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Canada Taux cible au jour le jourA:--
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Rapport sur la politique monétaire de la BOC
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Déclaration du FOMC
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ROYAUME-UNI Indice RICS des prix de l'immobilier à 3 mois (Novembre)--
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Australie Taux de participation à l'emploi (SA) (Novembre)--
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Turquie Chiffre d'affaires des ventes de détail en glissement annuel (Octobre)--
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Afrique du Sud Production minière YoY (Octobre)--
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Rapport de l'AIE sur le marché pétrolier
Turquie Taux de repo sur une semaine--
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Afrique du Sud Refinitiv IPSOS PCSI (Décembre)--
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Turquie Taux de prêt au jour le jour (O/N) (Décembre)--
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ROYAUME-UNI Refinitiv IPSOS PCSI (Décembre)--
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Brésil Ventes au détail MoM (Octobre)--
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Canada Exportations (SA) (Septembre)--
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U.S. Ventes en gros MoM (SA) (Septembre)--
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Argentine IPC MoM (Novembre)--
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Le géant chinois du commerce électronique Alibaba , a fait état mardi d'un chiffre d'affaires au-dessus des attentes au deuxième trimestre, une performance portée par sa division "cloud" et par le succès de son option "livraison dans l'heure".
Le groupe a également bénéficié des subventions accordées par Pékin pour la reprise d'appareils électroménagers, qui permettent aux consommateurs d'échanger des appareils électroménagers anciens contre des modèles plus récents et à prix réduits. Ce programme commence malgré tout à s'essouffler alors qu'il doit officiellement prendre fin le 31 décembre.
Alibaba a enregistré un chiffre d'affaires de 247,80 milliards de yuans (30,33 milliards euros) au deuxième trimestre, tandis que les analystes attendaient 242,65 milliards de yuans, selon les données compilées par LSEG.
Les grands détaillants chinois, dont Alibaba, se disputent les parts de marché dans le domaine du commerce instantané, proposant des remises importantes et des offres attrayantes.
Alibaba a également renforcé son engagement envers l'intelligence artificielle (IA) comme catalyseur de croissance dans ses écosystèmes cloud et grand public.
Le titre du groupe coté aux États-Unis prenait 2,5% dans les échanges avant-Bourse.
Les Bourses mondiales évoluent avec prudence mardi avant la publication d'indicateurs économiques aux États-Unis, dans un marché attentif aux développements géopolitiques entre l'Ukraine et la Russie, et commerciaux entre l'UE et les Etats-Unis.
Vers 08H30 GMT, Paris gagnait 0,29%, Francfort 0,17% et Londres 0,27%. En Asie, Hong Kong gagnait 0,69% dans les derniers échanges, Shenzhen a pris 1,53% et Shanghai 0,87%, tandis que Tokyo est restée stable (+0,07%), après un jour férié lundi.
A la Bourse de New York, les indices ont quant à eux terminé en forte hausse lundi soir, le Nasdaq ayant progressé de 2,69% et le S&P 500 de 1,55%, portés par la perspective d'un assouplissement monétaire de la banque centrale américaine (Fed) en décembre.
Le gouverneur de la Fed, Christopher Waller, a exprimé lundi son soutien à une réduction des taux avant la fin de l'année, préoccupé par un marché du travail "toujours fragile".
Ces propos s'ajoutent à ceux de John Williams, président de la Fed de New York, qui voit une marge pour un nouvel ajustement des taux d'intérêt. Les investisseurs s'attendent désormais majoritairement à une baisse d'un quart de point lors de la réunion des 9 et 10 décembre. Ils étaient une minorité la semaine passée.
Le rendement américain à 2 ans, baromètre des anticipations sur les taux, est passé sous les 3,50% mardi pour la première fois depuis le 29 octobre, après la baisse des taux effectuée par la Fed.
"Il reste désormais à voir si cet élan se consolidera au fil des prochaines séances, alors que la visibilité macroéconomique demeure fragile avant la publication d'une batterie de chiffres économiques aux Etats-Unis et du budget britannique mercredi", poursuit-il.
