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Zone Euro Emploi en glissement annuel (SA) (Troisième trimestre)A:--
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Canada Emploi à temps partiel (SA) (Novembre)A:--
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Canada Taux de chômage (SA) (Novembre)A:--
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U.S. Indice des prix PCE MoM (Septembre)A:--
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U.S. Revenu personnel MoM (Septembre)A:--
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U.S. Indice des prix PCE de base MoM (Septembre)A:--
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U.S. Indice des prix PCE YoY (SA) (Septembre)A:--
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U.S. Dépenses personnelles MoM (SA) (Septembre)A:--
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U.S. Prévisions d'inflation à 5-10 ans (Décembre)A:--
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U.S. Total hebdomadaire des foragesA:--
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Japon Balance commerciale (Octobre)A:--
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Allemagne Production industrielle MoM (SA) (Octobre)A:--
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ROYAUME-UNI BRC Like-For-Like Retail Sales YoY (ventes au détail à l'identique) (Novembre)--
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Australie Taux directeur O/N (emprunts)--
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Relevé des taux d'intérêt de la RBA
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U.S. NFIB Indice d'optimisme des petites entreprises (SA) (Novembre)--
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Mexique Inflation à 12 mois (CPI) (Novembre)--
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Mexique IPC de base en glissement annuel (Novembre)--
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U.S. JOLTS Offres d'emploi (SA) (Octobre)--
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Chine, Mainland M1 Masse monétaire YoY (Novembre)--
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U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
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U.S. Prévisions de la production de gaz naturel de l'EIA pour l'année prochaine (Décembre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Corée du Sud Taux de chômage (SA) (Novembre)--
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Japon Indice Reuters Tankan des entreprises non manufacturières (Décembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales MoM (Novembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales en glissement annuel (Novembre)--
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Chine, Mainland PPI YoY (Novembre)--
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Italie Production industrielle YoY (SA) (Octobre)--
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Les analystes financiers de Wall Street ont révisé mardi leurs notations et leurs objectifs de prix sur plusieurs sociétés cotées en bourse aux États-Unis, dont Autodesk, Crowdstrike et Zscaler.
FAITS MARQUANTS
* Autodesk Inc : Baird relève le cours cible de 363 à 367 dollars
* Crowdstrike : Berenberg initie une couverture avec une note de maintien; prix cible de 600 $
* Eli Lilly : JP Morgan relève le prix cible de 1 050 $ à 1 150 $
* Installed Building Products Inc : JP Morgan relève le PT à 245 $ contre 223 $
* Zscaler Inc : Berenberg initie la couverture avec une note d'achat; prix cible de 400 $
Voici un résumé des actions de recherche sur les sociétés américaines rapportées par Reuters mardi. Les actions sont classées par ordre alphabétique.
* Aep : Argus Research relève le cours cible de 125 à 128 dollars
* AES Corp : Jefferies relève le titre de sous-performance à "hold"; augmente le prix cible de 12 $ à 13 $
* Alta Equipment Group Inc : Raymond James réduit le prix cible de 8,5 $ à 6,75 $
* American Integrity Insurance Group Inc : KBW augmente le prix cible à 29$ de 26
* Angel Oak Mortgage REIT Inc : UBS réduit le prix cible à 9,75 $ de 10
* Aramark : JP Morgan réduit l'objectif de cours à 45 $ contre 46 $
