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Rapport sur la politique monétaire de la BOC
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U.S. EIA hebdomadaire Cushing, Oklahoma Crude Oil Stocks VariationA:--
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U.S. Refinitiv IPSOS PCSI (Décembre)A:--
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Chine, Mainland M1 Masse monétaire YoY (Novembre)--
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République dominicaine CPI YoY (Novembre)A:--
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Déclaration du FOMC
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Australie Taux de participation à l'emploi (SA) (Novembre)A:--
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Turquie Chiffre d'affaires des ventes de détail en glissement annuel (Octobre)--
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Afrique du Sud Production minière YoY (Octobre)--
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Italie Taux de chômage trimestriel (SA) (Troisième trimestre)--
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Rapport de l'AIE sur le marché pétrolier
Turquie Taux de repo sur une semaine--
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Afrique du Sud Refinitiv IPSOS PCSI (Décembre)--
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Turquie Taux de prêt au jour le jour (O/N) (Décembre)--
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Turquie Taux de liquidité tardive (LON) (Décembre)--
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ROYAUME-UNI Refinitiv IPSOS PCSI (Décembre)--
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Brésil Ventes au détail MoM (Octobre)--
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U.S. Demandes hebdomadaires d'allocations chômage (SA)--
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U.S. Exportations (Septembre)--
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U.S. Balance commerciale (Septembre)--
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Canada Importations (SA) (Septembre)--
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U.S. Demandes hebdomadaires initiales d'allocations chômage, moyenne sur 4 semaines (SA)--
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Canada Balance commerciale (SA) (Septembre)--
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U.S. Ventes en gros MoM (SA) (Septembre)--
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U.S. Vente aux enchères d'obligations à 30 ans Rendement moyen Rendement--
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Argentine IPC MoM (Novembre)--
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Les Bourses asiatiques se sont affichées en berne mardi, dans l'attente de la réunion de la banque centrale américaine (Fed) qui pourrait baisser ses taux et donner plus de visibilité sur sa trajectoire, la dette nippone restant de son côté sous la pression des investisseurs.
Recul des places d'Asie, Tokyo résiste timidement
A la Bourse de Tokyo, l'indice phare Nikkei a clôturé en hausse de 0,14% à 50.655,10 points et l'indice élargi Topix à l'équilibre (+0,02% à 3.384,92 points) dans un marché sans élan.
La Bourse de Séoul a lâché 0,27%, Sydney a perdu 0,45% et Taipei 0,43%. L'indice hongkongais Hang Seng abandonnait 1,17% vers 07H00 GMT.
La frilosité des places asiatiques fait suite à un repli de Wall Street, dans des marchés suspendus à la réunion de la Fed mercredi.
"Les marchés commençant à intégrer les risques liés à la décision imminente de la Réserve fédérale" et prennent leurs précautions, explique Kyle Rodda, du courtier Capital.com.
Si une baisse des taux est presque unanimement attendue, "des détails importants pourraient générer de la volatilité et compromettre l'habituel rebond boursier d'avant Noël", souligne-t-il, évoquant de possibles dissensions au sein du comité de la Fed et d'éventuels avertissements sur les décisions à venir.
"La perspective d'un monde où, globalement et en moyenne, les taux d'intérêt seront plus élevés que bas au cours de l'année à venir est également envisagée par les acteurs du marché", rappelle M. Rodda, évoquant notamment les anticipations d'une hausse des taux de la Banque du Japon (BoJ) la semaine prochaine.
"Si la hausse des taux d'intérêt n'a pas encore provoqué de repli significatif des actions japonaises, la nervosité devrait persister, les investisseurs anticipant une nouvelle augmentation des taux" de la BoJ, abondent les analystes de Tokai Tokyo Intelligence.
Sur-place du dollar
L'attentisme domine aussi le marché des changes: le billet vert progressait de 0,09% à 156,07 yens pour un dollar vers 07H00 GMT, oscillant autour de l'équilibre.
"Le dollar va évoluer dans une fourchette étroite avant la réunion de la Fed", après avoir "fait largement du sur-place lundi", estiment les experts de Standard Chartered.
