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Italie Taux de chômage trimestriel (SA) (Troisième trimestre)A:--
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Rapport de l'AIE sur le marché pétrolier
Turquie Taux de repo sur une semaineA:--
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Turquie Taux de prêt au jour le jour (O/N) (Décembre)A:--
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Brésil Ventes au détail MoM (Octobre)A:--
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U.S. Demandes hebdomadaires d'allocations chômage (SA)A:--
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U.S. Ventes en gros MoM (SA) (Septembre)A:--
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U.S. EIA hebdomadaire Natural Gas Stocks VariationA:--
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Chine, Mainland M1 Masse monétaire YoY (Novembre)--
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U.S. Détention hebdomadaire de bons du Trésor par les banques centrales étrangèresA:--
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Japon Production industrielle finale MoM (Octobre)A:--
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Les offres, fusions, acquisitions et cessions suivantes ont été signalées à 14h30 GMT jeudi:
** Sembcorp Industries < SCIL.SI (link) > a déclaré que son unité allait acquérir Alinta Energy pour 6,5 milliards de dollars australiens (4,32 milliards de dollars), marquant l'une des plus grandes expansions à l'étranger pour la société singapourienne.
** Le turc Anadolu Isuzu < ASUZU.IS (link) > a acquis une participation de 75,2% dans l'ancien constructeur automobile public SamAuto pour 80 millions de dollars, ont annoncé les autorités ouzbèkes.
** BlackRock < BLK.N (link) > a vendu une participation de 7,1 % dans la compagnie de gaz espagnole Naturgy < NTGY.MC (link) > pour environ 1,7 milliard d'euros (1,99 milliard de dollars) par le biais d'un placement accéléré géré par JPMorgan, a déclaré l'entreprise.
** UBS Fund Management < UBSG.S (link) > a acquis 10,3% des droits de vote de la société d'emballage SIG Group < SIGNC.S (link) >, a déclaré l'opérateur de la bourse suisse SIX.
** Le groupe russe Lukoil privilégie l'offre de la banque américaine Xtellus Partners pour ses actifs mondiaux par rapport à une douzaine d'offres concurrentes, dans la mesure où elle prend la forme d'une transaction sans numéraire qui restituerait à la compagnie pétrolière russe les titres détenus par les Américains, ont déclaré deux sources familières avec le processus.
** Les régulateurs de la concurrence de l'UE n'ont pas analysé correctement les risques de l'acquisition par Broadcom de la société d'informatique dématérialisée VMware pour 69 milliards de dollars avant d'autoriser l'opération, a déclaré le Cloud Infrastructure Services Providers in Europe (CISPE) à la deuxième plus haute cour de justice de l'Europe.
** Le directeur général de Banco BPM , Giuseppe Castagna, a déclaré jeudi que sa banque n'avait pas examiné d'accord avec le français Crédit Agricole et n'avait rien sur la table concernant Monte dei Paschi di Siena , bien que toute opportunité future soit évaluée avec soin.
** L'assureur britannique Prudential < PRU.L (link) > a déclaré avoir vendu une participation de 4,5 % dans ICICI Prudential Asset Management < IICL.NS (link) > pour 49 milliards de roupies (environ 545 millions de dollars), avant l'introduction en bourse de 1,2 milliard de dollars du gestionnaire de fonds indien, qui débute vendredi.
** La société de financement du commerce Raistone, créancière de First Brands, est sur le point de se vendre à la société d'investissement Marblegate Asset Management, a rapporté le Financial Times mercredi, citant des personnes familières avec le sujet.
** Le directeur général de Rheinmetall AG < RHMG.DE (link) > Armin Papperger fait une nouvelle proposition pour acheter une partie de son rival KNDS NV et créer une société européenne de défense terrestre qui consoliderait le marché fragmenté du continent, a rapporté Bloomberg mercredi, citant des sources ayant connaissance de l'affaire.
** Acrisure a accepté d'acquérir Vave, une AGM de souscription axée sur la technologie, auprès de l'assureur spécialisé Canopius Group, alors que le géant américain de la fintech élargit son empreinte de souscription, a déclaré la société mercredi.
La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé jeudi avec deux grands indices en baisse sur fond de regain d'inquiétude sur les valeurs liées à l'intelligence artificielle (IA) au lendemain de la publication des résultats et prévisions d'Oracle.
Dans les premiers échanges, l'indice Dow Jones avance de 113,62 points, soit 0,24%, à 48.171,37 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, recule de 26,07 points, soit 0,38%, à 6.860.61 points.