* Autodesk Inc : Baird relève l'objectif de cours à 367 $ contre 363 $
* Black Diamond Therapeutics : Piper Sandler prend en charge la couverture avec une note de surpondération; PT 9 $
* Bumble : Deutsche Bank réduit le prix cible de 6,5 $ à 4,5 $
* Cardinal Health Inc : Deutsche Bank augmente le prix cible de 195 $ à 208 $
* Caretrust REIT Inc : UBS initie une couverture avec une note d'achat et un prix cible de 42
* Chimera Investment Corp : UBS réduit le prix cible de 16 $ à 15,5 $
* CNO Financial Group Inc : BMO augmente le prix cible de 40 $ à 45 $
* Cogent Communications Holdings Inc : Moffettnathanson réduit le prix cible de 76 $ à 40 $
* Corebridge Financial Inc : BMO réduit le prix cible de 43 $ à 39 $
* Crowdstrike : Berenberg initie la couverture avec une note de maintien; prix cible 600
* Crowdstrike : Truist Securities augmente le prix cible de 550 $ à 600 $
* Danaos Corp : Jefferies relève le cours cible de 105 à 110 dollars
* Deckers Brands : Stifel relève l'objectif de cours de "hold" à "buy"
* Delek US Holdings Inc : UBS relève l'objectif de cours de 31 à 42 dollars
* Diversified Energy Company : William Blair initie la couverture avec une note de surperformance
* Dupont : RBC réduit le cours cible à 48 $, contre 100 $ auparavant
* Ekso Bionics Holdings, Inc. : H.C. Wainwright augmente le prix cible de 4 $ à 6 $
* Elastic NV : TD Cowen réduit le prix cible de 105 à 100 dollars
* Eli Lilly : JP Morgan relève le cours cible de 1 050 $ à 1 150 $
* EPR Properties : Truist Securities relève le cours cible de 55 à 57 dollars
* Equinix Inc : Truist Securities augmente le prix cible de 961 $ à 973 $
* Equitable Holdings Inc : BMO réduit le prix cible de 70 $ à 69 $
* Extra Space Storage Inc : UBS réduit le prix cible à 156$ de 160
* Figure Technology Solutions Inc : KBW relève le cours cible de 48,5 $ à 52 $
* Gladstone Capital Corp : Jefferies ramène le cours cible de 31 $ à 23 $
* Globus Medical Inc : Truist Securities augmente le prix cible de 93 $ à 105 $
* Honeywell : BofA Global Research ramène le cours de l'action d'achat à sous-performance
* Honeywell : BofA Global Research réduit l'objectif de prix à 205 $ contre 265 $ auparavant
* IBM : HSBC relève l'objectif de cours de 205 à 227 dollars
* Illinois Tool Works : BofA Global Research relève l'objectif de cours de sous-performance à neutre
* Illinois Tool Works : BofA Global Research relève l'objectif de cours de 220 à 255 dollars
* Insmed Inc : Leerink Partners relève l'objectif de cours à 227 $ contre 225 $ auparavant
* Installed Building Products Inc : JP Morgan relève le prix cible de 223 à 245 dollars
* Invitation Homes Inc : JP Morgan réduit le prix cible à 37 $ contre 38 $
* J&J Snack Foods Corp : Benchmark réduit le prix cible à 130 $ de 150
* J&J Snack Foods Corp : Jefferies réduit le prix cible à 90 $ de 100
* Jazz Pharmaceuticals Plc : Baird relève le cours cible de 160 à 209 dollars
* Jazz Pharmaceuticals Plc : Deutsche Bank relève le prix cible à 210 $, contre 173 $ auparavant
* Jazz Pharmaceuticals Plc : RBC augmente le prix cible de 155 $ à 194 $
* Kestra Medical Technologies : BTIG initie la couverture avec une note d'achat; PT 32 $
* Kilroy Realty Corp : BMO augmente le prix cible de 40 $ à 44 $
* Kilroy Realty Corp : BMO relève la note de sous-performance à performance du marché
* Kodiak Gas Services : William Blair initie la couverture avec une note de surperformance
* Legence Corp : Jefferies relève la cote d'achat de "hold" à "buy"; augmente la prévision de cours de 39 $ à 49 $
* Legence Corp : Stifel relève l'objectif de cours à 47 $ contre 36 $
* Lifemd Inc : B. Riley ramène l'objectif de cours à 10 $, contre 12 $ auparavant
* Lumentum Holdings : Mizuho initie une couverture avec une note de surperformance; PT 290
* Merck & Co Inc : Deutsche Bank relève le prix cible à 111 $ contre 110 $
* Meta : Moffettnathanson réduit le prix cible de 140 $ à 750 $
* Metagenomi Inc : Jefferies réduit le prix cible de 21 $ à 9 $
* MFA Financial Inc : UBS réduit le prix cible à 10,25 $ de 10,5
* National Storage Affiliates Trust : UBS réduit le prix cible à 30 $ contre 32 $
* National Vision Holdings Inc : Barclays relève le cours cible de 28 à 30 dollars
