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U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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La bourse japonaise est en légère baisse ce lundi, prolongeant les pertes de la séance précédente.
La bourse japonaise est en légère baisse ce lundi, prolongeant les pertes de la séance précédente, malgré les signaux globalement positifs de Wall Street vendredi. L'indice Nikkei 225 est tombé sous la barre des 50 450 points, la faiblesse des poids lourds de l'indice, les valeurs financières et technologiques, étant partiellement compensée par les gains des constructeurs automobiles et des valeurs exportatrices.
L'indice de référence Nikkei 225 a reculé de 54,83 points, soit 0,11 %, à 50 437,04, après avoir touché un plus bas à 50 224,65 plus tôt dans la journée. La Bourse de Tokyo a clôturé en forte baisse vendredi.
Le géant SoftBank Group perd plus de 2 % et Fast Retailing, propriétaire d'Uniqlo, recule de 0,2 %. Du côté des constructeurs automobiles, Honda progresse de 0,1 % et Toyota de près de 1 %.
Dans le secteur technologique, Advantest recule de plus de 1 %, Screen Holdings de 0,4 % et Tokyo Electron de près de 1 %.
Dans le secteur bancaire, Sumitomo Mitsui Financial perd près de 1 %, Mitsubishi UFJ Financial recule de plus de 1 % et Mizuho Financial est en légère baisse de 0,5 %.
Les principaux exportateurs sont globalement en hausse. Mitsubishi Electric progresse de plus de 2 %, tandis que Panasonic et Canon gagnent près de 1 % chacun. Sony, quant à elle, recule de près de 1 %.
Parmi les autres grandes baisses, Aeon recule de près de 5 %, Lasertec perd plus de 3 % et Resonac Holdings est en baisse de près de 3 %.
À l'inverse, Secom, Fuji Electric et Toppan Holdings progressent chacune de plus de 4 %, tandis que Japan Steel Works et Mitsubishi Estate gagnent chacune près de 4 %. BayCurrent enregistre une hausse de près de 3 %.
Sur le plan économique, le produit intérieur brut (PIB) du Japon s'est contracté de 0,6 % au troisième trimestre 2025, en données corrigées des variations saisonnières, selon les chiffres préliminaires publiés lundi par le Bureau du Cabinet. Ce résultat est inférieur aux prévisions qui tablaient sur un recul de 0,4 %, après une hausse de 0,5 % au trimestre précédent. En rythme annuel, le PIB a diminué de 2,3 %, là encore en deçà des attentes qui anticipaient une baisse de 2,0 %, après une progression de 2,2 % au deuxième trimestre.
Les investissements en capital ont reculé de 0,2 % sur le trimestre, un chiffre inférieur aux prévisions qui tablaient sur une hausse de 1,0 % après une progression de 0,6 % au cours des trois mois précédents. La demande extérieure a diminué de 0,2 % sur le trimestre, tandis que la consommation privée a progressé de 0,2 %. L'indice des prix du PIB a quant à lui bondi de 3,4 % sur un an.
Par ailleurs, la Banque du Japon a annoncé lundi que les prêts bancaires au Japon ont globalement progressé de 4,2 % en novembre sur un an, pour atteindre 652 547 milliards de yens. Ce chiffre est supérieur aux prévisions qui tablaient sur une hausse de 4,0 % et marque une progression par rapport aux 4,1 % enregistrés en octobre. Hors fiducies, les prêts ont augmenté de 4,5 % à 573 647 milliards de yens, contre 4,4 % le mois précédent.
Sur le marché des changes, le dollar américain s'échangeait lundi dans la fourchette basse des 155 yens.
À Wall Street, les actions ont enregistré une légère hausse vendredi, après une séance de jeudi marquée par une forte volatilité, clôturant quasiment inchangées. Grâce à cette progression, le Nasdaq et le S&P 500 ont atteint leurs meilleurs niveaux de clôture en un mois.
Les principaux indices ont légèrement reculé après une hausse initiale, mais sont restés dans le vert. Le Dow Jones a gagné 104,05 points, soit 0,2 %, à 47 954,99, le Nasdaq a progressé de 72,99 points, soit 0,3 %, à 23 578,13 et le S&P 500 a augmenté de 13,28 points, soit 0,2 %, à 6 870,40.
