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U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Les Bourses asiatiques ont grimpé jeudi de façon contrastée, digérant des chiffres américains décevants sur l'emploi qui continuent de plomber le dollar, tandis que le yuan a vu ses gains freinés par la banque centrale chinoise.
Bourses contrastées, la Fed à l'horizon
A la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a clôturé en hausse de 2,33%, à 51.028,42 points, et l'indice élargi Topix de 1,92%, à 3.398,21 points.
La Bourse de Séoul en revanche a cédé 0,19% et Taipei a fini à l'équilibre (+0,01%). L'indice hongkongais Hang Seng grimpait de 0,22% vers 06H40 GMT.
Les places asiatiques ont digéré un rapport faisant état de la disparition de 32.000 emplois aux Etats-Unis en novembre, à rebours des créations d'emplois attendues par les analystes.
Cette faiblesse conforte les marchés dans l'idée que la banque centrale américaine (Fed) abaissera ses taux pour la troisième fois consécutive, à l'issue de sa réunion des 9 et 10 décembre.
Pour autant, cela n'empêche plus un certain essoufflement. "Les marchés sont proches d'intégrer pleinement aux cours l'anticipation d'une baisse des taux, ce qui a fait grimper les actions et baisser le dollar", selon Kyle Rodda, analyste du courtier Capital.com.
De son côté, "le marché des cryptomonnaies affiche une meilleure forme" après son plongeon des dernières semaines, "le bitcoin ayant reconquis ses sommets de novembre et franchi la barre des 93.000 dollars", a noté Chris Weston, analyste de Pepperstone, même s'il note l'hésitation des investisseurs à conforter cette tendance.
Vers 06H40 GMT, le bitcoin cédait 0,6%, à 93.135 dollars, signe d'une fébrilité persistante.
Le marché pétrolier, lui, progressait: le baril de WTI nord-américain gagnait 0,71% à 59,37 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,59% à 63,04 dollars.
Dollar sous pression, tensions sur la dette nippone
Le billet vert a continué de s'enfoncer en début d'échanges asiatiques, avant de se stabiliser vers 06H40 GMT à 155,26 yens pour un dollar.
Mercredi, la devise américaine avait nettement reculé, minée par des chiffres de l'emploi moroses aux Etats-Unis, qui pointent vers une nouvelle baisse des taux de la Fed. Une telle décision tendrait à rendre le dollar moins attractif.
"Le dollar américain devrait poursuivre sa baisse après cet effondrement des créations d'emplois dans le secteur privé, le plus important depuis 2023", estiment les experts de Standard Chartered.
Par contraste, le yen japonais reste lui soutenu par la perspective grandissante d'un possible relèvement des taux de la Banque du Japon (BoJ) dès la semaine prochaine, mais aussi face aux anticipations de nouvelles hausses de salaires dans l'archipel.
Alors que Tokyo prépare de nouvelles émissions massives de dette pour financer un plan de relance, au risque d'aviver les inquiétudes sur sa discipline budgétaire, les titres à échéance 30 ans ont atteint en début d'échanges un nouveau plus haut historique, et celles à 10 ans un sommet depuis 18 ans.
Ces taux élevés attirent les investisseurs en quête de profits. Une adjudication à 30 ans a suscité jeudi la plus forte demande depuis 2019 sur ce type d'échéance, selon Bloomberg, ce qui a fait reculer les taux dans la foulée.
Gains du yuan freinés par la PBOC
Le yuan chinois s'est sensiblement renforcé depuis la semaine dernière, porté par l'espoir d'une embellie des échanges commerciaux après la trêve sino-américaine conclue entre les présidents Xi Jinping et Donald Trump et un appel téléphonique scellant une visite de M. Trump en Chine l'an prochain.
La devise chinoise se rapproche du seuil symbolique des 7 yuans pour un dollar, face à un billet vert lui-même affaibli par la politique monétaire attendue de la Fed.
Or, la Chine a fixé jeudi son taux de référence quotidien pour le yuan à un niveau nettement inférieur aux estimations, ce qui suggère que la PBOC (banque centrale chinoise) cherche à limiter l'appréciation de la monnaie, dont les fluctuations sont encadrées dans une fourchette fixée par Pékin.
