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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Pas de données
par Claude Chendjou
Les principales Bourses européennes ont marqué une pause jeudi après trois séances de nette hausse liée aux anticipations d'une baisse imminente des taux d'intérêt outre-Atlantique.
À Paris, le CAC 40 a fini sur un léger gain de 0,04% à 8.099,47 points. Le Footsie britannique CURRENCYCOM:UK100 a avancé de 0,02% et le Dax allemand a progressé de 0,22%.
L'indice EuroStoxx 50 a perdu 0,02%, tandis que le FTSEurofirst 300 a pris 0,07%. Le Stoxx 600 a gagné 0,12%, soutenu notamment par le secteur de la défense (.SXPARO) (+0,26%) qui a compensé les pertes enregistrées dans le compartiment de la santé (.SXDP) (0,54%).
La séance en Europe a été relativement calme en termes de volume d'échanges en l'absence des investisseurs américains, qui se préparent au long week-end de Thanksgiving. Wall Street est restée fermée ce jeudi et rouvrira vendredi pour une séance écourtée.
Les contrats à terme sur la Bourse de New York anticipent une séance sans grand changement pour vendredi, le Dow Jones , le Standard & Poor's 500 et le Nasdaq étant pratiquement à l'équilibre. Cette perspective prudente est à comparer avec la session mercredi à Wall Street où les actions ont été une nouvelle fois portées par un reflux des craintes liées à une bulle de l'intelligence artificielle (IA), ce qui avait agité les marchés au début du mois.
Faute de nouveaux catalyseurs, les marchés en Europe ont globalement choisi jeudi de consolider les gains récents, donnant lieu à de faibles mouvements, même si l'indice de la volatilité sur l'Eurostoxx 50 <.V2TX< a encore reculé, d'environ 3,5% à moins de 18 points.
"D'ici la fin de l'année, les marchés pourraient évoluer latéralement ou progresser lentement, la baisse attendue des taux de la Fed et la forte saisonnalité faisant de décembre un mois difficile pour les prévisions pessimistes, tandis qu'un rallye de Noël reste une possibilité bien réelle", commente Charu Chanana, stratège en investissements chez Saxo.
VALEURS EN EUROPE
Rémy Cointreau a avancé de 2,62% après avoir exprimé sa confiance dans sa capacité à renouer avec la croissance sur l'exercice 2025/2026. Ses concurrents Pernod Ricard , Diageo et Campari ont pris respectivement 1,99%, 1,48% et 3,16%.
Puma a grimpé de 18,91% alors que les fabricants chinois de vêtements de sport Anta Sports Products et Li Ning étudient des offres d'achat du groupe allemand, selon des sources.
Deutsche Bourse a progressé de 1,81%, JPMorgan étant passé de "neutre" à "surpondérer" sur la banque allemande.
Le promoteur immobilier britannique Unite Group a fini en baisse de 3,48%, après être tombé en séance à un creux de plus de dix ans, à la suite d'un avertissement sur bénéfice 2026.
Le distributeur de mode Debenhams s'est envolé de 56,03% après avoir annoncé anticiper un bénéfice d'exploitation ajusté annuel supérieur à celui de l'an dernier.
LES INDICATEURS DU JOUR
La croissance des prêts aux entreprises a augmenté en octobre de 2,9% sur un an, selon les données publiées par la Banque centrale européenne (BCE).
Le sentiment économique en zone euro s'est amélioré comme prévu en novembre avec un indice à 97,0, selon les données de la Commission européenne.
CHANGES
Le dollar recule de 0,04% face à un panier de devises de référence , s'acheminant vers sa plus forte baisse hebdomadaire en quatre mois dans un contexte d'espoir de baisse des taux d'intérêt et de pressions accrues en faveur du remplacement de l'actuel président de la Fed, Jerome Powell, par un conseiller économique de Donald Trump, Kevin Hassett. Le billet vert revient ainsi jeudi d'un sommet de six mois atteint la semaine dernière.