L'attention des cambistes "se concentrera sur les projections de taux actualisés diffusées par (la Fed), les prévisions économiques révisées, et les commentaires du président de la Fed", notent-ils.
L'or, valeur refuge, était également quasi-stable à 4.183 dollars l'once, tandis que le bitcoin se repliait de 1,28%.
Dette japonaise toujours sous pression
Nouveaux records pour les obligations souveraines nippones: le rendement des titres à échéance dix ans a grimpé tard lundi à son plus haut niveau depuis 19 ans. Les taux à 30 ans avaient atteint un sommet historique la semaine dernière, signe d'une prudence accrue des investisseurs.
Alors que Tokyo prépare de nouvelles émissions massives de dette pour financer un plan de relance, au risque d'aviver les inquiétudes sur son endettement et sa discipline budgétaire, les spéculations sur la BoJ ont fait grimper à nouveau les taux obligataires nippons.
La ministre japonaise des Finances, Satsuki Katayama, a déclaré "suivre de près" les tendances du marché obligataire, selon Bloomberg.
"Les rendements des obligations d'Etat japonaises ont fortement augmenté et cette volatilité pourrait se poursuivre compte tenu des incertitudes pesant sur l'orientation de la politique budgétaire nationale", souligne Michael Wan, de la banque MUFG.
Les investisseurs restent aussi en quête d'indices sur la Banque du Japon et sa future décision de politique monétaire, ajoute-t-il.
Repli du pétrole
Le marché pétrolier creuse ses pertes, entre discussions pour résoudre la guerre en Ukraine et craintes de surplus de l'offre d'or noir.
Vers 07H00 GMT, le baril de WTI nord-américain cédait 0,27% à 58,72 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,19% à 62,37 dollars.





Les Bourses asiatiques s'affichent en berne mardi, dans l'attente de la réunion de la banque centrale américaine (Fed) qui pourrait baisser ses taux et donner plus de visibilité sur sa trajectoire monétaire, la dette nippone restant de son côté sous la pression des investisseurs.
Recul des places d'Asie, Tokyo résiste timidement
A la Bourse de Tokyo vers 02H30 GMT, l'indice phare Nikkei prenait 0,21% à 50.688 points et l'indice élargi Topix était à l'équilibre (+0,04% à 3.385 points).
La Bourse de Séoul lâchait 0,61%, Sydney perdait 0,26% et Taipei 0,24%, l'indice hongkongais Hang Seng abandonnant 0,81%.
La frilosité des places asiatiques fait suite à un repli de Wall Street, dans des marchés suspendus à la réunion de la Fed mercredi.
"Les marchés commençant à intégrer les risques liés à la décision imminente de la Réserve fédérale" et prennent leurs précautions, explique Kyle Rodda, du courtier Capital.com.
Si une baisse des taux est presque unanimement attendue, "des détails importants pourraient générer de la volatilité et compromettre l'habituel rebond boursier d'avant Noël", souligne-t-il, évoquant de possibles dissensions au sein du comité de la Fed et d'éventuels avertissements sur les décisions à venir.
"La perspective d'un monde où, globalement et en moyenne, les taux d'intérêt seront plus élevés que bas au cours de l'année à venir est également envisagée par les acteurs du marché", rappelle M. Rodda, évoquant notamment les anticipations d'une hausse des taux de la Banque du Japon (BoJ) la semaine prochaine.
"Si la hausse des taux d'intérêt n'a pas encore provoqué de repli significatif des actions japonaises, la nervosité devrait persister, les investisseurs anticipant une nouvelle augmentation des taux" de la BoJ, abondent les analystes de Tokai Tokyo Intelligence.
Sur-place du dollar
L'attentisme domine aussi le marché des changes: le billet vert se stabilisait à 155,90 yens pour un dollar vers 02H50 GMT.
"Le dollar va évoluer dans une fourchette étroite avant la réunion de la Fed", après avoir "fait largement du sur-place lundi", estiment les experts de Standard Chartered.
