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Déclaration sur la politique budgétaire de la BCE
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Conférence de presse de la BCE
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U.S. Indice de la production manufacturière de la Fed du Kansas (Décembre)--
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Les Bourses asiatiques ont ouvert la semaine en repli, minées par des inquiétudes persistantes sur les valeurs tech et l'IA, qui ont pesé également sur le bitcoin, tandis que des indicateurs chinois sans éclat assombrissaient le tableau.
Prudence des Bourses, la tech pèse
A la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a clôturé en repli de 1,31% à 50.168,11 points, mais l'indice élargi Topix a résisté (+0,22% à 3.431,47 points).
La Bourse de Séoul a lâché 1,84%, Sydney 0,72% et Taipei 1,17%. Vers 06H30 GMT, l'indice hongkongais Hang Seng abandonnait 1,23%.
Les places asiatiques ont été plombées par un regain de défiance sur les investissements dans l'intelligence artificielle (IA) et les titres technologiques, qui avaient déjà poussé Wall Street dans le rouge vendredi.
"Les valeurs liées à l'IA et aux semi-conducteurs ont fortement chuté sur le marché boursier américain, et des ventes massives de titres du secteur des semi-conducteurs sont également attendues à Tokyo" cette semaine, selon le cabinet Tokai Tokyo Intelligence.
Et ce même si une légère amélioration du baromètre Tankan sur le climat des affaires au Japon "devrait conforter les actions japonaises dans leur ensemble" grâce "au soutien des valeurs non liées à l'IA".
"L'habituel sursaut boursier de fin d'année n'a pas encore vraiment eu lieu. Même avec la baisse des taux d'intérêt de la Fed la semaine dernière, qui aurait normalement dû stimuler les marchés, les inquiétudes concernant les valorisations viennent à nouveau gâcher la fête", abonde Kyle Rodda, analyste basé en Australie pour Capital.com.
"Les résultats (des géants américains) Oracle et Broadcom", qui ont fait dévisser leurs titres et miné les valeurs tech, "ont montré comment des changements importants dans l'attitude du marché peuvent se produire lorsque des acteurs-clés ne parviennent pas à atteindre les objectifs ambitieux fixés par les investisseurs", insiste-t-il.
Des statistiques chinoises sans éclat contribuent lundi à assombrir le moral des investisseurs en Asie: les ventes de détail dans la deuxième économie mondiale ont ainsi progressé de seulement 1,3% sur un an en novembre, moins qu'attendu par le marché et leur plus faible croissance depuis fin 2022.
Et les investissements en capital fixe, reflet des dépenses dans les infrastructures, se contractent encore.
De son côté, la monnaie nippone grimpait de 0,51% face au billet vert vers 06H30 GMT, à 155,02 yens pour un dollar, en anticipation d'une hausse des taux largement attendue de la Banque du Japon ce vendredi.
Bitcoin sous pression
Le bitcoin a fortement décroché durant le weekend, tombant dimanche d'environ 90.500 dollars à 87.611 dollars, une chute de quelque 3%. Il tentait lundi de se reprendre et cotait 89.590 dollars vers 06H30 GMT.
La plus capitalisée des cryptomonnaies souffre des inquiétudes sur le secteur technologique.
"Cela témoigne d'une aversion au risque croissante. Bien que les enjeux soient moins importants que la semaine dernière, les risques d'événements inattendus sont suffisants pour maintenir les investisseurs en alerte", avant des indicateurs américains et décisions monétaires, commente Kyle Rodda.
Nippon Steel trébuche, ses plans ne convainquent guère
Le sidérurgiste japonais Nippon Steel a dégringolé de 4,43% à la Bourse de Tokyo, après la présentation par l'entreprise - qui a réalisé son acquisition de US Steel - d'un nouveau plan à moyen terme.
