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Le président de la Fed de Philadelphie, Henry Paulson, prononce un discours

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La branche française de l'équipementier suédois de télécommunications Ericsson veut supprimer plus de 130 postes, soit plus de 10% de ses effectifs, a indiqué jeudi un porte-parole de l'entreprise à l'AFP, confirmant une information du Figaro.
Un projet de rupture conventionnelle collective visant à supprimer 134 postes a été présenté dans la journée aux représentants syndicaux, a précisé ce même porte-parole, qui a évoqué une tendance à la baisse du marché.
Le processus se déroulera sur la base du volontariat au sein de l'entreprise, qui compte un millier de salariés en France.
Ces mesures devraient dans leur quasi-intégralité concerner le site de Massy (Essonne), ainsi que quelques postes à Lannion (Côtes-d'Armor).
Le calendrier de ces suppressions d'effectifs n'a pas encore été arrêté.
Les ruptures conventionnelles collectives, qui n'ont pas à être justifiées par des motifs économiques, doivent nécessairement obtenir l'approbation des représentants du personnel pour être mises en oeuvre.
Cette annonce de la part d'Ericsson France fait écho à celle de son concurrent Nokia: la branche française de l'équipementier finlandais avait annoncé vendredi à ses salariés en France sa volonté de supprimer plus de 400 postes, soit plus de 18% de ses effectifs dans le pays.
Les Bourses mondiales ont suivi des directions opposées au cours de la journée de mercredi, dans l'attente des résultats du géant américain des puces électroniques Nvidia, baromètre de l'engouement pour l'intelligence artificielle (IA), finalement bien accueillis après la clôture de Wall Street.
En Europe, la Bourse de Paris a légèrement reculé de 0,18%, Londres a cédé 0,47%, tandis que Francfort a terminé proche de son point d'équilibre (-0,08%).
A l'issue d'une séance en dents de scie, à New York le Dow Jones a pris 0,10%, l'indice Nasdaq a avancé de 0,59% et l'indice élargi S&P 500 a pris 0,38%.
"Le marché s'est montré dans l'expectative" des performances financières trimestrielles de Nvidia, "presque comme s'il était au point mort, devant un feu rouge, attendant soit de démarrer, soit de reculer", a commenté auprès de l'AFP Sam Stovall, de CFRA.
La publication de ses résultats, après la clôture des Bourses mondiales, a semblé être bien accueillie par les investisseurs, notamment grâce à un bond du bénéfice net au troisième trimestre de son exercice décalé de 65% (sur un an).
La première capitalisation mondiale a été la locomotive des investissements pour le développement de l'intelligence artificielle (IA) grâce à ses puces graphiques très perfectionnées.
Depuis le début de l'année, sa valorisation a pris plus de 30%, à environ 4.500 milliards de dollars. Et à Wall Street l'entreprise pèse entre 7% et 8% de l'indice de référence S&P 500.
Le groupe a atteint un tel poids boursier que ses résultats "sont devenus un moment macroéconomique", commente Florian Ielpo, responsable de la recherche macroéconomique de Lombard Odier AM.
Statu quo attendu pour les taux de la Fed
Sur un autre plan, les acteurs du marché ont revu à la baisse leurs attentes quant à une nouvelle diminution des taux de la banque centrale américaine (Fed) en décembre. La majorité des investisseurs s'attend désormais à un statu quo, alors qu'ils penchaient tous pour une nouvelle baisse un mois plus tôt.
Selon le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale, "de nombreux participants" ont "suggéré que, compte tenu de leurs prévisions économiques, il serait probablement souhaitable" de laisser les taux inchangés "pour le reste de l'année".
Et le service statistiques du ministère du Travail (BLS) a indiqué mercredi que les responsables de l'institution monétaire n'auront pas connaissance des rapports sur l'état de l'emploi en octobre et en novembre avant de prendre leur décision monétaire les 9 et 10 décembre prochains.