L'attention des cambistes "se concentrera sur les projections de taux actualisés diffusées par (la Fed), les prévisions économiques révisées, et les commentaires du président de la Fed", notent-ils.
L'or, valeur refuge, était également stable à 4.192 dollars l'once, tandis que le bitcoin se repliait de 1,4%.
Dette japonaise toujours sous pression
Nouveaux records pour les obligations souveraines nippones: le rendement des titres à échéance dix ans a grimpé tard lundi à son plus haut niveau depuis 19 ans. Les taux à 30 ans avaient atteint un sommet historique la semaine dernière, signe d'une prudence accrue des investisseurs.
Alors que Tokyo prépare de nouvelles émissions massives de dette pour financer un plan de relance, au risque d'aviver les inquiétudes sur son endettement et sa discipline budgétaire, les spéculations sur la BoJ ont fait grimper à nouveau les taux obligataires nippons.
La ministre japonaise des Finances, Satsuki Katayama, a déclaré "suivre de près" les tendances du marché obligataire, selon Bloomberg.
"Les rendements des obligations d'Etat japonaises ont fortement augmenté et cette volatilité pourrait se poursuivre compte tenu des incertitudes pesant sur l'orientation de la politique budgétaire nationale", souligne Michael Wan, de la banque MUFG.
Les investisseurs restent aussi en quête d'indices sur la Banque du Japon et sa future décision de politique monétaire, ajoute-t-il.
Repli du pétrole
Le marché pétrolier creuse ses pertes, entre discussions pour résoudre la guerre en Ukraine et craintes de surplus de l'offre d'or noir.
Vers 03H00 GMT, le baril de WTI nord-américain cédait 0,24% à 58,74 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,18% à 62,38 dollars.





Les marchés boursiers mondiaux ont été orientés à la baisse lundi, dans l'attente de la réunion de la banque centrale américaine (Fed), qui devrait déboucher sur une nouvelle baisse de taux et donner plus de visibilité sur le futur de la trajectoire monétaire aux Etats-Unis.
A New York, le Dow Jones a lâché 0,45%, l'indice Nasdaq a reculé de 0,14% et l'indice élargi S&P 500 a perdu 0,35%.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé tout près de son point d'équilibre (-0,08%), tout comme celle de Francfort (+0,07%), tandis que la place londonienne a légèrement reculé de 0,23%.
"Il ne fait pratiquement aucun doute que la Fed va baisser ses taux mercredi", relève auprès de l'AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.
Selon l'outil de veille CME FedWatch, les investisseurs anticipent massivement une troisième détente consécutive, qui ramènerait les taux dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%.
Pour M. Hogan, "ce qui sera probablement plus important, c'est le ton adopté par la Fed, (...) le résumé de ses projections économiques et la conférence de presse" de son président Jerome Powell mercredi à l'issue de la réunion.
Tout cela pourrait "aider les investisseurs à se faire une idée de la politique accommodante, ou non, que la banque centrale américaine est susceptible de mener à l'avenir", note David Morrison, de Trade Nation.
"La suite reste toutefois incertaine", commente Christine Romar, analyste chez CMC Markets.
Les responsables de la Fed semblent être divisés sur la marche à suivre dans les prochains mois.
Trois camps se dessinent: les partisans d'un statu quo, ceux qui ont laissé planer le doute et les défenseurs d'un desserrement monétaire.
Les baisses de taux sont généralement bien accueillies par les marchés financiers car elles sont de nature à aider la croissance, et donc à augmenter les perspectives de bénéfices des entreprises.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans se tendait vers 21H45 GMT, à 4,17%, contre 4,13% à la clôture vendredi.
Côté changes, le dollar restait stable face à la monnaie unique européenne (-0,04%), à 1,1638 dollars pour un euro.
Paramount ne veut pas lâcher Warner Bros
Le groupe de télévision et de cinéma Paramount Skydance (+9,02% à 14,57 dollars) a été récompensé pour sa nouvelle proposition d'acquisition de son concurrent Warner Bros Discovery (WBD), valorisé 108,4 milliards de dollars.
