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Allemagne Production industrielle MoM (SA) (Octobre)A:--
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ROYAUME-UNI BRC Like-For-Like Retail Sales YoY (ventes au détail à l'identique) (Novembre)--
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Australie Taux directeur O/N (emprunts)--
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Relevé des taux d'intérêt de la RBA
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U.S. NFIB Indice d'optimisme des petites entreprises (SA) (Novembre)--
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Mexique Inflation à 12 mois (CPI) (Novembre)--
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U.S. Weekly Redbook Commercial Retail Sales YoY (en anglais)--
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U.S. JOLTS Offres d'emploi (SA) (Octobre)--
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Chine, Mainland M1 Masse monétaire YoY (Novembre)--
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U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
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U.S. Prévisions de la production de gaz naturel de l'EIA pour l'année prochaine (Décembre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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U.S. Stocks hebdomadaires de pétrole brut API--
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Corée du Sud Taux de chômage (SA) (Novembre)--
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Japon Indice Reuters Tankan des entreprises non manufacturières (Décembre)--
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Japon Indice manufacturier Reuters Tankan (Décembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales MoM (Novembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales en glissement annuel (Novembre)--
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Un mois après l'ouverture de la boutique Shein, les curieux se pressent toujours au grand magasin BHV à Paris. Mais ils n'achètent pas beaucoup: moins de choix, moins de prix bas, le client ne retrouve pas ce qui fait le succès de la marque.
Sous la menace d'une suspension - le tribunal judiciaire de Paris rendra sa décision le 19 décembre -, on en oublierait presque que Shein a ouvert son premier magasin physique et pérenne au monde au BHV le 5 novembre.
En un mois, 300.000 visiteurs ont grimpé les escalators vers le 6e étage, selon des chiffres de la Société des grands magasins (SGM) donnés à l'AFP. Mais celle-ci, propriétaire du BHV, ne cache pas les difficultés: une baisse de 10% de la fréquentation lors de la 4e semaine et, surtout, un "taux de transformation en dessous de son potentiel". Traduction, les gens viennent mais n'achètent pas.
- "Avec nos paies..." -
"Même ceux qui achètent critiquent, toujours ! C'est moche, c'est cher, ça n'a pas sa place ici...", soulève Sabrina (prénom d'emprunt), vendeuse à l'unique caisse ouverte sur les sept installées, cette semaine au BHV.
Croisée entre robes et manteaux made in China, Maeva, 22 ans, est une fidèle de la marque, attirée par "le prix attrayant" car "malheureusement avec nos paies on ne peut pas se permettre d'acheter ailleurs", estime cette salariée du secteur médico-social à Angoulême. Pourtant, elle n'achètera rien ici, trop cher.
Souad, 59 ans, fleuriste au chômage, a craqué pour deux pulls et deux autres pour son mari pour 99 euros. Elle "achète tout le temps" sur le site, parce que "c'est pas cher" et qu'"il y a beaucoup de choix".
Sous la menace d'une suspension en France depuis la découverte de la vente de poupées sexuelles d'apparence enfantine et d'armes de catégories A sur son site, le groupe a retiré temporairement les produits des vendeurs tiers en ligne (sa "marketplace").
Elle se concentre sur ses propres marques, fabriquées par 10.000 sous-traitants essentiellement en Chine. Des collections sans cesse renouvelées qui font de la marque la cinquième la plus vendue en France, en volume, avec un prix moyen d'achat fixé à 10 euros, selon le baromètre de l'Institut français de la mode (IFM) actualisé en novembre.
- Shein, Temu, AliExpress : 6% des ventes -
Selon l'IFM, l'ultra fast-fashion du trio asiatique Shein-Temu-AliExpress représente désormais 6% des achats d'habillement en volume en France.
On achète sur Shein "essentiellement pour le prix, mais pas seulement", explique à l'AFP Gildas Minvielle, directeur de l'Observatoire économique de l'IFM, qui évoque "une bonne mise en phase avec l'air du temps, un marketing agressif sur les réseaux sociaux, avec les influenceurs, etc."
"Et puis ils s'inspirent des tendances, ils copient et ça contribue au succès", regrette-t-il.
Près de quatre Français sur dix ont déjà acheté sur les plateformes d'ultra fast-fashion, selon l'IFM. Et cela touche "toutes les générations et toutes les catégories socio-professionnelles", précise-t-il, avec toutefois une surreprésentation des jeunes femmes.