Cette stratégie, qui prévoit des investissements de 6.000 milliards de yens (32 milliards d'euros) sur les cinq prochaines années, a laissé les analystes sur leur faim et déçu le marché - faute de mesures pour assainir son bilan et céder des actifs, et surtout faute d'actions détaillées pour relancer US Steel.
La roupie indienne s'enfonce encore
La roupie indienne a atteint un nouveau plus bas historique face au dollar, toujours pénalisée par les sorties de capitaux étrangers et l'absence d'un accord commercial avec les États-Unis, objet d'âpres pourparlers.
La devise indienne s'est ainsi enfoncée jusqu'à 90,74 roupies pour un dollar.
"La roupie est sous pression en raison de la demande persistante de dollars et de l'incertitude quant à la date de conclusion de l'accord avec les États-Unis", explique Dilip Parmar, analyste des devises chez HDFC Securities, cité par Bloomberg.
Pétrole ferme
Le marché pétrolier reste soutenu par les tensions géopolitiques sur l'Ukraine et le Venezuela, en dépit de la crainte persistance d'une surabondance d'or noir sur le marché mondial.
Vers 07H30 GMT, le baril de WTI nord-américain gagnait 0,47% à 57,71 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,47% à 61,41 dollars.
par Diana Mandia
Les principales Bourses européennes sont attendues en hausse prudente lundi à l'aube d'une semaine riche en décisions des banques centrales et en données économiques de premier plan, après avoir été pénalisées vendredi par la résurgence des craintes liées à l'IA.
D'après les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien pourrait gagner 0,25% à l'ouverture.
Les contrats à terme signalent une hausse de 0,42% pour le Dax à Francfort et de 0,37% pour le FTSE à Londres CURRENCYCOM:UK100.
Le Stoxx 600 est attendu sur un gain de 0,4% à l'ouverture.
La semaine s'annonce chargée pour les investisseurs à l'approche de Noël, ce qui devrait inciter à une certaine prudence, déjà perceptible en fin de semaine dernière avec le retour des inquiétudes concernant les dépenses d'investissement des grands noms du secteur technologique et les commentaires de plusieurs membres de la Réserve fédérale américaine (Fed) mettant en garde contre les prix toujours élevés.
Les divisions au sein de l'institution et le manque de données actuelles sur l'économie américaine compliquent la visibilité des opérateurs, l'inflation persistante restant le principal point de discorde des responsables de la politique monétaire.
Après la nouvelle réduction des coûts d'emprunt par la banque centrale américaine mercredi dernier, c'est maintenant au tour d'une longue liste de ses homologues européens : la Banque d'Angleterre (BoE) devrait procéder à une baisse de 25 points de base jeudi, tandis que la Banque centrale européenne (BCE) devrait opter le même jour pour le statu quo, tout comme la Riksbank suédoise et la Norges Bank norvégienne.
Dans la zone euro, les commentaires et les prévisions de la BCE feront l'objet d'une attention particulière, car l'une des membres de l'institution, Isabel Schnabel, a ouvert la semaine dernière la porte à une hausse des taux comme mesure future de Francfort et que les opérateurs prévoient désormais que la BCE maintiendra ses taux inchangés en 2026.
La décision de la Banque du Japon, qui devrait relever ses taux de 25 points de base à 0,75%, est pour sa part prévue vendredi, ce qui maintient les rendements obligataires japonais à des niveaux élevés.
Les investisseurs auront également l'occasion de prendre connaissance d'une série de données économiques américaines qui ont été retardées par le "shutdown" du gouvernement américain, notamment le rapport sur l'emploi et l'indice des prix à la consommation de novembre, prévus respectivement mardi et jeudi.
LES VALEURS A SUIVRE : L8N3XI1KC
A WALL STREET
La Bourse de New York a fini en baisse vendredi avec la crainte, alimentée par Broadcom (-11,43%) et Oracle (-4,47%), d'une bulle autour de l'intelligence artificielle (IA) et les positions prises par certains responsables de la Fed douchant les espoirs d'une poursuite de la baisse des taux d'intérêt dans un avenir proche aux Etats-Unis.