Cette contre-offre a été lancée trois jours après l'annonce d'un accord de rachat entre WBD (+4,41% à 27,23 dollars) et Netflix (-3,44% à 96,79 dollars).
A la différence de Netflix, qui ne propose de racheter, pour l'essentiel, que le studio Warner Bros et la plateforme de vidéo à la demande HBO Max, Paramount Skydance veut, lui, acquérir l'ensemble de WBD, y compris son portefeuille de chaînes de télévision, selon un communiqué.
Bayer reprend du poil de la bête
Le géant de la santé et de l'agro-chimie Bayer (+4,94%) a mené la séance à la Bourse de Francfort. Après le succès d'une étude sur un médicament et la perspective de régler les poursuites liées au glyphosate, de nouveaux commentaires positifs sur le secteur pharmaceutique ont fait acheter le titre, tandis que l'entreprise réapparaît progressivement sur les listes de recommandations d'achat d'analystes.
Le pétrole en repli
Les cours du pétrole ont reculé lundi, effaçant les gains réalisés en fin de semaine dernière, minés par les incertitudes entourant le plan de réglement du conflit en Ukraine et les craintes d'un excédent d'offre.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord a cédé 1,98% à 62,49 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate a perdu 2,00% à 58,88 dollars.
"Les espoirs d'un accord de paix potentiel entre l'Ukraine et la Russie restent incertains, les tensions diplomatiques persistant", souligne Soojin Kim, analyste chez MUFG.





La Bourse de New York a terminé en recul lundi, attendant avec prudence la décision de la Réserve fédérale (Fed) sur ses taux directeurs et toute indication sur le futur de la politique monétaire aux Etats-Unis.
Le Dow Jones a lâché 0,45%, l'indice Nasdaq a reculé de 0,14% et l'indice élargi S&P 500 a perdu 0,35%.
"Il s'agit simplement d'une pause avant la réunion de la Fed", qui débutera mardi et se terminera le lendemain, commente auprès de l'AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.
Ces dernières semaines, les indices de la place américaine ont été poussés par la perspective d'une nouvelle détente de taux pour cette dernière réunion de l'année.
"Il ne fait pratiquement aucun doute que la Fed va baisser ses taux mercredi", relève Art Hogan. Selon l'outil de veille CME FedWatch, les investisseurs anticipent massivement une troisième détente consécutive, qui ramènerait les taux dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%.
Pour M. Hogan, "ce qui sera probablement plus important, c'est le ton adopté par la Fed, (...) le résumé de ses projections économiques et la conférence de presse" de son président Jerome Powell mercredi à l'issue de la réunion.
Tout cela pourrait "aider les investisseurs à se faire une idée de la politique accommodante, ou non, que la banque centrale américaine est susceptible de mener à l'avenir", note David Morrison, de Trade Nation.
Les responsables de la Fed semblent être divisés sur la marche à suivre dans les prochains mois.
Trois camps se dessinent: les partisans d'un statu quo, ceux qui ont laissé planer le doute et les défenseurs d'un desserrement monétaire.
Les baisses de taux sont généralement bien accueillies par Wall Street car elles sont de nature à aider la croissance, et donc à augmenter les perspectives de bénéfices des entreprises.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans se tendait vers 21H20 GMT, à 4,17%, contre 4,13% à la clôture vendredi.
Côté indicateurs, la place new-yorkaise gardera un oeil sur la publication du rapport JOLTS mardi concernant les offres d'emploi en octobre, des données retardées à cause de la longue paralysie budgétaire ("shutdown") qui a touché les Etats-Unis du 1er octobre au 12 novembre.
Au tableau des valeurs, le groupe de télévision et de cinéma Paramount Skydance (+9,02% à 14,57 dollars) a été récompensé pour sa nouvelle proposition d'acquisition de son concurrent Warner Bros Discovery (WBD), valorisé 108,4 milliards de dollars.
Cette contre-offre a été lancée trois jours après l'annonce d'un accord de rachat entre WBD (+4,41% à 27,23 dollars) et Netflix (-3,44% à 96,79 dollars).