- Grandes tailles -
Une autre raison du succès de Shein en ligne est qu'elle est "quasiment la seule alternative pour les grandes tailles", soulève Daria Marx, militante contre la grossophobie au sein du collectif Gras politique.
Elle pointe un dilemme: la marque est selon elle synonyme "d'exploitation à tous les niveaux, que ce soit des humains qui fabriquent, de la planète", mais elle permet "aux femmes grosses qui s'intéressent à la mode de se fringuer" sans se ruiner.
"Il y a une pression sur les femmes pour être à la mode et sur les femmes grosses encore plus parce qu'on leur reproche de se laisser aller, donc c'est un peu la double condamnation de leur reprocher d'aller chez Shein", pointe-t-elle.
Consciente des critiques des clients au BHV, la SGM répète que de nouveaux arrivages vont venir élargir l'offre: articles pour hommes, enfants, sport... mais aussi des grandes tailles et des petits prix.
En attendant de trouver la recette à Paris, la SGM n'annonce toujours pas de dates d'ouverture pour les magasins Shein à Dijon, Reims, Grenoble, Angers et Limoges.
Shein et l'Etat ont rendez-vous au tribunal judiciaire de Paris vendredi: l'Etat y demande la suspension de la plateforme en raison des produits illicites qu'elle vendait. Shein trouve cette requête injustifiée et disproportionnée.
Une suspension pour trois mois et des garanties pour éviter la répétition des nuisances, voilà ce que réclame le gouvernement, qui reproche à la plateforme la vente de produits illégaux comme des poupées sexuelles d'apparence enfantine, des armes de catégorie A ou encore certains médicaments.
L'audience au civil, initialement prévue le 26 novembre mais renvoyée au 5 décembre après demande de l'avocat de l'Etat, doit s'ouvrir à 13h30. La décision devrait être rendue dans les prochains jours.
Le gouvernement base sa demande sur l'article 6-3 de la loi sur la confiance dans l'économie numérique, selon lequel le tribunal judiciaire peut prescrire toutes les mesures propres à prévenir ou faire cesser un dommage occasionné par un contenu en ligne.
Le géant asiatique du commerce en ligne estime que la demande de suspension est disproportionnée et se base sur des informations "obsolètes" et "inexactes". Après la découverte des produits concernés, l'entreprise fondée en Chine en 2012 et basée désormais à Singapour les a retirés et a suspendu toutes les ventes réalisées sur son site français par des vendeurs tiers (sa place de marché, ou "marketplace"), ainsi que celles des produits hors habillement.
- Lutte à l'échelle européenne -
Avec ces mesures, Shein avait échappé à une suspension administrative via une procédure pilotée par la Répression des fraudes (DGCCRF), service du ministère de l'Economie.
Représenté en Europe par la société irlandaise ISSL (Infinite styles services co. Limited), la marque de mode ultra-éphémère assure renforcer ses contrôles en continu.
Le parquet de Paris a déjà indiqué qu'il ne s'associerait pas à la demande de blocage du site Shein. La semaine dernière, avant le renvoi de l'audience, sa représentante avait indiqué qu'un blocage pour trois mois était "disproportionné au regard de la jurisprudence de la CEDH (Cour européenne des droits de l'homme, NDLR), sous réserve de la justification à l'audience (de vendredi) de la cessation effective de toute vente illicite".
La position du parquet ne préfigure en rien la décision du tribunal.
S'il n'y a pas de blocage total du site, une suspension de la "marketplace" (déjà décidée temporairement par Shein) pourrait-elle être décidée ? Un contrôle par l'Arcom, le régulateur du numérique, pourrait-il être mis en place, comme le demande par ailleurs l'Etat ?
Ce dernier a également assigné devant le tribunal les fournisseurs d'accès à internet (Bouygues, Free, Orange, SFR) afin de garantir le blocage de Shein si la justice en décide ainsi.
Depuis le tollé suscité par la vente des poupées "à caractère pédopornographique" par Shein, l'exécutif a décidé de sévir contre les plateformes AliExpress ou Joom pour la vente de ces mêmes poupées.
Le gouvernement a porté son combat au niveau européen. La Commission européenne a adressé une demande d'informations formelle à la plateforme, une procédure pouvant aboutir à l'ouverture d'une enquête.
Les pratiques de sécurité des principales entreprises d'intelligence artificielle, telles qu'Anthropic, OpenAI, xAI et Meta, sont "loin des normes mondiales émergentes", selon une nouvelle édition de l'indice de sécurité de l'IA du Future of Life Institute, publiée mercredi.
