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Afrique du Sud Refinitiv IPSOS PCSI (Décembre)--
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Zurich (awp) - La Ville de San Francisco en Californie a engagé des poursuites contre une dizaines d'industriels alimentaires, au rang desquels figure Nestlé. La municipalité leur reproche d'être avec leurs produits hautement transformés à l'origine d'une nouvelle crise sanitaire.
Le procureur de la Ville accuse dans un communiqué ces entreprise d'avoir inondé le pays "d'aliments hautement transformés, addictifs et peu nutritifs, tout en sachant qu'ils allaient rendre les américains malades".
La liste des sociétés visées comprend, outre Nestlé USA, Kraft Heinz, Mondelez, Post Holdings, Coca-Cola, PepsiCo, General Mills, Kellogg, Mars et ConAgra Brands.
Contacté par AWP mercredi, Nestlé n'a pas souhaité commenté l'information.
tp/ls
Mars, Coca-Cola, Nestlé... San Francisco a lancé mardi une procédure judiciaire inédite contre une dizaine de géants des aliments ultratransformés, en les accusant d'avoir créé une "crise de santé publique" qui grève les finances de la ville américaine.
La métropole démocrate s'attaque ainsi aux fabricants de chips, sodas, plats préparés ou encore céréales pour enfants, qui fabriquent leurs aliments en laboratoire en y intégrant de nombreux additifs - colorants, émulsifiants, édulcorants, etc.
"Ces entreprises ont créé une crise de santé publique avec la conception et la commercialisation des aliments ultratransformés", a expliqué David Chiu, le procureur de la ville. "Elles en ont tiré d'énormes profits, et maintenant elles doivent assumer la responsabilité des dommages qu'elles ont causés."
Selon la plainte, les aliments ultratransformés "représentent plus de 70 % des produits des supermarchés" aux Etats-Unis, et "plus de la moitié" du régime alimentaire des Américains.
Leur omniprésence dans les rayons a provoqué une "augmentation dramatique de l'incidence de l'obésité, du diabète, des maladies cardiaques, des cancers et d'autres maladies chroniques", souligne la ville.
Environ 40% des Américains souffrent d'obésité, un des taux les plus élevés du monde, et près de 16% d'entre eux sont diabétiques, selon les statistiques officielles.
San Francisco réclame des dommages et intérêts, d'un montant non spécifié, pour les coûts de santé supportés par la collectivité.
Elle accuse notamment les fabricants d'avoir violé la législation californienne sur la concurrence, en adoptant un "marketing déloyal et trompeur", similaire aux techniques employées par l'industrie du tabac.
Les dix entreprises poursuivies "ont tout fait pour priver les consommateurs d'un choix éclairé", dénonce la plainte. Elles "savaient que les aliments addictifs qu'elles concevaient rendaient leurs clients malades, et elles ont caché la vérité au public."
Apparus vers la fin du XIXe siècle, les aliments ultratansformés ont commencé à être produit en masse pour nourrir les soldats américains pendant les deux guerres mondiales, avant d'inonder les supermarchés du monde entier dans la deuxième moitié du XXe siècle.
Mais leur nocivité est de plus en plus dénoncée et s'impose comme un rare sujet de consensus politique aux Etats-Unis.
Le ministre de la Santé de Donald Trump, Robert Kennedy Jr., contesté pour ses positions antivaccins, est un critique très actif de la malbouffe et a érigé en priorité la lutte contre l'obésité et le diabète.
Sous sa pression, les grands fabricants de glaces se sont engagés à se passer de colorants de synthèse à partir de 2028.
Dans le détail, la plainte de San Francisco vise Kraft Heinz Company, Mondelez International, Post Holdings, The Coca-Cola Company, PepsiCo, General Mills, Nestlé USA, Kellogg, Mars Incorporated, et ConAgra Brands.
La Consumer Brands Association, qui représente plusieurs de ces entreprises, a publié un communiqué affirmant que les géants de l'alimentaire travaillent actuellement pour concevoir des produits avec plus de protéines et de fibres, et avec moins de sucre et de colorants synthétiques.
"Il n'existe actuellement aucune définition scientifique consensuelle des aliments ultra-transformés, et tenter de classer les aliments comme malsains simplement parce qu'ils sont transformés, ou diaboliser les aliments en ignorant leur contenu nutritionnel complet, induit les consommateurs en erreur et exacerbe les disparités en matière de santé", a estimé Sarah Gallo, une responsable de cette organisation.
par Diana Novak Jones
La ville de San Francisco a intenté mardi un procès à Kraft , Mondelez , Coca-Cola et à d'autres fabricants d'aliments ultra-transformés, les accusant d'avoir sciemment rendu malades les habitants de la Californie en leur proposant des produits addictifs et nocifs.