Sur le marché obligataire vers 17H10 GMT, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain restait stable, à 4,13%, contre 4,12% mardi à la clôture. A deux ans, il atteignait 3,59%, après 3,57% la veille.
Le dollar prenait 0,39% face à la monnaie unique, à 1,1536 dollar pour un euro.
La défense en repli
Rheinmetall (-6,99%), Hensoldt (-5,11%) et Renk (-7,69%) ont été délaissées à Francfort, retombant à leur niveau d'août, après que le Kremlin a refusé mercredi de commenter des informations publiées par le média américain Axios selon lesquelles Washington et Moscou préparent discrètement un plan de paix pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
Nokia se réorganise en deux pôles
L'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a annoncé mercredi se réorganiser autour de deux segments, les infrastructures réseau et les infrastructures mobiles, pour profiter de l'essor de l'intelligence artificielle (IA).
Le groupe dévoile par ailleurs de nouveaux objectifs financiers de long terme, à savoir un bénéfice d'exploitation compris entre 2,7 et 3,2 milliards d'euros pour 2028, contre 2 milliards sur les 12 derniers mois dans sa nouvelle configuration.
A la Bourse d'Helsinki, le titre a fortement reculé de 6,98%.
Les Bourses mondiales évoluent avec prudence mercredi en attendant les résultats du géant américain des puces électroniques Nvidia, considérés comme un test décisif pour les grandes valeurs technologiques alors que les craintes sont croissantes quant à une bulle financière autour de l'intelligence artificielle (IA).
En Europe, la Bourse de Paris a légèrement reculé de 0,18%, Londres a cédé 0,47%, tandis que Francfort a terminé proche de son point d'équilibre (-0,08%).
A New York, vers 17H10 GMT l'indice S&P 500 grappillait 0,16%, le Nasdaq prenait 0,34%, tandis que le Dow Jones cédait 0,16%.
Tous les regards sont braqués sur Nvidia, première capitalisation boursière du monde, le marché attendant la publication de ses comptes pour le troisième trimestre de son exercice décalé 2025-2026 à 21H00 GMT.
Le groupe a atteint un tel poids boursier que ses résultats "sont devenus un moment macroéconomique", commente Florian Ielpo, responsable de la recherche macroéconomique de Lombard Odier AM.
Plus globalement, les titres des groupes technologiques ont porté les marchés financiers ces derniers mois, poussés par les espoirs que l'IA ouvre la voie à un nouveau cycle de croissance.
Il y a encore cinq ans, "les entreprises du secteur de l'intelligence artificielle représentaient 5% de la capitalisation boursière totale" de l'indice boursier MSCI World, qui regroupe plus de 1.600 entreprises cotées dans une vingtaine de pays développés, explique Florian Ielpo. "En 2025, c'est 30%, alors que le nombre d'entreprises n'a pas changé," illustre-t-il.
En parallèle, le marché attend la publication mercredi des "minutes" de la Réserve fédérale américaine (Fed), compte rendu de la dernière réunion d'octobre de l'institution financière, lors de laquelle elle avait diminué ses taux directeurs.
Plusieurs membres de l'institution ont récemment joué la carte de la prudence sur une nouvelle baisse des taux à l'issue de la réunion de politique monétaire programmée les 9 et 10 décembre prochains.
Les acteurs du marché sont désormais partagés sur une réduction d'un quart de point de pourcentage des taux en décembre. Ils étaient quasi-unanimes un mois plus tôt sur le sujet.
Sur le marché obligataire vers 17H10 GMT, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain restait stable, à 4,10%, contre 4,11% mardi à la clôture. A deux ans, il atteignait 3,56%, après 3,57% la veille.
Le dollar prenait 0,37% face à la monnaie unique, à 1,1538 dollar pour un euro.
Des ventes en recul pour Target
A la cote, la chaîne d'hypermarchés Target gardait tout juste la tête hors de l'eau (+0,05%) après avoir fait état de ventes en recul au troisième trimestre et avoir revu ses prévisions à la baisse.