L'institut a déclaré que l'évaluation de la sécurité, menée par un groupe d'experts indépendants, a révélé que si les entreprises étaient occupées à développer une superintelligence, aucune ne disposait d'une stratégie solide pour contrôler des systèmes aussi avancés.
L'étude intervient dans un contexte d'inquiétude publique accrue quant à l'impact sociétal de systèmes plus intelligents que l'homme, capables de raisonner et de faire preuve de logique, après que plusieurs cas de suicide et d'automutilation ont été liés à des chatbots d'IA (link).
"Malgré le récent tollé suscité par le piratage informatique et les cas de psychose et d'automutilation provoqués par l'IA, les entreprises américaines spécialisées dans l'IA restent moins réglementées que les restaurants et continuent de faire pression contre l'adoption de normes de sécurité contraignantes", a déclaré Max Tegmark, professeur au MIT et président de l'organisation Future of Life.
La course à l'IA ne montre aucun signe de ralentissement, les grandes entreprises technologiques consacrant des centaines de milliards de dollars à l'amélioration et à l'expansion de leurs efforts en matière d'apprentissage automatique.
Le Future of Life Institute est une organisation à but non lucratif qui s'inquiète des risques que les machines intelligentes font peser sur l'humanité. Fondé en 2014, il a été soutenu très tôt par le directeur général de Tesla , Elon Musk.
En octobre, un groupe comprenant les scientifiques Geoffrey Hinton et Yoshua Bengio a appelé à une interdiction du développement de l'intelligence artificielle superintelligente jusqu'à ce que le public l'exige et que la science ouvre une voie sûre.
XAI a déclaré que les médias traditionnels mentaient, dans ce qui semblait être une réponse automatisée, tandis qu'Anthropic, OpenAI, Google DeepMind, Meta, Z.ai, DeepSeek et Alibaba Cloud n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires sur l'étude.
En Chine, les utilisateurs de lunettes connectées peuvent payer leurs achats d'un simple regard à un QR code assorti d'une commande vocale, au moment où un nombre croissant d'entreprises cherche à conquérir ce secteur, dans le pays comme à l'étranger.
Après de nombreuses déceptions, les lunettes connectées connaissent un essor mondial, soutenu par les progrès de l'intelligence artificielle (IA).
Le géant américain Meta domine le marché, mais une multitude d'entreprises chinoises, des géants comme Alibaba et Xiaomi aux start-ups comme Rokid et XREAL, cherchent à rattraper leur retard.
"Les avantages de la Chine sont évidents", a déclaré à l'AFP Misa Zhu, à la tête de Rokid. "L'écosystème et sa chaîne d'approvisionnement se trouvent tous en Chine, et la Chine produit beaucoup", explique-t-il.
Sur le marché intérieur, les entreprises chinoises ont un avantage indéniable: les services de Meta y sont inaccessibles sans VPN.
Le pays représente un énorme marché potentiel: les ventes de lunettes connectées devraient y augmenter de 116% en 2025 par rapport à l'année précédente, selon le cabinet IDC
La vie quotidienne est déjà imprégnée de technologies en Chine, où même les personnes âgées utilisent leurs smartphones partout, pour payer un repas comme un trajet de transport.
- Entreprises en développement -
Plusieurs entreprises chinoises comme Xiaomi, RayNeo, Thunderobot et Kopin se positionnent sur le secteur, écrit Flora Tang, analyste pour le cabinet Counterpoint.
Xiaomi, en particulier, fait figure d'"outsider", selon elle. Ses premières lunettes intégrant une IA ont pris la troisième place des meilleures ventes pour ce type d'objet au premier semestre 2025, alors qu'elles n'étaient en vente que depuis une semaine environ.
De plus petites entreprises suscitent également l'intérêt, comme Rokid qui a récemment levé plus de 4 millions de dollars sur le site de financement participatif Kickstarter.
Rokid "observe et apprend (...) des grandes entreprises mondiales", a expliqué son fondateur, M. Zhu.
Pour couvrir tous les marchés, Rokid permet à ses clients d'utiliser à la fois des applications chinoises en Chine et des logiciels étrangers ailleurs. Au contraire, des concurrents comme Meta limitent les applications disponibles.
Autre fonctionnalité présentée par Rokid: la traduction simultanée, avec des sous-titres en anglais défilant sur la face intérieure des verres pendant qu'un interlocuteur parle.