L'euro est pratiquement stable, à 1,1598 dollar (+0,03%), alors que les "minutes" de la dernière réunion de la BCE montre que les responsables de l'institution n'ont pas observé d'urgence à baisser les taux directeurs le mois dernier en raison d'une incertitude exceptionnellement élevée.
La livre sterling s'échange à 1,3240 dollar (+0,01%), après cinq séances consécutives de hausse liée aux anticipations sur le budget britannique, dont la présentation mercredi a atténué certaines inquiétudes concernant les finances publiques. Les analystes estiment toutefois que les inquiétudes sur la croissance et la politique monétaire de la Banque d'Angleterre (BoE) devraient maintenir la livre sous pression.
Le Bitcoin remonte de 1,48% à 91.522,19 dollars, en passe d'interrompre une série de quatre semaines de repli, avec à ce stade un gain hebdomadaire de près de 3%.
TAUX
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) a fini pratiquement inchangé, à 2,6775%, après des variations dans une fourchette étroite de 2,668% à 2,690%.
Le compte rendu de la réunion des 29 et 30 octobre de la BCE montre que l'institution n'est pas pressée de baisser ses taux, tandis que Martins Kazaks, membre du comité de politique monétaire de la BCE, a déclaré jeudi qu'il était prématuré de discuter d'une nouvelle baisse des coûts d'emprunt car l'inflation en zone euro pourrait encore être plus élevée que prévu.
Le marché obligataire américain est resté fermé, mais les opérateurs intègrent désormais dans leurs calculs une probabilité de 85% d'une baisse des taux le mois prochain, contre seulement 30% une semaine auparavant, selon l'outil FedWatch de CME.
PÉTROLE
Le marché pétrolier monte jeudi alors que les opérateurs attendent des éclaircissements sur les pourparlers russo-ukrainiens. Vladimir Poutine a déclaré jeudi que les grandes lignes du plan américain pour l'Ukraine pourraient servir de base à de "futurs accords", tout en excluant de signer un document avec les autorités "illégitimes" de Kyiv et en affirmant que l'avancée des forces russes s'accélère.
Le Brent progresse de 0,27% à 63,3 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) gagne 0,44% à 58,90 dollars .
A SUIVRE VENDREDI:
par Claude Chendjou
Les principales Bourses européennes sont sur de faibles variations jeudi à mi-parcours en l'absence de Wall Street et d'indicateurs majeurs dans une séance globalement marquée par l'attentisme.
Les futures sur indices pour la Bourse de New York, fermée ce jeudi en raison de la fête de Thanksgiving, signalent une réouverture vendredi pour une demi-séance avec une baisse de 0,02% pour le Dow Jones , un repli de 0,01% pour le Standard & Poor's 500 et une hausse de 0,03% pour le Nasdaq au lendemain d'une clôture dans le vert.
À Paris, le CAC 40 grappille 0,07% à 8.101,94 points vers 11h50 GMT. À Francfort, le Dax avance de 0,21%. A Londres, le FTSE CURRENCYCOM:UK100 fléchit de 0,19%, pénalisé principalement par le repli des matières premières.
L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 et l'EuroStoxx 50 de la zone euro régressent chacun de 0,05%%. Le Stoxx 600 recule de 0,02%, ses grands compartiments affichant de faibles variations à la hausse comme à la baisse.
La récente tendance positive sur les marchés actions dans le monde a été alimentée par le secteur technologique sur fond d'anticipation de baisses des taux directeurs de la Réserve fédérale américaine (Fed) en décembre, au regard des déclarations de ses responsables et de la faiblesse de certains indicateurs économiques outre-Atlantique.
Les places européennes observent ce jeudi une pause après trois séances consécutives de hausse, faute de nouveaux catalyseurs.
"Nous avons assisté à un rebond assez important (...) Pour les marchés, il faut un peu de temps pour trouver une nouveau récit", note Joost van Leenders, stratège en investissement chez Van Lanschot Kempen, soulignant qu'il s'agit d'une consolidation logique.