Le groupe s'attend désormais à un bénéfice net par action annuel de 7 à 8 dollars, contre 7 à 9 dollars auparavant.
Les résultats du géant des supermarchés Walmart sont quant à eux attendus jeudi et ces chiffres seront "un indicateur clé pour comprendre ce que font les consommateurs" américains, explique Steve Sosnick, analyste d'Interactive Brokers.
La défense en repli
Rheinmetall (-6,99%), Hensoldt (-5,11%) et Renk (-7,69%) ont été délaissées à Francfort, retombant à leur niveau d'août, après que le Kremlin a refusé mercredi de commenter des informations publiées par le média américain Axios selon lesquelles Washington et Moscou préparent discrètement un plan de paix pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
Nokia se réorganise en deux pôles
L'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a annoncé mercredi se réorganiser autour de deux segments, les infrastructures réseau et les infrastructures mobiles, pour profiter de l'essor de l'intelligence artificielle (IA).
Le groupe dévoile par ailleurs de nouveaux objectifs financiers de long terme, à savoir un bénéfice d'exploitation compris entre 2,7 et 3,2 milliards d'euros pour 2028, contre 2 milliards sur les 12 derniers mois dans sa nouvelle configuration.
A la Bourse d'Helsinki, le titre a fortement reculé de 6,98%.
par Diana Mandia
La plupart des Bourses européennes ont terminé sur de faibles variations mercredi, tandis que les investisseurs se tournent vers les États-Unis, où les résultats trimestriels de Nvidia constitueront un test décisif pour un secteur en pleine tourmente.
À Paris, le CAC 40 a terminé en baisse de 0,18% à 7.953,77 points, la Footsie britannique CURRENCYCOM:UK100 a perdu 0,47% et le Dax allemand a gagné 0,10%.
L'indice EuroStoxx 50 a fini en hausse de 0,32%, le FTSEurofirst 300 en baisse de 0,04% et le Stoxx 600 en hausse de 0,13%.
Après quatre séances consécutives dans le rouge, les Bourses européennes ont profité des heures précédant la publication des résultats du géant américain des puces d'IA pour se redresser quelque peu après une série de séances marquées par une grande nervosité autour des valeurs technologiques.
Nvidia, qui commercialise des processeurs graphiques (GPU) pour l'IA, a été au coeur du rallye technologique qui a propulsé les indices mondiaux à des niveaux historiques cette année. Son ascension fulgurante a entraîné dans son sillage les actions ayant un lien, même ténu, avec ce secteur en plein essor qui, au-delà de ses valorisations élevées, bénéficie d'investissements colossaux, souvent par le biais de l'endettement, ce qui suscite une méfiance croissante chez les investisseurs.
"Il semble que le cours de l'action Nvidia ait atteint un niveau parfait, de sorte que la demande de GPU devra continuer à croître fortement pendant de nombreuses années pour que l'action reste à ce niveau", souligne Wong Kok Hoi, directeur d'APS Asset Management.
La politique monétaire américaine invite également à l'attentisme, puisque les "minutes" de la réunion de la Réserve fédérale (Fed) d'octobre, qui s'est tenue en pleine fermeture de l'administration, seront publiés à 19h00 GMT. Les délibérations des responsables de la banque centrale feront l'objet d'un examen minutieux, car les paris sur une baisse des taux en décembre ont diminué et les investisseurs commencent seulement maintenant à recevoir les données retardées par l'impasse budgétaire, y compris le rapport mensuel sur l'emploi, prévu jeudi.
"Nous avons été privés de données économiques de premier ordre pendant si longtemps qu'il est difficile d'avoir une opinion tranchée sur l'état actuel de l'économie américaine tant que nous ne commençons pas à voir les données arriver", a déclaré Michael Lorizio, analyste chez Manulife Investment Management.
VALEURS
Kering a reculé de 4,2% mercredi, la plus forte baisse du CAC 40, en réaction à une note interne, dévoilée par Reuters, dans laquelle son directeur général, Luca de Meo, évoque un délai de plusieurs années pour redresser le groupe de luxe dont la marque phare Gucci connaît d'importantes difficultés.