Mais il sera difficile de briser la domination de Meta à l'étranger.
- Priorité à l'apparence -
Au premier semestre 2025, Meta détenait 73% des parts du marché mondial des lunettes connectées, selon Counterpoint.
Son succès est attribué aux lunettes Ray-Ban Meta. Presque impossibles à distinguer des modèles classiques, elles arborent surtout un design tendance.
Le poids est également un facteur crucial, mais "l'apparence reste la priorité: elles doivent donner aux gens envie de les porter", estime Wu Tianhao, un client de 25 ans, à l'AFP.
Les entreprises chinoises présentent "de nombreuses marques et modèles, une itération rapide et une capacité à s'adapter rapidement aux changements du marché", égrène Zhu Dianrong, expert du secteur.
Mais "les marques étrangères gardent l'avantage dans les technologies de pointe", estime-t-il.
Gary Cai, vice-président de Rokid, reconnaît un "écart évident" entre les puces disponibles en Chine et à l'étranger, mais souligne que les différences entre les modèles d'IA "ont considérablement diminué".
- Vie privée -
Mais ces lunettes ont toujours du mal à s'imposer à grande échelle, quel que soit leur fabricant.
Dans l'ensemble, l'expérience utilisateur doit être améliorée et plus accessible, analyse Will Greenwald, rédacteur pour le magazine spécialisé PCMag.
"Je ne pense pas que quiconque ait réussi à rendre l'expérience vraiment fluide à ce stade", a-t-il déclaré à l'AFP.
Les lunettes posent aussi des questions de respect de la vie privée, car elles sont discrètes et enregistrent presque en permanence. Ce dernier point risque aussi de soulever des problèmes réglementaires.
Mais les fabricants comme M. Zhu restent confiants. "Aujourd'hui, nos lunettes IA sont des périphériques pour téléphones", explique-t-il. "Mais dans un futur proche (...) les téléphones deviendront des accessoires pour les lunettes".
par Hyunjoo Jin, Fanny Potkin, Wen-Yee Lee, Anton Bridge et Max A. Cherney
Une pénurie mondiale aiguë de puces mémoire oblige les entreprises d'intelligence artificielle et d'électronique grand public à se battre pour des stocks de plus en plus réduits, alors que les prix montent en flèche pour ces composants peu élégants mais essentiels qui permettent aux appareils de stocker des données.
Les magasins d'électronique japonais ont commencé à limiter le nombre de disques durs que les clients peuvent acheter. Les fabricants chinois de smartphones mettent en garde contre les hausses de prix. Les géants de la technologie, dont Microsoft , Google et ByteDance, s'efforcent de s'approvisionner auprès de fabricants de puces mémoire tels que Micron , Samsung Electronics et SK Hynix , d'après trois personnes au fait des discussions.
La pression s'exerce sur presque tous les types de mémoire, des puces flash utilisées dans les clés USB et les smartphones aux mémoires avancées à grande largeur de bande (HBM) qui alimentent les puces d'intelligence artificielle dans les centres de données. Les prix de certains segments ont plus que doublé depuis février, selon la société d'études de marché TrendForce, attirant les traders qui parient que la hausse n'est pas terminée.
Les retombées pourraient aller au-delà de la technologie. De nombreux économistes et cadres avertissent que la pénurie prolongée risque de ralentir les gains de productivité basés sur l'IA et de retarder des centaines de milliards de dollars dans l'infrastructure numérique. Elle pourrait également accroître la pression inflationniste au moment même où de nombreuses économies tentent de maîtriser les hausses de prix et de faire face aux droits de douane américains.
"La pénurie de mémoire est passée d'une préoccupation au niveau des composants à un risque macroéconomique", a déclaré Sanchit Vir Gogia, directeur général de Greyhound Research, une société de conseil en technologie. Le développement de l'IA "se heurte à une chaîne d'approvisionnement qui ne peut pas répondre à ses besoins physiques."
Cet examen par Reuters de la crise de l'approvisionnement en spirale est basé sur des entretiens avec près de 40 personnes, dont 17 dirigeants de fabricants de puces et de distributeurs. Il montre que les efforts de l'industrie pour répondre à l'appétit vorace pour les puces avancées - sous l'impulsion de Nvidia et des géants de la technologie comme Google, Microsoft et Alibaba - ont créé une double contrainte: les fabricants de puces ne peuvent toujours pas produire suffisamment de semi-conducteurs haut de gamme pour la course à l'IA, mais leur désintérêt pour les produits de mémoire traditionnels étouffe l'approvisionnement des smartphones, des PC et de l'électronique grand public. Certains s'empressent désormais de rectifier le tir.