Le procureur de la ville, David Chiu, a intenté une action en justice devant la Cour supérieure de San Francisco, alléguant que les entreprises ont utilisé des tactiques similaires à celles employées par l'industrie du tabac pour concevoir et commercialiser des produits destinés à rendre les consommateurs dépendants. L'action en justice accuse les entreprises de violer les lois californiennes sur la nuisance publique et le marketing trompeur.
"Ces entreprises ont provoqué une crise de santé publique, elles en ont profité grassement et elles doivent maintenant assumer la responsabilité des dommages qu'elles ont causés", a déclaré David Chiu dans un communiqué.
LES TAUX D'OBÉSITÉ ET DE CANCER AUGMENTENT: SELON LA PLAINTE
La prolifération des aliments ultra-transformés a entraîné une augmentation des taux d'obésité, de cancer et de diabète, selon l'action en justice. Selon le bureau de David Chiu, les maladies cardiaques et le diabète - tous deux liés aux aliments ultra-transformés - figurent parmi les principales causes de décès à San Francisco, avec des taux de diagnostic plus élevés parmi les minorités et les communautés à faibles revenus.
Les représentants de Mondelez, Coca-Cola et Kraft Heinz n'ont pas répondu immédiatement aux demandes de commentaires.
Sarah Gallo, première vice-présidente chargée de la politique des produits à la Consumer Brands Association, un groupe commercial représentant un grand nombre de ces entreprises, a déclaré dans un communiqué qu'"il n'existe actuellement aucune définition scientifique reconnue des aliments ultra-transformés et le fait de tenter de classer des aliments comme mauvais pour la santé simplement parce qu'ils sont transformés, ou de diaboliser des aliments en ignorant leur teneur totale en nutriments, induit les consommateurs en erreur et exacerbe les disparités en matière de santé."
La ville demande un dédommagement et des sanctions civiles pour compenser ses coûts de santé, ainsi qu'une décision de justice interdisant aux entreprises de se livrer à un marketing trompeur et les obligeant à modifier leurs pratiques.
Bien que la définition des aliments ultra-transformés fasse encore l'objet de débats, les chercheurs l'appliquent généralement à de nombreux snacks, sucreries et boissons gazeuses emballés, fabriqués à l'aide de techniques de transformation, d'additifs et d'ingrédients industriels, et contenant la plupart du temps peu d'aliments entiers.
Dans un rapport publié en mai par le secrétaire américain à la santé, Robert F. Kennedy Jr., l'administration Trump a désigné les aliments ultra-transformés (link) comme l'une des causes d'une épidémie de maladies chroniques chez les enfants du pays.
C'est la première fois qu'une municipalité intente une action en justice sur la base d'allégations selon lesquelles des entreprises alimentaires auraient sciemment commercialisé des aliments ultra-transformés addictifs et nocifs.
San Francisco est représentée par des avocats du cabinet Morgan & Morgan, qui était à l'origine d'une action en justice antérieure portant sur des allégations similaires formulées par un habitant de Philadelphie, qui affirmait qu'on lui avait diagnostiqué un diabète de type 2 et une stéatose hépatique non alcoolique à l'âge de 16 ans, en raison de sa consommation d'aliments ultra-transformés.
Cette action a été rejetée en août après qu'un juge fédéral de Pennsylvanie a déclaré que le plaignant n'avait pas réussi à établir un lien entre les produits spécifiques et ses problèmes de santé, un problème qui pourrait nuire à de nombreuses actions similaires. Les avocats du plaignant ont demandé au juge de reconsidérer sa décision et d'autoriser la poursuite du procès.
Jouant la carte de l'apaisement après des années de tensions et de guerre des prix, grande distribution et industrie agroalimentaire démarrent lundi leurs traditionnelles négociations commerciales, aidées par la signature d'une charte de bonne conduite et une "inflation modérée".
D'ici au 1er mars, trois mois de négociations fixeront les prix et les conditions (modalités de livraison, calendrier promotionnel...) auxquelles les grandes surfaces s'approvisionnent auprès des fabricants.
Alors que ces tractations annuelles "se passent mal depuis longtemps", les parties prenantes ont "là l'occasion unique (...) de faire différemment, en tout cas d'essayer", a résumé lundi sur RMC Nicolas Facon, patron de l'Ilec, qui représente les très grandes marques comme Coca-Cola, Ferrero ou Mars.
D'un côté, des distributeurs en quête de prix compétitifs pour attirer les clients, de l'autre, des industriels invoquant coûts de production et besoins d'investissements.
Ces négociations sont régulièrement accusées d'opacité, et de tirer vers le bas les revenus des agriculteurs malgré leur encadrement par la loi Egalim.