Vivendi a pour sa part plongé de plus de 13% après des informations du quotidien Le Monde selon lesquelles la Cour de cassation pourrait se prononcer en faveur du groupe Bolloré dans l'affaire de la scission de Vivendi contestée par un de ses actionnaires minoritaires, le fonds activiste parisien CIAM.
Interparfums < IPAR.PA > a perdu 9%, pénalisé après avoir abaissé son objectif de chiffre d'affaires 2025 et renoncé à fournir des prévisions chiffrées pour 2026.
Ailleurs en Europe, Jet2 a pris 4,07%, la compagnie aérienne à bas prix ayant fait état d'une hausse de son bénéfice d'exploitation intermédiaire sur fond de forte demande.
La société finlandaise Nokia , dont les nouveaux objectifs financiers à long terme n'ont pas répondu aux attentes du marché, a reculé de 6,8%.
A WALL STREET
La Bourse de New York évolue en ordre dispersé après ses lourdes pertes de la veille, en attendant les "minutes" de la Fed et les résultats de Nvidia.
A l'heure de la clôture en Europe, le Dow Jones recule de 0,23%, mais le Standard & Poor's 500 gagne 0,31% et le Nasdaq Composite 0,63%.
L'action Nvidia prend 2% après avoir chuté d'environ 4,6% au cours des deux dernières séances.
LES INDICATEURS DU JOUR
Dans la zone euro, l'inflation a ralenti en octobre comme prévu en première estimation, à 2,1% sur un an, selon les données définitives d'Eurostat publiées mercredi, ce qui renforce les paris que la Banque centrale européenne (BCE) maintiendra ses taux directeurs à leur niveau actuel au moins jusqu'à la fin de 2026.
Au Royaume-Uni, la hausse des prix à la consommation est pour sa part ressortie à 3,6% en octobre, contre 3,8% en septembre, marquant son premier ralentissement depuis mai.
Ces chiffres devraient quelque peu rassurer le gouvernement britannique avant la présentation du budget la semaine prochaine, ainsi que la Banque d'Angleterre (BoE) qui, selon une majorité d'économistes interrogés par Reuters, devrait baisser ses taux d'intérêt en décembre, puis à nouveau au début de l'année prochaine.
CHANGES
Le dollar gagne 0,53% face à un panier de devises de référence avant la publication des résultats de Nvidia et de données clés aux États-Unis, tandis que l'euro perd 0,39% à 1,1534 dollar .
La livre sterling perd 0,53% face au dollar, les données sur l'inflation britannique du mois d'octobre renforçant les anticipations d'une baisse des taux par la BoE le mois prochain.
TAUX
Les rendements de la zone euro ont fini sur de faibles variations mercredi après avoir reculé dans la matinée alors que les actions européennes atteignaient leur plus bas niveau depuis sept semaines.
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) a fini quasi inchangé à 2,7102%, tandis que celui de l'obligation à deux ans (DE10YT=RR) a reculé de 0,7 point de base à 2,0147%.
Au Royaume-Uni, les rendements des Gilts à long terme ont atteint mercredi leur plus haut niveau depuis plus d'un mois, faisant fi de la baisse de l'inflation, alors que le revirement du gouvernement britannique concernant ses projets d'augmentation de l'impôt sur le revenu suscite des inquiétudes.
Le Gilt britannique à 30 ans (GB30YT=RR) a pris 7,2 points de base à 5,4580%.
Aux Etats-Unis, les rendements des bons du Trésor baissent légèrement alors que les traders attendent la publication des données économiques retardées et le compte rendu de la réunion de la Fed.
Le rendement des Treasuries à dix ans cède 0,6 point de base à 4,1154% et son homologue à deux ans (US2YT=RR) 0,8 à 3,5726%.