Le Nasdaq Composite cède 153,32 points, soit 0,65%, à 23.500,83 points.
Oracle chute jeudi de 15,56% après avoir dit mercredi soir anticiper un chiffre d'affaires pour le trimestre en cours inférieur aux attentes, tout en annonçant une hausse de 15 milliards de ses dépenses d'investissement annuelles. Dans son sillage, Nvidia recule de 2,33%, Advanced Micro Devices de 2,75%, Micron Technology de 1,08% et Microsoft de 0,20%. Les résultats de Broadcom (-3,13%), attendus après la clôture de Wall Street, constitueront un nouveau test pour les marchés.
Oracle s'est fait remarquer en septembre à la faveur de l'annonce de la signature d'un accord avec OpenAI, le créateur de ChatGPT, dans la construction de centres de données, ce qui a provoqué un rallye sur le titre. Mais depuis le soufflé est retombé et l'action est en passe d'enregistrer sa plus forte baisse trimestrielle depuis la mi-2022.
Le marché redoute la formation d'une bulle spéculative dans l'IA, comparable à celle des années 2000, au regard des investissements colossaux, souvent financés par des emprunts, consentis par les géants technologiques américains.
Matt Britzman, analyste chez Hargreaves Lansdown, souligne qu'Oracle a été à l'épicentre du débat sur les dépenses dans l'IA, étant donné que le groupe ne dispose pas des flux de trésorerie comparables à ceux d'Alphabet (-0,33%), Amazon (-0,93%) et Microsoft.
"Les marchés ont rapidement regardé au-delà de la hausse massive des bénéfices, liée à une vente exceptionnelle d'actifs, et se sont concentrés sur l'augmentation des dépenses d'investissement et la faiblesse des flux de trésorerie", a-t-il expliqué. Selon lui, les investisseurs craignent que ces investissements tardent à porter leurs fruits.
L'indice VIX de la volatilité, considéré comme le baromètre de la peur à Wall Street, remonte légèrement jeudi, à près de 16 points, tandis que le secteur technologique et celui des semi-conducteurs sont dans le rouge.
Parallèlement, les indicateurs économiques sur le marché du travail continuent de susciter des interrogations puisque les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté aux Etats-Unis la semaine dernière, à 236.000.
La Réserve fédérale américaine (Fed), en abaissant mercredi ses taux directeurs de 25 points de base, a dit être dans l'attente de signaux plus clairs sur le marché de l'emploi pour la suite de sa politique monétaire.
Dans le reste des valeurs du jour, Eli Lilly prend 1,89%, le laboratoire ayant annoncé que son médicament de nouvelle génération contre l'obésité avait permis aux patients de perdre en moyenne 28,7% de leur poids lors d'un essai clinique, un résultat meilleur que le Zepbound, un autre traitement du groupe.
Adobe cède 2,29%, la prévision de marge du groupe ayant déçu malgré de solides perspectives pour l'exercice fiscal 2026.
* Pour les valeurs à suivre, cliquez sur
Francfort (awp/afp) - La Banque centrale européenne (BCE) a présenté jeudi ses propositions pour simplifier les règles de fonds propres bancaires et éviter des lourdeurs inutiles. L'institut de Francfort a écarté toute volonté d'affaiblir la solidité du secteur.
Ces propositions ont émané d'un groupe de travail piloté par Luis de Guindos, vice-président de la BCE, en réponse aux inquiétudes des banques européennes sur leur compétitivité face à leurs concurrentes américaines, en s'estimant freinées par une réglementation plus complexe. Après la crise financière de 2008, les banques ont dû renforcer leurs réserves de capital pour mieux couvrir leurs engagements risqués et résister aux chocs économiques.
Depuis 2014, la BCE supervise directement plus d'une centaine de grandes banques, dont Deutsche Bank, BNP Paribas et UniCredit, et peut leur imposer des coussins de capital supplémentaires selon leur profil de risque. À l'inverse, aux États-Unis et au Royaume-Uni, les régulateurs avancent désormais vers un assouplissement de certaines règles.
Les banques européennes souhaiteraient libérer du capital pour distribuer du crédit et mieux rémunérer leurs actionnaires. Elles ont reçu récemment le soutien du chancelier allemand Friedrich Merz, qui juge la réglementation européenne "trop rigoureuse". "C'est un mythe", a rétorqué Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, assurant que "les exigences actuelles ont renforcé, plutôt qu'affaibli, la compétitivité des banques européennes".