Elles déterminent in fine les tarifs en rayon des produits de grandes marques (Nutella de Ferrero, Actimel de Danone, bonbons Haribo...) - mais pas ceux des marques des supermarchés (Carrefour, Marque Repère, U...), qui pèsent plus du tiers des ventes.
Cette année, les discussions ont commencé avant l'heure, début novembre, pour élaborer une charte inédite engageant tous les acteurs, la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) et cinq organisations d'industriels (Ania, Ilec, Feef, Pact'Alim, et la Coopération agricole).
- "Mieux qu'au Parlement" -
Au terme d'un dialogue "constructif", aux dires de plusieurs participants, la fumée blanche est sortie dimanche, avec la signature d'un document construit autour de trois thèmes: le respect mutuel lors des échanges, une attention particulière portée aux PME et la valorisation des produits frais et de l'origine des produits.
"C'est vraiment un symbole et un changement d'état d'esprit", a commenté M. Facon, quand Thierry Cotillard, patron du Groupement Mousquetaires/Intermarché, y voit "un signal positif après des années d'hyperinflation".
"Ca va être mieux qu'au Parlement", a ironisé Michel-Edouard Leclerc, président du comité stratégique d'E.Leclerc.
Cette charte "constitue une avancée vers des négociations commerciales plus apaisées et de bonne foi", abonde Karima Kaci, directrice générale de Pact'Alim, qui représente 3.000 PME et entreprises de taille intermédiaire (ETI) de l'industrie alimentaire.
Le traitement différencié pour les PME, dont les négociations avec les distributeurs devront être bouclées avant le 15 janvier, a été particulièrement salué.
"Ça veut dire des négociations plus rapides" qui permettent "de se concentrer sur le développement de l'activité", résume Léonard Prunier, de la Feef, qui représente 22.000 PME et ETI.
Le ministre du Commerce, Serge Papin, qui a initié la charte avec son homologue de l'Agriculture, Annie Genevard, a rappelé lundi sur RTL qu'il était "très attaché à ce qu'il y ait un accord pour les PME".
- Inflation "contenue" -
Mais ce document, non contraignant, résistera-t-il à la guerre des prix?
Dominique Schelcher, le patron de Coopérative U, a dit redouter "des exigences très fortes des multinationales" face aux "postures beaucoup plus raisonnables des PME", comme ce fut le cas dernièrement, selon lui, pour la négociation sur les chocolats de Pâques 2026.
"L'enjeu principal pour les PME et ETI" sera de maintenir la hausse des tarifs au niveau de celle de la matière première agricole, prévient Karima Kaci.
S'il est "trop tôt" pour chiffrer les demandes des industriels, "on est revenu à une inflation qui est très, très modérée", d'"1,3% sur les produits de grande consommation" depuis le début de l'année, selon M. Facon. "Si inflation il y a", dans un an, "elle sera contenue", estime-t-il.
Le lancement prochain, par le Sénat, d'une commission d'enquête sur les marges de la grande distribution, à l'initiative des Ecologistes, pourrait aussi parasiter le processus.
En 2025, les industriels de l'agroalimentaire ont obtenu 1,5% de hausse moyenne des prix alors qu'ils demandaient une augmentation moyenne de 5,7%.
Concernant la charte, "on va se donner des clauses de revoyure tout au long de ces trois mois à venir", a assuré Judith Jiguet, déléguée générale de la FCD.
Réconcilier la France avec ses banlieues par l'économie: tel est le credo d'Aziz Senni, figure médiatique de l'entrepreneur des cités parti de rien, qui organisait jeudi et vendredi à Paris la deuxième édition de son forum économique, surnommé le "Davos des banlieues".
Avec 18% de taux de chômage, soit près de 2,5 fois la moyenne nationale, et un taux de pauvreté supérieur à 40%, les 1.609 quartiers politique de la ville (QPV) et leurs six millions d'habitants sont trop souvent cantonnés à l'image de ghettos sociaux.
Mais si l'on chausse des lunettes économiques, ces quartiers représentent 75 milliards d'euros de chiffre d'affaires, un vivier de 250.000 TPE et PME, et 300 millions de m2 de réserve foncière, rappelle le Franco-Marocain, qui a grandi au Val-Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines).
Or les QPV attirent moins de 2% des investissements privés.
D'où l'idée d'un "Forum économique des banlieues" pour irriguer ces territoires en capitaux et rapprocher grandes entreprises, habitants et décideurs politiques.
"Nous devons ouvrir le robinet économique, là où il a été fermé depuis trop longtemps" et "faire du développement économique la matrice de la réconciliation nationale", martèle M. Senni, qui a annoncé la création d'un fonds d'investissement immobilier de 50 millions d'euros, uniquement issu de capitaux privés.