A la différence de Netflix, qui ne propose de racheter, pour l'essentiel, que le studio Warner Bros et la plateforme de vidéo à la demande HBO Max, Paramount Skydance veut, lui, acquérir l'ensemble de WBD, y compris son portefeuille de chaînes de télévision, selon un communiqué.
La société Confluent a de son côté été propulsée (+29,08% à 29,87 dollars) après l'annonce lundi de son rachat par le groupe informatique IBM (+0,40% à 309,18 dollars) pour 11 milliards de dollars.
Avec cette transaction, qui devrait être finalisée d'ici mi-2026, IBM indique vouloir accélérer le déploiement d'intelligences artificielles (IA) agentiques auprès des entreprises.
Le concepteur de puces informatiques Marvell Technology a été décroché (-6,99% à 92,00 dollars) suite à des informations de presse selon lesquelles le géant Microsoft pourrait changer de fournisseur et opter pour les produits de Broadcom (+2,78% à 401,10 dollars).





Les Bourses mondiales évoluent sans grand changement lundi, dans une séance sans catalyseur majeur, le marché attendant la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) mercredi soir, dans l'espoir d'assister à une nouvelle baisse de ses taux directeurs.
A New York, vers 14H55 GMT, l'indice Nasdaq grappillait 0,15%, tandis que le Dow Jones (-0,09%) et le S&P 500 (-0,03%) oscillaient autour de leur point d'équilibre.
En Europe, la Bourse de Paris était stable (-0,05%), tout comme Milan (+0,06%), Francfort gagnait 0,28%, quand Londres reculait de 0,22%.
"Toutes les attentions cette semaine seront tournées vers la réunion (de politique monétaire)" de la Réserve fédérale américaine qui se tient mardi et mercredi, commente Jim Reid, économiste de Deutsche Bank.
Les marchés "s'attendent à ce que la Fed procède à une dernière et troisième baisse de taux de 0,25 point de pourcentage pour 2025, portant à 6 le nombre de baisses depuis septembre 2024", résume M. Reid.
Les taux directeurs de la Fed sont actuellement situés dans une fourchette comprise entre 3,75% et 4%.
"La faiblesse récente des données sur l'emploi et un indice d'inflation (PCE) stable (...) soutiennent cette perspective", note Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote.
A 2,8% sur un an contre 2,7% en août, l'inflation s'éloigne encore de la cible de la banque centrale américaine qui est de 2%. L'inflation sous-jacente (hors prix de l'énergie et de l'alimentation) a quant à elle légèrement ralenti à 2,8% en glissement annuel, contre 2,9% le mois précédent.
Et "au-delà de cette décision de premier plan, le ton de la conférence de presse du président (Jerome) Powell et le communiqué qui l'accompagne seront essentiels" mercredi, note Jim Reid.
"Le président Powell a tout intérêt à préserver sa marge de manoeuvre", estime Daniela Hathorn, analyste chez Capital.com. "Une baisse accompagnée de commentaires prudents pourrait soutenir l'appétit pour risque des investisseurs dans un premier temps", poursuit-elle.
Dans ce contexte, le dollar restait atone face à la monnaie unique (-0,05%) à 1,1648 dollar pour un euro vers 14H55 GMT.
Paramount lorgne sur Warner Bros
Le groupe de télévision et cinéma Paramount Skydance (+3,33% à New York) a présenté lundi une contre-offre pour son concurrent Warner Bros Discovery (+6,61%), valorisé 108,4 milliards de dollars, trois jours après l'annonce d'un accord de rachat entre Warner et Netflix (-2,90%).
A la différence de Netflix, qui ne propose de racheter pour l'essentiel que le studio Warner Bros et la plateforme de streaming HBO Max, Paramount Skydance veut acquérir l'ensemble de WBD, y compris son portefeuille de chaînes de télévision.
Le pétrole en repli
Du côté du pétrole, vers 14H55 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord perdait 1,40% à 63,75 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate cédait 1,43% à 59,22 dollars.
Les investisseurs pétroliers "mettent en balance les risques géopolitiques pesant sur l'offre et les inquiétudes liées à un surplus mondial imminent", commente Soojin Kim, analyste chez MUFG.