* National Vision Holdings Inc : Citigroup relève l'objectif de cours de 29 à 35 dollars
* National Vision Holdings Inc : Jefferies relève l'objectif de cours à 36 $ contre 34 $ auparavant
* National Vision Holdings Inc : UBS relève le cours cible à 39 $, contre 32 $ auparavant
* Net Power Inc : Citigroup ramène le cours cible à 4 $, contre 6 $ auparavant
* Netflix Inc : JP Morgan réduit l'objectif de cours à 124$ contre 127,50
* Nurix Therapeutics Inc : JP Morgan réduit le prix cible de 30 $ à 22 $
* Nuvalent Inc : Barclays augmente le prix cible de 112 $ à 152 $
* Nuvalent Inc : H.C. Wainwright augmente le prix cible à 155 $ de 130 $
* Nvidia Corp : Stifel relève le prix cible de 212 à 250 dollars
* Okta Inc : Barclays ramène l'objectif de cours à 95$ contre 112
* Okta Inc : Berenberg initie la couverture avec une note d'achat; prix cible de 145
* Omega Healthcare Investors Inc : UBS initie une couverture avec une note d'achat et un PT de 50
* Onto Innovation Inc : B. Riley relève le prix cible de 173 à 180 dollars
* Oracle Corp : Baird réduit le prix cible à 315 $ contre 365 $
* Paylocity Holding Corp : TD Cowen augmente le prix cible de 172 $ à 184 $
* Perspective Therapeutics Inc : B. Riley réduit le prix cible à 11 $ contre 12 $
* Phillips Edison & Co Inc : Barclays augmente le prix cible à 40$ de 38
* Prudential Financial Inc : BMO augmente le prix cible de 92 $ à 94 $
* Public Storage : UBS ramène le cours cible à 293 $, contre 295 $ auparavant
* Qualys Inc : Berenberg initie la couverture avec une note de maintien; prix cible de 165
* Rapid7 Inc : Berenberg initie une couverture avec une note de maintien; prix cible 16
* Regency Centers Corp : Truist Securities réduit le prix cible de 81 $ à 77 $
* Rocket Pharmaceuticals Inc : JP Morgan réduit le prix cible de neutre à sous-pondéré
* Royal Gold Inc : TD Cowen relève le cours cible de 261 $ à 263 $
* Rubrik Inc : Berenberg initie la couverture avec une note d'achat; prix cible de 114 $
* Sabra Health Care REIT Inc : UBS initie une couverture avec une note neutre et un prix cible de 20
* Sailpoint Inc : Berenberg initie une couverture avec une note d'achat; PT 31,7
* Scholar Rock Holding Corp : JP Morgan augmente le prix cible de 46 $ à 47 $
* Semtech Corp : Susquehanna relève l'objectif de cours de 65 $ à 80 $
* Sentinelone Inc : Berenberg initie la couverture avec une note d'achat; objectif de cours de 25
* Septerna Inc : JP Morgan relève le cours cible de 28 à 34 dollars
* Sharplink Gaming Inc : B. Riley réduit le cours cible à 19 $, contre 32 $ auparavant
* Simon Property Group Inc : Barclays augmente le prix cible à 186$ de 180
* Sun Communities Inc : Truist Securities relève l'objectif de cours de 141 à 142 dollars
* Surgery Partners Inc : Mizuho réduit l'objectif de cours à 22$ contre 28
* Tanger Inc : Barclays augmente le prix cible à 37 $ contre 35 $ auparavant
* Tango Therapeutics Inc : B. Riley relève l'objectif de cours à 14$ contre 8
* Targa Resources Corp : RBC augmente le prix cible à 213 $ contre 208 $
* Trip.Com Group Ltd : Jefferies relève le cours cible de 85 $ à 88 $
* Trupanion Inc : Stifel réduit le prix cible de 45 $ à 42 $
* Wec Energy Group Inc : Jefferies augmente le prix cible de 123 à 124 $
* Whitestone REIT : Truist Securities relève le cours cible de 14 à 15 dollars
* Yum Brands : Stifel relève le cours cible à 160 $, contre 148 $ auparavant
* Zoetis Inc : Stifel ramène le cours cible à 130 $, contre 140 $ auparavant
* Zscaler Inc : Berenberg initie la couverture avec une note d'achat; prix cible 400
* Zymeworks Inc : Citigroup relève le prix cible de 22 $ à 35 $
* Zymeworks Inc : H.C. Wainwright relève l'objectif de cours de 26 à 32 dollars
La Bourse de Paris a cédé 1,86% mardi, plombée par l'inquiétude générale concernant la valorisation des géants du secteur de l'intelligence artificielle, à l'approche des résultats très attendus du géant des puces Nvidia.
Le CAC 40 a perdu 151,09 points, à 7.967,93 points. La veille, l'indice vedette parisien avait reculé de 0,63%. SOFTBANK
"La place parisienne souffre des mêmes doutes que l'ensemble des marchés mondiaux sur la tech et l'intelligence artificielle", relève Enguerrand Artaz, stratégiste pour La Financière de l'Échiquier (LFDE), interrogé par l'AFP.