Pour Philippe Rio, maire PCF de Grigny (Essonne), où plusieurs centaines d'emplois ont été créés en trois ans grâce notamment à l'extension de l'usine Coca-Cola et à l'arrivée d'une blanchisserie industrielle, la ville a besoin du développement économique pour ne pas être qu'une "cité-dortoir".
"Dans une société qui associe beaucoup les territoires de banlieue aux questions de sécurité, de pauvreté et aux défis éducatifs, il manque un récit de développement économique", observe l'élu.
Lancées en 1996 pour inciter des entreprises à s'installer dans ces quartiers en échange d'allègements fiscaux, les zones franches urbaines (ZFU) n'ont pas permis de sortir les quartier du "surchômage". Même constat pour les "emplois francs", créés en 2018 et abandonnés fin 2024.
-"Economie réelle"-
"Il n'y a pas eu de portage politique fort", analyse Yannick L'Horty, professeur d'économie à l'université Gustave Eiffel, tout en reconnaissant que les politiques de développement économique des quartiers ont "accumulé les échecs".
"La principale solution proposée jusqu'ici a été la défiscalisation, comme si une exonération d'impôts allait réparer le manque de métros", a ironisé jeudi la patronne des Ecologistes Marine Tondelier.
Face à ces constats, le forum met en lumière des entrepreneurs "modèles" qui partagent leur expérience auprès de jeunes en quête de conseils ou d'un premier contrat.
Ahmed Soltani, jeune patron de Synergies Group, en banlieue lyonnaise, est le premier à avoir décroché le nouveau label "Made in Banlieue", conçu pour faciliter l'accès à la commande publique et privée.
"Je n'ai pas eu la chance de faire de grandes écoles et ce label nous ouvre les portes des directions d'achat des grands groupes", explique-t-il, visant les chaînes de restauration et l'hôtellerie.
A Nanterre, Loubna Ksibi a cofondé "Meet my mama" il y a huit ans pour aider les femmes éloignées de l'emploi à devenir cheffes cuisinières.
"Nous avons vraiment voulu être dans l'économie réelle et faire de ces femmes des chefs d'entreprise", souligne-t-elle, en revendiquant déjà plus de 2.000 entreprises partenaires, dont LVMH, Google ou Engie.
Autre illustration de cette dynamique: Nadir Tayach, cofondateur de Naali. Ses compléments alimentaires à base de safran sont présents dans 1.600 pharmacies. "L'innovation n'a pas de code postal", assure cet ingénieur, dénonçant un "plafond de verre" qui continue de freiner les entrepreneurs des cités, malgré les diplômes.
Entreprendre localement c'est aussi redynamiser des quartiers désertés par les commerces. A Mantes-la-Jolie, Walid Yousfi a créé une école de commerce de proximité, qui délivre diplômes d'Etat et certifications du ministère du Travail.
"Installer une école en centre-ville, c'est aussi faire vivre des commerces", insiste-t-il.
Même l'annonce du possible départ de BNP Paribas du quartier Rosa Parks, à la frontière de Paris et d'Aubervilliers, sur fond d'insécurité liée au trafic de crack, laisse Aziz Senni imperturbable.
"Si les investisseurs français ne veulent pas se saisir des 250 milliards d'euros de potentiel d'investissement dans nos banlieues, Chinois et Américains le feront", lance-t-il.
J.M. Smucker a prévu mardi un bénéfice annuel inférieur aux estimations des analystes, car une hausse des coûts du café devrait comprimer sa marge, ce qui a fait reculer de 3% les actions du fabricant de produits alimentaires.
La société mère du café Folgers, qui importe du café vert principalement du Brésil et du Vietnam, a été touchée par les droits de douane élevés imposés par le président américain Donald Trump sur les importations brésiliennes cette année .
Les consommateurs américains, pénalisés par une inflation toujours élevée, optent également pour des produits de marque privée moins chers, ce qui nuit aux entreprises de produits alimentaires emballés telles que J.M. Smucker, Kraft Heinz et Hormel Foods .
Par ailleurs, la fermeture record du gouvernement américain a retardé le versement des salaires fédéraux et des allocations alimentaires, ce qui a ébranlé les consommateurs à l'approche des fêtes de fin d'année.
Les prix globaux de la société ont augmenté de 11 points de pourcentage, tandis que les volumes ont diminué de 6 points de pourcentage pour le trimestre terminé le 31 octobre.
Les volumes dans le secteur du café aux États-Unis, l'un des principaux générateurs de revenus, ont fait baisser les ventes nettes de 6 points de pourcentage, tandis que dans le secteur des aliments pour animaux de compagnie, ils ont baissé de 8 points de pourcentage.
