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Allemagne Production industrielle MoM (SA) (Octobre)A:--
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ROYAUME-UNI BRC Like-For-Like Retail Sales YoY (ventes au détail à l'identique) (Novembre)--
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Australie Taux directeur O/N (emprunts)--
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Relevé des taux d'intérêt de la RBA
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U.S. NFIB Indice d'optimisme des petites entreprises (SA) (Novembre)--
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Mexique Inflation à 12 mois (CPI) (Novembre)--
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U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Corée du Sud Taux de chômage (SA) (Novembre)--
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** Les actions de la société de tests de sécurité UL Solutions ont baissé de 2,7 % avant la cloche à 77,21 $ après une offre secondaire de 975 millions de dollars
** La société basée à Northbrook, dans l'Illinois, a annoncé mercredi soir (link) que sa société mère, UL Standards & Engagement (ULSE) a cédé 12,5 millions d'actions à 78 $.
** Les actions d'ULS ont chuté de 10,7 % pour clôturer à 79,38 $ le mercredi, après que la société a lancé l'offre mardi soir.
** La vente réduit les avoirs d'ULSE à environ 125,6 millions d'actions sur les 201 millions d'actions totales en circulation de la société, selon le prospectus (link)
** Goldman Sachs et JP Morgan sont les chefs de file de l'offre
** Il y a un mois, la société a affiché un chiffre d'affaires supérieur à celui du 3e trimestre et a annoncé une initiative de restructuration (link) pour réduire les dépenses
** Jusqu'à la clôture de mercredi, les actions d'ULS ont augmenté de 59 % depuis le début de l'année
** UL Solutions est entrée en bourse en avril 2024 après que ULSE a vendu 33,8 millions d'actions lors de l'introduction en bourse (link) au prix de 28 $
** 5 des 11 analystes considèrent l'action comme un "achat fort" ou un "achat", 6 la considèrent comme un "maintien"; PT médian de 96 $, selon les données de LSEG
par David Milliken et Phoebe Seers
La Banque d'Angleterre a annoncé jeudi qu'elle lançait un test de résistance sur la manière dont les industries mondiales du capital-investissement et du crédit privé, d'une valeur de 16 000 milliards de dollars, feraient face à un choc financier majeur.
La banque centrale a déclaré que le scénario exploratoire à l'échelle du système produira un rapport final au début de 2027 qui se concentrera sur l'impact sur l'économie britannique dans son ensemble, plutôt que de publier des détails sur les vulnérabilités des entreprises individuelles.
"Le capital-investissement et le crédit privé jouent un rôle de plus en plus important en aidant les entreprises britanniques à innover, à investir et à se développer. Pour continuer à leur apporter ces avantages, nous devons avoir une bonne compréhension de la manière dont les risques peuvent circuler dans le système financier en cas de crise", a déclaré Sarah Breeden, vice-gouverneure de la BoE.
Les entreprises soutenues par des fonds de capital-investissement emploient plus de 2 millions de personnes en Grande-Bretagne, selon la BoE.
Contrairement aux tests de résistance ("stress tests") du système bancaire britannique effectués régulièrement par la BoE, la banque centrale ne peut pas exiger la participation de toutes les entreprises financières, car elle ne réglemente pas directement les fonds d'investissement ou les sociétés de capital-investissement, qui ont souvent leur siège à l'étranger.
PRIORITÉ AUX INVESTISSEMENTS DANS LES GRANDES ENTREPRISES BRITANNIQUES
La BoE a déclaré qu'elle avait obtenu la participation d'entreprises qui représentent environ un tiers de l'activité britannique de rachat d'entreprises par des fonds de capital-investissement, la moitié du crédit privé dans le secteur des entreprises britanniques et 40 % de l'emploi dans les entreprises financées par des fonds de capital-investissement.
Les détails du test n'ont pas encore été arrêtés, mais il se déroulera en deux étapes afin de permettre aux entreprises financières de dire à la BoE comment elles réagiraient aux actions d'autres entreprises en cas de crise.
Le test se concentrera sur l'investissement dans les grandes entreprises britanniques et sur la manière dont les investisseurs se financent eux-mêmes, ainsi que sur les éventuelles retombées sur les marchés financiers. Il ne portera pas sur le capital-risque destiné aux petites entreprises ni sur l'immobilier commercial.
Parmi les gestionnaires d'actifs alternatifs qui participeront au test figurent Apollo Global Management , Bain Capital, Blackstone , Carlyle , CVC Credit Partners , Goldman Sachs Asset Management , KKR et Permira.