Les records de clôture atteint jeudi par le Dow et le S&P ont pu aussi inciter des investisseurs à prendre leurs bénéfices.
L'indice Dow Jones a cédé 0,51%, le Standard & Poor's 500 , plus large, a perdu 1,07% et le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 1,69%.
EN ASIE
La Bourse de Tokyo a terminé en baisse de 1,31%, touché par les pertes du secteur technologique dans le sillage de Wall Street la semaine dernière.
L'enquête "tankan" de la Banque du Japon a par ailleurs révélé que le moral des grands industriels a atteint son plus haut niveau depuis quatre ans, suggérant que l'économie résistait à l'impact de la hausse des droits de douane américains.
En Chine, les marchés d'actions subissent l'impact d'une série de données plus faibles que prévu sur la production industrielle et les ventes au détail.
L'indice composite de la Bourse de Shanghai recule de 0,36% et le CSI 300 3 des grandes capitalisations abandonne 0,47%.
La Bourse de Hong Kong perd 1,23%
La production industrielle en Chine a progressé moins qu'attendu en novembre pour atteindre plus bas niveau depuis 15 mois, montrent des données officielles publiées lundi, tandis que les ventes au détail ont également déçu.
TAUX
Les rendements obligataires sont en légère baisse aux Etats-Unis lundi après la hausse enregistré vendredi en raison des positions adoptées par certains responsables de la Fed sur la persistance de l'inflation.
Le rendement des Treasuries à dix ans recule de 2 points de base à 4,1763%. Le deux ans (US2YT=RR) cède 1,9 point de base à 3,5119%.
CHANGES
Le dollar évolue peu (-0,02%) face à un panier de devises de référence , et l'euro et la livre sterling sont également stables avant les décisions respectives de leurs banques centrales cette semaine.
L'euro perd 0,08% à 1,1731 dollar et la livre sterling cède 0,06% face au dollar .
PÉTROLE
Les prix du pétrole sont en hausse lundi avec l'escalade des tensions entre les États-Unis et le Venezuela.
Le Brent prend 0,52% à 61,44 dollars le baril, tout comme le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) , qui ressort à 57,74 dollars.
PRINCIPAUX INDICATEURS ÉCONOMIQUES À L'AGENDA DU 15 DECEMBRE :
PAYS | GMT | INDICATEUR | PÉRIODE | CONSENSUS | PRÉCÉDENT |
|---|---|---|---|---|---|
EZ | 10h00 | Production industrielle | octobre | ||
- sur un mois | 0,8% | 0,2% | |||
- sur un an | 1,9% | 1,2% | |||
USA | 13h30 | Empire State | décembre | 12,00 | 18,70 |
-- Lien source: https://tinyurl.com/3sw3bep5
-- Note: Reuters n'a pas vérifié cette histoire et ne se porte pas garant de son exactitude








par Caroline Valetkevitch
Les principaux indices boursiers ont baissé vendredi, les actions liées à la technologie chutant à nouveau, les investisseurs se méfiant des paris sur l'intelligence artificielle, tandis que le dollar a légèrement augmenté et que les rendements du Trésor américain ont bondi.
Les rendements ont augmenté alors que les investisseurs ont pris en compte les commentaires des responsables de la Réserve fédérale qui, ayant voté contre la réduction des taux d'intérêt de la banque centrale américaine cette semaine, ont déclaré vendredi craindre que l'inflation reste trop élevée pour justifier une baisse des coûts d'emprunt. La hausse des rendements a également pesé sur les actions.
Le secteur technologique a chuté de 2,9 %, soit la plus forte baisse des principaux secteurs de l'indice S&P 500, en raison des craintes liées à la technologie. La société d'informatique en nuage Oracle a annoncé en début de semaine des dépenses massives et des prévisions peu encourageantes. Un avertissement sur les marges du fabricant de puces Broadcom en fin de journée jeudi a renforcé les inquiétudes. Les actions de Broadcom ont terminé en baisse de 11,4 %. Oracle a chuté de 4,5 %, en plus du plongeon de près de 11 % de jeudi, tandis que Nvidia , leader dans le domaine de l'intelligence artificielle, a baissé de 3,3 %.