Les détails de la ruée mondiale des entreprises technologiques et des augmentations de prix décrites par les détaillants en électronique et les fournisseurs de composants en Chine et au Japon sont rapportés ici pour la première fois.
Selon TrendForce, le niveau moyen des stocks chez les fournisseurs de mémoire vive dynamique (DRAM) - le principal type utilisé dans les ordinateurs et les téléphones - est tombé à deux ou quatre semaines en octobre, contre trois à huit semaines en juillet et 13 à 17 semaines à la fin de l'année 2024.
Les investisseurs se demandent si les milliards de dollars investis dans l'infrastructure de l'IA n'ont pas gonflé une bulle. Certains analystes prédisent des bouleversements, seules les entreprises les plus grandes et les plus solides financièrement étant en mesure de supporter les augmentations de prix.
Un cadre spécialisé dans les puces à mémoire a déclaré à Reuters que la pénurie retarderait les futurs projets de centres de données. Il faut au moins deux ans pour construire de nouvelles capacités, mais les fabricants de puces mémoire hésitent à construire trop de matériel de peur qu'il ne soit inutilisé si l'augmentation de la demande passe, a déclaré cette personne.
Samsung et SK Hynix ont annoncé des investissements dans de nouvelles capacités, mais n'ont pas précisé la répartition de la production entre la mémoire HBM et la mémoire conventionnelle.
SK Hynix a déclaré aux analystes que la pénurie de mémoire durerait jusqu'à la fin de 2027, a déclaré Citi en novembre.
"Ces jours-ci, nous recevons des demandes de fournitures de mémoire de la part de tant d'entreprises que nous nous inquiétons de savoir comment nous pourrons les traiter toutes. Si nous ne parvenons pas à les approvisionner, elles pourraient se retrouver dans une situation où elles ne pourraient plus faire d'affaires du tout", a déclaré Chey Tae-won, président de SK Group, la société mère de SK Hynix, lors d'un forum de l'industrie à Séoul le mois dernier.
En octobre, OpenAI a signé des accords initiaux avec Samsung et SK Hynix pour la fourniture de puces pour son projet Stargate , qui nécessiterait jusqu'à 900 000 plaquettes par mois d'ici à 2029. Cela représente environ le double de la production mensuelle mondiale actuelle de HBM, a déclaré M. Chey.
Samsung a déclaré à Reuters qu'elle surveillait le marché, mais n'a pas voulu faire de commentaires sur les prix ou les relations avec les clients. SK Hynix a déclaré qu'il augmentait sa capacité de production pour répondre à la demande accrue de mémoire.
Microsoft s'est refusé à tout commentaire et ByteDance n'a pas répondu aux questions concernant la tension sur les puces. Micron et Google n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
UNE DEMANDE PRESSANTE
Après la sortie de ChatGPT en novembre 2022, qui a déclenché le boom de l'IA générative, la ruée mondiale vers la construction de centres de données d'IA a conduit les fabricants de mémoire à allouer davantage de production à la mémoire HBM, utilisée dans les puissants processeurs d'IA de Nvidia.
La concurrence de rivaux chinois fabriquant des DRAM bas de gamme, tels que ChangXin Memory Technologies, a également poussé Samsung et SK Hynix à accélérer leur transition vers des produits à plus forte marge. Les entreprises sud-coréennes représentent les deux tiers du marché des DRAM.
Samsung a annoncé à ses clients en mai 2024 qu'elle prévoyait d'arrêter la production d'un type de puces DDR4 - une ancienne variété utilisée dans les PC et les serveurs - cette année, selon une lettre vue par Reuters. (L'entreprise a depuis changé de cap et prolongera la production, ont déclaré deux sources.) En juin, Micron a déclaré qu'elle avait informé ses clients qu'elle cesserait d'expédier des puces DDR4 et leur équivalent LPDDR4 - un type de puce utilisé dans les smartphones - dans six à neuf mois.
ChangXin a fait de même en arrêtant la majeure partie de la production de DDR4, selon une source. L'entreprise s'est refusée à tout commentaire.