L'actualité des entreprises et des résultats en Europe anime néanmoins les échanges, notamment dans le secteur de l'alimentation et des boissons (.SX3P) qui gagne 0,30% et celui de la finance (.SXFP) qui avance de 0,83%, tandis que celui de la santé (.SXDP) recule de 0,31%.
L'indice de la volatilité sur l'EuroStoxx 50 (.V2TX) cède 3,42% à 17,86 points, signe d'une certaine détente des marchés.
VALEURS EN EUROPE
Rémy Cointreau avance de 2,88% après avoir exprimé sa confiance dans sa capacité à renouer avec la croissance sur l'exercice 2025/2026. Ses concurrents Pernod Ricard , Diageo et Campari prennent respectivement 2,04%, 0,50% et 1,99%.
Puma grimpe de 15,32% alors que les fabricants chinois de vêtements de sport Anta Sports Products et Li Ning étudient des offres d'achat du groupe allemand, selon des sources.
Deutsche Bourse progresse de 4,2%, JPMorgan étant passé de "neutre" à "surpondérer" sur la banque allemande.
Le groupe londonien Unite Group est dans le rouge, après être tombé en séance à un creux de plus de dix ans avec une perte de 6,97%. Le promoteur de logements pour étudiants a averti d'une baisse de son bénéfice pour 2026.
Le distributeur de mode Debenhams s'envole de 43,10%, en passe de signer sa meilleure performance sur une séance depuis juillet 2020, après avoir annoncé anticiper un bénéfice d'exploitation ajusté annuel supérieur à celui de l'an dernier.
TAUX
Les rendements obligataires souverains en zone euro sont stables jeudi avec notamment le Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) qui s'affiche à 2,6817% alors que l'activité sur la plupart des marchés tourne au ralenti en raison de Thanksgiving aux Etats-Unis.
La séance est relativement pauvre en indicateurs avec notamment des données publiées par la BCE qui montrent que la croissance des prêts aux entreprises a augmenté en octobre de 2,9% sur un an. Le sentiment économique en zone euro, lui, s'est amélioré comme prévu en novembre avec un indice à 97,0, selon les données de la Commission européenne.
CHANGES
Le dollar fait du surplace face à un panier de devises internationales, grappillant 0,07%.
L'euro recule de 0,12%, à 1,1580 dollar, avant la publication du compte rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE).
Les marchés surveillent aussi les négociations sur le plan de paix en Ukraine alors que la Russie juge encore "prématuré" de parler d'un accord pour mettre fin à la guerre, tandis que Steve Witkoff, émissaire du président américain Donald Trump, doit se rendre la semaine prochaine à Moscou.
La livre sterling s'échange désormais à 1,3224 dollar, en repli de 0,12%, mais a touché en séance son plus haut niveau depuis fin octobre à 1,3265 dollar.
La monnaie britannique devrait enregistrer sa plus forte croissance hebdomadaire depuis août, après cinq séances consécutives de hausse. La présentation mercredi du budget par la ministre des Finances Rachel Reeves a atténué certaines inquiétudes concernant les finances britanniques. Les analystes estiment toutefois que les inquiétudes persistantes concernant la croissance et la politique monétaire de la Banque d'Angleterre (BoE) devraient maintenir la livre sous pression.
PÉTROLE
Le marché pétrolier est pratiquement stable jeudi, les opérateurs étant dans l'attente de l'issue des pourparlers de paix en Ukraine.
Le Brent grappille 0,16% à 63,23 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) avance de 0,39% à 58,88 dollars .
PLUS AUCUN INDICATEUR ÉCONOMIQUE MAJEUR À L'AGENDA DU 27 NOVEMBRE








par Chuck Mikolajczak
Les actions mondiales ont progressé pour la quatrième journée consécutive mercredi, les attentes d'une réduction des taux de la Réserve fédérale américaine restant élevées, tandis que la livre sterling a été secouée par la publication par inadvertance de nouvelles prévisions par l'organisme de surveillance budgétaire britannique avant la publication du budget britannique.
