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Allemagne Production industrielle MoM (SA) (Octobre)A:--
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ROYAUME-UNI BRC Like-For-Like Retail Sales YoY (ventes au détail à l'identique) (Novembre)--
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Australie Taux directeur O/N (emprunts)--
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Relevé des taux d'intérêt de la RBA
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U.S. NFIB Indice d'optimisme des petites entreprises (SA) (Novembre)--
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Mexique Inflation à 12 mois (CPI) (Novembre)--
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Chine, Mainland M1 Masse monétaire YoY (Novembre)--
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U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
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U.S. Prévisions de la production de gaz naturel de l'EIA pour l'année prochaine (Décembre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Corée du Sud Taux de chômage (SA) (Novembre)--
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Le géant bancaire britannique HSBC a annoncé mercredi la nomination de Brendan Nelson à la tête de son conseil d'administration, dernière étape d'un remaniement amorcé l'an dernier avec le remplacement du directeur général.
M. Nelson, 76 ans, occupait déjà la fonction de président par intérim depuis le 1er octobre après avoir rejoint le conseil d'administration en septembre 2023. Il a remplacé Mark Tucker, qui avait annoncé son départ en mai après huit ans en poste.
La banque avait déjà remplacé l'an dernier son directeur général. Georges Elhedery avait pris en septembre 2024 la succession de Noel Quinn, dont le départ surprise avait été annoncé quelques mois plus tôt.
Le groupe, dont le siège est à Londres mais qui génère la majorité de ses revenus en Asie, a engagé l'an dernier une refonte de sa structure internationale pour la "simplifier", mais aussi séparer ses marchés "orientaux" et "occidentaux".
"Je me réjouis de poursuivre ma collaboration avec le conseil d'administration, Georges et l'ensemble de l'équipe de direction afin d'atteindre nos objectifs stratégiques et financiers", a assuré M. Nelson dans un communiqué.
HSBC avait publié fin octobre un bénéfice net en chute au troisième trimestre, plombé notamment par un revers judiciaire liée à l'affaire Bernard Madoff, mais son chiffre d'affaires a augmenté de 5% sur la période, soutenu par une hausse de l'activité de ses clients.
M. Nelson, nommé après "avoir pris en compte des candidatures internes et externes", a mené "une longue carrière dans les services financiers", notamment au cabinet KPMG "où il dirigeait le pôle Services financiers internationaux, conseillant et auditant des banques internationales", a fait valoir HSBC dans un communiqué.
Le dirigeant est aussi passé par les conseils d'administration du pétrolier BP ou de la banque NatWest (ex-RBS).
Mais selon Dan Coatsworth, anaylste chez AJ Bell, le marché "pourrait y voir une nomination provisoire, le temps que HSBC trouve un candidat plus prestigieux ou possédant une expérience bancaire plus directe".
De fait, le titre de la banque reculait d'environ 1% mercredi en début d'après-midi à la Bourse de Londres.
L'analyste souligne que les noms de l'ancien ministre des Finances britannique George Osborne ou du président de Goldman Sachs pour l'Asie Kevin Sneader avaient un temps circulé.
La fonction de M. Nelson à la tête du Conseil d'administration "revêt sans doute une importance accrue, alors que HSBC poursuit sa croissance en Asie dans un contexte géopolitique complexe et que son directeur général actuel, Georges Elhedery, entreprend une restructuration majeure de l'entreprise", poursuit M. Coatsworth.
Le géant bancaire britannique HSBC a annoncé mercredi la nomination de Brendan Nelson à la tête de son conseil d'administration, dernière étape d'un remaniement à la tête de l'entreprise amorcé l'an dernier avec le remplacement du directeur général.
M. Nelson, 76 ans, occupait déjà la fonction de président par intérim depuis le 1er octobre après avoir rejoint le conseil d'administration en septembre 2023. Il a remplacé Mark Tucker, qui avait annoncé son départ en mai après huit ans en poste.