Ce changement a toutefois coïncidé avec un cycle de remplacement des centres de données et des PC traditionnels, ainsi qu'avec des ventes plus importantes que prévu de smartphones, qui reposent sur des puces conventionnelles.
Rétrospectivement, "on peut dire que l'industrie a été prise au dépourvu", a déclaré Dan Hutcheson, chercheur principal chez TechInsights.
Selon Reuters, Samsung a augmenté les prix des puces de mémoire pour serveurs jusqu'à 60 % le mois dernier. Le directeur général de Nvidia, Jensen Huang, qui a annoncé en octobre des accords et partagé du poulet frit avec le président de Samsung Electronics, Jay Y. Lee, lors d'un voyage en Corée du Sud, a reconnu que la hausse des prix était importante, mais a déclaré que Nvidia s'était assuré un approvisionnement substantiel.
En octobre, Google, Amazon, Microsoft et Meta ont demandé à Micron de leur passer des commandes illimitées, en lui disant qu'ils prendraient tout ce qu'elle pourrait livrer, quel que soit le prix, selon deux personnes informées des discussions.
Les sociétés chinoises Alibaba, ByteDance et Tencent font également pression sur les fournisseurs, envoyant des cadres visiter Samsung et SK Hynix en octobre et novembre pour faire pression sur eux afin d'obtenir une allocation, ont déclaré à Reuters ces deux personnes et une autre source.
"Tout le monde supplie pour obtenir des fournitures", a déclaré l'un d'entre eux.
Les entreprises chinoises n'ont pas répondu aux questions concernant la pénurie de puces. Nvidia, Meta , Amazon et OpenAI n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
En octobre, SK Hynix a déclaré que toutes ses puces étaient épuisées pour 2026, tandis que Samsung a déclaré qu'il avait obtenu des clients pour ses puces HBM qui seront produites l'année prochaine. Les deux entreprises augmentent leur capacité pour répondre à la demande en matière d'IA, mais les nouvelles usines de puces conventionnelles ne seront pas mises en service avant 2027 ou 2028.
Les actions de Micron, Samsung et SK Hynix ont progressé cette année en raison de la demande de puces. En septembre, Micron a prévu un chiffre d'affaires pour le premier trimestre supérieur aux estimations du marché, tandis que Samsung a annoncé son plus gros bénéfice trimestriel depuis plus de trois ans.
Le cabinet de conseil Counterpoint Research s'attend à ce que les prix des mémoires avancées et anciennes augmentent de 30 % au cours du quatrième trimestre et peut-être encore de 20 % au début de 2026.
CHOC DES PRIX DES SMARTPHONES
Les fabricants chinois de smartphones Xiaomi et Realme ont prévenu qu'ils pourraient devoir augmenter leurs prix.
Francis Wong, directeur marketing de Realme India, a déclaré à Reuters que les fortes augmentations des coûts de mémoire étaient "sans précédent depuis l'avènement des smartphones" et pourraient obliger l'entreprise à augmenter les prix des téléphones de 20 à 30 % d'ici juin.
"Certains fabricants peuvent réaliser des économies sur les caméras, d'autres sur les processeurs et d'autres encore sur les batteries", a-t-il déclaré. "Mais le coût du stockage est quelque chose que tous les fabricants doivent complètement absorber; il n'y a aucun moyen de le transférer."
Xiaomi a déclaré à Reuters qu'il compenserait la hausse des coûts de mémoire en augmentant les prix et en vendant des téléphones plus haut de gamme, ajoutant que ses autres activités contribueraient à amortir l'impact.
En novembre, le fabricant taïwanais d'ordinateurs portables ASUS a déclaré qu'il avait environ quatre mois de stocks, y compris des composants de mémoire, et qu'il ajusterait ses prix si nécessaire.
Winbond , un fabricant de puces taïwanais qui détient environ 1 % du marché des DRAM, a été l'un des premiers à annoncer une augmentation de sa capacité pour répondre à la demande. Son conseil d'administration a approuvé en octobre un plan visant à augmenter fortement les dépenses d'investissement pour les porter à 1,1 milliard de dollars.
"De nombreux clients sont venus nous voir en nous disant: "J'ai vraiment besoin de votre aide", et l'un d'entre eux a même demandé un accord à long terme de six ans", a déclaré Pei-Ming Chen, président de Winbond.