La PBOC a fixé le taux quotidien à 7,0733 yuans pour un dollar. "La banque centrale privilégie la stabilité de sa monnaie. Il n'est donc pas surprenant que, compte tenu de l'appréciation relativement rapide de la semaine dernière, elle cherche désormais à freiner sa progression", a commenté Lynn Song, économiste d'ING citée par Bloomberg.
Les Bourses asiatiques évoluent dans des directions contrastées jeudi, digérant des chiffres américains décevants sur l'emploi qui continuent de plomber le dollar, tandis que le yuan voit lui ses gains freinés par la banque centrale chinoise.
Bourses sans entrain, la Fed à l'horizon
A la Bourse de Tokyo vers 02H00 GMT, l'indice vedette Nikkei gagnait 1,28% à 50.503 points et l'indice élargi Topix 1,36% à 3.379 points.
La Bourse de Séoul en revanche reculait de 0,90%, Taipei était à l'équilibre (+0,08%) tout comme Sydney (+0,06%). L'indice hongkongais Hang Seng abandonnait 0,08%.
Les places asiatiques digèrent un rapport faisant état de la disparition de 32.000 emplois aux Etats-Unis en novembre, à rebours des créations d'emplois attendues par les analystes.
La faiblesse de ce rapport conforte les marchés dans l'idée que la banque centrale américaine (Fed) abaissera ses taux pour la troisième fois consécutive, à l'issue de sa réunion des 9 et 10 décembre.
Pour autant, cela n'empêche plus un certain essoufflement. "Les marchés sont proches d'intégrer pleinement aux cours l'anticipation d'une baisse des taux, ce qui a fait grimper les actions et baisser le dollar", observe Kyle Rodda, du courtier Capital.com.
"Bien que les données économiques manquent encore pour conforter les marchés (et probablement les décideurs politiques) sur la nécessité d'une telle baisse, il semble que la Fed privilégie une solution de moindre risque: baisser ses taux puis réévaluer ses perspectives durant la période calme de décembre-janvier", estime-t-il.
De son côté, "le marché des cryptomonnaies affiche une meilleure forme" après son plongeon des dernières semaines, "le bitcoin ayant reconquis ses sommets de novembre et franchi la barre des 93.000 dollars", observe Chris Weston de Pepperstone, même s'il note l'hésitation des investisseurs à conforter cette tendance.
Vers 02H00 GMT, le bitcoin cédait 0,35% à 93.395 dollars, signe d'une fébrilité persistante.
Le marché pétrolier, lui, progressait: le baril de WTI nord-américain gagnait 0,32% à 59,14 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,24% à 62,82 dollars.
Dollar sous pression, le yen brille
Le billet vert a continué de s'enfoncer en début d'échanges asiatiques, avant de se stabiliser vers 02H00 GMT à 155,35 yens pour un dollar.
Mercredi, la devise américaine avait nettement reculé, minée par des chiffres de l'emploi moroses aux Etats-Unis qui pointent vers une nouvelle baisse des taux de la Fed. Une telle décision tendrait à rendre le dollar moins attractif.
"Le dollar américain devrait poursuivre sa baisse après cet effondrement des créations d'emplois dans le secteur privé, le plus important depuis 2023", estiment les experts de Standard Chartered.
Par contraste, le yen japonais reste lui soutenu par la perspective grandissante d'un possible relèvement des taux de la Banque du Japon (BoJ) dès la semaine prochaine... mais aussi face aux anticipations de nouvelles hausses de salaires dans l'archipel, lors de négociations syndicales annuelles.
"L'évolution des salaires est scrutée de près par les marchés, le gouverneur de la BoJ ayant insisté sur la nécessité de confirmer la dynamique des négociations salariales avant de nouvelles hausse des taux", explique Standard Chartered.
Gains du yuan freinés par la PBOC
Le yuan chinois s'est sensiblement renforcé depuis la semaine dernière, porté par l'espoir d'une embellie des échanges commerciaux après la trêve sino-américaine conclue entre les présidents Xi Jinping et Donald Trump et un appel téléphonique scellant une visite de M. Trump en Chine l'an prochain.
La devise chinoise se rapproche du seuil symbolique des 7 yuans pour un dollar, face à un billet vert lui-même affaibli par la politique monétaire attendue de la Fed.
Or, la Chine a fixé jeudi son taux de référence quotidien pour le yuan à un niveau nettement inférieur aux estimations, ce qui suggère que la PBOC (banque centrale chinoise) cherche à limiter l'appréciation de la monnaie - dont les fluctuations sont strictement encadrées dans une fourchette fixée par Pékin.