La banque avait déjà remplacé l'an dernier son directeur général. Georges Elhedery avait pris en septembre 2024 la succession de Noel Quinn, dont le départ surprise avait été annoncé quelques mois plus tôt.
Le groupe, dont le siège est à Londres mais qui génère la majorité de ses revenus en Asie, a engagé l'an dernier une refonte de sa structure internationale pour la "simplifier", mais aussi séparer ses marchés "orientaux" et "occidentaux".
"Je me réjouis de poursuivre ma collaboration avec le conseil d'administration, Georges et l'ensemble de l'équipe de direction afin d'atteindre nos objectifs stratégiques et financiers", a assuré M. Nelson dans un communiqué.
HSBC avait publié fin octobre un bénéfice net en chute au troisième trimestre, plombé notamment par un revers judiciaire liée à l'affaire Bernard Madoff, mais son chiffre d'affaires a augmenté de 5% sur la période, soutenu par une hausse de l'activité de ses clients.
M. Nelson, nommé après "avoir pris en compte des candidatures internes et externes", a mené "une longue carrière dans les services financiers", notamment au cabinet KPMG "où il dirigeait le pôle Services financiers internationaux, conseillant et auditant des banques internationales", a fait valoir HSBC dans un communiqué.
Le dirigeant est aussi passé par les conseils d'administration du pétrolier BP ou de la banque NatWest (ex-RBS).
Le titre de HSBC reculait d'environ 1% mercredi peu après l'ouverture de la Bourse de Londres.
HSBC Holdings a annoncé mercredi la nomination de Brendan Nelson à la présidence de son conseil d'administration, en remplacement de Mark Tucker, qui avait annoncé au mois de mai son intention de quitter ses fonctions.
Brendan Nelson assumait les fonctions de président par intérim depuis le 1er octobre.
Cette annonce intervient alors que le directeur général de HSBC, Georges Elhedery, a déclaré hier que Brendan Nelson ne souhaitait pas être nommé président du conseil d'administration du groupe de manière permanente.
"J'ai hâte de continuer à travailler avec le conseil d'administration, Georges (Elhedery) et l'équipe dirigeante dans son ensemble alors que nous remplissons nos objectifs stratégique et financier", a déclaré Brendan Nelson dans un communiqué.
Mark Tucker avait fait part de son intention de démissionner du poste de président du conseil d'administration de HSBC, après avoir passé près de huit ans à la tête de la plus grande banque d'Europe, au mois de mai.
Il occupe les fonctions de président du conseil d'administration de AIA Group depuis le 1er octobre. Mark Tucker avait été directeur général de l'assureur basé à Hong Kong de 2010 à 2017, date à laquelle il avait été nommé président de HSBC.
** Les actions d'UL Solutions ont baissé de 2,1 % hors séance à 87 $ après le lancement de l'offre secondaire
** L'entreprise de tests de sécurité basée à Northbrook, Illinois, déclare que (link) UL Standards & Engagement (ULSE) va se délester de 12,5 millions d'actions
** Goldman Sachs et JP Morgan sont les chefs de file de l'offre
** La vente porterait les avoirs d'ULSE à environ 125,6 millions d'actions, selon le prospectus d'offre (link)
** La société a environ 201 millions d'actions en circulation
** Les actions d'ULS ont clôturé mardi en baisse de 1,5 % à 88,85 $, réduisant les gains depuis le début de l'année à 78 %
** 5 des 11 analystes couvrant ULS considèrent l'action comme un "achat fort" ou un "achat", 6 la considèrent comme un "maintien"; le PT médian de 96 $ est en hausse par rapport à 72 $ il y a un mois, selon les données de LSEG
Les Bourses mondiales patientent mardi, scrutant les négociations pour mettre un terme à la guerre en Ukraine et attendant la publication d'indicateurs macroéconomiques déterminants pour la politique monétaire de la banque centrale américaine.