A Wall Street, les actions américaines ont clôturé en hausse , tirées par les gains du secteur technologique qui a augmenté d'environ 1,5%, en partie grâce à un bond de près de 7% de Dell Technologies après la publication de ses résultats trimestriels et de ses perspectives.
Les actions se sont redressées depuis vendredi, lorsque les attentes d'une réduction des taux en décembre de la part de la Réserve fédérale ont augmenté après que le président de la Fed de New York, John Williams, a déclaré que les taux d'intérêt peuvent baisser à court terme, même si d'autres décideurs politiques ont insisté sur le fait que les coûts d'emprunt devraient rester stables pour l'instant.
Ces attentes ont été renforcées par les commentaires de Mary Daly , présidente de la Banque fédérale de réserve de San Francisco, et de Christopher Waller, gouverneur de la Fed, en faveur d'une réduction en décembre.
"Nous avons assisté à des commentaires pessimistes de la part de la Fed, en particulier de la Fed de New York... qui, je pense, signalent une réduction potentielle le mois prochain, et je pense que c'est ce qui a stimulé les marchés ces derniers temps", a déclaré Matthew Keator, associé directeur du Keator Group, une société de gestion de patrimoine située à Lenox, Massachusetts.
Les données économiques de mercredi ont montré que les demandes initiales d'allocations chômage hebdomadaires ont chuté de 6 000 à 216 000 en données corrigées des variations saisonnières pour la semaine terminée le 22 novembre, le niveau le plus bas depuis avril et en dessous de l'estimation de 225 000 des économistes interrogés par Reuters.
Le Dow Jones Industrial Average a progressé de 314,67 points, soit 0,67%, à 47 427,12, le S&P 500 a gagné 46,73 points, soit 0,69%, à 6 812,61 et le Nasdaq Composite a grimpé de 189,10 points, soit 0,82%, à 23 214,69.
Les attentes pour une réduction de 25 points de base de la Fed se sont maintenues à plus de 80%, selon l'outil FedWatch du CME (link), bien au-dessus des 30,1% d'il y a une semaine.
Les marchés américains seront fermés jeudi pour la fête de Thanksgiving et auront une session abrégée vendredi.
L'indice MSCI des actions du monde entier EURONEXT:IACWI a bondi de 9,31 points, soit 0,94%, à 1.000,37, et était en passe de réaliser sa quatrième séance consécutive de gains, sa plus longue série en un mois. L'indice MSCI a gagné 3,3 % en quatre jours, ce qui représente sa plus forte progression en quatre jours depuis la mi-mai.
L'indice paneuropéen STOXX 600 a clôturé en hausse de 1,09%, enregistrant ainsi sa plus forte hausse quotidienne en deux semaines.
L'indice du dollar , qui mesure le billet vert par rapport à un panier de devises, a baissé de 0,26% à 99,59, avec l'euro en hausse de 0,22% à 1,1594 $.
La livre sterling s'est renforcée de 0,52% à 1,3234 $. La devise a oscillé entre un gain de 0,57% et une baisse de 0,34% au cours de la journée dans le sillage de la confusion du budget britannique lorsque les perspectives économiques et fiscales de l'Office for Budget Responsibility ont été publiées prématurément .
La ministre britannique des finances, Rachel Reeves, a ensuite annoncé un budget de forte augmentation des impôts qui prélèvera davantage d'argent sur les travailleurs, les personnes épargnant pour leur retraite et les investisseurs, afin de se donner une plus grande marge de manœuvre pour atteindre ses objectifs en matière de réduction des déficits.
Les rendements des gilts à dix ans (GB10YT=RR) ont baissé de 7 points de base à 4,426%.
Le yen japonais s'est affaibli de 0,25% par rapport au billet vert à 156,45 pour un dollar, alors que des sources ont déclaré à Reuters que la Banque du Japon préparait les marchés à une éventuelle hausse des taux d'intérêt dès le mois prochain, car il faudra peut-être une hausse plus régulière des taux pour modifier la trajectoire de la monnaie.