La PBOC a fixé le taux quotidien à 7,0733 yuans pour un dollar. "La banque centrale privilégie la stabilité de sa monnaie. Il n'est donc pas surprenant que, compte tenu de l'appréciation relativement rapide de la semaine dernière, elle cherche désormais à freiner sa progression", commente Lynn Song, économiste d'ING citée par Bloomberg.
Les Bourses asiatiques affichent des performances contrastées mercredi, guettant toujours indicateurs américains et banques centrales, tandis que la roupie indienne, sous pression de l'offensive commerciale de Washington, tombe à ses plus bas niveaux historiques.
Bourses contrastées, l'attentisme perdure
A la Bourse de Tokyo vers 02H15 GMT, l'indice vedette Nikkei grimpait de 1,02% à 49.806 points mais l'indice élargi Topix se repliait lui de 0,12% à 3.337 points.
La Bourse de Séoul gagnait 1,16%, Taipei 0,59% et Sydney 0,15%.
L'indice hongkongais abandonnait pour sa part 0,71%, après un indicateur indépendant faisant état de la plus faible croissance en cinq mois de l'activité dans le crucial secteur des services en Chine.
"Les actions japonaises restent imprévisibles aujourd'hui (mercredi). En l'absence de facteurs positifs à l'achat, les anticipations croissantes d'une hausse rapide des taux d'intérêt par la Banque du Japon (dès la semaine prochaine) devraient limiter la progression", observent les experts de Tokai Tokyo Intelligence.
"Les marchés asiatiques affichent aujourd'hui une tendance prudemment positive, profitant de l'élan de Wall Street, mais les conditions ne sont pas encore réunies pour une reprise généralisée", abonde Hebe Chen, analyste chez Vantage Markets, citée par Bloomberg. "Le calendrier chargé des réunions des banques centrales maintiennent les opérateurs sur le qui-vive."
Les investisseurs continuent ainsi dans l'ensemble de limiter les prises de risques avant l'annonce d'une série d'indicateurs américains et sur fond de spéculations quant aux prochaines décisions monétaires aux États-Unis comme au Japon.
Aux États-Unis sont attendus mercredi le rapport mensuel sur l'emploi et vendredi l'indice des prix à la consommation pour septembre. Les investisseurs tenteront d'y déceler des signes d'essoufflement économique pouvant justifier une baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion des 9 et 10 décembre.
La roupie indienne sous pression
La roupie indienne a lâché 0,35% face au dollar américain mardi, glissant à un plus bas historique et frôlant la barre des 90 roupies pour un dollar.
La devise souffre de l'impasse des négociations commerciales entre Washington et New Delhi, qui est visé par une violente offensive douanière: les États-Unis imposent des droits de douane prohibitifs de 50% aux produits indiens importés.
L'Inde demeure parmi les dernières grandes économies à ne pas avoir signé d'accord commercial avec les États-Unis, même si ses dirigeants se montrent optimistes quant à une conclusion prochain d'un compromis.
Dans ce contexte, les droits de douane américains pénalisent les exportateurs indiens, tandis que la vigueur des importations maintient à un niveau élevé la demande indienne de dollars: d'où la pression intense sur la roupie.
"Globalement, l'offre et la demande de dollars en Inde restent fortement déséquilibrées, sous l'effet de besoins d'importations accrus, d'un déficit courant plus important et, surtout, de la faiblesse des flux de capitaux, notamment des investissements directs étrangers et des entrées de capitaux", résume Michael Wan, analyste de la banque MUFG.
"Nous anticipons que la balance des paiements de l'Inde restera déséquilibrée et avons relevé nos prévisions pour le taux de change à 90,8 (roupies pour un dollar)", poursuit l'analyste, tout en avançant qu'un accord commercial devrait apporter "un soulagement".
Le yen avance, spéculations sur la BoJ
La monnaie japonaise progressait de 0,8% à 155,77 yens pour un dollar ver 02H20 GMT.
Les investisseurs restent motivés par les propos tenus lundi par le gouverneur de la Banque du Japon (BoJ), Kazuo Ueda, qui ont renforcé les attentes d'une hausse de taux dès sa réunion des 18-19 décembre.
