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Italie PPI YoY (Novembre)--
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Mexique Indice de l'activité économique en glissement annuel (Octobre)--
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Canada Indice des prix des produits industriels MoM (Novembre)--
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Mexique Balance commerciale (Novembre)--
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La branche du groupe Dior à Shanghai a transféré des données personnelles de ses clients à son siège en France de manière illégale, menant à une fuite de données en mai, ont déclaré mardi les autorités chinoises de la sécurité publique.
Le groupe français n'a pas mené les examens de sécurité requis avant de transférer les données en France et n'a pas notifié les utilisateurs ni crypté les données conformément aux exigences, ont annoncé les autorités dans un communiqué.
Une pénalité administrative a été infligée à l'entreprise, ont ajouté les autorités.
Dior n'a pas répondu dans l'immédiat à une demande de commentaires.
Cinq permis d'exploration et d'exploitation d'hydrocarbures ont été attribués mardi à des consortiums associant le groupe algérien Sonatrach à des firmes étrangères dont pour la première fois la compagnie nationale du Qatar, ont annoncé les entreprises et les médias locaux.
Le groupement entre Qatar Energy et le groupe français TotalEnergies a obtenu une licence d'exploration sur le périmètre appelé Ahara, "un vaste permis d'une superficie d'environ 14.900 km2, situé à la jonction des bassins prolifiques de Berkine et d'Illizi" dans le sud algérien, a précisé TotalEnergies dans un communiqué.
Il s'agit de la première licence d'exploration obtenue en Algérie par le géant gazier du Qatar.
TotalEnergies "assurera le rôle d'opérateur pendant les phases d'exploration et d'appréciation de ce permis avec une participation effective de 24,5%, au même niveau que son partenaire Qatar Energy (24,5%), la compagnie nationale (algérienne) Sonatrach retenant une participation majoritaire de 51% comme le prévoit la loi algérienne", selon la même source.
Un deuxième périmètre, Reggane II, situé dans la wilaya (préfecture) d'Adrar, a été attribué à un consortium italo-thailandais (ENI et PTTEP) et un troisième Zerafa II, situé dans le bassin d'Ahnet Gourara, près d'Adrar et d'In Salah a été remporté par le groupe chinois ZPEC, selon les médias locaux.
Un autre groupement entre les compagnies Zangas (Autriche) et Filada (Suisse) a remporté la licence d'exploration dans la zone Toual II, dans le bassin de Berkine, tandis qu'une licence d'exploration dans la zone "Guern EL Guessa", dans le bassin de Gourara-Timimoun, a été attribuée à la compagnie chinoise Sinopec.
Les contrats "seront conclus avec le groupe Sonatrach dans les prochains jours", a indiqué le ministre de l'Energie, Mohamed Arkab, cité par des médias officiels, à propos des permis attribués en réponse à un appel d'offre baptisé "Algeria Bid Round 2024" lancé via l'Agence nationale pour la valorisation des ressources d'hydrocarbures (Alnaft).
L'un des sites appelé "El Mzaid El Kebir" (bassin de l'ouest Mya) n'a pas reçu d'offre.
La signature des contrats "interviendra au plus tard le 30 juillet prochain, en fonction de l'avancement des négociations entre les sociétés retenues et le groupe public", a précisé le président de l'Alnaft, Mourad Beldjehem.
Plus grand pays d'Afrique et l'un des dix principaux exportateurs de gaz au monde, l'Algérie tire plus de 90% de ses ressources en devises des hydrocarbures.
L'Equateur a annoncé lundi confier à la compagnie pétrolière chinoise Sinopec le forage de nouveaux puits en Amazonie, ce qui doit lui permettre d'augmenter de 12.000 barils par jour (bj) une production de pétrole a la peine.
En raison de la fermeture progressive de puits et du manque d'investissements, la production pétrolière en Equateur est passée au cours de la dernière décennie de 563.000 bj à 464.000 bj actuellement.