Bruce Zaro, directeur général de Granite Wealth Management à Plymouth, Massachusetts, a déclaré que « la déception et l'incertitude continues sur le commerce de l'IA et de la technologie » ont exercé une pression sur le marché.
« J'aurais pensé que cette agitation aurait déjà pris fin », a-t-il déclaré, ajoutant: « Nous sommes dans une très, très bonne période saisonnière. La période allant de la mi-décembre aux derniers jours de bourse de l'année est traditionnellement celle du rallye du Père Noël. »
Les investisseurs étaient optimistes quant à de nouvelles réductions des taux d'intérêt américains en 2026 après que la Fed a réduit ses taux d'intérêt de 25 points de base mercredi, par une décision de 9-3, même si les décideurs politiques ont signalé qu'ils mettraient en pause de nouvelles réductions pour l'instant. Les responsables politiques ont exprimé leurs inquiétudes quant au ralentissement du marché du travail et à l'inflation qui reste trop élevée.
Les données sur les demandes d'allocations chômage aux États-Unis ont montré jeudi que le nombre d'Américains déposant de nouvelles demandes d'allocations chômage a augmenté de manière record en près de 4 ans et demi la semaine dernière.
La Banque d'Angleterre devrait réduire ses taux jeudi prochain. La Banque centrale européenne devrait les maintenir, bien que les traders spéculent désormais qu'elle pourrait relever ses taux en 2026. La Banque du Japon devrait relever ses taux après les signaux forts envoyés par le gouverneur Kazuo Ueda.
Le Dow Jones Industrial Average a perdu 245,96 points, soit 0,51%, à 48 458,05, le S&P 500 a perdu 73,59 points, soit 1,07%, à 6 827,41 et le Nasdaq Composite a perdu 398,69 points, soit 1,69%, à 23 195,17.
L'indice MSCI des valeurs mondiales EURONEXT:IACWI a perdu 6,39 points, soit 0,63%, à 1 008,88.
L'indice paneuropéen STOXX 600 a terminé en baisse de 0,53%.
Les rendements des obligations du Trésor américain à 10 ans ont augmenté après deux sessions consécutives de baisse. Le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans (US10YT=TWEB) a augmenté de 5,1 points de base à 4,192% et a gagné plus de 5 points de base sur la semaine, s'apprêtant à connaître une deuxième hausse hebdomadaire consécutive.
Plus tôt, les rendements des obligations d'État allemandes ont augmenté après avoir atteint leur plus haut niveau depuis mars en début de semaine, soulignant la façon dont les investisseurs ont commencé à évaluer les hausses de taux de la zone euro. Cette divergence intervient alors que les traders s'attendent toujours à une baisse des taux américains à long terme, malgré la hausse des rendements de vendredi. Le rendement allemand à 30 ans (DE30YT=RR), plus sensible aux préoccupations budgétaires à long terme, a atteint son plus haut niveau depuis 14 ans à 3,498%, en hausse de 3,5 points de base.
LE DOLLAR PROGRESSE, LA LIVRE RECULE LEGEREMENT SUR LES DONNEES BRITANNIQUES
Le dollar américain a progressé par rapport aux principales devises, également après avoir chuté au cours des dernières séances, mais il était toujours prêt à subir sa troisième baisse hebdomadaire consécutive dans la perspective d'une réduction des taux d'intérêt par la Fed l'année prochaine.
La livre sterling s'est affaiblie après que des données aient montré que l'économie britannique s'est contractée de manière inattendue au cours des trois mois d'octobre. La livre a légèrement baissé de 0,2% contre le dollar à 1,3375 $, mais n'est pas loin d'un pic de sept semaines atteint jeudi.