En Europe, la Bourse de Paris a perdu 0,28%, Londres est restée à l'équilibre (-0,01%), quand Francfort a gagné 0,51% et Milan 0,22%.
A Wal Street, vers 17H00 GMT, le Dow Jones prenait 0,28%, l'indice Nasdaq gagnait 0,35% et l'indice élargi S&P 500 progressait de 0,12%.
"Une atmosphère de calme règne sur les marchés", note Fawad Razaqzada, analyste marchés à Forex.com. "L'absence de nouvelles majeures a certainement contribué à ce ton plus serein".
Les investisseurs européens ont digéré la publication d'une inflation à 2,2% sur un an en zone euro novembre, contre 2,1% le mois précédent. C'est un peu plus que ce qu'escomptaient les analystes interrogés par Bloomberg, qui tablaient sur un maintien à 2,1%.
"L'inflation des services a légèrement augmenté, mais devrait s'atténuer à mesure que la croissance des salaires continue de ralentir, tandis que l'inflation des biens reste inchangée et relativement faible", relève Christophe Boucher, directeur des investissements à ABN AMRO.
"À ce stade, la trajectoire de la BCE (Banque centrale européenne) semble être toute tracée, contrairement à celle de la Fed (la Réserve fédérale américaine), qui reste incertaine. Les marchés n'anticipent aucune baisse en 2026", note-t-il.
Les investisseurs restent aussi prudents en attendant des nouvelles sur d'éventuelles avancées pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a accueilli mardi soir au Kremlin l'émissaire américain Steve Witkoff pour évoquer le plan de Washington visant à mettre fin à la guerre, selon des images de la télévision russe.
M. Poutine était accompagné de son conseiller diplomatique Iouri Ouchakov et de son émissaire pour les questions économiques internationales, Kirill Dmitriev. M. Witkoff était, lui, accompagné du gendre du président américain Jared Kushner.
Aux États-Unis, les investisseurs attendent la publication mercredi du rapport mensuel sur les créations d'emplois dans le secteur privé pour la même période, puis, vendredi, l'inflation pour le mois de septembre.
"Les investisseurs se rendent compte qu'il reste peu de données susceptibles de changer la donne avant la réunion de la Fed la semaine prochaine" et qui pourraient justifier une baisse des taux lors de sa réunion des 9 et 10 décembre, estime M. Razaqzada.
"L'espoir est que l'inflation ralentisse en même temps que l'économie américaine", ce qui permettrait à la Fed de disposer de marges de manoeuvre pour assouplir sa politique, selon Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
Les opérateurs de marché font massivement le pari d'un recul de 0,25 point de pourcentage.
Côté changes, le dollar restait stable (+0,09%) face à l'euro, à 1,1599 dollar pour un euro.
Bayer voit vert
La séance a profité à Bayer, qui termine en forte hausse de 12,08% à Francfort.
Le groupe agrochimique et pharmaceutique a reçu le soutien du gouvernement américain dans le cadre de la vague de litiges lié aux risques potentiels de cancer du désherbant Roundup.
Dans une lettre publiée lundi, le principal avocat du gouvernement du président Donald Trump a demandé à la Cour suprême des États-Unis de se saisir de l'affaire.
Thyssenkrupp recherché
L'action Thyssenkrupp restait recherchée mardi, terminant en hausse de 8,31% à Francfort au lendemain de l'accord social passé avec le syndicat IG Metall dans sa branche acier en crise.
La branche acier de l'Allemand Thyssenkrupp et le syndicat IG Metall avaient annoncé lundi un accord sur la restructuration du sidérurgiste, qui va fortement réduire ses effectifs, au milieu de pourparlers de reprise de cette activité en crise par l'indien Jindal Steel.
Le pétrole scrute l'Ukraine
Le marché pétrolier scrute les nouvelles autour de la situation en Ukraine. Le président russe Vladimir Poutine a averti mardi que la Russie était "prête" à la "guerre" dans l'éventualité où l'Europe lancerait des hostilités contre elle.
