Crypto : ZachXBT alerte sur le memecoin de Soulja Boy soupçonné d’arnaque sur Base

Le Bhoutan a signé un memorandum of understanding (MoU) pluriannuel avec le market maker crypto Cumberland DRW. Cet accord vise à collaborer au développement d’infrastructures liées aux actifs numériques dans Gelephu Mindfulness City (GMC), renforçant ainsi la stratégie crypto de long terme du pays, centrée sur la durabilité.

Dans une annonce transmise à Cointelegraph, la région administrative spéciale indique que ce partenariat doit soutenir la vision du Bhoutan : bâtir une économie numérique moderne, en cohérence avec ses valeurs environnementales et de gouvernance.

Jigdrel Singay, membre du conseil d’administration de Gelephu Mindfulness City, précise que la collaboration inclut un accompagnement de Cumberland sur la gestion des réserves nationales de bitcoin (BTC), l’implantation du market maker au sein de la GMC, ainsi que le recrutement de talents locaux. Cumberland prévoit également de mobiliser des experts métiers afin de contribuer à la formation de la main-d’œuvre locale.

Gelephu Mindfulness City est une région administrative spéciale du Bhoutan, conçue pour attirer des talents internationaux tout en intégrant technologie, durabilité et développement fondé sur la pleine conscience.

JPMorgan, l’une des plus grandes banques mondiales, renforce sa présence dans la finance tokenisée avec le lancement de son tout premier fonds monétaire, via sa branche de gestion d’actifs qui administre près de 4 000 milliards de dollars.

Baptisé My OnChain Net Yield Fund, le fonds sera négocié sous le ticker MONY et repose sur la blockchain publique Ethereum, a indiqué JPMorgan dans une annonce transmise à Cointelegraph lundi.

Lancé via Kinexys Digital Assets, la plateforme propriétaire de tokenisation de JPMorgan, MONY est un fonds de placement privé 506(c). Il offre aux investisseurs qualifiés la possibilité de générer des rendements en dollars américains en souscrivant via la plateforme institutionnelle de trading de liquidités Morgan Money.

« Avec Morgan Money, la tokenisation peut transformer en profondeur la rapidité et l’efficacité des transactions, tout en apportant de nouvelles capacités à des produits traditionnels », explique John Donohue, responsable mondial de la gestion de la liquidité chez J.P. Morgan Asset Management.

Les investisseurs de MONY reçoivent des tokens directement sur leurs adresses blockchain

Avec le lancement de MONY, JPMorgan devient la plus grande banque d’importance systémique mondiale à proposer un fonds monétaire tokenisé sur une blockchain publique, précise l’établissement.

Selon la banque, la tokenisation du fonds améliore la transparence, permet des transferts de pair à pair et ouvre la voie à une utilisation plus large du fonds comme collatéral au sein de l’écosystème blockchain.

Le XRP évolue autour de 1,99 $, accusant un recul d’environ 1 % sur les dernières 24 heures. Malgré la volatilité ambiante sur l’ensemble du marché crypto, il n’a perdu que 4 % sur la semaine, affichant ainsi une stabilité relative comparée à de nombreux altcoins comme l’ADA ou BCH.

Cependant, plus important encore, le graphique laisse entrevoir un premier signal haussier de revirement. La configuration n’est pas encore validée, mais si un seuil clé continue de tenir, la probabilité d’un rebond à court terme, de l’ordre de 9 %, s’en trouve nettement renforcée.

Une divergence haussière apparaît

Le cours de XRP a dessiné une divergence haussière sur le graphique quotidien entre le 1er et le 14 décembre. Concrètement, une telle divergence apparaît lorsque le prix enregistre un nouveau plus bas, tandis que le Relative Strength Index (RSI) marque un creux supérieur. Pour rappel, le RSI est un indicateur qui mesure la force des mouvements d’achat et de vente. Ainsi, lorsque le RSI s’améliore alors que le prix se replie, cela montre souvent que la pression vendeuse s’atténue.