PÉTROLE
Les prix du pétrole ont amplifié leur repli mercredi alors que les efforts pour relancer les pourparlers pour la paix en Ukraine semblent gagner en intensité.
Les craintes d'une offre excédentaire pèsent également sur les prix.
Le Brent perd 2,33% à 63,38 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) cède 2,4% à 59,28 dollars.
A SUIVRE LE 20 NOVEMBRE :
(Certaines données peuvent accuser un léger décalage)
Les Bourses mondiales évoluent sans grand changement mercredi en attendant les résultats du géant américain des puces électroniques Nvidia, considérés comme un test décisif pour les grandes valeurs technologiques alors que les craintes sont croissantes quant à une bulle financière autour de l'intelligence artificielle (IA).
A Wall Street, vers 14H40 GMT l'indice S&P 500 grappillait 0,25%, le Nasdaq prenait 0,40%, tandis que le Dow Jones était stable (+0,04%).
En Europe, Paris avançait légèrement de 0,16%, Francfort gagnait 0,44%, tandis que Londres cédait 0,14%.
Tous les regards sont tournés vers le géant Nvidia, le spécialiste des puces électroniques qui doit publier son rapport financier pour le troisième trimestre de son exercice décalé 2025-2026, à 21H00 GMT, soit après la clôture des Bourses américaines.
Il est attendu au tournant, car Nvidia est une figure de proue du mouvement d'investissements massifs des géants de la tech dans l'IA, sur lesquels les investisseurs ont de plus en plus de doutes.
Les titres des groupes technologiques ont porté les marchés financiers ces derniers mois, poussés par les espoirs que l'IA ouvre la voie à un nouveau cycle de croissance.
Cependant, les investisseurs craignent désormais "que trop d'argent soit injecté dans l'intelligence artificielle", commente Kyle Rodda, analyste chez Capital.com.
La circularité dans le secteur, à savoir le fait qu'il s'auto-alimente avec des accords entre les poids lourds de la tech en vase clos, sans lien réel avec le reste de l'économie, alimente également les inquiétudes.
"Tout l'écosystème lié à l'IA ressemble à une poignée d'entreprises qui s'échangent des milliards sans qu'on ne voie vraiment d'argent entrer depuis l'extérieur", résume Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
Exemple récent: le partenariat annoncé mardi entre "Nvidia, Microsoft et Anthropic", prévoyant que les "deux premiers investissent 15 milliards de dollars" dans le troisième, qui "achètera de la puissance de calcul" de Microsoft, "alimentée par des puces Nvidia", illustre-t-elle.
En parallèle, le marché attend la publication mercredi des "minutes" de la Réserve fédérale américaine (Fed), compte rendu de la dernière réunion d'octobre de l'institution financière, lors de laquelle elle avait diminué ses taux directeurs.
Sur le marché obligataire vers 14H40 GMT, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain restait stable, à 4,10%, contre 4,11% mardi à la clôture. A deux ans, il atteignait 3,56%, après 3,57% la veille.
Le dollar prenait 0,17% face à la monnaie unique, à 1,1561 dollar pour un euro.
Nokia se réorganise en deux pôles
L'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a annoncé mercredi se réorganiser autour de deux segments, les infrastructures réseaux et les infrastructures mobiles, pour profiter de l'essor de l'intelligence artificielle (IA).
Conséquence de cette réorganisation, Nokia va placer dans une unité à part (portfolio business) une série d'activités qui ne sont plus "considérées comme essentielles pour l'avenir de sa stratégie". Leur sort sera décidé en 2026. Elles représentent un chiffre d'affaires de 900 millions d'euros, sur des ventes de 19,2 milliards d'euros pour l'ensemble de Nokia l'an dernier.
Le groupe dévoile par ailleurs de nouveaux objectifs financiers de long terme, à savoir un bénéfice d'exploitation compris entre 2,7 et 3,2 milliards d'euros pour 2028, contre 2 milliards sur les 12 derniers mois dans sa nouvelle configuration.