"Les marchés anticipent toujours un relèvement des taux en décembre avec environ 80% de probabilité (...). Parallèlement, un comité consultatif du ministère japonais des Finances a recommandé une réduction progressive du ratio dette publique/PIB afin de préserver les marges de manoeuvre budgétaires", observent les analystes de Standard Chartered.
De quoi apaiser quelque peu les inquiétudes sur la dette nippone suscitées par le massif plan de relance du gouvernement de Sanae Takaichi.
Le bitcoin s'essouffle, le pétrole flanche
Le rebond du bitcoin enregistré mardi, après de lourdes pertes récentes liées à l'aversion pour le risque, s'essoufflait déjà mercredi dans les échanges asiatiques. Il gagnait cependant toujours 1% à 92.674 dollars vers 02H30 GMT.
Le marché pétrolier lui flanchait: le cours du baril de WTI nord-américain cédait 0,41% à 58,40 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,38% à 62,21 dollars.
La Banque d'Angleterre (BoE) a de nouveau mis en garde mardi contre la survalorisation du secteur de l'intelligence artificielle (IA), dressant un parallèle avec les prémices de l'éclatement de la bulle internet en 2000.
"De nombreuses valorisations d'actifs risqués demeurent excessives, notamment pour les entreprises technologiques spécialisées dans l'intelligence artificielle", estime le Comité de politique financière (FPC) de la banque centrale dans son rapport semestriel.
Dans leur ensemble, "les valorisations boursières aux États-Unis sont proches de leurs niveaux les plus élevés depuis l'éclatement de la bulle internet, et au Royaume-Uni, depuis la crise financière mondiale" de 2008, relève la BoE.
Les géants de la tech multiplient ces derniers mois les investissements vertigineux dans l'IA, mais ceux-ci semblent démesurés par rapport aux bénéfices générés, alimentant les craintes sur le marché d'une éventuelle bulle, à l'image de celle qu'a connue internet dans les années 1990 et au début des années 2000.
La différence avec cette période est que les acteurs actuels de l'IA "ont des flux de trésorerie positifs", a tempéré le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Andrew Bailey, lors d'une conférence de presse suivant la publication du rapport, tout en soulignant les risques de "contagion" d'une éventuelle crise américaine sur les marchés britanniques.
Car si les attentes qui entourent l'IA sont déçues, les établissements qui ont prêté des fonds aux entreprises du secteur pourraient subir de lourdes pertes, prévient la BoE.
Elle avait déjà souligné ces risques en octobre dans le compte-rendu de sa précédente réunion trimestrielle sur la stabilité financière.
Plus généralement, "les risques pesant sur la stabilité financière se sont accrus en 2025", estime l'institution, citant "les tensions géopolitiques, la fragmentation des marchés commerciaux et financiers, et les pressions exercées sur les marchés de la dette souveraine".
La BoE a notamment rappelé les possibles faiblesses du marché du crédit privé, mises en lumière en septembre par les faillites aux Etats-Unis du fabricant de pièces détachées automobiles First Brands et de Tricolor, un spécialiste du crédit auto pour emprunteurs à risque.
Elle a aussi alerté sur les stratégie spéculatives de certains fonds d'investissements, qui risquent d'amplifier les chocs financiers.
La Banque d'Angleterre indique cependant que les sept plus importantes banques du pays (Barclays, HSBC, Lloyds, Nationwide, NatWest, Santander et Standard Chartered) sont en mesure de résister à un choc économique d'ampleur, d'après les résultats de son dernier "stress test".
Depuis la crise financière de 2008, les banques centrales imposent des tests de résistance aux plus grands établissements. La BoE en prévoit un de ce type tous les deux ans.
Afin de doper l'investissement, la banque centrale a également diminué son estimation de la réserve de sécurité que les banques britanniques devraient mettre de côté, conseillant désormais qu'elle représente 13% de leurs actifs pondérés par le risque, contre 14% auparavant.
C'est la première fois que la BoE abaisse ce taux depuis l'apparition de ce standard en 2015, dans la foulée de la crise financière de 2008.
MEILLEURE ANNÉE DEPUIS 1997, LES BANQUES EUROPÉENNES SONT-ELLES TOUJOURS À ACHETER?