Les titres des géants de la tech ont atteint ces derniers mois des niveaux stratosphériques en Bourse, poussés par les espoirs que les investissements massifs dans l'intelligence artificielle ouvrent la voie à une révolution technologique et un nouveau cycle de croissance.
Mais les marchés "se posent désormais la question de la pertinence des investissements et du modèle de financement de l'IA", ajoute M.Artaz. Ils "prennent leurs profits après plusieurs mois de hausse", face à la "multiplication de signaux faibles" négatifs, détaille-t-il.
Certains grands gestionnaires de fonds, comme celui du milliardaire libertarien Peter Thiel ou le titan des investissements technologiques SoftBank Group, ont récemment annoncé se délester de certaines de leurs parts dans les entreprises de la tech, craignant l'éclatement d'une bulle.
Les craintes sont concentrées sur la "circularité des investissements", à savoir le risque de la constitution d'un système en vase clos, sans lien réel avec le reste de l'économie, selon Ipek Ozkardeskaya, analyste à Swissquote.
A Paris, les spécialistes des semi-conducteurs STMicroelectronics (-2,53%) et Soitec (-6,35%) ont terminé en nette baisse.
Les groupes d'infrastructure électrique Legrand (-2,23%) et Schneider Electric (-2,35%), dont les perspectives de croissance reposent en grande partie sur le développement des centres de données destinés à entraîner l'IA, ont aussi souffert.
Dans ce contexte, la présentation des résultats mercredi du géant des puces électroniques Nvidia, première capitalisation mondiale, sont susceptibles "de mettre à rude épreuve les nerfs des investisseurs", selon Fawad Razaqzada, analyste marchés chez Forex.com.
Côté obligataire, le rendement de l'emprunt français à dix ans est resté stable, à 3,45%, au même niveau que la veille.
Amundi ralentit
Le premier gestionnaire d'actifs européen Amundi a cédé 3,60% à 64,20 euros.
Le groupe a annoncé la veille s'attendre à un ralentissement de la croissance annuelle de ses bénéfices d'ici 2028, en raison des incertitudes sur l'avenir de son partenariat avec UniCredit en Italie, l'un de ses principaux marchés.
"Sur la période récente, Amundi a réalisé une croissance de son résultat (net, ndlr) de plus de 5% par an. Le contexte actuel (...) nous conduit à nous engager sur un rythme plus mesuré", a admis lundi Nicolas Calcoen, directeur général délégué d'Amundi, lors d'une conférence de presse pour la présentation de son plan stratégique pluriannuel qui court jusqu'en 2028.
** Les actions de la société de fiducie immobilière commerciale Kilroy Realty Corp < KRC.N (link) > ont augmenté de près de 2 % à 41,19 $
** BMO rehausse la recommandation sur l'action de "sous-performance" à "performance de marché", et relève l'objectif de cours à 44 $ contre 40 $
** La maison de courtage estime que KRC bénéficiera de la phase 2 de Kilroy Oyster Point (KOP2), un campus de premier plan dans le domaine des sciences de la vie, "avec un produit fini très impressionnant dans un sous-marché où l'on s'attend à une dynamique de location accrue"
** Trois des 16 sociétés de courtage évaluent l'action à "acheter", 12 à "conserver" et une à "vendre"; leur objectif de cours médian est de 43,50 $ - données compilées par LSEG
** En incluant le mouvement de la séance, KRC est en hausse de 2,6 % depuis le début de l'année
par Elizabeth Howcroft
Les régulateurs de l'Union européenne ont désigné mardi 19 entreprises technologiques, dont Amazon Web Services , Google Cloud et Microsoft , comme fournisseurs informatiques tiers critiques pour l'industrie financière de l'Union.
En vertu de la loi européenne sur la résilience opérationnelle numérique (DORA), qui a commencé à être appliquée en janvier 2025, les trois régulateurs financiers de l'UE peuvent désigner ensemble certains fournisseurs de technologie comme critiques et les superviser directement.
Les nouvelles règles font partie d'une tentative de protéger le secteur financier de l'UE des risques liés à sa dépendance à l'égard des fournisseurs de technologie externes , par exemple son utilisation de l'informatique en nuage pour gérer les principaux services bancaires. Les régulateurs s'inquiètent de l'impact qu'aurait sur le secteur financier une panne d'un fournisseur de technologie utilisé par de nombreuses banques.