A la Bourse d'Helsinki, le titre reculait fortement de 5,85%.
Le pétrole recule face à l'abondance de l'offre
Les cours du pétrole sont en légère baisse, les réserves de brut augmentant en raison de l'abondance d'offre sur le marché.
Du côté du pétrole, le baril de Brent de la mer du Nord se repliait de 2,65% à 63,17 dollars et celui de son équivalent américain, le WTI,cédait 2,73% à 59,08 dollars vers 14H40 GMT.
Le bitcoin reculait de 1,14% à 91.396 dollars.
Nokia a dévoilé mercredi une nouvelle stratégie axée sur l’intelligence artificielle, alors que le fabricant finlandais d’équipements télécoms cherche à simplifier ses activités et à augmenter son bénéfice opérationnel annuel de jusqu’à 60% au cours des trois prochaines années.
À partir de 2026, le fabricant d’équipements télécoms prévoit de réorganiser ses activités en deux segments - infrastructure réseau et infrastructure mobile - afin d’accélérer le développement de l’IA et des réseaux 6G, a déclaré le groupe dans un communiqué.
Nokia vise désormais un bénéfice opérationnel comparable annuel compris entre 2,7 et 3,2 milliards d’euros d’ici 2028, soit une hausse pouvant atteindre 60% par rapport aux 2 milliards d’euros enregistrés l’an dernier.
Nokia, confronté à un ralentissement des investissements dans la 5G, a décidé de miser sur l’IA plus tôt cette année en rachetant le fournisseur américain d’équipements de réseaux optiques Infinera.
L’acquisition a soutenu les ventes et a été suivie d’un investissement d’un milliard d’euros de Nvidia, qui a pris 2,9 % du capital.
Le groupe finlandais a également annoncé le lancement d’un nouvel incubateur dédié à la défense afin de fournir une connectivité sécurisée aux pays occidentaux et de réduire ses dépenses opérationnelles à 150 millions d’euros d’ici 2028, contre 350 millions actuellement.
L'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a annoncé mercredi se réorganiser autour de deux segments, les infrastructures réseaux et les infrastructures mobiles, pour profiter de l'essor de l'intelligence artificielle (IA).
Le groupe a accéléré son recentrage autour de l'IA depuis l'arrivée en avril de son nouveau patron, l'Américain Justin Hotard. Cela s'est en particulier concrétisé avec l'entrée dans son capital à hauteur de 2,9%, annoncée fin octobre, du géant américain des puces électroniques Nvidia, assortie d'un partenariat dans l'IA.
Présentant sa stratégie dans un communiqué publié mercredi à l'occasion de sa journée consacrée aux analystes et investisseurs, Nokia y explique qu'il simplifie son organisation autour de "deux segments opérationnels principaux afin de mieux répondre aux besoins de ses clients et d'accélérer l'innovation, alors que le super cycle de l'IA augmente la demande en matière de connectivité avancée".
Le groupe indique que le segment infrastructures réseaux est "positionné pour tirer parti du développement rapide et mondial de l'IA et des centres de données, tout en continuant à innover pour sa clientèle dans le domaine des télécommunications".
Le nouveau segment infrastructures mobiles doit "devenir le leader des technologies et des services de réseaux centraux et radio, afin de mener le secteur vers les réseaux natifs IA et la 6G", ajoute le groupe.
Conséquence de cette réorganisation, Nokia va placer dans une unité à part (portfolio business) une série d'activités qui ne sont plus "considérées comme essentielles pour l'avenir de sa stratégie". Leur sort sera décidé en 2026. Elles représentent un chiffre d'affaires de 900 millions d'euros, sur des ventes de 19,2 milliards d'euros pour l'ensemble de Nokia l'an dernier.
Le groupe dévoile par ailleurs de nouveaux objectifs financiers de long terme, à savoir un bénéfice d'exploitation compris entre 2,7 et 3,2 milliards d'euros pour 2028, contre 2 milliards sur les 12 derniers mois dans sa nouvelle configuration.
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