Mardi, la BoE a déclaré dans son rapport semestriel sur la stabilité financière que, même si les marchés privés s'étaient montrés résistants jusqu'à présent, ils avaient pris de l'ampleur et leur résistance à un choc économique important n'avait pas été testée.
Le gouverneur de la BoE, Andrew Bailey, a déclaré en octobre que l'effondrement de deux grandes entreprises américaines, le fabricant de pièces détachées automobiles First Brands et le concessionnaire automobile et banque Tricolor, pourrait être un avertissement de problèmes plus importants à venir.
Mardi, la BoE a déclaré que ces effondrements montraient comment "un fort effet de levier, des normes de souscription faibles, l'opacité, des structures complexes et le degré de dépendance à l'égard des agences de notation" pouvaient affecter à la fois les banques et les marchés du crédit.
En tant que président du Conseil de stabilité financière, Andrew Bailey a également souligné que l'impact du crédit privé sur la stabilité financière était un domaine clé pour l'organisme de surveillance des risques financiers du groupe des 20 principales économies.
"Il s'agira d'un élément important du travail de surveillance du CSF au cours de l'année à venir", a-t-il déclaré dans une lettre adressée en novembre aux dirigeants du G20 .
La BoE a promis de partager les résultats de son test de résistance des marchés privés avec les décideurs politiques internationaux.
-- Lien source: https://tinyurl.com/mpc4yj69
-- Note: Reuters n'a pas vérifié cette histoire et ne se porte pas garant de son exactitude
Le géant bancaire britannique HSBC a annoncé mercredi la nomination de Brendan Nelson à la tête de son conseil d'administration, dernière étape d'un remaniement amorcé l'an dernier avec le remplacement du directeur général.
M. Nelson, 76 ans, occupait déjà la fonction de président par intérim depuis le 1er octobre après avoir rejoint le conseil d'administration en septembre 2023. Il a remplacé Mark Tucker, qui avait annoncé son départ en mai après huit ans en poste.
La banque avait déjà remplacé l'an dernier son directeur général. Georges Elhedery avait pris en septembre 2024 la succession de Noel Quinn, dont le départ surprise avait été annoncé quelques mois plus tôt.
Le groupe, dont le siège est à Londres mais qui génère la majorité de ses revenus en Asie, a engagé l'an dernier une refonte de sa structure internationale pour la "simplifier", mais aussi séparer ses marchés "orientaux" et "occidentaux".
"Je me réjouis de poursuivre ma collaboration avec le conseil d'administration, Georges et l'ensemble de l'équipe de direction afin d'atteindre nos objectifs stratégiques et financiers", a assuré M. Nelson dans un communiqué.
HSBC avait publié fin octobre un bénéfice net en chute au troisième trimestre, plombé notamment par un revers judiciaire liée à l'affaire Bernard Madoff, mais son chiffre d'affaires a augmenté de 5% sur la période, soutenu par une hausse de l'activité de ses clients.
M. Nelson, nommé après "avoir pris en compte des candidatures internes et externes", a mené "une longue carrière dans les services financiers", notamment au cabinet KPMG "où il dirigeait le pôle Services financiers internationaux, conseillant et auditant des banques internationales", a fait valoir HSBC dans un communiqué.
Le dirigeant est aussi passé par les conseils d'administration du pétrolier BP ou de la banque NatWest (ex-RBS).
Mais selon Dan Coatsworth, anaylste chez AJ Bell, le marché "pourrait y voir une nomination provisoire, le temps que HSBC trouve un candidat plus prestigieux ou possédant une expérience bancaire plus directe".
De fait, le titre de la banque reculait d'environ 1% mercredi en début d'après-midi à la Bourse de Londres.
L'analyste souligne que les noms de l'ancien ministre des Finances britannique George Osborne ou du président de Goldman Sachs pour l'Asie Kevin Sneader avaient un temps circulé.
La fonction de M. Nelson à la tête du Conseil d'administration "revêt sans doute une importance accrue, alors que HSBC poursuit sa croissance en Asie dans un contexte géopolitique complexe et que son directeur général actuel, Georges Elhedery, entreprend une restructuration majeure de l'entreprise", poursuit M. Coatsworth.
