreux moments, les gens voudront de l'aide avec leurs bagages ou un mot gentil à la fin de la journée".
** Les actions du fabricant de robots de livraison Serve Robotics ont baissé de 2,8% à 10,18 $ dans les échanges prolongés
** Serve prévoit un chiffre d'affaires de plus de 2,5 millions de dollars en 2025, contre une estimation moyenne de 4,14 millions de dollars, selon 7 analystes interrogés par LSEG
** L'entreprise déclare cependant que les indications actuelles suggèrent une multiplication par 10 de son chiffre d'affaires l'année prochaine
** Les revenus du troisième trimestre s'élèvent à 687 000 dollars, contre 691 000 dollars prévus
** Jusqu'à la dernière clôture, l'action a chuté de ~22% cette année
par Fanny Potkin et Stefanno Sulaiman
Le gouvernement indonésien soutient pleinement une éventuelle fusion entre GoTo , société de transport et de livraison de repas, et son rival Grab, basé à Singapour, après s'être initialement opposé à un accord, ont déclaré mercredi deux sources au fait du dossier.
Le fonds d'investissement public Danantara Indonesia est également en pourparlers pour prendre une "golden share" dans l'entité combinée, ont dit les sources à Reuters. Une action privilégiée donne généralement à son détenteur un droit de veto sur les décisions clés, même s'il ne possède qu'une petite participation.
Jakarta s'est opposé à l'accord prévu et a demandé des garanties pour de meilleurs tarifs et des primes pour les chauffeurs, a rapporté Reuters en juin.
Les deux sources ont déclaré que le directeur général de Grab , Anthony Tan, avait récemment rencontré le président Prabowo Subianto pour faire pression en faveur de la transaction.
Le gouvernement et Danantara n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
Grab a refusé de commenter la réunion et la transaction prévue.
Un porte-parole de la présidence a déclaré vendredi dernier que le gouvernement discutait d'une éventuelle fusion ou acquisition impliquant GoTo et Grab.
GoTo a déclaré plus tôt dans la journée de mercredi qu'elle avait toujours soutenu les politiques gouvernementales qui profiteraient aux chauffeurs-partenaires et aux commerçants. Cela inclut "si cela se fait par le biais d'une fusion, d'une acquisition ou de toute autre action stratégique de l'entreprise"
Une fusion remodèlerait le plus grand marché du covoiturage et de la livraison de nourriture en Asie du Sud-Est, où Gojek de GoTo et Grab dominent depuis des années.
Une entité combinée détiendrait une part de marché de plus de 91 % en Indonésie, selon la société d'analyse de données Euromonitor International.
Mais des obstacles réglementaires subsistent, notamment un examen antitrust et des conditions visant à protéger les revenus des chauffeurs, ont déclaré des sources à Reuters.
Les rivalités géopolitiques et commerciales entre les États-Unis et la Chine étaient au coeur des discussions du Web Summit, qui réunit depuis mardi à Lisbonne les acteurs de la tech mondiale.
Au moins 71.000 participants de 157 pays, dont plus de 2.700 start-up et 1.800 investisseurs, sont attendus dans la capitale portugaise jusqu'à jeudi.
Pour cette première journée, entrepreneurs, investisseurs et influenceurs déambulaient dans des pavillons colorés, badge autour du cou, à la recherche des dernières innovations de la tech.
Microsoft a profité de l'événement pour annoncer un investissement de 10 milliards de dollars à partir du début de l'année prochaine dans un méga centre de données au Portugal, en partenariat avec l'entreprise britannique Nscale, afin de développer ses infrastructures dédiées à l'intelligence artificielle.
"Il s'agit d'un des plus importants investissements en capacité de calcul d'IA en Europe", a indiqué le géant américain dans un communiqué.
En matière de centres de données, "la demande dans le domaine de l'IA, en particulier ces cinq derniers mois, est devenue assez folle", a assuré à l'AFP le directeur produit de Nscale, Daniel Bathurst.