Le rendement des obligations américaines de référence à 10 ans a perdu 1 point de base à 3,992%, la reprise des obligations d'État britanniques ayant contribué à limiter la baisse de la dette américaine à plus long terme après que des données économiques plus solides que prévu ont alimenté les ventes.
Le rendement de l'obligation à deux ans (US2YT=RR) a augmenté de 2 points de base à 3,479%.








par Chuck Mikolajczak
Les actions mondiales ont progressé pour la quatrième journée consécutive mercredi, les attentes d'une réduction des taux de la Réserve fédérale américaine restant intactes, tandis que la livre sterling a été secouée par la publication par inadvertance de nouvelles prévisions par l'organisme de surveillance budgétaire britannique avant la publication du budget britannique.
A Wall Street, les actions américaines étaient en hausse, tirées par les gains du secteur technologique qui a gagné près de 1,5% en partie grâce à un bond de près de 7% de Dell Technologies après ses résultats trimestriels et ses perspectives.
Les actions se sont redressées depuis vendredi, lorsque les attentes d'une réduction des taux d'intérêt en décembre par la Réserve fédérale ont augmenté après que le président de la Fed de New York, John Williams, a déclaré que les taux d'intérêt peuvent baisser à court terme, même si d'autres décideurs politiques ont insisté sur le fait que les coûts d'emprunt devraient rester stables pour l'instant.
Ces attentes ont été renforcées par les commentaires de Mary Daly , présidente de la Banque fédérale de réserve de San Francisco, et de Christopher Waller, gouverneur de la Fed, en faveur d'une baisse en décembre.
Les données économiques de mercredi ont montré que les demandes initiales hebdomadaires de chômage ont chuté de 6.000 à 216.000 en données corrigées des variations saisonnières pour la semaine terminée le 22 novembre, le niveau le plus bas depuis avril et en dessous de l'estimation de 225.000 des économistes interrogés par Reuters.
"L'économie ne glisse pas vers la récession, mais elle est suffisamment faible pour permettre à la Fed de procéder à une nouvelle réduction. Le nombre de chômeurs reste élevé, ce qui donne à la Fed une marge de manœuvre pour procéder à une nouvelle réduction", a déclaré Kim Forrest, directrice des investissements chez Bokeh Capital Partners.
Le Dow Jones Industrial Average a augmenté de 423,32 points, soit 0,90%, à 47 535,77, le S&P 500 a augmenté de 62,31 points, soit 0,92%, à 6 828,06 et le Nasdaq Composite a augmenté de 237,69 points, soit 1,03%, à 23 262,34.
Les attentes pour une réduction de 25 points de base de la Fed se situent à 84,9%, selon l'outil FedWatch du CME (link), en légère baisse par rapport aux 85,2% de la session précédente, mais bien au-dessus des 30,1% d'il y a une semaine.
Les marchés américains seront fermés jeudi pour la fête de Thanksgiving et auront une session abrégée vendredi.
L'indice MSCI des actions mondiales EURONEXT:IACWI a bondi de 10,93 points, soit 1,10%, à 1 001,99, et était en passe de réaliser sa quatrième séance consécutive de gains, sa plus longue série en un mois. L'indice MSCI a gagné 3,4 % en quatre jours, ce qui représente sa plus forte progression en quatre jours depuis la mi-mai.
L'indice paneuropéen STOXX 600 a clôturé en hausse de 1,09%, enregistrant ainsi sa plus forte hausse quotidienne en deux semaines.
L'indice du dollar , qui mesure le billet vert par rapport à un panier de devises, a baissé de 0,26% à 99,60, avec l'euro en hausse de 0,21% à 1,1593 $.
La livre sterling s'est renforcée de 0,51% à 1,3232 $. La devise a oscillé entre un gain de 0,54% et une baisse de 0,34% au cours de la journée dans le sillage de la confusion budgétaire britannique lorsque les perspectives économiques et fiscales de l'Office for Budget Responsibility ont été publiées en avance .