Les dirigeants, lors d'un appel après les résultats, ont déclaré que la société absorbait les tarifs douaniers sur le café et l'inflation sans augmenter les prix de son portefeuille de café au détail aux États-Unis cet hiver, ce qui entraînera des coûts supplémentaires d'environ 75 millions de dollars.
La semaine dernière, l'administration Trump a supprimé les droits de douane de 40 % sur les importations de produits agricoles en provenance du Brésil, y compris les grains de café vert, mais les analystes affirment que le bénéfice pourrait être obtenu au cours de l'année prochaine.
Les ventes nettes du fabricant de beurre de cacahuètes Jif ont augmenté de 2,6 % au deuxième trimestre pour atteindre 2,33 milliards de dollars par rapport à l'année précédente, dépassant légèrement l'estimation moyenne des analystes de 2,32 milliards de dollars, selon les données compilées par LSEG.
J.M. Smucker a réduit ses prévisions de croissance des ventes nettes annuelles à une fourchette de 3,5 % à 4,5 %, au lieu de 3 % à 5 %. Il a également resserré son objectif de bénéfice de 8,75 à 9,25 dollars, de 8,50 à 9,50 dollars, dont le point médian est inférieur à l'estimation des analystes de 9,08 dollars.
Sur une base ajustée, elle a gagné 2,10 dollars par action, ce qui est conforme aux estimations des analystes.
Les analystes financiers de Wall Street ont révisé mardi leurs notations et leurs objectifs de prix sur plusieurs sociétés cotées aux États-Unis, dont Air Products, Hanover Insurance et Kinsale Capital.
FAITS MARQUANTS
* Agilent Technologies Inc : JP Morgan relève l'objectif de cours à 180 dollars contre 165 dollars
* Air Products : Berenberg ramène l'objectif de cours de 320 à 275 dollars
* Hanover Insurance : RBC initie une couverture avec une note de performance du secteur; PT 200
* Keysight Technologies Inc : Susquehanna augmente le prix cible de 215 $ à 225 $
* Kinsale Capital : RBC reprend la couverture avec une note de performance sectorielle; PT 415
Ce qui suit est un résumé des actions de recherche sur les sociétés américaines rapportées par Reuters mardi. Les actions sont classées par ordre alphabétique.
* Agilent Technologies Inc : Barclays relève le cours cible de 145 à 165 dollars
* Agilent Technologies Inc : Citigroup relève le prix cible de 165 à 185 dollars
* Agilent Technologies Inc : Jefferies relève l'objectif de cours à 150 $ contre 130 $ auparavant
* Agilent Technologies Inc : JP Morgan relève l'objectif de cours à 180 $ contre 165 $ auparavant
* Agilent Technologies Inc : Leerink Partners relève l'objectif de cours à 180 dollars contre 165 dollars auparavant: Leerink Partners relève le cours cible de 140 à 165 dollars
* Agilent Technologies Inc : TD Cowen relève le prix cible à 170 $, contre 162 $ auparavant
* Agilent Technologies Inc : UBS relève le cours cible de 170 à 180 dollars
* Agilent Technologies Inc : Wells Fargo relève le cours cible de 150 à 175 dollars
* Agree Realty Corporation : Wells Fargo relève le cours cible de 81 $ à 83 $
* AIG : RBC reprend la couverture avec une note de performance sectorielle; objectif de cours de 85
* Air Products : Berenberg réduit l'objectif de cours à 275 $ contre 320 $
* American Homes 4 Rent : Barclays réduit l'objectif de cours à 34 $ contre 39 $
* Americold Realty Trust, Inc. : Wells Fargo réduit le prix cible à 11 $ de 15
* Ameris Bancorp : D.A. Davidson augmente le prix cible de 81 $ à 87 $
* Ameris Bancorp : Truist Securities initie une couverture avec une note de maintien; PT 80
* Andersons Inc : Stephens relève le cours cible de 55 $ à 60 $
* Apollo Global Management Inc : Barclays relève l'objectif de cours à 159 $ contre 158 $
* Applied Materials Inc : UBS relève le cours cible à 285 $ contre 250 $
* Applied Materials Inc : UBS relève l'objectif de cours de neutre à achat
* Array Technologies Inc : Jefferies réduit l'objectif de cours à 10$ contre 11
* Arrivent Biopharma : Truist Securities initie la couverture avec une note d'achat; PT 43 $