Les entreprises citées par l'Autorité bancaire européenne, l'Autorité européenne des assurances et des pensions professionnelles et l'Autorité européenne des marchés financiers (ESMA), comprennent les branches européennes d'Amazon Web Services, de Bloomberg, de Google Cloud, d'IBM , de London Stock Exchange Group , de Microsoft , d'Orange et de Tata Consultancy Services .
Les régulateurs examineront si ces entreprises ont mis en place les cadres de gestion des risques et de gouvernance adéquats pour garantir la résilience des services qu'elles fournissent, ont-ils déclaré dans un communiqué de presse publié sur le site web de l'ESMA.
Un porte-parole de LSEG s'est félicité de cette désignation, et Google Cloud a fait de même sur son site web.
Un porte-parole de Microsoft a déclaré que l'entreprise s'engageait à respecter les lois européennes en matière de cybersécurité et de résilience. Un porte-parole d'Amazon Web Services a déclaré que l'entreprise s'était préparée à la désignation et qu'elle continuerait à collaborer avec les autorités compétentes.
Bloomberg, IBM, Orange et Tata n'ont pas répondu immédiatement à une demande de commentaire.
Les inquiétudes des responsables européens quant à la résistance de leur secteur financier se sont accrues cette année. Mardi, la Banque centrale européenne a cité les tensions géopolitiques et les perturbations technologiques parmi les risques auxquels est confronté le secteur bancaire européen.
Le Royaume-Uni a mis en place un régime similaire, bien qu'aucune entreprise n'ait encore été nommée. Les régulateurs ont conseillé le ministère britannique des finances sur les candidats, et un ministre du gouvernement a déclaré aux législateurs au début du mois qu'il s'attendait à des désignations d'ici à la fin de l'année prochaine.
Ne pas être un "vassal", "préférence européenne", "forger son chemin numérique": le président français et le chancelier allemand ont appelé mardi à la mobilisation pour "une souveraineté numérique" européenne, et rattraper le retard sur les Etats-Unis et la Chine.
Friedrich Merz et Emmanuel Macron clôturait un sommet de responsables politiques et d'acteurs de la tech avec l'objectif d'impulser en tandem cette quête d'indépendance technologique, alors que l'Europe accuse un retard considérable, en particulier dans le domaine de l'IA.
"Soyons clairs, l'Europe ne veut pas être le client des grands entrepreneurs ou des grandes solutions proposées, que ce soit par les États-Unis ou par la Chine. Nous voulons clairement concevoir nos propres solutions", a indiqué M. Macron, martelant un "refus d'être un vassal".
Il a pointé une "fascination pour les solutions non européennes", qui doit être contrée par la mise en place d'une "préférence européenne", la "première priorité" afin de permettre l'essor des "champions" de la tech.
"Nous travaillons ensemble vers un objectif commun : la souveraineté numérique européenne", qui a un coût moindre que la dépendance, a déclaré M. Merz, appelant à ne pas laisser "la suprématie technologique" aux États-Unis et à la Chine.
- "Centaines de milliards" -
Selon le dirigeant allemand, les entreprises européennes ont fait plus de 12 milliards d'euros de promesses d'investissements lors du sommet, rassemblant ministres, représentants européens et patrons du secteur comme le spécialiste français de l'IA Mistral, et le géant allemand des logiciels SAP.
Un montant non-négligeable en Europe mais loin de la force de frappe des acteurs américains, et loin des "centaines de milliards d'euros chaque année [nécessaires] pour rester dans la course" soulignés mardi à Berlin par le ministre français de l'Economie Roland Lescure.
Contrainte de compter sur les géants Nvidia, Google, Amazon et autre OpenAI, l'Europe est appelée à reprendre la main sur son destin numérique.
Une condition avancée par le chancelier allemand, et soutenue par M. Macron : "simplifier radicalement nos pratiques réglementaires" accusées de freiner l'innovation.
"Nous devons innover avant de réglementer", a dit le président français, évoquant le Règlement général sur la protection des données (RGPD) qui doit, selon lui, être réformé amélioré par la Commission Européenne.
Bruxelles doit d'ailleurs proposer mercredi dans son texte "omnibus" des assouplissements de ses réglementations touchant à la technologie.
Quant à l'effort d'investissement, il doit être européen, pour que les "euros ne deviennent pas des dollars", a prévenu M. Lescure.
L'Europe ne peut "appeler à la souveraineté numérique (...) tout en laissant la porte ouverte à la big tech pour accéder au coeur même de nos données financières", a-t-il souligné.
L'UE pourrait aussi imposer aux géants du secteur des services "cloud" (informatique à distance) Amazon et Microsoft des règles renforcées, a annoncé la vice-présidente de la Commission chargée du Numérique, Henna Virkkunen.