LES COMMERÇANTS SE PRÉCIPITENT
À Akihabara, le centre de l'électronique de Tokyo, les magasins limitent les achats de produits de mémoire afin de freiner la thésaurisation. Un panneau à l'extérieur du magasin de PC Ark indique que depuis le 1er novembre, les clients ne peuvent acheter qu'un total de huit produits parmi les disques durs, les disques durs à semi-conducteurs et les mémoires système. Ark n'a pas souhaité faire de commentaires.
Les vendeurs de cinq magasins ont déclaré que les pénuries avaient entraîné une forte hausse des prix au cours des dernières semaines. Dans certains magasins, un tiers des produits étaient épuisés.
Des produits tels que la mémoire DDR5 de 32 gigaoctets, très prisée des joueurs, coûtaient plus de 47 000 yens, contre environ 17 000 yens à la mi-octobre. Les kits haut de gamme de 128 gigaoctets ont plus que doublé pour atteindre environ 180 000 yens.
Ces hausses incitent les clients à se tourner vers le marché de l'occasion, ce qui profite à des personnes comme Roman Yamashita, propriétaire d'iCON à Akihabara, qui affirme que son activité de vente de pièces détachées de PC d'occasion est en plein essor.
Eva Wu, responsable des ventes chez Polaris Mobility à Shenzhen, explique que les prix changent si rapidement que les distributeurs émettent des devis de type courtier qui expirent tous les jours - et dans certains cas toutes les heures - alors qu'avant la crise, ils expiraient tous les mois.
À Pékin, une vendeuse de DDR4 a déclaré avoir stocké 20 000 unités en prévision de nouvelles augmentations.
À quelque 6 000 kilomètres de là, en Californie, Paul Coronado a déclaré que les ventes mensuelles de sa société, Caramon, qui vend des puces de mémoire recyclées de bas de gamme provenant de serveurs de centres de données mis hors service, ont fait un bond depuis septembre. Presque tous ses produits sont désormais achetés par des intermédiaires basés à Hong Kong qui les revendent à des clients chinois, a-t-il déclaré.
"Notre chiffre d'affaires était d'environ 500 000 dollars par mois", a-t-il déclaré. "Aujourd'hui, il s'agit de 800 000 à 900 000 dollars."
par Liam Mo et Brenda Goh
Le géant chinois de la technologie ByteDance a déclaré lundi qu'il lançait un outil de contrôle vocal par intelligence artificielle qui fera ses débuts sur un smartphone fabriqué par ZTE Corp , avant d'être disponible sur les téléphones d'autres fabricants en temps voulu.
L'assistant d'intelligence artificielle, alimenté par le modèle de langue large Doubao de ByteDance, permet aux utilisateurs d'activer vocalement des tâches telles que la recherche de contenu et la réservation de billets.
Cet outil sera en concurrence avec des fonctions d'IA similaires introduites par des fabricants de smartphones chinois tels que Huawei et Xiaomi . Apple n'a pas encore mis son Apple Intelligence à disposition en Chine, bien qu'Alibaba ait déclaré qu'il s'associerait à Apple pour développer des fonctions d'IA pour les iPhones dans le pays.
L'outil vocal d'IA de ByteDance apparaîtra d'abord sur le téléphone Nubia M153 de ZTE, actuellement un prototype vendu au prix de 3 499 yuans (495). L'appareil est disponible en pré-commande en quantités limitées.
Les actions de ZTE ont bondi de 10 % lundi, leur plus haut niveau depuis le 29 octobre, aidées par les rapports sur le téléphone ainsi que par la nouvelle qu'elle avait remporté une série de contrats pour fournir de l'équipement 5G au Viêt Nam.
ByteDance a déclaré dans un communiqué qu'elle n'avait pas l'intention de développer ses propres smartphones et qu'elle était en pourparlers avec plusieurs fabricants de téléphones pour déployer l'assistant vocal AI.
ByteDance, qui possède TikTok et la version chinoise de l'application de vidéos courtes Douyin, s'est imposée comme le principal acteur des applications d'IA grand public en Chine grâce à son chatbot Doubao.
Doubao comptait 159 millions d'utilisateurs actifs mensuels en octobre, bien plus que Yuanbao de Tencent (73 millions) et DeepSeek (72 millions), selon la plateforme de suivi des produits d'IA Aicpb.com.
(1 $ = 7,0735 yuans)
par Philip Blenkinsop et Helen Reid
Les ministres européens des finances ont décidé d'avancer à l'année prochaine les droits de douane sur les colis de faible valeur afin de lutter contre les importations chinoises de produits électroniques bon marché provenant de plateformes en ligne telles que Shein et Temu.