Réduire le nombre de coussins de capitaux
Une recommandation phare du rapport vise à réduire le nombre de "coussins de capital" des banques, conçus pour faire face à divers chocs potentiels, dans l'immobilier ou par le biais de placements financiers volatils. "Nous avons plus de dix coussins différents", il s'agit "de passer à deux", a expliqué le banquier central lors d'une conférence téléphonique.
Un coussin dit "libérable" pourrait être utilisé en période de stress, afin d'absorber des pertes sans risquer une faillite. Le second coussin dit "non libérable" remplirait à tout moment les minimas réglementaires et les autorités pourraient le réduire pendant les périodes défavorables.
La BCE propose aussi de renforcer la capacité de certaines obligations bancaires à absorber les pertes, soit les obligations dites "AT1", très surveillées depuis l'effondrement de Credit Suisse en 2023. Lors du rachat de cette banque par sa rivale suisse UBS, la valeur de ces obligations a été réduite à zéro, suscitant la colère de leurs détenteurs.
Une autre recommandation porte sur un régime "dédié, prudent et sensiblement plus simple" pour les petites banques, au nom du principe de "proportionnalité" et en s'inspirant des modèles américain, britannique ou suisse. L'Allemagne y était favorable, compte tenu de son paysage bancaire fragmenté.
Le groupe de travail propose également de simplifier le "test de résistance" bancaire face à divers scénarios défavorables. Mené à l'échelle de l'UE, il doit suivre une méthodologie plus simple et ses résultats doivent davantage servir aux banques visées. Pour la somme de données à fournir régulièrement par les banques à diverses autorités européennes, celles-ci devront les partager entre elles plus largement, pour alléger le fardeau bureaucratique des banques.
La Commission européenne, destinataire de ce lot de recommandations, devra décider si elle les traduit en propositions législatives, en concertation avec le Parlement et le Conseil. Le chantier devrait s'ouvrir l'an prochain. La BCE s'est fixée au long de cet exercice long de près de sept mois des "lignes rouges", a rappelé M. de Guindos.
Les efforts de simplification visent à "préserver la résilience des banques", entendant par là "le niveau de capital des établissements", pour ne pas faire rimer simplification avec dérégulation. Les responsables de la zone euro veulent éviter une dérégulation excessive comme celle des années 1990-2000, qui a conduit à plusieurs crises avant le crash de 2008.
La crise des banques régionales américaines en 2023, attribuée à une supervision insuffisante, constitue pour eux un rappel des risques d'un assouplissement trop large.
afp/vj
La Banque centrale européenne (BCE) a présenté jeudi ses propositions pour simplifier les règles de fonds propres bancaires et éviter des lourdeurs inutiles, tout en affirmant ne pas vouloir affaiblir la solidité du secteur.
Ces propositions ont émané d'un groupe de travail piloté par Luis de Guindos, vice-président de la BCE, en réponse aux inquiétudes des banques européennes sur leur compétitivité face à leurs concurrentes américaines, en s'estimant freinées par une réglementation plus complexe.
* Les banques européennes sont-elles trop contraintes ?
Après la crise financière de 2008, les banques ont dû renforcer leurs réserves de capital pour mieux couvrir leurs engagements risqués et résister aux chocs économiques.
Depuis 2014, la BCE supervise directement plus d'une centaine de grandes banques, dont Deutsche Bank, BNP Paribas et UniCredit, et peut leur imposer des coussins de capital supplémentaires selon leur profil de risque.
À l'inverse, aux États-Unis et au Royaume-Uni, les régulateurs avancent désormais vers un assouplissement de certaines règles.
Les banques européennes souhaiteraient libérer du capital pour distribuer du crédit et mieux rémunérer leurs actionnaires. Elles ont reçu récemment le soutien du chancelier allemand Friedrich Merz, qui juge la réglementation européenne "trop rigoureuse".
"C'est un mythe", a rétorqué Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, assurant que "les exigences actuelles ont renforcé, plutôt qu'affaibli, la compétitivité des banques européennes".
* Quelles mesures proposées ?
Une recommandation phare du rapport vise à réduire le nombre de "coussins de capital" des banques, conçus pour faire face à divers chocs potentiels, dans l'immobilier ou par le biais de placements financiers volatils.
"Nous avons plus de dix coussins différents", il s'agit "de passer à deux", a expliqué le banquier central lors d'une conférence téléphonique.
Un coussin dit "libérable" pourrait être utilisé en période de stress, afin d'absorber des pertes sans risquer une faillite.
Le second coussin dit "non libérable" remplirait à tout moment les minimas réglementaires et les autorités pourraient le réduire pendant les périodes défavorables.
