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Le gouverneur Macklem COB parle.

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Le producteur de pétrole et de gaz naturel Ovintiv Inc a annoncé lundi un accord avec la filiale de Pembina Pipeline pour la capacité de liquéfaction de la future installation Cedar LNG.
L'accord confère à Ovintiv une capacité de liquéfaction et de transport de 0,5 mtpa à Cedar LNG pendant 12 ans.
Le secteur américain du GNL connaît un regain d'activité commerciale, stimulé par les attentes d'une augmentation des exportations à mesure que de nouveaux terminaux sont mis en service à la suite de la décision prise en janvier par le président Donald Trump de lever la pause sur les nouveaux permis.
Déjà premier exportateur mondial de GNL, les États-Unis devraient porter leur capacité nominale à 115 millions de tonnes par an (MTPA) cette année, selon les données de l'EIA.
La société prévoit que Cedar LNG commencera ses activités commerciales à la fin de 2028.
Les cours du pétrole continuent de s'enfoncer lundi, la référence américaine atteignant même en clôture un plus bas plus depuis près de cinq ans, minés par les pourparlers sur l'Ukraine et les perspectives de trop-plein.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a perdu 0,92% à 60,56 dollars, au plus bas depuis mai.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en janvier, a lui reculé de 1,08% à 56,82 dollars, atteignant un niveau plus vu depuis février 2021.
"La poursuite des négociations de paix entre la Russie et l'Ukraine a contribué à maintenir une tendance baissière sur le marché", relève Bjarne Schieldrop, de Seb.
Volodymyr Zelensky s'est félicité lundi de "progrès" dans les négociations avec les Etats-Unis pour mettre fin à la guerre avec la Russie, les Européens avançant de leur côté la proposition d'une force multinationale pour garantir la paix en Ukraine.
"Un tel accord serait sans doute fragile, mais pour le marché, il représenterait un pas supplémentaire vers la levée par les États-Unis d'un certain nombre de sanctions contre la Russie", précise Lohmann Rasmussen, analyste chez Global Risk Management.
Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les exportations de Moscou ont chuté de 420.000 barils par jour en novembre, alors que le secteur pétrolier russe est sous la pression des sanctions américaines et des frappes de drones ukrainiens.
Un accord pourrait donc faciliter le retour de nombreux barils russes sur le marché de l'or noir, ce qui serait un facteur baissier pour les prix du brut.
En parallèle, "les craintes d'une offre excédentaire continuent de dominer les perspectives à long terme", souligne David Morrison, de Trade Nation.
Ces derniers mois, les cours de l'or noir ont suivi une lente érosion, principalement due aux multiples hausses des quotas de production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+), jugées bien plus forte que la progression de la demande.
"Les stocks mondiaux observés ont atteint leur plus haut niveau en quatre ans en octobre", a prévenu la semaine dernière l'AIE.
"Un pétrole bon marché (a) bien sûr un incroyable effet positif sur l'économie mondiale", assure Bjarne Schieldrop, parlant de "stimulant" qui pourrait à terme faire progresser la demande en or noir.
Les cours du pétrole continuent de s'enfoncer lundi, la référence américaine atteignant même en clôture un plus bas plus depuis plus de quatre ans, minés par les pourparlers sur l'Ukraine et les perspectives de trop-plein.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a perdu 0,92% à 60,56 dollars, au plus bas depuis mai.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en janvier, a lui reculé de 1,08%, atteignant un niveau plus vu depuis février 2021.
"La poursuite des négociations de paix entre la Russie et l'Ukraine a contribué à maintenir une tendance baissière sur le marché", relève Bjarne Schieldrop, de Seb.
Volodymyr Zelensky s'est félicité lundi de "progrès" dans les négociations avec les Etats-Unis pour mettre fin à la guerre avec la Russie, les Européens avançant de leur côté la proposition d'une force multinationale pour garantir la paix en Ukraine.
"Un tel accord serait sans doute fragile, mais pour le marché, il représenterait un pas supplémentaire vers la levée par les États-Unis d'un certain nombre de sanctions contre la Russie", précise Lohmann Rasmussen, analyste chez Global Risk Management.
Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les exportations de Moscou ont chuté de 420.000 barils par jour en novembre, alors que le secteur pétrolier russe est sous la pression des sanctions américaines et des frappes de drones ukrainiens.