* Avalonbay Communities : Barclays réduit le prix cible de 229 $ à 216 $
* Avalonbay Communities : Barclays relève le prix à surpondérer de égal à égal
* Axogen Inc : Leerink Partners relève le cours cible de 28 à 33 dollars
* Bj's Wholesale Club Holdings Inc : Roth MKM réduit l'objectif de cours à 97 $ contre 106 $
* Bloom Energy Corp : BofA Global Research augmente le PO à 39,00$ de 26,00
* Blue Bird Corp : BofA Global Research augmente l'OP à 62,00$ de 60,00
* Blue Bird Corp : D.A. Davidson augmente le prix cible de 70 $ à 76 $
* Bowhead Specialty Holdings : RBC reprend la couverture avec une note de surperformance; PT $33
* Brinker International Inc : Citigroup relève le prix cible de 144 $ à 176 $
* Brinker International Inc : Citigroup relève le prix cible de neutre à achat
* Brixmor Property Group Inc : Truist Securities réduit le PT à 29$ de 30
* Broadstone Net Lease Inc : Truist Securities augmente le PT de 18 $ à 20 $
* Bxp Inc. : Wells Fargo réduit le prix cible de 77 $ à 74 $
* Camden Property Trust : Barclays réduit le prix cible à 118 $ contre 127 $
* Camden Property Trust : Barclays réduit le prix cible de surpondération à égalité de pondération
* Camden Property Trust : Wells Fargo réduit le prix cible de 111 $ à 110 $
* Caretrust Reit Inc : Wells Fargo augmente le prix cible de 38 $ à 41 $
* CDW Corp : Raymond James relève le cours de l'action de "Surperformance" à "Achat fort"
* Cencora : Deutsche Bank relève l'objectif de cours à 389 $ contre 371 $ auparavant
* Central Garden & Pet Co : JP Morgan relève l'objectif de cours de 30 à 31 dollars
* Centrus Energy Corp : UBS relève le cours cible à 245 $, contre 215 $ auparavant
* Cintas Corporation : Wells Fargo ramène le cours cible à 185 $, contre 218 $ auparavant
* Coinbase Global Inc : Argus Research ramène le cours de l'action de "buy" à "hold"
* Compass Inc : BTIG augmente le prix cible de 11 $ à 12,5 $
* Copt Defense Properties : Wells Fargo relève le cours cible de 30 à 33 dollars
* Cousins Properties Inc : JP Morgan réduit le prix cible à 33 $ contre 37 $
* Cummins Inc : UBS augmente le prix cible de 350 à 500 dollars
* Cummins Inc : UBS augmente le prix cible de vente à neutre
* Douglas Emmett Inc : JP Morgan réduit le prix cible à 16$ de 18
* Douglas Emmett Inc : Wells Fargo réduit le prix cible à 15$ de 20
* Dupont : Deutsche Bank ramène le cours cible à 46 $, contre 90 $ auparavant
* Dyne Therapeutics Inc : Bernstein relève l'objectif de cours à 21 $ contre 12 $
* Empire State Realty Trust Inc : Wells Fargo réduit le prix cible à 6,8 $ de 8,3
* EPR Properties : Wells Fargo réduit le prix cible de 56 $ à 54 $
* Equity Residential : Barclays réduit le prix cible de 80 $ à 77 $
* Esperion Therapeutics : Piper Sandler initie une couverture avec une note de surpondération; PT 9 $
* Essential Properties Realty Trust Inc : La Banque Scotia augmente le PT de 33 $ à 34 $
* Essex Property Trust : Barclays réduit le prix cible de 297 $ à 290 $
* Exact Sciences Corp : Canaccord Genuity réduit le prix cible de "acheter" à "conserver"
* Exact Sciences Corp : Canaccord Genuity augmente le prix cible de 85 $ à 105 $
* Exact Sciences Corp : TD Cowen ramène le cours de l'action d'acheter à conserver
* Exact Sciences Corp : TD Cowen augmente le prix cible de 90 $ à 105 $
* Firefly Aerospace Inc : JP Morgan réduit le prix cible de 55 $ à 28 $
* Five Below Inc : Wells Fargo relève le cours cible de 170 à 175 dollars
* Four Corners Property Trust Inc : Wells Fargo ramène le prix cible à 25 $, contre 27 $ auparavant
* Frontview Reit Inc : Wells Fargo augmente le prix cible de 17 $ à 18 $
* Gemini Space Station Inc : Truist Securities réduit le prix cible de 28 $ à 17 $
* Goosehead Insurance Inc : BMO réduit le prix cible de 110 $ à 79 $
* Hanover Insurance : RBC initie la couverture avec une note de performance du secteur; PT 200