La BCE propose aussi de renforcer la capacité de certaines obligations bancaires à absorber les pertes, soit les obligations dites "AT1", très surveillées depuis l'effondrement de Credit Suisse en 2023.
Lors du rachat de cette banque par sa rivale suisse UBS, la valeur de ces obligations a été réduite à zéro, suscitant la colère de leurs détenteurs.
Une autre recommandation porte sur un régime "dédié, prudent et sensiblement plus simple" pour les petites banques, au nom du principe de "proportionnalité" et en s'inspirant des modèles américain, britannique ou suisse.
L'Allemagne y était favorable, compte tenu de son paysage bancaire fragmenté.
Le groupe de travail propose également de simplifier le "test de résistance" bancaire face à divers scénarios défavorables. Mené à l'échelle de l'UE, il doit suivre une méthodologie plus simple et ses résultats doivent davantage servir aux banques visées.
Pour la somme de données à fournir régulièrement par les banques à diverses autorités européennes, celles-ci devront les partager entre elles plus largement, pour alléger le fardeau bureaucratique des banques.
La Commission européenne, destinataire de ce lot de recommandations, devra décider si elle les traduit en propositions législatives, en concertation avec le Parlement et le Conseil. Le chantier devrait s'ouvrir l'an prochain.
* Où sont les limites de l'exercice ?
La BCE s'est fixée au long de cet exercice long de près de sept mois des "lignes rouges", a rappelé M. de Guindos.
Les efforts de simplification visent à "préserver la résilience des banques", entendant par là "le niveau de capital des établissements", pour ne pas faire rimer simplification avec dérégulation.
Les responsables de la zone euro veulent éviter une dérégulation excessive comme celle des années 1990-2000, qui a conduit à plusieurs crises avant le crash de 2008.
La crise des banques régionales américaines en 2023, attribuée à une supervision insuffisante, constitue pour eux un rappel des risques d'un assouplissement trop large.
La banque centrale suisse est restée imperturbable face à la faiblesse de l'inflation en Suisse et a sans surprise maintenu jeudi son taux d'intérêt directeur à 0%, notant que l'incertitude économique s'est "quelque peu dissipée" mais reste "significative".
La Banque nationale suisse (BNS) n'a procédé qu'à quelques ajustements au niveau de ses prévisions de croissance et d'inflation, au lendemain de l'annonce de l'entrée en vigueur d'un allégement des droits de douane américains à 15% pour les produits helvétiques.
Elle a laissé sa prévision d'inflation inchangée pour 2025 à 0,2%, mais l'a abaissée à 0,3% pour 2026 (contre 0,5% prévu auparavant) et à 0,6% pour 2027 (contre 0,7% précédemment).
"Ces derniers mois, l'inflation a été légèrement plus faible que ce qui était attendu", a reconnu le président de la BNS, Martin Schlegel, lors d'une conférence de presse à Berne, "mais la pression inflationniste à moyen terme demeure pratiquement inchangée", justifiant un statu quo dans sa politique monétaire.
En septembre, la BNS avait dit s'attendre à une légère augmentation de l'inflation en Suisse durant le dernier trimestre. Mais l'évolution des prix à la consommation a depuis déjoué ses prévisions. Alors que l'inflation se situait 0,2% sur un an en septembre, elle a reflué à 0,1% en octobre et 0% en novembre.
La BNS est pourtant restée "imperturbable", a réagi Adrian Prettejohn, économiste chez Capital Economics, dans une note de marché. Mais elle devrait être "moins détendue l'an prochain", car d'après lui, l'inflation devrait se situer "en moyenne à juste zéro" sur l'ensemble de l'année en 2026. Un retour au taux d'intérêt négatif, à -0,25%, lui semble envisageable aux environs courant 2026.
La BNS se trouve dans une situation différente de nombreuses autres banques centrales, puisque l'inflation est déjà repassée sous son objectif de 2% depuis juin 2023, et a même reflué trop vite selon de nombreux économistes qui s'inquiètent de tensions déflationnistes pour l'économie suisse.
- Signes de reprise -
"L'inflation est faible, mais pas préoccupante", juge pour sa part Stefan Gerlach, économiste en chef chez EFG, d'autant que l'activité économique montre "des signes de reprise", si bien que la BNS ne devrait pas changer sa politique monétaire "pour l'instant", estime-t-il.
"La baisse des taux d'intérêt décidée hier par la Fed ne devrait guère modifier cette estimation à l'avenir", juge-t-il dans une note de marché.