Sur le front géopolitique, le président ukrainien Volodymyr Zelensky retrouve lundi ses alliés européens à Londres pour consolider leurs positions sur un plan de règlement du conflit en Ukraine, après que Donald Trump a reproché au président ukrainien de "ne pas avoir lu" la dernière proposition américaine.
Un haut responsable au fait des dernières discussions a indiqué à l'AFP que la question des concessions territoriales éventuelles de l'Ukraine restait "la plus problématique" dans ces négociations, qui visent à mettre fin au conflit déclenché par l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022.
"Les espoirs d'un accord de paix potentiel entre l'Ukraine et la Russie restent incertains, les tensions diplomatiques persistant", souligne Soojin Kim.





Le dollar est au point mort lundi, la légère accélération de l'inflation américaine vendredi n'ayant pas sapé les prévisions du marché d'une baisse de taux de la Réserve fédérale (Fed) cette semaine.
Aux Etats-Unis l'indice PCE a progressé, à 2,8% sur un an en septembre, un taux d'inflation en ligne avec le consensus des analystes compilé par Bloomberg, contre 2,7% en août.
Malgré ce chiffre, supérieur à l'objectif de 2% de la Fed, les investisseurs s'attendent toujours à ce que la banque centrale américaine abaisse ses taux directeurs d'un quart de point de pourcentage à l'issue de sa réunion mardi et mercredi.
"La détérioration des perspectives d'emploi pousse" son président Jerome "Powell et son équipe à agir", note Chris Beauchamp, analyste chez IG.
Vers 10H35 GMT (11H35 à Paris), le billet vert perdait 0,07% par rapport à la monnaie unique européenne, à 1,1651 dollar pour un euro, et s'affichait stable (+0,02%) contre la livre sterling, à 1,3325 dollar.
Devant les avis divergents de ses membres sur la nécessité d'une coupe, "pour parvenir à imposer une baisse des taux", la Fed pourrait être contrainte de l'accompagner d'indications suggérant "un probable ralentissement du rythme des réductions de taux l'année prochaine", pense Lee Hardman, analyste chez MUFG.
"Une politique monétaire plus souple devrait entraîner un regain d'afflux de capitaux vers les cryptomonnaies", souligne en outre M. Beauchamp.
Le bitcoin rebondissait lundi de 2,11%, à 92.136,50 dollars.
Les intervenants notaient par ailleurs que la Commission européenne envisageait de recourir aux avoirs russes gelés en Europe à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, afin de soutenir financièrement le gouvernement de Kiev pendant deux ans.
"Une telle mesure pourrait nuire à l'attractivité de la zone euro comme destination d'investissement et, par conséquent, porter un préjudice durable à l'euro lui-même", voire remettre en cause "son statut de valeur refuge", estime Thu Lan Nguyen, de Commerzbank.
L'analyste l'explique par le fait que "si l'État dans lequel les capitaux sont investis les confisque sans recours, la sécurité" des investissements y "est clairement compromise".
La banque centrale australienne (RBA) dévoilera pour sa part sa décision de politique monétaire mardi, suivie de la Banque du Canada et de la banque centrale brésilienne mercredi, puis de la Banque Nationale Suisse (SNB) et de la banque centrale turque jeudi.
La semaine prochaine, ce sera au tour de la Banque centrale européenne (BCE), de la Banque d'Angleterre et de la Banque du Japon (BoJ) de rendre leurs verdicts.
Cours de lundi Cours de vendredi
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10H35 GMT 22H00 GMT
EUR/USD 1,1651 1,1642
EUR/JPY 181,08 180,85
EUR/CHF 0,9370 0,9369
EUR/GBP 0,8743 0,8735
USD/JPY 155,43 155,33
USD/CHF 0,8042 0,8047





Les Bourses mondiales patientent lundi avant la décision de la Réserve fédérale américaine (Fed), temps fort de la semaine, où les investisseurs tenteront de déceler des indices sur l'orientation de la politique monétaire de l'institution monétaire pour l'année prochaine.