Sur une unité de temps quotidienne, une divergence haussière comme celle-ci est souvent annonciatrice d’un retournement de tendance, de la baisse vers la hausse.

Cependant, cette divergence ne suffit pas à elle seule, et ne prend tout son sens que si le XRP conserve son support.

Ce niveau de support se situe autour de 1,97 $, et que le XRP a défendu à plusieurs reprises. Les données on-chain permettent d’en comprendre la raison.

En effet, la heatmap du prix d’acquisition révèle une concentration importante de XRP achetés entre 1,97 $ et 1,98 $ environ.

Ainsi, environ 1,79 milliard de XRP ont été accumulés dans cette fourchette. La heatmap du prix d’acquisition permet d’identifier où de larges groupes de détenteurs ont acheté leurs pièces. Lorsque le prix évolue proche de ces seuils, les investisseurs sont moins enclins à vendre à perte, ce qui consolide le support.

Tant que le XRP reste au-dessus de 1,97 $, la conviction sur la divergence haussière demeure donc, du moins à condition que le RSI reste solide.

La zone des 2,17 $, le grand test pour les bulls

Si le support tient, le XRP pourrait poursuivre sa progression. Le premier objectif se situe à proximité de 2,17 $, soit une hausse d’environ 9 % par rapport à la valeur actuelle.

Ce niveau constitue une étape importante, car la heatmap du prix d’acquisition souligne une offre conséquente entre 2,16 $ et 2,17 $. En effet, près de 1,36 milliard de XRP ont été acquis dans cette zone. Il s’agit donc d’une résistance solide, où la pression vendeuse risque de se faire sentir.

Si le cours du XRP parvient à franchir la barre des 2,17 $ en clôture journalière, le chemin pourrait s’ouvrir vers 2,28 $, puis 2,69 $ et, à terme, 3,10 $. Toutefois, ces paliers restent secondaires pour l’instant et dépendront des conditions générales de marché.

La limite d’invalidation est claire : une clôture journalière en dessous de 1,97 $ affaiblirait l’hypothèse de retournement et exposerait le XRP à un repli sur 1,81 $, voire 1,77 $.

Ainsi, pour l’heure, le cours de XRP se trouve à un point charnière. Le signal de revirement haussier reste valable, mais uniquement si le niveau de support principal continue de jouer son rôle.

La morale de l’histoire : Chaque hausse de XRP a un prix.

Ce matin, le bitcoin a brièvement plongé sous la barre des 88 000 dollars. Mais pas de panique : en quelques heures, l’actif est remonté au-dessus de 89 500 dollars. Pour Michael Saylor, cette baisse n’est qu’une aubaine de plus. L’entrepreneur milliardaire, fidèle à sa stratégie d’accumulation, continue ses emplettes avec la régularité d’un métronome. Qu’il vente ou qu’il pleuve sur les marchés, Saylor trace sa route.

En bref

• Strategy a acheté 10 645 BTC pour 980,3 millions de dollars le 14 décembre.
• C’est la deuxième semaine consécutive avec un achat d’environ un milliard de dollars.
• L’entreprise détient désormais 671 268 BTC, soit plus de 50,3 milliards de dollars investis au total.
• Une réserve de 1,44 milliard a été créée pour éviter de vendre des BTC en cas de crise.

Nouveau milliard investi : la frénésie d’achats se confirme

Pour la deuxième semaine consécutive, Strategy, la société de Michael Saylor, a misé gros sur le bitcoin. Très gros. Entre le 12 et le 14 décembre, ce ne sont pas moins de 10 645 BTC qui ont été acquis pour un montant total de 980,3 millions de dollars, à un prix moyen de 92 098 dollars par unité. L’entreprise détient désormais 671 268 BTC, achetés pour environ 50,33 milliards de dollars, soit un coût moyen de 74 972 dollars par bitcoin.