L'accord avec le géant chinois Sinopec, pour environ 105 millions de dollars, prévoit le "déploiement de six foreuses simultanément dans les provinces (amazoniennes) d'Orellana et de Sucumbios", dans le nord-est du pays, a indiqué lundi l'entreprise publique équatorienne Petroecuador. Ce projet doit permettre de créer au moins 2.500 emplois.
L'économie anémique de l'Equateur dépend grandement des exportations de pétrole. Ce dernier a rapporté l'an dernier au pays sud-américain environ 8,6 milliards de dollars.
"Un processus d'appel d'offres est en cours" pour de nouveaux forages dans des champs de pétrole amazoniens, a également déclaré Petroecuador.
Le président récemment réélu Daniel Noboa s'est rendu le week-end dernier aux Emirats arabes unis, l'un des principaux exportateurs de pétrole au monde, dans le but de créer des alliances afin de dynamiser le secteur.
En mars, l'Equateur a subi la pire marée noire de ces dernières années, ce qui l'a obligé à interrompre temporairement le transport de brut et les exportations.
Plus de 25.000 barils de brut se sont déversés dans trois rivières de la province côtière d'Esmeraldas (ouest), frontalière de la Colombie.
Origin Energy a enregistré mercredi une baisse séquentielle de 10 % du chiffre d'affaires au troisième trimestre de sa participation dans le projet Australia Pacific LNG (APLNG), en raison de labaisse des volumes de GNL et de la chute des prix .
Les prix du gaz naturel liquéfié sont restés sous pression depuis le début de l'année 2025 en raison de la tiédeur de la demande due à un hiver doux en Asie, exacerbée par les craintes d'une récession mondiale après les politiques tarifaires du président américain Donald Trump.
Origin a réalisé 11,31 dollars par million d'unités thermiques britanniques (mmBtu) pour son produit GNL provenant du projet APLNG dans le Queensland, contre 12,20 dollars par mmBtu au deuxième trimestre.
Le producteur d'électricité a déclaré des revenus provenant d'APLNG - une coentreprise avec ConocoPhillips et Sinopec - de 616 millions de dollars australiens (393,13 millions de dollars) pour les trois mois se terminant le 31 mars, par rapport à 681 millions de dollars australiens au cours du trimestre de décembre.
Sa part de production du projet a chuté de 3 % à 46 pétajoules (PJ) par rapport au trimestre précédent, avec des ventes totales en baisse de 7 % séquentiellement.
(1 $ = 1,5669 dollar australien)
Origin Energy a enregistré mercredi une baisse séquentielle de 10 % du chiffre d'affaires au troisième trimestre de sa participation dans le projet Australia Pacific LNG (APLNG), alors que les prix des matières premières sous-jacentes ont atteint leur niveau le plus bas depuis près d'un an.
Le producteur d'électricité a déclaré un revenu de 616 millions de dollars australiens (393,13 millions de dollars) pour les trois mois se terminant le 31 mars, contre 681 millions de dollars australiens pour le trimestre de décembre, provenant d'APLNG, une coentreprise avec ConocoPhillips et Sinopec , une entreprise américaine de pétrole et de gaz.
(1 $ = 1,5669 dollar australien)
CATL , le plus grand fabricant de batteries au monde, est en pourparlers pour acquérir une participation majoritaire dans l'unité de production d'énergie du fabricant de véhicules électriques (VE) Nio , qui gère plus de 3.000 stations d’échange de batteries en Chine, ont déclaré à Reuters quatre sources proches du dossier.
CATL a fait cette proposition après avoir annoncé un investissement de 2,5 milliards de yuans (310,82 millions d'euros) dans l'unité, Nio Power, en mars, ont déclaré les sources souhaitant rester anonymes, les discussions n'étant pas encore publiques.
Les sources n'ont pas précisé le montant de l'offre de CATL dans le cadre de l'accord proposé. Cependant, selon l'une d'entre elles, Nio Power a été évaluée à plus de 10 milliards de yuans lors d'une levée de fonds en 2024.
Contactée par Reuters, CATL a refusé de commenter la proposition.
Nio n'a pas répondu directement aux questions concernant l'éventuel accord, mais a déclaré encourager la construction conjointe de stations d'échange de batteries "avec plusieurs investisseurs, y compris CATL".