Face au yen, le dollar a augmenté de 0,2% à 155,93 yens avant la réunion de la BoJ de la semaine prochaine, où l'on s'attend généralement à une hausse des taux. Reuters a rapporté que la BoJ maintiendrait probablement son engagement de continuer à augmenter les taux d'intérêt la semaine prochaine, tout en soulignant que le rythme des hausses supplémentaires dépendrait de la façon dont l'économie réagit à chaque augmentation.
L'euro est resté stable à 1,1735 dollar après avoir atteint jeudi un plus haut de plus de deux mois, tandis que l'indice du dollar , qui mesure la monnaie américaine par rapport à six autres, a progressé de 0,1% à 98,44.
LE CUIVRE PLONGE DEPUIS SON NIVEAU RECORD
Le cuivre a plongé de plus de 3%, après avoir atteint un niveau record plus tôt dans la session, alors que les craintes renouvelées de l'éclatement de la bulle de l'IA ont déclenché un vaste mouvement de repli des actifs plus risqués.
Le cuivre de référence à trois mois sur le London Metal Exchange a chuté de 3,5 % à 11 451,50 $ et se négociait en baisse de 2,8 % à 11 537,50 $ à 17h00 GMT.
Les prix du pétrole ont clôturé en baisse et ont affiché une baisse hebdomadaire de 4%, la surabondance de l'offre et l'accord de paix possible entre la Russie et l'Ukraine l'emportant sur les craintes concernant l'impact de la saisie par les États-Unis d'un pétrolier près du Venezuela. Le brut américain a perdu 16 cents pour s'établir à 57,44 dollars le baril et le Brent a perdu 16 cents pour s'établir à 61,12 dollars.
Les marchés boursiers mondiaux ont terminé en recul vendredi, rattrapés par les inquiétudes autour du secteur de l'intelligence artificielle (IA), au lendemain des résultats du groupe américain de microprocesseurs Broadcom.
En Europe, la Bourse de Paris a perdu 0,21%, Francfort 0,45%, Milan 0,43% et Londres 0,56%.
A New York, le Nasdaq, à forte coloration technologique, a lâché 1,69%. Le Dow Jones a perdu 0,51% et l'indice élargi S&P 500 a reculé de 1,07% après avoir tous les deux atteint de nouveaux records en clôture la veille.
"Le secteur de l'IA suscite tellement d'enthousiasme que le moindre signe d'inquiétude risque de créer de la volatilité" sur le marché, commente auprès de l'AFP Tim Urbanowicz, de Innovator Capital Management.
Vendredi, c'est le spécialiste des puces électroniques Broadcom qui a miné les Bourses, après des prévisions de ventes pour 2026 inférieures aux attentes des consensus d'analystes.
Le patron du groupe Hock Tan a indiqué que la société disposait d'un carnet de commandes estimé à 73 milliards de dollars pour ses produits dédiés à l'IA, ce qui a crispé les investisseurs, qui s'attendaient à mieux.
Le titre a glissé de 11,43% à 359,93 dollars à la Bourse de New York, soit une perte d'environ 200 milliards de dollars de capitalisation boursière.
"Broadcom est le principal partenaire de Google pour concevoir et fabriquer ses puces IA", et cette "collaboration place donc Broadcom parmi les leaders de cette technologie", relève Hervé Thiard, Directeur général de Pictet AM.
Ces nouvelles moins bonnes que prévu "provoquent donc de nouveau des questions sur la valorisation de l'intelligence artificielle", relève Edouard Faure, responsable du Crédit chez Swiss Life AM France, interrogé par l'AFP.
La veille, le géant de l'informatique à distance (cloud) Oracle (-4,58% à 189,74 dollars vendredi en clôture) avait été fortement sanctionné après des résultats jugés décevants. Le groupe s'est massivement endetté pour être un des leaders de l'infrastructure pour l'IA.