Parallèlement, les principaux marchés européens ont affiché des performances mitigées. L'indice allemand DAX a progressé de 0,6 %, tandis que le CAC 40 français a reculé de 0,1 % et le FTSE 100 britannique de 0,5 %.
Les prix du pétrole brut ont légèrement progressé vendredi, sur fond de tensions géopolitiques persistantes liées à la guerre russo-ukrainienne et au conflit entre les États-Unis et le Venezuela. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en janvier a gagné 0,35 dollar, soit 0,59 %, à 60,02 dollars.
La récente correction du Bitcoin touche-t-elle enfin à sa fin ? Selon une nouvelle analyse de K33 Research, la réponse pourrait être oui. Le cabinet estime qu'un rebond du Bitcoin dès décembre est fort probable, suggérant que le repli actuel pourrait préparer le terrain à une reprise significative. Cette perspective offre une lueur d'espoir aux investisseurs confrontés à la volatilité récente des marchés.
L'optimisme de K33 Research quant à un rebond du Bitcoin ne repose pas sur de simples spéculations. Il s'appuie sur une analyse approfondie des mécanismes actuels du marché. Les analystes mettent en avant des données spécifiques issues de la blockchain et des produits dérivés qui indiquent que la pression à la vente s'essouffle. Malgré les difficultés rencontrées, la structure sous-jacente du marché semble résiliente, ouvrant la voie à une potentielle reprise.
Pour comprendre le potentiel de rebond, il faut d'abord examiner les causes de la baisse. K33 identifie deux sources principales de pression à la vente récente :
Toutefois, l'idée essentielle est que ces facteurs sont désormais perçus comme temporaires plutôt que structurels.
Malgré la baisse, plusieurs facteurs importants convergent pour soutenir un rebond du Bitcoin. K33 met en évidence ces signaux haussiers essentiels qui atténuent la pression à la baisse.
L'un des indicateurs les plus encourageants est le faible niveau d'endettement sur l'ensemble du marché. Contrairement aux cycles précédents où l'endettement excessif a amplifié les krachs, la correction actuelle s'est produite avec un endettement relativement faible. Cela signifie qu'il y a moins de liquidations forcées susceptibles de déclencher une chute en cascade. Le marché a réduit son exposition au risque, ce qui crée une base plus stable pour la prochaine phase de reprise.
L'analyse technique et on-chain met en évidence une zone de support importante entre 70 000 $ et 80 000 $. Cette fourchette de prix représente une forte concentration du prix d'achat des investisseurs, ce qui signifie que de nombreux acheteurs sont entrés sur le marché à ce niveau. Cette zone agit comme un plancher psychologique et économique, où l'intérêt acheteur s'intensifie historiquement, rendant une baisse durable en dessous de ce seuil moins probable.
Au-delà des facteurs techniques, K33 anticipe une tendance haussière structurelle alimentée par des changements de politique macroéconomique. L'évolution du cadre réglementaire dans les grandes économies, comme les États-Unis, est de plus en plus perçue comme tendant vers des structures plus claires et plus favorables aux cryptomonnaies. Cette clarté réglementaire a toujours été un puissant catalyseur pour les flux de capitaux institutionnels, ce qui pourrait accélérer considérablement le prochain rebond du Bitcoin.
L'analyse suggère une perspective stratégique pour les acteurs du marché. L'approche du mois de décembre, souvent saisonnier et favorable aux cours des actifs, conjuguée aux supports techniques identifiés, crée une configuration attrayante. Pour les investisseurs, cette période de consolidation pourrait représenter une opportunité d'accumulation avant le rebond attendu du Bitcoin.
En résumé, K33 Research présente des arguments étayés par des données qui incitent à l'optimisme. Malgré les tensions à court terme, la structure fondamentale du marché demeure solide, bénéficiant d'un soutien important, d'un faible risque systémique lié à l'effet de levier et d'un horizon politique favorable. Le mois de décembre n'est pas présenté comme une garantie, mais comme une période propice à la concrétisation de cette dynamique positive, marquant potentiellement un tournant décisif entre correction et reprise.