Vers 17H00 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord perdait 0,66% à 62,75 dollars, et le WTI américain cédait 0,72% à 58,89 dollars le baril.
Les marchés boursiers mondiaux restent calme mardi, patientant avant la publication plus tard dans la semaine d'indicateurs macroéconomiques déterminants pour la politique monétaire de la banque centrale américaine.
Sur le Vieux Continent, vers 15H00 GMT, la Bourse de Paris perdait 0,17% et Londres 0,06% quand la Bourse de Francfort prenait 0,50% et Milan 0,22%.
"Une atmosphère de calme règne sur les marchés", note Fawad Razaqzada, analyste marchés chez Forex.com. "L'absence de nouvelles majeures a certainement contribué à ce ton plus serein".
Les investisseurs digèrent la publication d'une inflation à 2,2% sur un an en zone euro novembre, contre 2,1% le mois précédent. C'est un peu plus que ce qu'escomptaient les analystes interrogés par Bloomberg, qui tablaient sur un maintien à 2,1%.
"L'inflation des services a légèrement augmenté, mais devrait s'atténuer à mesure que la croissance des salaires continue de ralentir, tandis que l'inflation des biens reste inchangée et relativement faible", relève Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN AMRO.
"À ce stade, la trajectoire de la BCE (la Banque centrale européenne, ndlr) semble être toute tracée, contrairement à celle de la Fed (la Réserve fédérale américaine, ndlr), qui reste incertaine. Les marchés n'anticipent aucune baisse en 2026", note-t-il.
La Bourse de New York a ouvert en petite hausse mardi, tentant un rebond après ses pertes de la veille, dans l'attente de la publication de plusieurs indicateurs macroéconomiques américains.
Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,30%, l'indice Nasdaq gagnait 0,88% et l'indice élargi S&P 500 progressait de 0,41%.
"Les investisseurs se rendent compte qu'il reste peu de données susceptibles de constituer des +game changers+ avant la réunion de la Fed la semaine prochaine" et qui pourraient justifier une baisse des taux lors de sa réunion des 9 et 10 décembre, estime M. Razaqzada.
Ils patientent avant la publication mercredi du rapport mensuel sur les créations d'emplois dans le secteur privé pour la même période, puis, vendredi, la très attendue inflation pour le mois de septembre.
"L'espoir est que l'inflation ralentisse en même temps que l'économie américaine", ce qui permettrait à la Fed de disposer de marges de manoeuvre pour assouplir sa politique, selon Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
Les opérateurs de marché font massivement le pari d'un recul de 0,25 point de pourcentage.
Côté changes, le dollar restait stable (-0,07%) face à l'euro, à 1,1614 dollar pour un euro.
Naissance d'un géant du luxe italien
Prada a annoncé mardi dans un communiqué "l'achèvement de l'acquisition" de son rival milanais Versace pour former un nouveau géant italien du luxe, "après avoir obtenu toutes les autorisations réglementaires requises", a indiqué le groupe.
Le groupe avait annoncé en avril l'acquisition de la marque fondée par Gianni Versace pour 1,25 milliard d'euros, affaibli après sept ans au sein du groupe américain Capri Holdings (marques Michael Kors, Jimmy Choo).
A New York, Capri Holdings prenait 0,58% vers 15H00 GMT.
Bayer bondit
Le géant de l'agrochimie bondissait vers 15H00 GMT de 11,90% à Francfort, après une victoire d'étape dans l'affaire du glyphosate aux États-Unis, où un avocat général recommande que la Cour suprême examine un jugement défavorable à Bayer, ouvrant la voie à une décision de principe.
Selon Goldman Sachs, ce serait une étape majeure pour tourner la page des litiges, ce que Bayer cherche à obtenir en 2026.