La Commission a ouvert mardi deux enquêtes pour "établir si Amazon Web Services et Microsoft devraient être désignés comme contrôleurs d'accès dans l'informatique à distance", ce qui les soumettrait aux obligations du règlement européen sur les marchés numériques (DMA), a expliqué Mme Virkkunen.
Le DMA est une loi emblématique entrée en vigueur l'an dernier et qui vise à mettre fin aux abus de position dominante des géants technologiques.
- "Musée" technologique? -
Toujours est-il que s'agissant de solutions AI, de semi-conducteurs, de composants informatique, l'Europe ne peut que compter sur les importations.
Selon une enquête menée par l'association allemande Bitkom, environ 90% des entreprises allemandes importatrices se considèrent dépendantes de ceux-ci.
Interrogé par l'AFP, le président de Bitkom, Ralf Wintergerst, a souligné l'urgence d'investir massivement: "nous devons augmenter les investissements de manière significative".
Mais la bataille est difficile, entre croissance atone, retards accumulés, et des entreprises miniatures quand on les compare aux rivales américaines.
Ainsi, selon Bitkom, les centres de données européens, un élément clé de la révolution de l'IA, avaient une capacité de 16 gigawatts l'an dernier, contre 48 aux Etats-Unis et 38 à la Chine.
Les Bourses mondiales cèdent du terrain mardi, gagnées par l'inquiétude concernant les valorisations des géants du secteur de l'intelligence artificielle, à l'approche des résultats très attendus du géant des puces Nvidia.
En Europe, Paris a perdu 1,61%, Francfort 1,47%, Londres 1,25% et Milan 1,90%.
A Wall Street, après avoir cédé plus de 1% au cours des premières heures d'échanges, l'indice Nasdaq, à forte coloration technologique, lâchait 0,90% vers 17H00 GMT. L'indice élargi S&P 500 cédait 0,57% et le Dow Jones reculait de 0,88%.
"Les géants de la tech souffrent d'un manque d'amour", car "de grands gestionnaires institutionnels ont annoncé récemment se séparer de leurs parts" dans ces entreprises, note Christine Romar, chez CMC Markets.
Parmi ces grands noms, le fonds du milliardaire libertarien Peter Thiel et le titan des investissements technologiques SoftBank Group.
"Les marchés se posent la question de la pertinence des investissements dans l'IA, et prennent leurs profits après plusieurs mois de hausse", face à un "endettement des acteurs qui grimpe fortement", relève Enguerrand Artaz, stratégiste pour La Financière de l'Echiquier (LFDE).
Les titres des géants de la tech ont atteint des niveaux stratosphériques en Bourse ces derniers mois, poussés par les espoirs que les investissements massifs dans l'intelligence artificielle ouvrent la voie à une révolution technologique et un nouveau cycle de croissance.
Mais les investisseurs craignent désormais une "bulle" liée à la "circularité des investissements" et le risque de la constitution d'une économie en vase clos, sans lien avec le reste de l'économie, selon Ipek Ozkardeskaya, analyste à Swissquote.
Résultat: la quasi-totalité des "Sept Magnifiques", qui tirent depuis plusieurs mois les marchés mondiaux, sont en recul, à l'image de Nvidia (-1,74%), Microsoft (-2,99%), Amazon (-3,02%), Meta (-1,37%), Tesla (-1,05%) et Apple (-0,07%).
Seule Alphabet, maison mère de Google, prenait 0,53%, les investisseurs saluant la nouvelle version de son outil d'IA, Gemini, dévoilée mardi.
En Europe, Infineon a chuté de 4,06% à Francfort, STMicroelectronics de 2,53% et Soitec de 6,35% à Paris et ASML de 1,23% à Amsterdam.
Autre point de tension: la perspective de plus en plus probable d'une pause dans la politique de baisse des taux de la Réserve fédérale américaine (Fed), lors de sa prochaine réunion en décembre.
Le rendement à dix ans de l'obligation américaine atteignait 4,13%, au même niveau que la veille. En Europe, son équivalent allemand atteignait 2,71%, stable elle aussi.
Côté change, le dollar prenait 0,10% face à l'euro, à 1,1578 dollar pour un euro.
L'événement Nvidia
Dans ce contexte, tous les regards sont tournés vers les résultats mercredi du géant américain des puces Nvidia, tête de proue de la course à l'IA et première capitalisation boursière mondiale, à 4.534 milliards de dollars.