Un accord pourrait donc faciliter le retour de nombreux barils russes sur le marché de l'or noir, ce qui serait un facteur baissier pour les prix du brut.
En parallèle, "les craintes d'une offre excédentaire continuent de dominer les perspectives à long terme", souligne David Morrison, de Trade Nation.
Ces derniers mois, les cours de l'or noir ont suivi une lente érosion, principalement due aux multiples hausses des quotas de production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+), jugées bien plus forte que la progression de la demande.
"Les stocks mondiaux observés ont atteint leur plus haut niveau en quatre ans en octobre", a prévenu la semaine dernière l'AIE.
"Un pétrole bon marché (a) bien sûr un incroyable effet positif sur l'économie mondiale", assure Bjarne Schieldrop, parlant de "stimulant" qui pourrait à terme faire progresser la demande en or noir.
Le groupe pétrolier et géant public Petroleos de Venezuela (PDVSA) a dénoncé lundi une "cyberattaque" orchestrée par des "intérêts étrangers" en pleine crise entre Caracas et Washington et une semaine après la saisie d'un pétrolier par les forces armées américaines.
Le président américain Donald Trump souffle le chaud et le froid sur la possibilité de frapper le territoire vénézuélien après avoir déployé depuis août un important dispositif militaire dans les Caraïbes, puis lancé depuis septembre des frappes meurtrières sur des bateaux présentés comme participant au narcotrafic et saisi un pétrolier.
"L'entreprise a été la cible d'une cyberattaque visant à interrompre son fonctionnement. Grâce à l'expertise des talents humains de PDVSA, les zones opérationnelles n'ont subi aucune affectation, l'attaque ayant été réduite à son système administratif", a annoncé PDVSA dans un communiqué.
"La continuité opérationnelle de l'industrie est maintenue grâce à la mise en place de protocoles sûrs", tant pour répondre à la demande de son "marché intérieur" que pour honorer "ses engagements d'exportation", précise le texte.
PDVSA a rejeté "cette action ignoble, orchestrée par des intérêts étrangers".
La vice-présidente et ministre des Hydrocarbures vénézuélienne, Delcy Rodriguez, avait demandé samedi aux travailleurs du secteur pétrolier "d'être vigilants face à toute tentative de sabotage ou de guerre numérique contre l'industrie", selon un message de PDVSA diffusé sur Telegram samedi.
Elle avait également appelé à "redoubler de vigilance" quant à "la sécurité physique des installations et la protection cybernétique des opérations", selon le message qui a ensuite été supprimé de la plateforme de messagerie.
Washington a déployé en août une flottille de navires de guerre et des avions de combat dans le cadre d'une opération antidrogue.
Caracas estime que le véritable but de l'opération est de renverser le président Nicolas Maduro et de s'emparer des réserves du pays. La saisie du pétrolier en est une "preuve", selon Caracas.
Selon Washington, le navire transportait du pétrole vénézuélien et avait été sanctionné par le Trésor des Etats-Unis en 2022 pour des liens présumés avec le Corps des Gardiens de la Révolution islamique iranienne et le Hezbollah.
La principale ressource du Venezuela est le pétrole, soumis à un embargo depuis 2019 et durci en 2025.
Cela oblige le pays à écouler sa production sur le marché noir à des prix sensiblement plus bas, destinée en particulier à des pays asiatiques.
L'Intercontinental Exchange a déclaré lundi que ses volumes d'échanges pour les contrats de référence sur le gaz européen ont atteint un nouveau record en 2025 et qu'il prévoyait d'étendre les heures d'échanges.
ICE a négocié un volume record de 103 millions de contrats à terme et d'options pour le Dutch Title Transfer Facility (TTF) en 2025, franchissant pour la première fois la barre des 100 millions de contrats, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Elle a également enregistré un nouveau record pour ses contrats à terme financiers TTF 1st line et ses contrats à terme JKM LNG (Platts), qui ont tous deux dépassé le million de contrats négociés.
Les premiers sont des contrats réglés en espèces dont le prix est fixé en dollars américains par million d'unités thermiques britanniques (MMBtu), complétant les échanges et la couverture des contrats de référence TTF livrés physiquement et négociés en euros par mégawattheure.
Ils permettent aux acteurs du marché de négocier le TTF dans la même devise que les contrats à terme Henry Hub et JKM LNG de référence aux États-Unis, offrant des options de couverture et de tarification à travers les zones géographiques, à l'instar du marché du pétrole Brent, a déclaré ICE.