Les banques européennes (.SX7P) ont été les véritables gagnantes de cette année avec une hausse de près de 60% - leur meilleure performance annuelle depuis 1997, et bien que les gains faciles semblent être derrière nous, de nombreux investisseurs et banques d'investissement restent optimistes.
Parmi eux, J.P.Morgan.
La banque de Wall Street aborde l'année 2026 avec une opinion positive reconfirmée sur le secteur, citant ce qu'elle appelle un "environnement parfait" alimenté par une macroéconomie solide et des fondamentaux ascendants forts.
Elle estime que la croissance du PIB s'améliore, que les taux et l'inflation sont stables et que le faible taux de chômage favorise des gains de BPA de près de 10 % par an jusqu'en 2027, avec l'aide des rachats d'actions.
Les valorisations ont déjà été réévaluées à 8,9 fois les bénéfices, mais les analystes de JPM prévoient encore une hausse de 12 % au cours de l'année prochaine et potentiellement de 25 % à plus long terme en raison de la baisse du coût des capitaux propres.
Les titres les plus prisés sont Barclays , NatWest , Deutsche Bank et SocGen , tandis que Caixabank , StanChart et Erste ont été ajoutés au portefeuille.
Par rapport aux États-Unis, JPM privilégie l'Europe, en raison d'une décote encore importante et de solides réserves de capital.
Mais attention aux risques potentiels tels que la baisse des taux, le ralentissement de la croissance et la concurrence à long terme de la finance numérique.
Le FTSE 100 de Londres a regagné du terrain vendredi, réduisant les pertes antérieures grâce aux attentes accrues de réduction des taux d'intérêt de la Réserve fédérale qui ont amélioré le sentiment du marché mondial, tandis que les investisseurs attendent maintenant l'annonce du budget britannique de la semaine prochaine.
L'indice des valeurs vedettes CURRENCYCOM:UK100 a toutefois terminé la semaine en baisse de 1,7 %, marquant un recul hebdomadaire plus marqué que ceux observés en avril, lorsque les marchés ont été ébranlés par les annonces de tarifs douaniers de grande ampleur du président américain Donald Trump.
L'indice des moyennes capitalisations , plus axé sur le marché intérieur, a prolongé sa série de pertes pour une huitième séance consécutive, reculant de 0,1% vendredi et enregistrant des pertes hebdomadaires de 2,2%.
Le rallye mondial de jeudi, alimenté par les prévisions optimistes du géant des puces Nvidia , s'est avéré de courte durée car les inquiétudes concernant une bulle potentielle de l'intelligence artificielle ont refait surface.
Toutefois, les marchés ont repris pied après que le président de la Fed de New York, John Williams, membre votant du Comité fédéral de l'open market, a suggéré que la banque centrale pourrait encore procéder à des réductions de taux , ce qui a stimulé à la fois les attentes en matière de réduction des taux et le sentiment général.
Sur les marchés britanniques, les actions du secteur des boissons (.FTNMX451010) ont augmenté de 2 %, tandis queles actions des constructeurs de maisons (.FTNMX402020) ont gagné 3,4 %.
En revanche, les actions du secteur de l'aérospatiale et de la défense (.FTNMX502010) ont chuté de 3,2% sur la journée pour atteindre leur plus bas niveau depuis trois mois, les investisseurs surveillant les développements autour d'un nouveau plan élaboré par les États-Unis pour mettre fin à la guerre russe en Ukraine .
Les mineurs de métaux précieux ont perdu 2,2% même si les prix de l'or ont réduit les pertes plus tôt dans la session après avoir chuté de plus de 1%, tandis que les mineurs de métaux industriels (.FTNMX551020) ont baissé de 1,8% après que les prix du cuivre aient chuté à leur plus bas niveau en plus de deux semaines.
Les indicateurs économiques pour les entreprises, les consommateurs et les finances publiques britanniques ont montré des signes inquiétants de détérioration avant le budget de la semaine prochaine .
La ministre des Finances Rachel Reeves devrait annoncer des augmentations d'impôts alors que les données publiées vendredi suggèrent que les préoccupations budgétaires pèsent sur l'économie britannique - soulignant son défi de réduire les emprunts sans entraver davantage une croissance déjà faible.
Parmi les valeurs individuelles, le distributeur de mode rapide ASOS a chuté de 5,3 % après que l'entreprise ait annoncé un bénéfice annuel inférieur aux attentes des analystes.