Ce qui frappe, c’est la répétition. Déjà la semaine précédente, Strategy avait mis la main sur 10 624 BTC, pour 962,7 millions de dollars. Ces deux achats successifs de près d’un milliard chacun sont inédits à ce rythme, même pour Saylor. Pour financer ces acquisitions massives, l’entreprise a principalement vendu pour 888,2 millions de dollars d’actions ordinaires, complétés par des ventes de titres préférentiels.

En parallèle, Strategy a constitué une réserve de trésorerie de 1,44 milliard de dollars. Objectif : éviter de vendre des BTC pour payer les dividendes ou les intérêts de la dette. C’est un message fort aux investisseurs : pas question de toucher au trésor de guerre.

Le bitcoin balloté entre Japon, spéculations et stratégie

Alors que Strategy achetait par palettes, le bitcoin, lui, tanguait. Ce week-end, la chute temporaire sous les 88 000 dollars a été interprétée par certains analystes comme une conséquence indirecte des attentes vis-à-vis de la Banque du Japon. L’éventualité d’un relèvement des taux nippons pourrait provoquer un dénouement des stratégies de « carry trade », mettant ainsi sous pression les actifs risqués comme le BTC.

Mais cette hypothèse ne fait pas l’unanimité. Certains observateurs estiment au contraire que tout cela est déjà intégré dans les prix. L’analyste Sykodelic, sur X, l’a résumé sans détours :

Quand le bitcoin vacille, Saylor empile

La stratégie de Saylor reste donc limpide : acheter le bitcoin dès qu’une fenêtre s’ouvre, peu importe la volatilité à court terme. Pour lui, le timing parfait n’existe pas. Ce qui compte, c’est la régularité. Et pour maintenir cette cadence, il n’hésite pas à recourir à des levées de fonds agressives, quitte à diluer l’actionnariat.

En parallèle, d’autres cryptos comme Ethereum ou Solana ont connu des secousses similaires cette semaine, illustrant une fébrilité persistante sur l’ensemble du marché. Pourtant, aucun autre PDG ne semble aussi déterminé à en profiter que Saylor.

Points clés à retenir

• 10 645 BTC achetés par Strategy entre le 12 et le 14 décembre ;
• 50,33 milliards de dollars investis au total par la société dans le bitcoin ;
• Une réserve de trésorerie de 1,44 milliard de dollars pour éviter de vendre ses BTC ;
• Prix du BTC au moment de la rédaction : 89 161 dollars ;
• La Banque du Japon soupçonnée d’influencer les mouvements récents du marché.

Si demain le bitcoin devait chuter jusqu’à 50 000 dollars, comme certains le prévoient, cela ne ferait que ravir Saylor. Il ne se priverait pas d’appuyer une nouvelle fois sur le bouton « achat ». Pour lui, plus le bitcoin baisse, plus il devient précieux.

Le bitcoin a brusquement chuté à 86 700 dollars ce lundi 15 décembre, entraînant plus de 210 millions de dollars de liquidations en une heure. Ce mouvement rapide et inattendu a surpris le marché, rappelant la forte vulnérabilité des cryptos face à la volatilité et aux tensions économiques.

En bref

• Le Bitcoin a brusquement chuté à 86 700 $ ce lundi 15 décembre, atteignant son plus bas niveau en deux semaines.
• Cette baisse soudaine a déclenché plus de 210 millions de dollars de liquidations en une seule heure.
• En 24 heures, les pertes cumulées sur le marché dépassent les 450 millions de dollars, touchant près de 145 000 traders.
• Les principales cryptos comme Ethereum, XRP, BNB et Solana ont elles aussi enregistré de fortes baisses.

Un effondrement brutal et soudain du bitcoin

Tandis que le bitcoin évoluait paisiblement autour de 90 000 dollars dans les premières heures de ce lundi, le marché a brutalement décroché, propulsant le prix de l’actif à 86 700 dollars, soit un plus bas de deux semaines.

Ce décrochage rapide a été suivi d’une vague de liquidations massives, totalisant 210 millions de dollars en seulement une heure. Dans les 24 heures précédentes, le montant total des liquidations a atteint 450 millions de dollars, principalement sur des positions longues.