L'ICE a également lancé des options quotidiennes sur le TTF le 8 décembre pour aider à gérer les mouvements à court terme du marché du gaz naturel.
La bourse a déclaré qu'elle se préparait à étendre les heures de transactions pour ses contrats à terme et ses options sur le gaz et l'électricité en Europe afin de mieux correspondre au cycle de transactions de 22 heures des marchés Henry Hub et JKM.
Les heures de transactions actuelles pour les contrats TTF, British National Balancing Point (NBP) et German Power sont de dix heures, de 0700 à 1700 GMT.
La bourse a déclaré qu'elle travaillait en étroite collaboration avec ses clients sur la transition prévue et qu'elle fournirait d'autres mises à jour en temps voulu.
L'Europe dépend de plus en plus du gaz naturel liquéfié commercialisé à l'échelle mondiale pour répondre à la demande, les États-Unis devenant son principal fournisseur.
Les cours du pétrole sont stables lundi, dans l'attente des nouvelles négociations sur l'Ukraine, mais sont soutenus à la marge par une demande plus forte que prévue de la part des raffineries chinoises.
Vers 09H55 GMT (10H55 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, prenait 0,16% à 61,22 dollars.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en janvier, grappillait 0,16% à 57,53 dollars.
La demande "de pétrole en Chine a augmenté de 4,5% en glissement annuel en novembre" soulignent les analystes de DNB Carnegie, citant des données de Bloomberg basées sur les activités des raffineries et les importations nettes de produits pétroliers raffinés.
Cette estimation dépasse largement celle de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et est de nature à rassurer les investisseurs sur la demande chinoise de brut.
Toutefois, le marché reste très attentif aux négociations sur l'Ukraine, avec une deuxième journée de discussions prévue à Berlin entre le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et les négociateurs américains.
"Le marché s'accorde de plus en plus à penser qu'un accord de paix en Ukraine est réalisable", affirme Arne Lohmann Rasmussen, analyste chez Global Risk Management.
"Beaucoup de progrès ont été faits", a salué dimanche l'émissaire américain Steve Witkoff à l'issue d'une journée de discussions dans la capitale allemande.
"Un tel accord serait sans doute fragile, mais pour le marché, il représenterait un pas supplémentaire vers la levée par les États-Unis d'un certain nombre de sanctions contre la Russie", précise Lohmann Rasmussen.
Selon l'AIE, les exportations de Moscou ont chuté de 420.000 barils par jour en novembre, alors que le secteur pétrolier russe est sous la pression des sanctions américaines et des frappes de drones ukrainiens.
Un accord pourrait donc faciliter le retour de nombreux barils russes sur le marché de l'or noir, ce qui serait un facteur baissier pour les prix du brut.
Le français GTT, qui fabrique des systèmes de cuves pour le transport et le stockage du gaz liquéfié (GNL), a annoncé lundi la nomination de François Michel comme directeur général.
Avec sa nomination, GTT "retrouve ainsi une gouvernance dissociée", indique l'entreprise dans un communiqué alors que jusqu'à présent, Philippe Berterottière assurait aussi bien les fonctions de président que celles de directeur général.
Le nouveau dirigeant aura "pour mission de poursuivre la mise en oeuvre de la stratégie de GTT, en renforçant l'innovation technologique et l'excellence opérationnelle, tout en soutenant l'effort de diversification et le développement du groupe", a détaillé GTT.
En 2024, l'entreprise a réalisé un un chiffre d'affaires de 641 millions d'euros, 50% de plus qu'en 2023, bien au dessus des prévisions des analystes, signant sa "deuxième meilleure année en termes de performance commerciale".
De quoi permettre au groupe de dégager 347,8 millions d'euros de bénéfice net, en hausse de 73%.
François Michel, âgé de 46 ans, diplômé de Polytechnique et ingénieur du corps des Mines, prendra son poste le 5 janvier.
Il a débuté sa carrière chez Alstom puis a rejoint la sphère publique en passant par le ministère de l'Economie. En 2009, il a intégré le cabinet du président Nicolas Sarkozy comme conseiller technique en charge des finances publiques.
Il a ensuite rejoint le groupe Saint-Gobain en 2012.
Depuis 2022, il était administrateur délégué de la société belge John Cockerill, spécialiste des électrolyseurs.
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