"Les analystes anticipent un nouveau trimestre exceptionnel: environ 54 milliards de dollars de chiffre d'affaires, soit une croissance de 50-60 % sur un an", estime Ipek Ozkardeskaya.
Comme à l'accoutumée, l'exigence sera de rigueur: "sur les cinq derniers trimestres, le cours a baissé trois fois malgré des résultats pourtant supérieurs aux attentes", rappelle Kathleen Brooks, de XTB.
Mais "des résultats conformes aux attentes ou légèrement au-dessus pourraient rassurer les marchés", estime Enguerrand Artaz.
Cloudflare en panne
Plusieurs sites internet, dont le réseau social X et la page d'accès de l'agent conversationnel ChatGPT, ont été perturbés mardi en raison d'un incident technique touchant le fournisseur américain de services Cloudflare, qui perdait vers 16H50 GMT 1,55% à 199,13 dollars à Wall Street.
Le bitcoin souffre
"Les sociétés associées au bitcoin sont également sous pression", relève Kathleen Brooks.
Le bitcoin se stabilisait à 93.391 dollars vers 16H50 GMT, après avoir chuté en début de journée jusqu'à 89.231,51 dollars, sous la barre des 90.000 dollars pour la première fois en sept mois. La star des cryptoactifs a dévissé de près de 30% environ depuis son record d'octobre.
Par Nick Carey (link), Correspondant automobile européen
Salutations de Londres!
Il est amusant de voir à quelle vitesse les choses changent dans l'industrie automobile. Ou peut-être suis-je simplement en train de vieillir. Il me semble que c'était hier que le constructeur de véhicules électriques Polestar entrait en bourse via un SPAC avec une capitalisation boursière de 27,42 milliards de dollars, un nouveau membre passionnant du groupe Geely avec de grandes attentes de croissance.
Trois ans plus tard, Polestar est toujours en proie à des pertes alors qu'elle tente d'atteindre une taille critique. Les droits de douane américains n'ont rien arrangé.
Sa valorisation a chuté à 1,2 milliard de dollars et elle peine à respecter les clauses restrictives de sa dette. De plus, pour rester sur le Nasdaq , Polestar doit recourir à un fractionnement d'actions inversé afin de maintenir le prix de son action au-dessus d'un dollar .
Il est clair que Polestar devra brûler davantage de liquidités pendant un certain temps encore si elle veut survivre, des coûts qui devront, d'une manière ou d'une autre, être supportés par les actionnaires majoritaires Geely et son président Li Shufu.
Ce qui nous amène au dossier automobile d'aujourd'hui...
Le pari de BYD à l'étranger
L'inversion de la chaîne d'approvisionnement de GM en Chine
Les véhicules électriques chinois se dirigent vers l'Amérique du Sud
BYD vise haut
Alors que ses ventes commencent à ralentir dans son pays après une période de croissance remarquable qui en a fait le premier constructeur automobile de Chine, BYD redouble d'efforts pour assurer une croissance spectaculaire à l'étranger.
Selon un rapport de Citi, le constructeur automobile vise des ventes à l'étranger allant jusqu'à 1,6 million de véhicules en 2026, contre une prévision de 900 000 à 1 million de véhicules cette année. BYD a vendu environ 400 000 véhicules en dehors de la Chine en 2024.
L'entreprise semble étendre son réseau mondial pour être à la hauteur de ses ambitions.
En Europe, où les ventes de BYD ont augmenté de près de 300 % en glissement annuel de janvier à septembre, le constructeur automobile prévoit de doubler son réseau de concessionnaires d'ici à la fin de 2026.
S'exprimant lors d'un événement à Francfort, Maria Grazia Davino, directrice régionale européenne de BYD, a déclaré que le constructeur automobile comptera 1 000 détaillants européens d'ici la fin de l'année et devrait atteindre 2 000 l'année prochaine.
"À l'instar des concurrents qui réussissent, nous devons être proches des clients européens et gagner en proximité avec eux", a déclaré Mme Davino.
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GM se retire de sa chaîne d'approvisionnement en Chine
General Motors a demandé à ses fournisseurs de retirer les pièces et composants chinois de sa chaîne d'approvisionnement, comme le rapporte Mike Colias, un collègue de Reuters. Vous pouvez en lire davantage ici .
Des sources ont déclaré à Reuters que les dirigeants de GM ont demandé à leurs fournisseurs de trouver des alternatives à la Chine pour les matières premières et les pièces, l'objectif final étant d'éliminer complètement les pièces chinoises de leur chaîne d'approvisionnement d'ici à 2027.