L'économie japonaise s'est contractée au cours des trois mois précédant septembre, a confirmé le gouvernement dans un rapport révisé, justifiant ainsi davantage le plan de relance annoncé le mois dernier par la Première ministre Sanae Takaichi.
Le produit intérieur brut a chuté de 2,3 % en rythme annualisé au troisième trimestre, les chiffres révisés faisant état de dépenses des entreprises et d'investissements immobiliers plus faibles que prévu. Cette contraction, plus marquée que la baisse initiale de 1,8 %, est la première en six trimestres.
Ces résultats décevants confortent le plan de relance de Takaichi, qui prévoyait les dépenses publiques les plus importantes depuis le début de la pandémie. Ils complexifient la décision de politique monétaire que la Banque du Japon devra prendre la semaine prochaine, mais ne devraient pas la dévier de sa trajectoire de hausse progressive.
Pour alléger le poids de l'inflation sur les ménages, Takaichi a dévoilé un plan de relance prévoyant 17 700 milliards de yens (114 milliards de dollars) de nouvelles dépenses. Ce plan comprend des mesures d'allègement des prix, telles que des subventions pour les services publics et des réductions d'impôts, ainsi que des mesures de soutien salarial destinées principalement aux petites entreprises. Les syndicats du pays réclament une poursuite des augmentations de salaire lors des négociations, après les fortes hausses enregistrées ces dernières années.
Le gouvernement estime que ce plan devrait stimuler le PIB national d'environ 1,4 point de pourcentage par an en moyenne pendant trois ans, à condition que les mesures entrent en vigueur durant cette période. Il est essentiel pour Takaichi de convaincre les électeurs que l'inflation s'atténue. Ses prédécesseurs ont été battus aux élections en partie à cause du mécontentement latent face au coût de la vie.
Parallèlement, les swaps indexés au jour le jour indiquent désormais une probabilité d'environ 90 % d'une hausse des taux par la banque centrale ce mois-ci, suite aux allusions claires de la semaine dernière du gouverneur Kazuo Ueda quant à une augmentation imminente des coûts d'emprunt. Étant donné que le repli économique trimestriel est vraisemblablement temporaire et largement imputable à des facteurs ponctuels, notamment des modifications de la réglementation du logement, les données publiées lundi ne devraient pas infléchir significativement la trajectoire de la Banque du Japon.
Des données distinctes publiées lundi par le ministère du Travail ont révélé que les salaires réels ont reculé de 0,7 % en octobre par rapport à l'année précédente, soit le dixième mois consécutif de baisse. Si les salaires nominaux ont progressé de 2,6 % et les salaires de base ont augmenté au même rythme, signe d'une dynamique salariale soutenue, cette progression reste toutefois inférieure à l'inflation. Un indicateur plus stable, qui corrige les biais d'échantillonnage et exclut les primes et les heures supplémentaires, a enregistré une hausse de 2,2 % pour les salariés, un léger ralentissement par rapport au mois précédent.
L'indice principal des prix au Japon est resté égal ou supérieur à l'objectif de 2 % fixé par la Banque du Japon pendant plus de trois ans et demi, ce qui constitue la plus longue période de stagnation depuis le début des années 1990.
Les prix du pétrole se sont maintenus lundi à leurs plus hauts niveaux des deux dernières semaines, les investisseurs anticipant une baisse des taux d'intérêt de la Réserve fédérale cette semaine, ce qui stimulerait la croissance économique et la demande énergétique, tout en restant attentifs aux risques géopolitiques qui menacent les approvisionnements en pétrole en provenance de Russie et du Venezuela.
Le prix du pétrole brut Brent a augmenté de 4 cents, soit 0,06 %, pour atteindre 63,79 dollars le baril à 00h08 GMT, tandis que le pétrole brut américain West Texas Intermediate s'établissait à 60,15 dollars le baril, en hausse de 7 cents, soit 0,12 %.
Les deux contrats ont clôturé la séance de vendredi à leurs plus hauts niveaux depuis le 18 novembre.