Voici les détails des préoccupations de l'Europe concernant les importations de produits électroniques bon marché et les mesures prises par l'Union européenne.
QUEL EST LE PROBLÈME?
L'UE dispose d'une exemption de droits de douane "de minimis" pour les colis de commerce électronique arrivant dans l'Union et dont la valeur est inférieure à 150 euros (174 $).
Des plateformes en ligne comme Shein, Temu , AliExpress et Amazon Haul envoient des vêtements, des accessoires et des gadgets provenant d'usines chinoises directement aux acheteurs à des prix défiant toute concurrence grâce à l'exemption douanière.
Le nombre de colis du commerce électronique de faible valeur arrivant dans l'Union européenne a doublé l'année dernière pour atteindre 4,6 milliards. Plus de 90 % d'entre eux proviennent de Chine, selon la Commission.
L'exécutif européen estime qu'environ 65 % des petits colis entrant dans l'UE sont sous-évalués afin d'éviter les droits de douane.
Il estime également que les consommateurs risquent d'être lésés par des produits non conformes, que l'expédition de produits à courte durée de vie risque de nuire à l'environnement et que la hausse des importations risque de porter préjudice à l'industrie de l'UE, notamment aux détaillants.
Les États-Unis ont supprimé leur propre politique "de minimis", qui permettait aux colis d'une valeur inférieure à 800 dollars d'entrer en franchise de droits, ce qui a fait craindre que les importations chinoises bon marché ne détournent davantage de marchandises vers l'Europe .
QUE PRÉVOIT L'UE?
L'UE prévoit une refonte de son système douanier avec la création d'une autorité douanière de l'UE et d'un centre de données douanières de l'UE pour remplacer l'infrastructure informatique des membres de l'UE, ce qui leur permettrait d'économiser jusqu'à 2 milliards d'euros par an, selon la Commission, et d'assurer une meilleure coordination.
L'Union européenne est une union douanière, ce qui signifie qu'il existe un tarif douanier commun pour les importations en provenance des pays tiers et aucun tarif douanier pour les échanges entre les pays de l'UE. Cependant, chaque pays possède sa propre agence douanière et l'Union compte 189 systèmes informatiques douaniers différents. C'est pourquoi la plate-forme de données est nécessaire, a déclaré Dirk Gotink, législateur néerlandais qui supervise les réformes pour le Parlement européen.
Le centre de données devra travailler avec des entreprises technologiques européennes, compte tenu de la sensibilité des informations.
"Les données sont en fait une IRM de l'économie européenne et des flux commerciaux; elles sont extrêmement sensibles et leur accès doit être très strictement réglementé", a déclaré Dirk Gotink lors d'une interview accordée à Reuters.
L'accès des entreprises de commerce électronique au centre de données n'est prévu que pour 2028, date à laquelle l'actuelle exemption de minimis de 150 euros devrait être supprimée. Pour beaucoup, c'est trop lent.
DES SOLUTIONS À COURT TERME
L'Union européenne souhaite introduire une "taxe douanière temporaire simplifiée" sur les colis du commerce électronique de faible valeur, éventuellement en novembre 2026. Ce droit de douane unique basé sur un pourcentage pour tous les colis devrait être décidé par les ministres des finances lors d'une réunion le 12 décembre.
La Commission a également proposé une taxe de manutention de 2 euros pour les colis de faible valeur du commerce électronique livrés directement aux consommateurs ou de 50 centimes pour les colis traités par les entrepôts. Les détaillants en ligne ou les importateurs seraient responsables de ces frais, qui s'ajouteraient aux frais de douane temporaires.
La taxe de traitement devrait être introduite en novembre 2026, ou plus tôt si une solution informatique appropriée peut être trouvée.
LES PAYS SE BOUSCULENT POUR OBTENIR UNE AGENCE DOUANIÈRE
Neuf pays, dont la Belgique, la France et les Pays-Bas, sont candidats à l'accueil de la nouvelle autorité douanière de l'UE.
La France a proposé la ville de Lille, dans le nord de l'Europe, comme ville d'accueil, la Belgique a proposé Liège, plaque tournante du fret aérien, et les Pays-Bas misent sur La Haye. La Pologne plaide pour Varsovie, où se trouve déjà le siège de l'agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes Frontex.
La Commission européenne envisagera également Rome, Porto, Malaga, Bucarest et Zagreb.
(1 dollar = 0,8632 euro)
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