Il n'y a pas si longtemps, c'était le contraire qui se produisait. GM a passé des années à faire pression sur ses fournisseurs pour qu'ils achètent davantage en Chine afin d'obtenir des pièces au prix chinois.
Le monde a changé depuis lors. Les tarifs douaniers en dents de scie du président américain Donald Trump et la panique de l'industrie face aux éventuels goulets d'étranglement des terres rares et aux pénuries de puces électroniques ont amené les constructeurs automobiles à reconsidérer leurs liens avec la Chine.
GM a présenté sa directive à certains fournisseurs à la fin de l'année 2024, mais l'effort a pris une nouvelle urgence au printemps, au début d'une escalade de la bataille commerciale entre les États-Unis et la Chine .
Les VE chinois en Amérique du Sud
Les ventes de voitures électriques en Amérique du Sud ont commencé à croître rapidement à partir d'une base faible, en grande partie grâce aux constructeurs chinois de VE.
Les constructeurs automobiles chinois étendent leur présence sur le continent, rapportent Lucinda Elliott et Marco Aquino, deux collègues de Reuters. Vous pouvez en lire davantage ici .
La Chine a augmenté ses ventes depuis l'ouverture, l'année dernière, du port de Chancay, au nord de Lima. Ce mégaport construit par la Chine a permis de réduire de moitié les délais d'expédition transpacifique, au moment même où les constructeurs chinois sont confrontés à des barrières à l'entrée de plus en plus importantes aux États-Unis.
La pénétration des VE en Amérique latine, y compris au Mexique et en Amérique centrale, a doublé en 2024 pour atteindre environ 4 %, grâce aux incitations gouvernementales et à l'afflux de modèles chinois abordables.
Cette évolution n'est nulle part plus visible qu'en Uruguay, où BYD est le troisième vendeur, tous types de véhicules confondus, derrière Chevrolet et Hyundai. La part de marché de la Chine a plus que doublé dans le pays depuis 2023 pour atteindre 22 %.
Les grands espoirs de VW dans la technologie Rivian
Lorsque Volkswagen a accepté d'investir 5,8 milliards de dollars dans le constructeur américain de VE Rivian l'année dernière, cela a été perçu comme un effort pour renforcer ses capacités logicielles pour les VE après les échecs de l'opération interne Cariad.
Mais le constructeur automobile allemand affirme maintenant que la technologie qu'il développe avec Rivian pourrait éventuellement être utilisée dans ses modèles à moteur à combustion interne .
Cela pourrait aider Volkswagen sur les marchés américain et européen, où il doit vendre un mélange de VE, de modèles à carburant fossile et de modèles hybrides.
La demande de VE aux États-Unis devrait ralentir après l'expiration d'un crédit d'impôt de 7 500 dollars, tandis que les ventes de VE en Europe n'ont pas augmenté aussi rapidement que prévu.
Tours rapides
Ford vend désormais ses voitures d'occasion sur Amazon aux États-Unis, rejoignant ainsi Hyundai dans l'ajout d'options en ligne pour les clients qui souhaitent éviter de se rendre chez les concessionnaires.
Tata Motors a réduit son objectif de marge pour l'exercice 2026 pour Jaguar Land Rover après qu'une cyberattaque a perturbé la production du constructeur automobile de luxe, ajoutant à la pression de la faible demande en Chine et aux contraintes d'approvisionnement en puces.
Le Syndicat des travailleurs de l'automobile du Japon, le plus grand syndicat automobile du pays, n'a pas l'intention de réduire les revendications salariales lors des négociations de l'année prochaine, en dépit d'une forte pression sur les bénéfices du secteur en raison des droits de douane américains, a déclaré son président.
La part des emprunteurs subprimes américains ayant au moins 60 jours de retard sur leurs prêts automobiles a atteint 6,65 % en octobre, le niveau le plus élevé jamais enregistré, selon les données de Fitch Ratings remontant au début des années 1990.
Samsung Electronics, Hyundai et d'autres grands fabricants sud-coréens ont dévoilé des plans d'investissement nationaux (link), alors qu'un accord commercial avec les États-Unis a fait craindre que les investissements aux États-Unis n'affaiblissent l'industrie manufacturière nationale.
La société suédoise de transport routier autonome Einride a accepté d'entrer en bourse aux États-Unis par le biais d'une fusion avec la société Legato Merger Corp III, dans le cadre d'un accord évaluant la société à 1,8 milliard de dollars .
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