Les marchés anticipent une probabilité de 84 % d'une baisse d'un quart de point lors de la réunion de la Fed mardi et mercredi, selon les données de LSEG, même si cette réunion s'annonce comme l'une des plus controversées de ces dernières années et que les investisseurs se concentrent sur l'orientation politique et la dynamique interne de la banque centrale américaine.
En Europe, les progrès des pourparlers de paix en Ukraine restent lents, les différends concernant les garanties de sécurité pour Kiev et le statut du territoire occupé par la Russie demeurant non résolus.
« L’issue des négociations en cours pourrait avoir un impact important sur le marché pétrolier », ont indiqué les analystes d’ANZ dans une note.
« Les différentes conséquences possibles de la dernière initiative de Trump pour mettre fin à la guerre pourraient entraîner une variation de l'offre de pétrole de plus de 2 millions de barils par jour. »
Dans l'intervalle, les pays du G7 et l'Union européenne sont en pourparlers pour remplacer le plafonnement des prix des exportations de pétrole russe par une interdiction totale des services maritimes , ont indiqué à Reuters des sources proches du dossier, ce qui pourrait réduire les approvisionnements du deuxième producteur mondial.
Les États-Unis ont également intensifié la pression sur le Venezuela, membre de l'OPEP, notamment par des frappes contre des bateaux soupçonnés de trafic de drogue et par des menaces d'intervention militaire pour renverser le gouvernement du président Nicolas Maduro.
Les raffineurs indépendants chinois ont intensifié leurs achats de pétrole iranien sous sanctions, stocké dans des réservoirs terrestres, en utilisant les nouveaux quotas d'importation, ont indiqué des sources commerciales et des analystes, atténuant ainsi une surabondance de l'offre.
Keir Starmer accueillera lundi à Londres le président ukrainien Volodymyr Zelenskiy, alors que le Premier ministre britannique et d'autres dirigeants européens clés cherchent à orienter les pourparlers de paix menés par les États-Unis vers une résolution qui protège l'Ukraine de la perspective d'une future agression russe.
Le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz participeront aux discussions prévues en début d'après-midi à Downing Street. La ministre britannique des Affaires étrangères, Yvette Cooper, se rendra quant à elle à Washington pour la première fois depuis sa prise de fonctions afin de rencontrer le secrétaire d'État Marco Rubio et d'autres responsables.
Les discussions menées des deux côtés de l'Atlantique coïncident avec les craintes européennes de voir l'alliance transatlantique se fracturer après que les États-Unis ont proposé le mois dernier un plan de paix en 28 points élaboré avec la Russie, qui aurait empêché l'Ukraine de rejoindre l'OTAN, plafonné la taille de son armée et cédé du territoire à Moscou.
Bien que les discussions aient depuis lors pris en compte les demandes ukrainiennes, les dirigeants européens tiennent à ce que le président russe Vladimir Poutine ne soit pas perçu comme récompensé pour son agression.
« Le principe de ces négociations est de permettre à l'Ukraine de décider de son propre avenir », a déclaré Pat McFadden, ministre britannique, à Sky News dimanche. « C'est un moment crucial. Tout le monde souhaite la fin de la guerre, mais une fin qui garantisse à l'Ukraine sa liberté de choix. Cela implique une fin juste du conflit, mais aussi des garanties de sécurité pour l'Ukraine et non une organisation totalement impuissante, incapable de décider de son avenir. »
Ce week-end, la Russie a mené une attaque massive contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes, impliquant des centaines de drones et plus de 50 missiles. Cette attaque a provoqué des coupures de courant à Kiev, Odessa et dans cinq autres régions. L'Ukraine a déclaré avoir touché la raffinerie de pétrole de Ryazan, appartenant à Rosneft PJSC, située à 193 kilomètres au sud-est de Moscou.
Les soutiens européens de l'Ukraine espéraient que s'ils parvenaient à soutenir Kiev pendant l'hiver, les difficultés économiques de la Russie s'intensifieraient l'année suivante et Poutine perdrait son influence dans les négociations.