** Les actions d'UL Solutions ont baissé de 2,1 % hors séance à 87 $ après le lancement de l'offre secondaire
** L'entreprise de tests de sécurité basée à Northbrook, Illinois, déclare que (link) UL Standards & Engagement (ULSE) va se délester de 12,5 millions d'actions
** Goldman Sachs et JP Morgan sont les chefs de file de l'offre
** La vente porterait les avoirs d'ULSE à environ 125,6 millions d'actions, selon le prospectus d'offre (link)
** La société a environ 201 millions d'actions en circulation
** Les actions d'ULS ont clôturé mardi en baisse de 1,5 % à 88,85 $, réduisant les gains depuis le début de l'année à 78 %
** 5 des 11 analystes couvrant ULS considèrent l'action comme un "achat fort" ou un "achat", 6 la considèrent comme un "maintien"; le PT médian de 96 $ est en hausse par rapport à 72 $ il y a un mois, selon les données de LSEG
Les Bourses mondiales patientent mardi, scrutant les négociations pour mettre un terme à la guerre en Ukraine et attendant la publication d'indicateurs macroéconomiques déterminants pour la politique monétaire de la banque centrale américaine.
En Europe, la Bourse de Paris a perdu 0,28%, Londres est restée à l'équilibre (-0,01%), quand Francfort a gagné 0,51% et Milan 0,22%.
A Wal Street, vers 17H00 GMT, le Dow Jones prenait 0,28%, l'indice Nasdaq gagnait 0,35% et l'indice élargi S&P 500 progressait de 0,12%.
"Une atmosphère de calme règne sur les marchés", note Fawad Razaqzada, analyste marchés à Forex.com. "L'absence de nouvelles majeures a certainement contribué à ce ton plus serein".
Les investisseurs européens ont digéré la publication d'une inflation à 2,2% sur un an en zone euro novembre, contre 2,1% le mois précédent. C'est un peu plus que ce qu'escomptaient les analystes interrogés par Bloomberg, qui tablaient sur un maintien à 2,1%.
"L'inflation des services a légèrement augmenté, mais devrait s'atténuer à mesure que la croissance des salaires continue de ralentir, tandis que l'inflation des biens reste inchangée et relativement faible", relève Christophe Boucher, directeur des investissements à ABN AMRO.
"À ce stade, la trajectoire de la BCE (Banque centrale européenne) semble être toute tracée, contrairement à celle de la Fed (la Réserve fédérale américaine), qui reste incertaine. Les marchés n'anticipent aucune baisse en 2026", note-t-il.
Les investisseurs restent aussi prudents en attendant des nouvelles sur d'éventuelles avancées pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a accueilli mardi soir au Kremlin l'émissaire américain Steve Witkoff pour évoquer le plan de Washington visant à mettre fin à la guerre, selon des images de la télévision russe.
M. Poutine était accompagné de son conseiller diplomatique Iouri Ouchakov et de son émissaire pour les questions économiques internationales, Kirill Dmitriev. M. Witkoff était, lui, accompagné du gendre du président américain Jared Kushner.
Aux États-Unis, les investisseurs attendent la publication mercredi du rapport mensuel sur les créations d'emplois dans le secteur privé pour la même période, puis, vendredi, l'inflation pour le mois de septembre.
"Les investisseurs se rendent compte qu'il reste peu de données susceptibles de changer la donne avant la réunion de la Fed la semaine prochaine" et qui pourraient justifier une baisse des taux lors de sa réunion des 9 et 10 décembre, estime M. Razaqzada.
"L'espoir est que l'inflation ralentisse en même temps que l'économie américaine", ce qui permettrait à la Fed de disposer de marges de manoeuvre pour assouplir sa politique, selon Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
Les opérateurs de marché font massivement le pari d'un recul de 0,25 point de pourcentage.
Côté changes, le dollar restait stable (+0,09%) face à l'euro, à 1,1599 dollar pour un euro.
Bayer voit vert
La séance a profité à Bayer, qui termine en forte hausse de 12,08% à Francfort.
Le groupe agrochimique et pharmaceutique a reçu le soutien du gouvernement américain dans le cadre de la vague de litiges lié aux risques potentiels de cancer du désherbant Roundup.
Dans une lettre publiée lundi, le principal avocat du gouvernement du président Donald Trump a demandé à la Cour suprême des États-Unis de se saisir de l'affaire.
Thyssenkrupp recherché
L'action Thyssenkrupp restait recherchée mardi, terminant en hausse de 8,31% à Francfort au lendemain de l'accord social passé avec le syndicat IG Metall dans sa branche acier en crise.
La branche acier de l'Allemand Thyssenkrupp et le syndicat IG Metall avaient annoncé lundi un accord sur la restructuration du sidérurgiste, qui va fortement réduire ses effectifs, au milieu de pourparlers de reprise de cette activité en crise par l'indien Jindal Steel.