La ministre britannique des finances, Rachel Reeves, a ensuite annoncé un budget de forte hausse des impôts qui prélèvera davantage d'argent sur les travailleurs, les personnes épargnant pour leur retraite et les investisseurs, afin de se donner une plus grande marge de manœuvre pour atteindre ses objectifs en matière de réduction des déficits.
Les rendements des gilts à dix ans (GB10YT=RR) ont baissé de 7 points de base à 4,426%.
Le yen japonais s'est affaibli de 0,25% par rapport au billet vert à 156,47 pour un dollar, alors que des sources ont déclaré à Reuters que la Banque du Japon préparait les marchés à une éventuelle hausse des taux d'intérêt dès le mois prochain, car il faudrait peut-être une hausse plus régulière des taux pour modifier la trajectoire de la monnaie.
Le rendement des obligations américaines de référence à 10 ans a perdu 0,4 point de base à 3,998%.
par Diana Mandia
Les Bourses européennes ont terminé en hausse mercredi, portées par les espoirs croissants d'une baisse des taux d'intérêt aux États-Unis, tandis qu'au Royaume-Uni, le budget tant attendu de la ministre des Finances a été accueilli avec soulagement par les investisseurs.
À Paris, le CAC 40 a gagné 0,88% à 8.096,43 points. À Francfort, le Dax a avancé de 0,98% et à Londres, le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 a pris 0,85% après une remontée de la volatilité en milieu de séance, lorsque les premiers détails du budget ont été publiés par erreur.
L'indice EuroStoxx 50 a fini sur une hausse de 1,34%, le FTSEurofirst 300 a pris 1,09% et le Stoxx 600 a progressé de 1,06%.
Les paris sur une nouvelle baisse des coûts de financement de la Réserve fédérale américaine (Fed) en décembre ont continué à stimuler les marchés d'actions, qui semblent retrouver le moral à la fin d'un mois de novembre difficile en raison des doutes pesant sur le secteur technologique.
Les commentaires d'une série de responsables de la politique monétaire américaine, ainsi que les rapports récents faisant état d'un ralentissement des ventes au détail et de la faible confiance des consommateurs, ont conduit les opérateurs à estimer à près de 85% la possibilité d'une réduction de 25 points de base le mois prochain, soit environ le double de la semaine dernière, selon l'outil FedWatch du CME Group.
Avancé d'un jour en raison de la fête de Thanksgiving jeudi, le rapport sur les inscriptions hebdomadaires au chômage montre une baisse, ce qui indique que les licenciements restent rares, même si le marché du travail peine à créer suffisamment d'emplois dans un contexte d'incertitude économique persistante.
La publication du Livre beige de la Fed, qui sert de base de travail au comité de politique monétaire de la banque centrale, est attendue à 19h00 GMT.
Les paris sur les taux relèguent au second plan les récentes craintes du secteur technologique des deux côtés de l'Atlantique, le compartiment sectoriel du Stoxx (.SX8P) s'acheminant vers une hausse hebdomadaire après un recul de 4,5% la semaine dernière. Il a grimpé de 2,07% mercredi.
Les perspectives pour les Bourses du continent pour l'année prochaine sont par ailleurs plutôt bonnes. Selon une enquête Reuters, les marchés actions en Europe devraient enregistrer en 2026 une nouvelle année de forte croissance dans le sillage de l'année en passe de s'achever, les investisseurs tablant sur une amélioration de l'environnement économique conjuguée à des valorisations encore faibles comparativement aux Etats-Unis.
Sur le plan géopolitique, les efforts visant à mettre fin à la guerre en Ukraine ont également alimenté l'optimisme, le Kremlin ayant annoncé mercredi que Steve Witkoff, émissaire de Donald Trump, se rendrait la semaine prochaine à Moscou avec une délégation américaine pour discuter d'un éventuel plan de paix en Ukraine.
La séance n'a toutefois pas été exempte d'une certaine volatilité, notamment au Royaume-Uni, où les investisseurs ont pris connaissance, non sans un certain chaos, du budget de la ministre des Finances Rachel Reeves.