Le secteur de la tech, qui a tiré les marchés ces deux dernières années, fait régulièrement depuis l'été l'objet de scepticisme sur ses niveaux gigantesques de valorisation.
"Il y a une crainte que les dépenses du secteur ne soient finalement pas rentables", explique M. Urbanowicz.
A Wall Street, le secteur des semi-conducteurs a franchement pâti de la chute de Broadcom, à l'instar de Nvidia (-3,27%), Micron (-6,70%), Intel (-4,30%) et AMD (-4,81%).
Les taux américains en hausse
Les taux d'intérêt des emprunts d'État aux Etats-Unis ont grimpé après un commentaire de la présidente de la Réserve fédérale de Cleveland, Beth Hammack, qui votera sur les taux de la Fed l'année prochaine, ayant déclaré qu'elle préférerait que la politique monétaire soit plus restrictive face à l'inflation persistante aux Etats-Unis.
Cette prise de parole a surpris deux jours après une baisse des taux de l'institution.
Les marchés sont à l'affût de tout indice permettant d'anticiper la suite de la politique monétaire de la Fed pour 2026.
Aux Etats-Unis, le taux à dix ans s'est établi à 4,19%, contre 4,15% la veille en clôture.
Côté changes, le dollar restait stable (-0,02%), à 1,1740 dollar pour un euro.
Le pétrole en léger recul
"Malgré les tensions géopolitiques", les prix du pétrole sont restés "sous la pression d'une offre abondante provenant des États-Unis, de l'Opep", l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés de l'alliance Opep+, relève Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote.
Le prix du baril de Brent a reculé de 0,26% à 61,12 dollars et le West Texas Intermediate a lâché 0,28% à 57,44 dollars.
Le cannabis plane à Wall Street
Les entreprises spécialisées dans le cannabis ont été portées par un article du Washington Post assurant que le gouvernement américain pourrait assouplir les restrictions visant le développement et le commerce de cette substance.
Tilray Brands a été catapultée (+44,13%), de même que Canopy Growth (+53,98%).
UBS au plus haut depuis 2008
La société bancaire suisse UBS a bondi de 2,51% à 34,33 francs à Zurich, au plus haut depuis 2008, après que le quotidien suisse Neue Zürcher Zeitung a révélé qu'un groupe de parlementaires du pays envisage un compromis sur le durcissement des règles bancaires souhaitées par leur gouvernement.
par Sinéad Carew et Johann M Cherian
La Bourse de New York a fini en baisse vendredi avec la crainte, alimentée par Broadcom et Oracle, d'une bulle autour de l'intelligence artificielle (IA) et les positions prises par certains responsables de la Réserve fédérale douchant les espoirs d'une poursuite de la baisse des taux d'intérêt dans un avenir proche aux Etats-Unis.
Les records de clôture atteint jeudi par le Dow et le S&P ont pu aussi inciter des investisseurs à prendre leurs bénéfices.
L'indice Dow Jones a cédé 0,51%, ou 245,96 points, à 48.458,05 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, a perdu 73,59 points, soit 1,07% à 6.827,41 points.
Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 398,69 points, soit 1,69% à 23.195,169 points.
Sur la semaine, le Dow a gagné 1,05% mais le S&P-500 a perdu 0,63% et le Nasdaq 1,62%.
La Fed a certes abaissé à nouveau son taux directeur mercredi mais ses divisions ont aussi donné à penser qu'un seul assouplissement serait au programme l'an prochain, ce qui a contribué à faire grimper les rendements des bons du Trésor américain vendredi.
L'action Broadcom a chuté de 11,43%, le fabricant de semi-conducteurs ayant mis en garde contre une réduction de ses marges, ce qui a alimenté les craintes quant à la rentabilité des lourds investissements consentis dans le domaine de l'IA.