Le pétrole scrute l'Ukraine
Le marché pétrolier scrute les nouvelles autour de la situation en Ukraine. Le président russe Vladimir Poutine a averti mardi que la Russie était "prête" à la "guerre" dans l'éventualité où l'Europe lancerait des hostilités contre elle.
Vers 17H00 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord perdait 0,66% à 62,75 dollars, et le WTI américain cédait 0,72% à 58,89 dollars le baril.
Les marchés boursiers mondiaux restent calme mardi, patientant avant la publication plus tard dans la semaine d'indicateurs macroéconomiques déterminants pour la politique monétaire de la banque centrale américaine.
Sur le Vieux Continent, vers 15H00 GMT, la Bourse de Paris perdait 0,17% et Londres 0,06% quand la Bourse de Francfort prenait 0,50% et Milan 0,22%.
"Une atmosphère de calme règne sur les marchés", note Fawad Razaqzada, analyste marchés chez Forex.com. "L'absence de nouvelles majeures a certainement contribué à ce ton plus serein".
Les investisseurs digèrent la publication d'une inflation à 2,2% sur un an en zone euro novembre, contre 2,1% le mois précédent. C'est un peu plus que ce qu'escomptaient les analystes interrogés par Bloomberg, qui tablaient sur un maintien à 2,1%.
"L'inflation des services a légèrement augmenté, mais devrait s'atténuer à mesure que la croissance des salaires continue de ralentir, tandis que l'inflation des biens reste inchangée et relativement faible", relève Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN AMRO.
"À ce stade, la trajectoire de la BCE (la Banque centrale européenne, ndlr) semble être toute tracée, contrairement à celle de la Fed (la Réserve fédérale américaine, ndlr), qui reste incertaine. Les marchés n'anticipent aucune baisse en 2026", note-t-il.
La Bourse de New York a ouvert en petite hausse mardi, tentant un rebond après ses pertes de la veille, dans l'attente de la publication de plusieurs indicateurs macroéconomiques américains.
Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,30%, l'indice Nasdaq gagnait 0,88% et l'indice élargi S&P 500 progressait de 0,41%.
"Les investisseurs se rendent compte qu'il reste peu de données susceptibles de constituer des +game changers+ avant la réunion de la Fed la semaine prochaine" et qui pourraient justifier une baisse des taux lors de sa réunion des 9 et 10 décembre, estime M. Razaqzada.
Ils patientent avant la publication mercredi du rapport mensuel sur les créations d'emplois dans le secteur privé pour la même période, puis, vendredi, la très attendue inflation pour le mois de septembre.
"L'espoir est que l'inflation ralentisse en même temps que l'économie américaine", ce qui permettrait à la Fed de disposer de marges de manoeuvre pour assouplir sa politique, selon Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
Les opérateurs de marché font massivement le pari d'un recul de 0,25 point de pourcentage.
Côté changes, le dollar restait stable (-0,07%) face à l'euro, à 1,1614 dollar pour un euro.
Naissance d'un géant du luxe italien
Prada a annoncé mardi dans un communiqué "l'achèvement de l'acquisition" de son rival milanais Versace pour former un nouveau géant italien du luxe, "après avoir obtenu toutes les autorisations réglementaires requises", a indiqué le groupe.
Le groupe avait annoncé en avril l'acquisition de la marque fondée par Gianni Versace pour 1,25 milliard d'euros, affaibli après sept ans au sein du groupe américain Capri Holdings (marques Michael Kors, Jimmy Choo).
A New York, Capri Holdings prenait 0,58% vers 15H00 GMT.
Bayer bondit
Le géant de l'agrochimie bondissait vers 15H00 GMT de 11,90% à Francfort, après une victoire d'étape dans l'affaire du glyphosate aux États-Unis, où un avocat général recommande que la Cour suprême examine un jugement défavorable à Bayer, ouvrant la voie à une décision de principe.
Selon Goldman Sachs, ce serait une étape majeure pour tourner la page des litiges, ce que Bayer cherche à obtenir en 2026.
Pause dans la chute du bitcoin, le pétrole prudent
Après avoir dégringolé de 5% lundi, le bitcoin, pénalisé par le climat d'aversion pour le risque qui plombe les actifs les plus volatiles, tente de se reprendre, prenant 3,62% à 89.578 dollars.
Le marché pétrolier recule, scrutant la rencontre prévue plus tard dans la journée à Moscou entre Steve Witkoff et Vladimir Poutine dans le cadre de négociations pour mettre un terme à la guerre en Ukraine.
Vers 15H00 GMT, le baril de WTI nord-américain cédait 1,47%, à 58,45 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord 1,35%, à 62,32 dollars.
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