-La Chine en vedette -
Cette édition est fortement marquée par l'IA, en particulier par la montée en puissance de la Chine dans ce domaine.
"La moitié des scientifiques et ingénieurs informatiques les plus en pointe sont en Chine. On ne peut pas les ignorer", a déclaré à l'AFP Rev Lebaredian, vice-président en charge des technologies de simulation chez le géant américain Nvidia.
En raison des restrictions imposées à la fois par Pékin et Washington, les puces haut de gamme de Nvidia, utilisées pour former et alimenter les systèmes d'IA générative, ne sont actuellement pas vendues sur le territoire chinois.
"Si nous les excluons, les Chinois trouveront un moyen de développer des choses eux-mêmes, et nous perdrons l'opportunité de travailler avec eux", a poursuivi M. Lebaredian.
"Il est clair que l'ère de la domination occidentale dans la tech est révolue", a insisté lundi soir lors de la cérémonie d'ouverture Paddy Cosgrave, cofondateur du Web Summit.
Ainsi, des robots humanoïdes particulièrement impressionnants de l'entreprise chinoise Unitree ont fait l'objet de plusieurs démonstrations.
La start-up Bambu Lab, basée à Shenzhen, a elle présenté une imprimante 3D capable de confectionner grâce à l'IA générative en quelques heures un objet à partir d'une simple consigne textuelle.
"J'espère voir plus de produits IA qui peuvent être utiles dans la vie de tous les jours", a expliqué à l'AFP une participante, Monica Wang.
- Robotaxis et souveraineté -
"Comment allons-nous passer d'industries dominées par le travail humain à celles entièrement régies par les robots ?", s'est interrogé sur scène Andrew Macdonald, directeur des opérations d'Uber, qui a récemment signé un partenariat avec Nvidia pour rendre autonomes des dizaines de milliers de voitures de différents constructeurs à partir de 2027.
La concurrence mondiale dans le domaine des robotaxis s'est récemment accélérée. Waymo, filiale d'Alphabet (Google), a annoncé son arrivée à Londres en 2026 et plusieurs acteurs chinois comme Baidu et Pony.ai ont fait part de leur intention de se développer sur le marché européen de la voiture autonome.
"Jusqu'à présent, les avancées sur cette technologie sont venues des États-Unis et de la Chine mais cela va changer", a poursuivi M. Macdonald.
Dans le secteur tech, "la compétition s'est intensifiée et durcie", a souligné de son côté la vice-présidente de la Commission européenne chargée du numérique, Henna Virkkunen.
L'Union européenne compte près de 8.000 start-up dédiées à l'IA, a-t-elle ajouté, appelant à une préférence européenne pour les marchés publics afin de les aider à se développer.
"Il est important que nous ne soyons pas dépendants d'un pays ou d'une entreprise pour des technologies critiques", a-t-elle plaidé.
La société suédoise Lovable qui permet à tout un chacun de créer un site sans savoir coder grâce à l'IA générative s'est d'ailleurs distinguée comme l'une des start-up les plus en vue du salon.
L'événement souhaite mettre en lumière "les entreprises prometteuses qui vont bouleverser et façonner la prochaine décennie", a commenté à l'AFP Katherine Farrell, vice-présidente de la communication du Web Summit.
Entrepreneurs, investisseurs et influenceurs ont convergé mardi vers le Web Summit à Lisbonne pour échanger sur l'intelligence artificielle, les robots ou encore le quantique, sur fond de tensions géopolitiques et commerciales mondiales.
Sous un ciel gris, les participants déambulaient dans des pavillons colorés, badge autour du cou, à la recherche des dernières nouveautés de la tech.
Des représentants de plus de 150 pays, dont 2.500 start-up et 1.000 investisseurs, sont attendus dans la capitale portugaise jusqu'à jeudi pour cette édition marquée par la montée en puissance de la Chine.