* Hartford Insurance : RBC reprend la couverture avec une cote de rendement du secteur; PT 145
* Hartford Insurance Group Inc : Argus Research augmente le PT de 143 $ à 155 $
* Healthcare Realty Trust Incorporated : Wells Fargo augmente le PT à 19$ de 18
* Healthpeak Properties, Inc. : Wells Fargo relève le prix cible à 19 $ contre 18 $
* Hecla Mining Co : La Banque CIBC augmente le prix cible de 15 $ à 16,5 $
* HF Sinclair Corp : Raymond James augmente le prix cible de 65 $ à 70 $
* Hudson Pacific Properties Inc : Wells Fargo réduit le prix cible de 3,1 $ à 2,6 $
* Humana : Barclays réduit le cours cible à 234 $ contre 245 $
* Imagenebio Inc : Wedbush reprend la couverture avec une note de sous-performance; PT 2
* Independence Realty Trust : Barclays relève le prix cible à 21 $ contre 20 $ auparavant
* Inspire Medical Systems Inc : Leerink Partners relève le PT à 127 $ contre 94 $
* Inspire Medical Systems Inc : Truist Securities relève le PT à 128 $ contre 84 $
* Invitation Homes : Barclays réduit l'objectif de cours à 34 $ contre 37 $
* Keysight Technologies Inc : Citigroup relève l'objectif de cours à 220 $ contre 215 $
* Keysight Technologies Inc : JP Morgan relève le prix cible à 207 $, contre 200 $ auparavant
* Keysight Technologies Inc : Morgan Stanley relève le prix cible à 208 $ contre 180 $
* Keysight Technologies Inc : Susquehanna relève le prix cible à 225 $ contre 215 $
* Keysight Technologies Inc : UBS relève l'objectif de cours à 230 $ contre 220 $ auparavant
* Keysight Technologies Inc : Wells Fargo relève le cours cible de 190 à 225 dollars
* Keysight Technologies Inc : Barclays relève le prix cible à 232 $, contre 195 $ auparavant
* Kilroy Realty Corporation : Wells Fargo relève le cours cible de 40 à 41 dollars
* Kinsale Capital : RBC reprend la couverture avec une note de performance du secteur; PT 415
* Kodiak Gas Services Inc : JP Morgan augmente le prix cible de 44 $ à 45 $
* Lam Research Corp : UBS relève le cours cible de 165 $ à 175 $
* Liberty Energy Inc : RBC relève le cours cible de 15 $ à 20 $
* Lineage Inc : Wells Fargo ramène le cours cible de 43 $ à 32 $
* Ltc Properties Inc : Wells Fargo augmente le prix cible de 36 $ à 37 $
* Lumen Technologies : RBC augmente le prix cible de 4,25 $ à 8 $
* Luxexperience BV : TD Cowen réduit le cours cible à 11 $ contre 14 $
* Marathon Petroleum Corp : Raymond James augmente le prix cible de 200 $ à 215 $
* Marsh & Mclennan : RBC reprend la couverture avec une note de performance du secteur; PT 200
* Marvell Technology Inc : Susquehanna relève le prix cible de 80 $ à 100 $
* Medical Properties Trust Inc : Wells Fargo relève le prix cible de 4,5 $ à 5 $
* Mid-America Apartment Communities : Barclays réduit le prix cible à 142$ de 155
* Mid-America Apartment Communities : Wells Fargo réduit le prix cible à 150$ de 157
* National Health Investors Inc : Wells Fargo augmente le PT à 85$ de 80
* News Corp : JP Morgan réduit le prix cible de 40 à 38 dollars
* Nnn Reit Inc : Wells Fargo relève l'objectif de cours de 43 à 44 dollars
* Norfolk Southern : Wells Fargo reprend la couverture avec une note de surpondération; PT $315.00
* Nuscale Power Corp : UBS réduit le prix cible de 38 $ à 20 $
* Occidental Petroleum Corp : Raymond James augmente le prix cible de 45 $ à 50 $
* Oklo Inc : Citigroup relève le cours cible à 95 $, contre 68 $ auparavant
* Okta Inc : Jefferies réduit l'objectif de cours à 90 $ contre 105 $
* Omega Healthcare Investors, Inc. : Wells Fargo augmente le prix cible à 48$ de 45
* Oncology Institute : Needham initie la couverture avec une note d'achat; PT 5
* Opus Genetics : Piper Sandler initie la couverture avec une note de surpondération; PT 7 $
* Oracle Corp : D.A. Davidson réduit le prix cible de 300 $ à 200 $
* Origin Bancorp Inc : D.A. Davidson reprend la couverture avec une note d'achat; PT $42
* Oxford Industries Inc : Citigroup relève la cote de vente à neutre; réduit la prévision de vente à 35 $ de 44 $