Face à la diminution de l'aide américaine, les dirigeants européens ont élaboré un plan visant à utiliser les avoirs de la banque centrale russe gelés en Belgique pour financer l'Ukraine. Le Premier ministre belge, Bart De Wever, s'est opposé à cette idée, arguant que la Belgique pourrait être tenue responsable si la Russie intentait une action en justice.
Environ 210 milliards d'euros d'actifs russes sont immobilisés sur le territoire de l'UE, principalement auprès du dépositaire central de titres Euroclear, basé à Bruxelles. Les dirigeants européens espèrent parvenir à un consensus sur cette proposition lors d'une réunion qui se tiendra dans la capitale belge le 18 décembre.
Dimanche, Starmer s'est entretenu avec le Premier ministre néerlandais Dick Schoof. Ils ont convenu de la nécessité d'un soutien international constant à la défense de l'Ukraine, selon un compte rendu de l'appel téléphonique publié par le 10 Downing Street. « Les dirigeants ont réaffirmé que la sécurité de l'Ukraine est essentielle à la sécurité de l'Europe », précise le communiqué.
Starmer s'est efforcé de se positionner comme le dirigeant européen le plus proche du président américain Donald Trump, ainsi que comme le principal allié de l'Ukraine. C'est une entreprise délicate compte tenu des tensions persistantes entre les dirigeants américains et ukrainiens, qui ont culminé en février avec une altercation houleuse dans le Bureau ovale.
À Washington, Mme Cooper transmettra le soutien du Royaume-Uni aux efforts de M. Trump pour « garantir une paix juste et durable », selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Elle s'entretiendra également avec M. Rubio de la situation à Gaza et du conflit au Soudan.
Les achats records de 31 milliards de dollars d'actions américaines par les investisseurs particuliers sud-coréens cette année ont fait d'eux les boucs émissaires de la dépréciation de leur monnaie. Ils sont furieux.
La devise coréenne, la moins performante d'Asie ce trimestre, a frôlé son plus bas niveau en 16 ans ces dernières semaines. Les autorités, dont le gouverneur de la Banque de Corée, imputent cette baisse à l'appétit des investisseurs particuliers pour les actions étrangères.
Cette accusation a « stupéfié » nombre des quelque 14 millions de petits investisseurs que compte le pays, a déclaré Park Eun-hye, employée de bureau qui achète des actions américaines depuis des années. Les gens étaient « absolument furieux » d'être tenus responsables de la chute du won, a-t-elle ajouté.
Les petits investisseurs sont des « cibles faciles » pour les critiques, a déclaré Park, alors qu'en réalité « une liquidité excessive et d'autres facteurs plus larges pourraient jouer un rôle beaucoup plus important ».
Chassés du marché immobilier surchauffé de Séoul et exaspérés par la faible rentabilité du Kospi – qui a stagné pendant une décennie avant la flambée exceptionnelle de 2025 –, les nombreux investisseurs particuliers sud-coréens se sont tournés vers des placements à haut risque, des cryptomonnaies aux ETF à effet de levier à l'étranger, dans l'espoir de se constituer un patrimoine. Mais leur ardeur au travail agace désormais les principaux responsables de la politique financière de Séoul.
D'après les données du Korea Securities Depository, les investisseurs particuliers coréens ont acquis cette année pour un montant net sans précédent de 31 milliards de dollars d'actions américaines. Cela représente près du triple du montant acheté en 2024 et plus de douze fois le niveau de 2019.
Un grand quotidien local a titré sur une possible « crise des changes », ce que le gouvernement a catégoriquement démenti. Les données officielles ont montré que les sorties de capitaux des marchés actions ont totalisé environ 18 milliards de dollars en octobre, principalement du fait des investisseurs particuliers, contre environ 3 milliards de dollars d'entrées.
« Si les sorties de capitaux du pays sont supérieures aux entrées, cela peut affaiblir le won ou limiter sa force », a déclaré Stephen Lee, économiste chez Meritz Securities, ajoutant que les investissements des Coréens en actions à l'étranger étaient « une conséquence naturelle » des rendements attendus.