Le bitcoin à lui seul représente 66 millions de dollars de positions liquidées en une heure, suivi de près par Ethereum à 65 millions $. Près de 145 000 positions ont été liquidées sur la journée.

Cette correction soudaine a entraîné une réaction en chaîne sur l’ensemble du marché crypto, avec des pertes marquées sur plusieurs actifs majeurs. Les altcoins les plus capitalisés ont eux aussi subi de plein fouet cette dégringolade. Voici les principaux chiffres à retenir :

• Ethereum (ETH) : en recul de 4,4 % en une heure, proche de casser le seuil des 3 000 dollars ;
• Le XRP : une chute de 3 %, avec une perte du support clé à 2 dollars ;
• Le BNB : une baisse de 4 % dans la même fenêtre horaire ;
• Solana (SOL) : également en baisse de 4 %, suivant la tendance générale du marché.

Cet enchaînement démontre la vulnérabilité persistante du marché crypto, toujours exposé à des phases de levier excessif et à des mouvements techniques violents. La cascade de liquidations, alimentée par l’effet boule de neige, rappelle à quel point la volatilité reste un facteur structurel de ce marché, même lorsque les prix semblent stables en apparence.

Un marché sous tension : levier, psychologie et incertitudes latentes

Si aucun événement technique majeur n’a été identifié comme déclencheur immédiat, certains analystes pointent des facteurs politiques et économiques comme catalyseurs possibles de cette baisse.

L’un des éléments ayant influencé les marchés pourrait être la reconfiguration inattendue de la course à la présidence de la Réserve fédérale américaine. « Kevin Warsh prend l’avantage avec 49 % des intentions, devançant légèrement Kevin Hassett, crédité de 48 %, tandis que Christopher Waller reste loin derrière avec 4 % », rapporte Walter Bloomberg via X (anciennement Twitter).

La candidature de Kevin Hassett aurait essuyé des critiques en raison de ses liens passés avec l’administration Trump, soulevant des inquiétudes sur l’indépendance de la Fed. Cette incertitude a, semble-t-il, contribué à un regain de tension sur les marchés financiers, avec un effet domino sur les actifs crypto.

Au-delà de cette actualité, la semaine s’annonce décisive sur le plan macroéconomique, avec la publication attendue de plusieurs indicateurs économiques majeurs aux États-Unis. Les marchés anticipent une volatilité accrue, ce qui pourrait expliquer la fébrilité observée. Dans un climat où les attentes de politique monétaire influencent fortement les flux d’investissement, la crypto, en tant qu’actif à risque, reste particulièrement vulnérable aux ajustements de perception liés aux taux d’intérêt ou à la politique de la Fed.

La violence du repli rappelle que la tendance haussière reste vulnérable aux excès de levier et aux mouvements techniques. Si la pression s’intensifie, le bitcoin pourrait plonger à 50 000 $, niveau clé observé par de nombreux analystes. Le marché reste suspendu aux signaux macroéconomiques et à la réaction des investisseurs face à cette nouvelle secousse.

En 2025, Nvidia ne se contente plus d’être une machine à capitalisation. L’entreprise a trouvé une autre accélération, cette fois politique. Donald Trump, malgré l’opposition d’une partie de son propre camp, a choisi de lui ouvrir une porte très coûteuse.

En bref

• Nvidia a vu sa capitalisation s’envoler et Trump a choisi d’en faire un partenaire stratégique, malgré des résistances dans son camp.
• Jensen Huang a gagné un accès direct à la Maison-Blanche et a pesé sur la bataille des exportations de puces vers la Chine.
• Ce bras de fer sur le “compute” montre comment la politique pilote la liquidité et peut aussi influencer les récits du marché crypto.