* Par Pacific Holdings Inc : Raymond James augmente le prix cible de 48 $ à 54 $
* Phillips 66 : Raymond James augmente le prix cible à 169 $ contre 153 $
* Post Holdings Inc : Barclays ramène l'objectif de cours à 113 $ contre 125
* Public Storage : Truist Securities réduit le prix cible à 315$ contre 320
* Pyxis Oncology Inc : Leerink Partners relève le cours cible de 7 à 9 dollars
* Qnity Electronics Inc Q: RBC réduit le prix cible de 120 $ à 110 $
* Realty Income Corporation : Wells Fargo relève le cours cible à 60 $ contre 59 $
* Rhythm Pharmaceuticals : Citigroup initie la couverture avec une note d'achat; PT 136 $
* Sabra Health Care Reit : Wells Fargo augmente le prix cible de 20 $ à 21 $
* Sarepta Therapeutics Inc : Bernstein relève l'objectif de cours à 20 $ contre 18 $ auparavant
* Selective Insurance Group : RBC reprend la couverture avec une note de surperformance; PT 95
* Semtech Corp : Benchmark augmente le prix cible de 76 $ à 85 $
* Semtech Corp : Morgan Stanley augmente le prix cible de 64 $ à 67 $
* Semtech Corp : Piper Sandler relève le cours cible de 65 $ à 70 $
* Sila Realty Trust Inc : Wells Fargo réduit l'objectif de cours à 25 $ contre 27 $
* Sofi Technologies Inc : Truist Securities réduit le prix cible à 28 $ contre 31 $
* Solstice Advanced Materials Inc : UBS réduit le prix cible de 62 $ à 58 $
* Ssr Mining Inc : UBS augmente le prix cible de 42,3 $ CA à 44 $ CA
* Stonex Group Inc : Jefferies réduit le prix cible de 116 $ à 99 $
* Streamex Corp : Needham initie une couverture avec une note d'achat; objectif de prix 12
* Sun Communities : Barclays relève le cours cible de 141 à 143 dollars
* Symbotic : Deutsche Bank relève l'objectif de cours de 55 à 63 dollars
* Symbotic Inc : Citigroup relève le cours cible de 60 à 70 dollars
* Symbotic Inc : Needham relève le cours cible de 57 $ à 70 $
* Synopsys Inc : Wells Fargo ramène le cours cible à 445 $, contre 550 $ auparavant
* Teladoc Health Inc : BofA Global Research réduit le PO à 8,00 $ contre 9,00 $
* Tempus Ai Inc (Pre-Reincorporation) : BTIG augmente le PT de 96 $ à 105 $
* Terns Pharmaceuticals : Barclays augmente le prix cible de 28 $ à 36 $
* Terreno Realty Corporation : Wells Fargo relève l'objectif de cours à 63 $ contre 60 $
* Tesla Inc : Mizuho réduit le prix cible à 475 $ contre 485 $
* Twfg Inc : RBC reprend la couverture avec une note de surperformance; objectif de prix: 33
* Union Pacific : Wells Fargo reprend la couverture avec une note de surpondération; PT 260
* Valero Energy Corp : Raymond James augmente le prix cible de 195 $ à 220 $
* Veeva Systems Inc : Wells Fargo réduit le prix cible de 341 $ à 333 $
* Ventas Inc : Wells Fargo augmente le prix cible de 80 $ à 88 $
* Vistra Corp : KeyBanc initie la couverture avec une note de surpondération et un PT de 217
* Vita Coco Company Inc : Piper Sandler relève le prix cible à 59 $ contre 47 $
* Vita Coco Company Inc : Stephens augmente le prix cible de 40 à 58 $
* Vita Coco Company Inc : Stephens relève le prix cible de "equal-weight" à "overweight"
* Vor Biopharma Inc : Wedbush prend en charge la couverture avec une note neutre; PT 9 $
* Welltower Inc : Wells Fargo augmente le prix cible de 200 $ à 218 $
* Woodward : Deutsche Bank relève le cours cible de 335 à 360 dollars
* Woodward Inc : Truist Securities relève le cours cible de 294 $ à 305 $
* Woodward Inc : UBS augmente le prix cible à 329 $ contre 303 $
* Wynn Resorts Ltd : Morgan Stanley relève l'objectif de cours à 132 $ contre 130 $ auparavant
* Zeta Global Holdings Corp : B. Riley relève le cours cible de 29 à 30 dollars
* Zoom Communications Inc : Bernstein augmente le prix cible à 90$ de 89
* Zoom Communications Inc : Jefferies augmente le prix cible de 100 $ à 105 $
* Zoom Communications Inc : JP Morgan augmente le prix cible de 85 $ à 90 $
* Zoom Communications Inc : Morgan Stanley augmente le prix cible de 85 $ à 92 $
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