"La moitié des scientifiques et ingénieurs informatiques les plus en pointe sont en Chine. On ne peut pas les ignorer", a déclaré à l'AFP Rev Lebaredian, vice-président en charge des technologies de simulation chez le géant américain Nvidia.
Début novembre, le patron de Nvidia Jensen Huang a averti que le Chine allait "gagner la course" au développement de l'intelligence artificielle de nouvelle génération, appelant Washington à accélérer ses efforts.
En raison des restrictions imposées à la fois par Pékin et Washington, les puces haut de gamme de Nvidia, utilisées pour former et alimenter les systèmes d'IA générative, ne sont actuellement pas vendues sur le territoire chinois.
"Si nous les excluons, les Chinois trouveront un moyen de développer des choses eux-mêmes, et nous perdrons l'opportunité de travailler avec eux", a poursuivi M. Lebaredian.
"Il est clair que l'ère de la domination occidentale dans la tech est révolue", avait insisté sur scène Paddy Cosgrave, cofondateur du Web Summit lors de la soirée d'ouverture lundi soir.
- IA "utile" -
Ainsi, les robots humanoïdes de l'entreprise chinoise Unitree feront l'objet de plusieurs démonstrations.
La start-up Bambu Lab, basée à Shenzhen, a elle présenté une imprimante 3D capable de confectionner grâce à l'IA générative en quelques heures un objet à partir d'une simple consigne textuelle.
"J'espère voir plus de produits IA qui peuvent être utiles dans la vie de tous les jours", a expliqué à l'AFP sur le stand une participante, Monica Wang.
Une intelligence artificielle "moderne" permet "de passer de logiciels abstraits à une traduction dans le monde physique, notamment dans la robotique", a ajouté Rev Lebaredian.
Seront ainsi présentées à Lisbonne les créations des entreprises américaines Amazon Robotics et Boston Dynamics, mais aussi de la start-up française Wandercraft, spécialisée dans la création d'exosquelettes pour les personnes à mobilité réduite.
Le président d'Uber, Andrew Macdonald, et le directeur général de Lyft, David Risher, partageront, eux, leurs stratégies pour doter les routes de robotaxis.
La concurrence mondiale dans ce domaine s'est récemment accélérée. Uber a signé un partenariat avec Nvidia pour rendre autonomes des dizaines de milliers de voitures de différents constructeurs à partir de 2027 tandis que Waymo, filiale d'Alphabet (Google), a annoncé son arrivée à Londres en 2026. Plusieurs acteurs chinois comme Baidu et Pony.ai ont aussi fait part de leur intention de se développer sur le marché européen de la voiture autonome.
- Façonner la prochaine décennie -
L'événement accueillera aussi bien des figures établies du secteur de l'IA telles que Brad Smith, président de Microsoft, et Cristiano Amon, patron de Qualcomm, spécialiste américain des processeurs pour smartphones, que des dirigeants de start-up prometteuses, à l'instar de Joleen Liang, cofondatrice de la start-up chinoise Squirrel AI qui développe de nouvelles méthodes d'apprentissage.
L'événement espère mettre en lumière "les entreprises prometteuses qui vont bouleverser et façonner la prochaine decennie", a commenté à l'AFP Katherine Farrell, vice-présidente de la communication du Web Summit.
Comme Lovable, start-up suédoise qui permet à tout un chacun de créer un site sans savoir coder grâce à l'IA générative. Le "vibe coding", nom donné à cette technique, a d'ailleurs été sacré expression de l'année 2025 par le dictionnaire britannique Collins.
Sport et IA seront aussi à l'honneur. Comme le tennis, où l'IA permet de déterminer "des schémas prédictifs" sur la technique de jeu d'un athlète, a raconté lundi la joueuse russe Maria Sharapova, invitée.
La vice-présidente de la Commission européenne chargée du numérique, Henna Virkkunen, est attendue mardi pour évoquer la question de la souveraineté technologique, qui préoccupe les Européens à mesure que les tensions commerciales et politiques s'accroissent avec les États-Unis.
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