Pause dans la chute du bitcoin, le pétrole prudent
Après avoir dégringolé de 5% lundi, le bitcoin, pénalisé par le climat d'aversion pour le risque qui plombe les actifs les plus volatiles, tente de se reprendre, prenant 3,62% à 89.578 dollars.
Le marché pétrolier recule, scrutant la rencontre prévue plus tard dans la journée à Moscou entre Steve Witkoff et Vladimir Poutine dans le cadre de négociations pour mettre un terme à la guerre en Ukraine.
Vers 15H00 GMT, le baril de WTI nord-américain cédait 1,47%, à 58,45 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord 1,35%, à 62,32 dollars.
par Ahmed Rasheed et Aref Mohammed
Exxon Mobil a contacté le ministère irakien du pétrole pour exprimer son intérêt dans le rachat de la participation majoritaire de la société russe Lukoil dans le gisement pétrolier géant de West Qurna 2, ont déclaré à Reuters cinq sources officielles irakiennes ayant une connaissance directe de l'affaire.
Lukoil tente de vendre ses actifs internationaux après les sanctions imposées par les Etats-Unis à la société , et le mouvement d'Exxon marquerait une expansion majeure du retour de la major américaine en Irak, alors que Moscou tente de se débarrasser d'actifs énergétiques clés.
Exxon s'est refusé à tout commentaire, tandis que Lukoil n'a pas répondu à la demande de commentaire de Reuters.
Reuters a rapporté le mois dernier qu'Exxon avait rejoint Chevron pour envisager des options d'achat de parties du portefeuille de Lukoil.
UN CHAMP PÉTROLIFÈRE GÉANT PRODUIT ENVIRON 9 % DU TOTAL IRAKIEN
Le plus grand actif étranger de Lukoil est une participation opérationnelle de 75 % dans le champ pétrolifère irakien de West Qurna 2, l'un des plus grands au monde avec une production d'environ 470 000 barils par jour. Ce gisement représente environ 0,5 % de l'offre mondiale de pétrole et 9 % de la production totale de l'Irak, deuxième producteur de l'OPEP après l'Arabie saoudite.
Exxon a longtemps été l'opérateur du projet voisin West Qurna 1 avant de se retirer l'année dernière alors que cette partie du champ produisait environ 550 000 bpj. Avant le retrait d'Exxon, le directeur de la compagnie pétrolière publique Basra Oil Company a déclaré qu'Exxon avait évalué sa participation de 32,7 % dans West Qurna 1 à 350 millions de dollars. Les deux parties du champ West Qurna sont situées dans le sud de l'Irak, près de la ville de Bassorah.
En octobre, Exxon a signé un accord non contraignant avec l'Irak pour l'aider à développer son gisement pétrolier géant de Majnoon et à accroître ses exportations de pétrole, marquant ainsi le retour de la major américaine dans le pays.
Le retour d'Exxon en Irak fait suite à une série d'accords avec d'autres compagnies pétrolières, dont Chevron >, BP et TotalEnergies , l'Irak cherchant à accélérer la production de pétrole et de gaz en offrant des conditions plus généreuses.
L'IRAK FAVORISE EXXON POUR LE RACHAT, SELON UNE SOURCE
"Exxon est notre option préférée pour prendre la relève de Lukoil. La société a la capacité et l'expérience nécessaires pour gérer un champ aussi vaste et complexe que West Qurna 2", a déclaré un haut fonctionnaire irakien du secteur pétrolier qui supervise les opérations des sociétés étrangères dans le sud du pays.
Un haut fonctionnaire du ministère du pétrole a fait écho à cette déclaration.
Le ministère irakien du pétrole a déclaré lundi qu'il avait invité plusieurs compagnies pétrolières américaines à entamer des négociations en vue de la reprise de West Qurna 2.
Le ministère a indiqué que son objectif était de transférer l'exploitation du champ à l'une des sociétés par le biais d'un processus d'appel d'offres concurrentiel.
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