Bon marché et service automatisé: la start-up allemande LAP Coffee, soutenue par de gros investisseurs, s'impose avec ses devantures bleu électrique dans Berlin. Un modèle qui inquiète les cafés indépendants et a fait naître un mouvement de contestation teinté de vandalisme.
Dans le quartier bobo huppé de Prenzlauer Berg, le menu affiché à l'extérieur est sans appel: 2,50 euros pour un cappuccino, 1,50 euro pour un espresso, et 3 euros pour un latte. C'est environ un euro moins cher que chez les concurrents du voisinage.
Fort de ces tarifs, malgré l'explosion du prix du café (+21,3% sur un an), le groupe est passé d'un site en 2023 à Berlin, à seize aujourd'hui. Et huit autres à Hambourg et Munich.
A l'intérieur, la déco est minimaliste. De jeunes clients se prennent en selfie devant de larges miroirs. Ca et là, quelques chaises mais l'aménagement n'incite pas à s'installer, on repart plutôt avec l'emblématique tasse bleue entre les doigts.
Derrière le comptoir, une barista lance le processus largement automatisé en touchant, sur un écran tactile, le logo de la boisson choisie. La machine se déclenche, verse le liquide. Il n'y a ni moulin, ni porte-filtre percolateur, ni tasseur.
- Bon prix vs cerise pourrie -
"Ça va très vite!", se réjouit Artur Kluge, un étudiant de 22 ans, attiré par les tarifs abordables.
Il juge le "goût correct", mais surtout, "3 euros, c'est en tout cas un bon prix pour un grand café".
Pourtant, en octobre, plusieurs devantures sont vandalisées à la peinture rouge.
Dans les rues, des affiches proclament que l'extension "agressive" de cette chaîne est la "cerise pourrie sur le gâteau d'une gentrification qui a déjà chassé trop de gens et de petits commerces de nos quartiers" .
A quelques minutes à pied d'un LAP Coffee, Umut Ekinci, patron du Auntie's Café, juge qu'il sera en "danger" si d'autres échoppes ouvraient à proximité.
La chaîne représente une petite révolution à Prenzlauer Berg, un quartier jamais conquis par les Starbucks et autres McDo, mais qui compte à lui seul six LAP.
"Là-bas, il suffit d'appuyer sur un bouton, de servir le café, dire au revoir et c'est tout", sermonne M. Ekinci. "Vu les prix, je pense que la plupart des clients sont satisfaits. Mais cela détruit les autres."
LAP, acronyme de "Life Among People" ("la vie parmi les gens"), se défend de tout dumping, affirmant que la chaîne est profitable grâce aux technologies employées.
Le cofondateur Ralph Hage, un ancien de Red Bull et de la banque Standard Chartered, assure à l'AFP que le secteur n'avait connu que "peu d'innovations depuis trente ans".
"Si nous pouvons proposer des prix justes (...) c'est tout simplement en rendant le processus plus efficace", souligne le patron.
Quant aux actes de vandalisme, il pointe un "petit groupe" de mécontents.
Il considère aussi sa société comme "une entreprise locale", et non comme l'émanation d'investisseurs carnassiers.
- Gros investisseurs -
Mario, militant au sein d'un collectif opposé à la chaîne et qui préfère rester anonyme, peste.
Pour lui, ce succès est surtout dû aux sociétés de capital-risque et capital-investissements dont les millions permettent à LAP de se développer à grande vitesse, prenant à la gorge les indépendants.
La start-up dispose d'investisseurs tel que Insight Partners, entreprise investie dans le numérique, la défense et l'intelligence artificielle. Ou encore HV Capital dont le portefeuille inclut le transporteur Flixbus, le géant de la mode Zalando et le droniste Quantum Systems.
"Il devient de plus en plus difficile pour les petites structures indépendantes, qui ne sont pas équipées pour réaliser des profits rapides, de trouver des locaux lorsque ces grandes chaînes, qui peuvent probablement payer un loyer illimité, se développent", dénonce Mario auprès de l'AFP.
Les flyers affichés dans le quartier martèlent cet argumentaire, dénonçant "de gros investisseurs impliqués dans le développement de drones militaires et de systèmes d'armes basés sur l'IA".
Si la "tendance se poursuit", redoute Mario, "nous n'aurons bientôt plus dans le centre-ville que des chaînes soutenues par de grands fonds et des restaurants de luxe".
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