Nvidia et Trump, une alliance qui surprend Washington

Portée par la demande en intelligence artificielle et par son expansion mondiale, Nvidia a vu sa capitalisation s’envoler vers les 4 680 milliards de dollars. Et à ce niveau, Washington n’a plus pu détourner le regard, crypto ou pas. Il y a encore peu, Jensen Huang était presque invisible dans les couloirs du pouvoir. Puis tout s’est accéléré, trop vite pour les concurrents, qui cherchent encore la formule.

Le basculement s’incarne dans un accord simple à résumer et compliqué à digérer, crypto ou pas. La Maison-Blanche a validé des exportations de puces H200 vers la Chine, après des échanges directs entre Jensen et Trump. Et l’État américain récupérerait 25 % des ventes.

Trump avait même déjà lâché qu’il n’avait jamais entendu parler de Nvidia ni de Jensen. Pourtant, il a fini par passer outre des voix de sa coalition MAGA pour laisser l’entreprise avancer. Ce n’est pas un geste sentimental. C’est une décision de rapport de force, dont les marchés, crypto compris, prennent note.

Jensen Huang, la méthode calme et l’accès direct

Le point de départ tient à une rencontre. Howard Lutnick, secrétaire au Commerce, sert de passe. Jensen obtient un accès au président qui ressemble à une ligne directe, avec une promesse implicite de disponibilité totale.

Ce qui frappe, c’est le style. Jensen parle peu, mais il installe une logique. Nvidia est présentée comme un actif national, une pièce maîtresse, presque un outil de souveraineté. Dans un Washington obsédé par la Chine, le message s’emboîte tout seul.

En parallèle, Nvidia comprend la règle non écrite du trumpisme. Il faut du concret, vite. L’entreprise rejoint un consortium qui promet d’investir 500 milliards de dollars aux États-Unis sur quatre ans, histoire de cocher la case production domestique.

Puis viennent les images, celles qui font tenir une relation. Dîner à Mar-a-Lago, un million de dollars par convive. Au moins six rencontres privées, des appels directs, des déplacements avec le président aux Émirats arabes unis, en Arabie saoudite et au Royaume-Uni. En juillet, sommet sur le plan d’action en intelligence artificielle à la Maison-Blanche, Trump glisse un compliment public. Plus tard, un projet de salle de bal reçoit aussi la contribution de Jensen.

Une bataille d’exportations, et un signal pour la crypto

Jensen ne s’arrête pas à l’exécutif. Il pousse aussi le Congrès. Son argument tient en une phrase : interdire les ventes américaines ne stoppe pas la Chine, cela accélère ses alternatives. Il cite Huawei comme remplaçant déjà prêt à entrer dans la brèche.

Nvidia professionnalise alors sa présence. Tim Teter, patron juridique, pilote l’offensive. L’entreprise se tient à l’écart des grandes associations, recrute un lobbyiste républicain passé par l’entourage d’Ivanka Trump, et concentre le débat sur un seul terrain : l’export. Nvidia vend du matériel, pas des modèles. Elle évite donc d’endosser les débats sur l’emploi ou la santé mentale, qui collent aux plateformes.

En face, la résistance existe. Des responsables de sécurité nationale et des think tanks s’opposent. Steve Bannon critique l’accord H200. Elizabeth Warren dénonce une proximité trop partisane. Un texte visant à restreindre les H20 a été abandonné, mais un projet bipartisan cherche maintenant à limiter la marge de manœuvre de l’administration pour approuver ces ventes.

Dans ce feuilleton, un détail résume le rapport de force. Une première tentative de relance des H20 prévoyait 15 % de prélèvement pour les États-Unis, mais Pékin a repoussé ces puces moins puissantes. Nvidia pivote vers le H200, plus avancé, plus désirable, plus stratégique.

Et la cryptomonnaie dans tout ça ? Elle n’est pas spectatrice. Quand la politique devient un interrupteur sur la puissance de calcul mondiale, elle influence aussi les récits de marché. Le même capital qui chasse la performance peut passer des actions aux jetons, puis revenir, au rythme des décisions de Washington. La liquidité suit. Et le prix, lui, n’attend jamais la fin des débats.