Le projet prévoit à nouveau des hausses de taxes, même si le gouvernement travailliste a notamment renoncé à augmenter l'impôt sur le revenu. La réaction modérée des marchés, qui étaient impatients de connaître ces détails, reflète une certaine satisfaction, avec une détente sur l'obligataire, une appréciation de la livre sterling et un rebond des actions des banques britanniques, qui ont échappé à de nouvelles taxes ciblées.
"Ce programme soutient globalement les Gilts : un matelas budgétaire plus important et une trajectoire crédible vers une réduction de l'endettement allègent la pression sur les rendements, même si les risques d'inflation restent élevés à court terme", souligne Lale Akoner, analyste chez eToro.
VALEURS
A Paris, Valneva a bondi de 7,6% après avoir fait état de données positives concernant son candidat-vaccin contre la maladie de Lyme.
Ailleurs en Europe, Aroundtown , l'un des plus grands groupes immobiliers en Allemagne, a abandonné 8,65% après la publication de ses résultats sur neuf mois, dans un contexte de crise dans le secteur.
Les actions des banques britanniques ont fini en nette hausse, le gouvernement les ayant épargnées de nouvelles taxes ciblées, ce qui met fin à des mois de spéculations sur une éventuelle contribution du secteur au redressement des finances publiques. Lloyds Banking Group a pris 3,44%, Barclays 3,16% et NatWest 2,25%.
A WALL STREET
A l'heure de la clôture en Europe, le Dow Jones prend 0,85%, le Standard & Poor's 500 0,87% et le Nasdaq Composite 0,96%, portés par les grandes capitalisations.
Dell Technologies prend 5,69% après avoir publié des perspectives plus optimistes que prévu, aidé par la demande liée à l'IA.
CHANGES
La livre sterling gagne 0,49% face au dollar après la présentation du budget britannique.
Le dollar perd 0,10% face à un panier de devises de référence , tandis que l'euro gagne 0,26% à 1,1599 dollar .
TAUX
Le rendement du Gilt à 10 ans (GB10YT=RR) a reculé de près de 7 points de base (pb) à 4,427%, tandis que celui à 30 ans (GB30YT=RR) a abandonné 10 points de base, à 5,2190%, après la présentation du budget britannique.
Dans la zone euro, les rendements ont fini en légère hausse après très séances en baisse, dans le sillage de leurs homologues américains.
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) a fini à 2,6730%, quasi inchangé, tandis que celui de l'obligation à deux ans (DE10YT=RR) a grappillé 0,7 point de base à 2,0262%.
Les rendements des bons du Trésor américain progressent après quatre jours de recul grâce aux paris d'une baisse des taux.
Le rendement des Treasuries à dix ans prend 1,3 points de base à 4,0152%. Le deux ans (US2YT=RR) avance de 3,4 points de base à 3,4934%.
PÉTROLE
Les prix du pétrole se stabilisent mercredi après avoir atteint mardi leur plus bas niveau depuis un mois, les investisseurs évaluant les perspectives d'une offre excédentaire et les négociations en vue d'un accord de paix entre la Russie et l'Ukraine.
Le Brent prend 0,06% à 62,52 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) 0,22% à 58,08 dollars.
A SUIVRE LE 27 NOVEMBRE:
(Certaines données peuvent accuser un léger décalage)
La chancelière britannique de l'Échiquier, Rachel Reeves, a présenté mercredi un budget qui prévoit à nouveau des hausses d'impôts, alors que le gouvernement, confronté à une conjoncture économique morose, est sous pression des marchés financiers.
Devant le Parlement, Rachel Reeves a défendu un système fiscal "plus équitable", demandant à "chacun d'apporter sa contribution".
"Il ne fait aucun doute que nous serons à nouveau confrontés à une opposition. Mais je n'ai encore vu aucun plan alternatif crédible ou plus équitable pour les travailleurs", a-t-elle affirmé au Parlement.