"Nio et CATL renforceront leur collaboration en matière de capital et de commerce et consolideront leur partenariat stratégique afin de construire ensemble le plus grand réseau d'échange de batteries au monde", a répondu Nio à une demande de commentaire de Reuters.
CATL multiplie les investissements dans des installations d'échange de batteries, son patron Robin Zeng cherchant à transformer son entreprise en fournisseur d'énergie verte.
Le groupe, qui vise à prendre la tête d'une tendance qui, selon lui, remplacera un tiers des stations-service en Chine, a annoncé la semaine dernière un partenariat avec la compagnie pétrolière publique Sinopec en vue de construire 10.000 stations d'échange de batteries. Au moins 500 d'entre elles seront construites cette année.
Nio Power, l'un des principaux actifs de Nio, fournit des services de recharge et d'échange de batteries à Nio et à d'autres marques de VE, notamment Tesla et BYD .
La vente potentielle de l'unité reflète l'intensification de la concurrence sur le marché automobile chinois.
Pour rassurer les consommateurs sur l'autonomie des VE, Nio a installé environ 3.240 stations, principalement en Chine, permettant de remplacer une batterie vide en moins de trois minutes. Ces investissements ont toutefois pesé sur sa rentabilité.
Nio a également co-développé des VE qui peuvent échanger leurs batteries avec les modèles d'autres constructeurs automobiles.
Air France-KLM est la compagnie mieux engagée sur la voie des carburants d'origine non-fossile, au sein d'un secteur aérien mondial où peu investissent "sérieusement" dans ce levier de décarbonation, affirme mardi un groupe de réflexion spécialisé.
Dans un nouvel observatoire des carburants d'aviation durable (sustainable aviation fuels, SAF en anglais), Transport & Environment évalue 77 compagnies aériennes pour leur recours à ces produits, sur la voie du "zéro émission nette" de CO2 promis à l'horizon 2050.
Or, "seules 10 font des efforts notables pour passer du kérosène fossile à des alternatives réellement durables. Les 67 autres achètent soit trop peu de SAF, soit le mauvais type de SAF (par exemple basé sur des cultures alimentaires, NDLR), soit n'envisagent pas du tout les SAF dans leurs plans de décarbonation", assure T&E, basé à Bruxelles.
Or, remarque le groupe, les SAF, produits à partir de biomasse, d'huile usagée ou à terme, d'hydrogène et d'électricité décarbonée (e-kérosène), représentent le principal moyen pour les compagnies de réduire nettement leur empreinte carbone, sans attendre de rupture technologique de la part des avionneurs.
Mais il rejette aussi la faute sur les "producteurs pétroliers historiques" qui "n'investissent pas suffisamment dans la transition vers les carburants durables".
"Eni, TotalEnergies, Shell, BP, Chevron, ExxonMobil, Sinopec et Saudi Aramco prévoient de produire seulement 3 millions de tonnes de SAF d'ici à 2030, soit moins de 3% de leur production actuelle dédiée à l'aviation", note Transport & Environment.
En outre, "le marché de l'e-kérosène est actuellement dominé par de petits raffineurs et des start-ups, qui n'ont pas la capacité financière de produire suffisamment pour répondre aux besoins du marché de masse à long terme", prévient le groupe.
"Les compagnies aériennes doivent changer cette situation en tapant du poing sur la table. Elles doivent vite faire comprendre à leurs fournisseurs de carburants que ce qu'ils leur vendent ne rendra pas leurs vols plus écologiques. Sinon, elles pourront dire adieu à leur objectif de zéro émission nette", souligne Jérôme du Boucher, responsable aviation à T&E France, cité dans un communiqué.
Si "aucune compagnie n'obtient la note maximale" du classement de T&E, Air France-KLM se distingue "car elle utilise déjà des SAF via les biocarburants avancés et biocarburants issus de déchets (huile de cuisson)". Ses dauphines sont United Airlines et Norwegian.
Air France-KLM s'est fixé pour objectif une incorporation de 10% de SAF dans son carburant en 2030, davantage que les 6% requis par l'UE.
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