La « tendance » des jeunes Sud-Coréens à investir massivement dans les actions étrangères est préoccupante, a déclaré le gouverneur de la Banque de Corée, Rhee Chang Yong, à la fin du mois dernier, et les autorités renforcent les règles relatives à l'achat à effet de levier d'ETF cotés à l'étranger.
Mais les Coréens n'achètent pas d'actions étrangères « par simple effet de mode », a déclaré Syuka, ancien trader et gestionnaire de portefeuille devenu influenceur financier sur sa chaîne YouTube très suivie. Selon lui, ces achats sont la conséquence d'une décennie de stagnation du marché local.
Les sorties de capitaux ont persisté même si l'indice Kospi a progressé de plus de 70 % pour devenir l'un des plus performants au monde cette année, grâce notamment à l'optimisme suscité par les réformes des entreprises et à l'engagement répété du président Lee Jae Myung de stimuler la valeur boursière.
À lire : La flambée boursière record mondiale crée de nouveaux problèmes sur le marché coréen
Selon Jung Eui-jung, présidente de l'Alliance des actionnaires coréens, des efforts ciblés du gouvernement sont essentiels pour remédier à la faiblesse du won. Elle a ajouté que les responsables devraient « faire preuve d'introspection » et examiner attentivement leurs politiques, au lieu de « rejeter la faute » sur les investisseurs particuliers.
Même certains responsables ont adopté une position plus conciliante sur la question, le gouverneur du Service de supervision financière, Lee Chan-jin, déclarant qu'il pouvait « comprendre » la quête désespérée de rendements des traders coréens.
« Attribuer la hausse du taux de change uniquement aux investisseurs particuliers qui investissent à l'étranger est une interprétation excessive », a déclaré Won Jung Yeon, une investisseuse particulière de 27 ans qui gère une chaîne YouTube de conseils financiers.
Il s'est mis à investir en bourse après avoir réalisé qu'il ne deviendrait jamais riche uniquement grâce à un salaire et a déclaré que tous les « investisseurs particuliers prennent des décisions d'investissement uniquement dans un but lucratif ».
Si les incitations étaient adéquates, davantage d'investisseurs comme Park Minyeol, un fonctionnaire sud-coréen d'une trentaine d'années ayant investi massivement dans des actions étrangères, se disent prêts à revenir investir en Corée. Il envisage d'ailleurs d'investir entre 10 et 20 % de son patrimoine dans des actions coréennes, notamment dans le secteur de la robotique.
L'économie japonaise s'est contractée plus fortement au troisième trimestre que prévu, selon un communiqué révisé du Cabinet du Japon publié lundi.
La contraction annualisée révisée s'établit à 2,3 %, contre une estimation précédente de 1,8 % et une prévision médiane de baisse de 2,0 %.
En glissement trimestriel, le produit intérieur brut a chuté de 0,6 %, une baisse plus marquée que la contraction initiale de 0,4 % et supérieure à la prévision médiane d'un recul de 0,5 %.
La consommation privée , moteur essentiel de l'économie, a enregistré un léger rebond, progressant de 0,2 % contre une hausse de 0,1 % selon la première estimation. Parallèlement, les investissements de capital ont été fortement révisés à la baisse, affichant un recul de 0,2 % au lieu de la hausse de 1,0 % initialement annoncée.
La demande extérieure a continué de peser sur la croissance, les exportations nettes amputant la croissance de 0,2 point de pourcentage, tandis que la demande intérieure a contribué à un ralentissement de 0,4 point, un résultat pire que les estimations précédentes.
Cette contraction plus marquée reflète la persistance de difficultés liées à la faiblesse de la demande mondiale, aux tensions commerciales et à la modération des investissements privés. Ce constat plus défavorable pourrait assombrir les perspectives économiques à court terme du Japon, alors même que les décideurs politiques envisagent des mesures budgétaires et monétaires pour soutenir la croissance.
Ces données pourraient également modérer les attentes à court terme concernant une hausse des taux de la Banque du Japon, car l'attention reste focalisée sur les projets de la nouvelle Première ministre Sanae Takaichi en matière de dépenses publiques accrues.
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