Après d'être effondré de près de 11% jeudi à la suite de prévisions financières jugées décevantes, le titre Oracle a encore perdu 4,47% vendredi. Le groupe a pourtant démenti un article de Bloomberg au sujet d'un retard dans l'ouverture de centres de données pour OpenAI, maison-mère de ChatGPT.
Le titre Lululemon Athletica <LULU.O> a en revanche gagné 9,6% après le relèvement par le spécialiste des vêtements de sport de sa prévision de bénéfice annuel et l'annonce du départ de son directeur général Calvin McDonald.
La Bourse de New York a terminé en franche baisse vendredi, plombée par le retour des craintes autour de la rentabilité de certains grands noms de l'intelligence artificielle (IA).
Le Nasdaq, à forte coloration technologique, a lâché 1,69%. Le Dow Jones a perdu 0,51% et l'indice élargi S&P 500 a reculé de 1,07% après avoir tous les deux atteint de nouveaux records en clôture la veille.
"Le secteur de l'IA suscite tellement d'enthousiasme que le moindre signe d'inquiétude risque de créer de la volatilité" sur le marché, commente auprès de l'AFP Tim Urbanowicz, de Innovator Capital Management.
Vendredi, c'est le spécialiste des puces électroniques Broadcom qui a miné Wall Street, malgré des résultats meilleurs qu'escompté au quatrième trimestre de son exercice décalé.
Les propos du patron du groupe, Hock Tan, assurant que la société dispose d'un carnet de commandes estimé à 73 milliards de dollars pour ses produits dédiés à l'IA ont crispé les investisseurs, qui s'attendaient à mieux.
Le titre a glissé de 11,43% à 359,93 dollars, soit une perte d'environ 200 milliards de dollars de capitalisation boursière.
La veille, le géant de l'informatique à distance (cloud) Oracle (-4,58% à 189,74 dollars vendredi en clôture) avait été fortement sanctionné après des résultats jugés décevants. Le groupe s'est massivement endetté pour être un des leaders de l'infrastructure pour l'IA.
"Les rapports financiers de nombreuses entreprises liées à l'IA sont devenus des événements majeurs pour le marché", résume Tim Urbanowicz.
"Il y a une crainte que les dépenses du secteur ne soient finalement pas rentables", explique-t-il.
Côté macroéconomique, après la baisse des taux de la Réserve fédérale (Fed) cette semaine, la place américaine attend désormais de recevoir de nouvelles données afin d'affiner ses attentes sur la politique monétaire future.
De nouveaux chiffres sur l'inflation et sur l'emploi - dont le taux de chômage pour le mois de novembre - seront publiés la semaine prochaine.
Ces rapports seront particulièrement scrutés alors que la longue paralysie budgétaire ("shutdown") aux Etats-Unis, du 1er octobre au 12 novembre, a décalé - voire annulé - la publication de nombreux indicateurs.
"Il y aura probablement une certaine volatilité si les (données) prennent une tournure complétement inattendue", estime M. Urbanowicz.
Sur le marché obligataire, le rendement de l'emprunt américain à dix ans, évoluait autour de 4,19% vers 21H15 GMT, contre 4,16% à la clôture jeudi.
Au tableau des valeurs, le secteur des semi-conducteurs pâtissait franchement de la chute de Broadcom, à l'instar de Nvidia (-3,27%), Micron (-6,70%), Intel (-4,30%) et AMD (-4,81%).
Les entreprises spécialisées dans le cannabis ont été portées par un article du Washington Post assurant que le gouvernement américain pourrait assouplir les restrictions visant le développement et le commerce de cette substance.
Tilray Brands a été catapultée (+44,13%), de même que Canopy Growth (+53,98%).
L'équipementier sportif Lululemon Athletica (+9,60% à 204,97 dollars), en difficulté depuis quelques mois, a profité de performances trimestrielles supérieures aux attentes et de l'annonce du départ de son patron.
Le distributeur de demi-gros Costco (-0,00% à 884,47 dollars) a terminé à l'équilibre après la publication de ses performances financières, au-dessus des attentes.
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