Dans une note publiée la semaine dernière, les économistes d'UBS avaient, eux, jugé probable que la BNS maintienne son taux directeur à 0% tout au long de 2026, en dépit de cette faible inflation. Car l'allégement des droits de douane réduit les risques pour la croissance et par conséquent les risques de déflation, selon eux.
En août, la Suisse avait été sonnée par les droits de douane de 39% imposés par Washington mais est parvenue mi-novembre à négocier un allégement à 15%. Le ministre de l'économie Guy Parmelin a annoncé mercredi son entrée en vigueur rétroactive au 14 novembre.
Selon la BNS, "les perspectives économiques pour la Suisse "se sont quelque peu améliorées" avec cette baisse des droits. Elle table désormais sur une croissance du PIB de 1,5% en 2025 (contre 1% à 1,5% prévu auparavant) mais reste prudente pour 2026, avec une croissance "d'environ 1%", contre "à peine 1%" attendu précédemment.
"La principale incertitude pesant sur les perspectives économiques en Suisse est l'évolution de l'économie mondiale", selon la BNS, qui note que l'incertitude, bien qu'un peu moindre, reste "significative".
Les offres, fusions, acquisitions et cessions suivantes ont été signalées avant 10h30 GMT ce jeudi:
** BlackRock < BLK.N (link) > a vendu une participation de 7,1 % dans le fournisseur de gaz espagnol Naturgy < NTGY.MC (link) > pour environ 1,7 milliard d'euros (1,99 milliard de dollars) dans le cadre d'un placement accéléré géré par JPMorgan, a déclaré la société.
** UBS Fund Management < UBSG.S (link) > a acquis 10,3 % des droits de vote de la société d'emballages SIG Group < SIGNC.S (link) >, a indiqué SIX, l'opérateur de la bourse suisse.
** L'assureur britannique Prudential < PRU.L (link) > a déclaré avoir vendu une participation de 4,5 % dans ICICI Prudential Asset Management < IICL.NS (link) > pour 49 milliards de roupies (environ 545 millions de dollars), précédant l'introduction en bourse de 1,2 milliard de dollars du gestionnaire de fonds indien, qui doit débuter vendredi.
** La société de financement du commerce Raistone, créancière de First Brands, est sur le point d'être vendue à la société d'investissement Marblegate Asset Management, a rapporté le Financial Times mercredi, citant des personnes proches du dossier.
** Le directeur général de Rheinmetall AG < RHMG.DE (link) >, Armin Papperger, fait une nouvelle proposition pour acquérir une partie de son rival KNDS NV et créer une entreprise européenne de défense terrestre qui consoliderait le marché fragmenté du continent, a rapporté Bloomberg mercredi, citant des sources proches du dossier.
** Acrisure a accepté d'acquérir Vave, une agence générale de souscription (MGA) axée sur la technologie, auprès de l'assureur spécialisé Canopius Group, alors que le géant américain de la fintech élargit son empreinte de souscription, a déclaré la société mercredi.
BlackRock a vendu une participation de 7,1% de la compagnie de gaz espagnole Naturgy pour environ 1,7 milliard d'euros (1,99 milliard de dollars) par le biais d'un placement accéléré géré par JPMorgan, a déclaré la société jeudi.
La transaction laisse BlackRock avec une participation d'environ 11,42% dans Naturgy après avoir complété le placement accéléré de 68.825.911 actions au prix de 24,75 euros par action.
Cela représente une décote d'environ 5,4 % par rapport au cours de clôture de mercredi, qui était de 26,16 euros par action.
BlackRock est devenu actionnaire de Naturgy par le biais de l'acquisition en 2024 de Global Infrastructure Partners (GIP), qui avait déjà investi dans l'entreprise.
Après la vente de sa participation, BlackRock sera le quatrième actionnaire de la société, après la société holding espagnole Criteria, qui détient une participation de près de 24 %. La société de capital-investissement CVC détient 18,6 % et le fonds australien IFM détient 15,2 %.
La transaction, qui devrait permettre à la société d'augmenter son capital flottant pour atteindre son objectif d'environ 25 %, fait suite à une période de fortes performances pour Naturgy, qui a enregistré des bénéfices records d'environ 2 milliards d'euros par an au cours des deux dernières années.
La société a bénéficié de l'augmentation de la production de ses centrales à cycle combiné, qui ont fonctionné plus d'heures depuis une panne de réseau survenue le 28 avril, ce qui a permis de renforcer la sécurité de l'approvisionnement et d'éviter des déconnexions généralisées.
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