Le gouvernement travailliste a renoncé à augmenter l'impôt sur le revenu, préférant opter pour un gel des seuils de cet impôt à partir de 2028. La mesure permettra de rapporter 7,6 milliards de livres en 2029/2030.
Une hausse de la fiscalité a aussi été annoncée sur les dividendes, les revenus immobiliers et d'épargne, les jeux de hasard ou encore sur les véhicules électriques.
Au total, les hausses d'impôts prévues rapporteront 26,1 milliards de livres sterling (29,63 milliards d'euros) de recettes supplémentaires par an d'ici 2029/2030.
Grâce à ces hausses d'impôts, le gouvernement britannique disposera d'une marge de manœuvre budgétaire de près de 22 milliards de livres (25,07 milliards d'euros) sur une période de cinq ans, soit plus du double qu'auparavant.
Confronté à une impopularité croissante, le gouvernement du Premier ministre Keir Starmer est aussi sous la pression des marchés financiers, très sensibles à toute annonce budgétaire.
La réaction à la présentation, très attendue, du budget par Rachel Reeves a donné lieu à une réaction modérée, traduisant une certaine satisfaction des investisseurs.
"Cela aurait pu être bien pire, et c'est ce que craignait le marché. Si l'on examine les principaux indicateurs du marché, la situation a été accueillie favorablement", observe Rory McPherson, directeur d’investissements chez Wren Sterling.
DÉTENTE OBLIGATAIRE
Sur le marché obligataire, le rendement du Gilt à 10 ans <GB10YT=RR> recule de près de 6 points de base (pb) à 4,435%, tandis que celui à 30 ans (GB30YT=RR) abandonne près de 9 points de base, à 5,2320%.
La livre sterling gagne quant à elle 0,38% face au dollar.
A la Bourse de Londres, l'indice britannique de référence FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 prend 0,86%.
Les actions des banques britanniques sont notamment en nette hausse, alors que le gouvernement britannique les a épargnées de nouvelles taxes ciblées, mettant fin à des mois de spéculations sur une éventuelle contribution du secteur au redressement des finances publiques.
Les actifs britanniques ont connu un accès de volatilité en début d'après-midi lorsque l'Office for Budget Responsibility (OBR), l'agence gouvernementale en charge du budget, a dévoilé par erreur sur son site internet les grandes lignes du budget de Rachel Reeves avant son discours au Parlement.
L'agence s'est par la suite excusée, évoquant une erreur technique.
Rachel Reeves avait promis de prendre des "décisions justes et nécessaires" pour améliorer la situation du pays et accélérer la croissance économique.
Toutefois, les hausses d'impôts de 40 milliards de livres, annoncées l'an dernier lors du premier budget du gouvernement travailliste, n'ont pas permis d'améliorer les perspectives économiques, qui se sont encore détériorées depuis.
Mercredi, l'OBR a revu à la baisse ses prévisions de croissance économique, estimant que le produit intérieur brut (PIB) devrait augmenter en moyenne de 1,5% au cours de la période de prévision de cinq ans, soit 0,3 point de pourcentage de moins que prévu en mars.
VOIR AUSSI:
ENCADRE -GB-Principales mesures du budget de Rachel Reeves
Jamie Dimon, président-directeur général de JPMorgan, a déclaré mercredi que l'accent mis par la ministre britannique des Finances, Rachel Reeves (link), sur les mesures visant à stimuler la croissance dans son budget était le seul moyen de "relever tout le monde".
Jamie Dimon, qui s'exprime rarement le jour d'un budget national, a déclaré que la discipline financière de la chancelière devrait être accueillie favorablement par les marchés. Jamie Dimon a fait part de ses commentaires dans une déclaration envoyée par courrier électronique.
JPMorgan, la plus grande banque américaine, emploie plus de 22 000 personnes au Royaume-Uni, selon le rapport annuel 2024 de la société.
La livre était en hausse de 0,4 % sur la journée à 1,3223 $, tandis que les rendements de référence des gilts à 10 ans ont chuté de 6,7 points de base à 4,428 %.
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