En Europe, dans les premiers échanges, la Bourse de Paris perdait 0,30% quand Francfort (+0,02%), Londres (+0,06%) et Milan (-0,01%) restaient à l'équilibre.
En Asie, à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a oscillé autour de l'équilibre, terminant en hausse de 0,18%. A Séoul, l'indice Kospi a gagné 1,34%. A Hong Kong, l'indice Hang Seng lâchait 1,23% dans les derniers échanges.
"Toutes les attentions cette semaine seront tournées vers la réunion (de politique monétaire) de mercredi" de la Réserve fédérale américaine, commente Jim Reid, économiste de la Deutsche Bank.
Les marchés "s'attendent à ce que la Fed procède à une dernière et troisième baisse de taux de 0,25% pour 2025, portant à 6 le nombre de baisses et à 1,75% l'assouplissement cumulé depuis septembre 2024", résume M. Reid.
"La faiblesse récente des données sur l'emploi et un indice PCE stable (...) soutiennent cette perspective", note Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote.
A 2,8% sur un an contre 2,7% en août, l'inflation s'éloigne encore de la cible de la banque centrale américaine, qui est de 2%. L'inflation sous-jacente (hors prix de l'énergie et de l'alimentation) a, elle, légèrement ralenti à 2,8% en glissement annuel, contre 2,9% le mois précédent.
La répartition des votes au sein du FOMC, le Comité de politique monétaire de la Fed, devrait également être scrutée.
"Le FOMC est divisé", souligne Mme Ozkardeskaya. "Certains membres craignent qu'une inflation alimentée par les droits de douane ne contrebalance les forces désinflationnistes et plaident pour la prudence - face à ceux qui veulent des baisses plus rapides, en ligne avec les pressions politiques et la préférence du public."
L'hypothèse la plus probable pour l'analyste reste que "les taux continueront de baisser à mesure que le comité se tourne vers des membres plus alignés sur les positions de la nouvelle administration, à commencer par un nouveau président de la Réserve fédérale".
Parmi les personnalités vues comme de potentiels successeurs de Jerome Powell, l'actuel principal conseiller à l'économie du président américain, Kevin Hasset, est régulièrement cité.
Et "au-delà de cette décision de premier plan, le ton de la conférence de presse du président Powell et le communiqué qui l'accompagne seront essentiels", note Jim Reid.
La Chine menacée de droits de douane
L'excédent commercial colossal de la Chine a dépassé pour la première fois les 1.000 milliards de dollars en 2025, les exportations à travers le reste du monde compensant la forte baisse des livraisons vers les États-Unis, indiquent des chiffres officiels publiés lundi.
Le président français Emmanuel Macron, tout juste de retour de Chine où il a plaidé la cause européenne en fin de semaine passée, a menacé Pékin dimanche de droits de douane "dans les tout prochains mois" si la Chine ne prend pas des mesures pour réduire le déficit commercial qui ne cesse de se creuser avec l'Union européenne.
Lundi, les valeurs européennes exposées à la Chine comme le luxe français, perdaient du terrain. A Paris, L'Oréal cédait 1,64%, Hermes 1,57%, Christian Dior 1,36%, LVMH 1,00% et Kering 0,59% vers 08H30 GMT.
La défense japonaise soutenue
"Les tensions entre la Chine et le Japon montent, soutenant les actions japonaises de la défense", commente Ipek Ozkardeskaya.
Tokyo a convoqué l'ambassadeur de Chine au Japon pour lui exprimer sa "vive protestation" après que des avions militaires chinois ont verrouillé leurs radars sur des chasseurs japonais, au moment où les tensions sont fortes entre les deux pays au sujet de Taïwan.
La Première ministre Sanae Takaichi a suggéré le mois dernier que le Japon pourrait intervenir militairement en cas d'attaque chinoise contre Taïwan, île dont Pékin revendique la souveraineté. La Chine n'exclut pas de recourir à la force pour la reprendre.
A Tokyo, Mitsubishi Heavy Industries a terminé en hausse de 3,06%, Kawasaki Heavy Industries de 2,48% et Japan Steel Works de 4,68%.
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