L'indice d'inflation des prix à la production (PPI) pour le mois de septembre aux Etats-Unis sera publié à 13H30 GMT. Les chiffres des ventes au détail arriveront peu avant, à 13H00 GMT.
"Les résultats de la semaine dernière des grands distributeurs américains (comme Walmart et Target, ndlr) suggèrent que le consommateur ne craque pas, mais qu'il resserre clairement la ceinture à cause des prix et des taux d'emprunt élevés", souligne Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
En Europe, les indices sont freinés par les tensions commerciales avec Washington, qui presse l''UE de "rééquilibrer" sa régulation du secteur tech pour bénéficier d'une réduction des droits de douane sur l'acier européen.
Enfin, les investisseurs garderont aussi un oeil sur la géopolitique, après une nouvelle nuit d'attaques aériennes massives en Ukraine et en Russie.
Elles ont fait au moins trois morts dans la région russe de Rostov et six en Ukraine, où Kiev et le secteur énergétique ont été touchés.
Ces frappes interviennent après le rejet par la Russie d'une contre-proposition européenne au plan américain pour mettre fin au conflit.
Sur le marché du pétrole, le prix du baril de Brent lâchait 0,39% à 63,12 dollars et le WTI était sur la même pente à 58,64 dollars (-0,34%) vers 08H30 GMT.
Softbank fait douter
SoftBank Group, mastodonte japonais des investissements technologiques, a terminé en baisse de 3,68% à Tokyo, limitant ses pertes après avoir chuté de 10% en séance.
"La chute de 10% de SoftBank reflète la crainte que le groupe ait parié sur le mauvais cheval, soit OpenAI et Nvidia, au lendemain de l'annonce d'Alibaba disant que son modèle d'intelligence artificielle Qwen 3 avait dépassé les 10 millions de téléchargements et que le dernier Gemini 3 de Google a été salué pour ses avancées en raisonnement 3D" notamment, explique Mme Ozkardeskaya.
Easyjet affiche un bénéfice net en hausse
La compagnie aérienne Easyjet est en hausse de 0,69% à Londres après avoir annoncé mardi un bénéfice net en progression de 9% pour son exercice achevé fin septembre, à 494 millions de livres (562 millions d'euros), porté notamment par sa filiale de séjours Easyjet Holidays.
Les Bourses mondiales évoluent sans direction claire lundi, les marchés européens restant attentistes avant la publication de données économiques dans la semaine, quand Wall Street gagne du terrain, porté par des espoirs de baisse des taux de la Fed en décembre.
Londres est restée stable (-0,05%) et Paris a cédé 0,29%. Milan a perdu 0,85%. Seule Francfort a avancé (+0,64%),
Les investisseurs vivent une "période de forte nervosité", résume Christine Romar, analyste pour CMC Markets.
Après une séance passée dans le vert, l'humeur s'est finalement assombrie en Europe, les investisseurs préférant rester attentistes avant la publication de plusieurs données, dont les premières estimations d'inflation en Allemagne, en France et en Italie pour novembre.
A Wall Street, au contraire, vers 16H50 GMT, l'heure était à la fête: le S&P 500 prenait 1,30%, le Nasdaq 2,23% et le Dow Jones 0,46%.
Les investisseurs s'accrochent à plusieurs signaux de la Fed laissant espérer une baisse des taux lors de sa prochaine réunion en décembre.
Lundi, un gouverneur de l'institution, Christopher Waller, s'est ainsi dit en faveur d'une baisse des taux avant la fin de l'année, exprimant des inquiétudes quant à un marché du travail "toujours fragile".
Cela fait suite aux propos du président de la Fed de New York, John Williams, qui avait déclaré vendredi "continue(r) de voir de la marge pour un nouvel ajustement à court terme" des taux directeurs américains.
Les marchés ont été agréablement surpris par ces propos, alors que de plus en plus d'analystes tablaient sur une pause dans l'assouplissement monétaire de la Fed lors de sa prochaine réunion en décembre.
Ces affirmations "ont rassuré tout le monde. Les marchés n'attendaient que cela", explique à l'AFP Pierre-Alexis Dumont, directeur des investissements chez Sycomore.
Les investisseurs seront attentifs cette semaine à la publication des "ventes au détail de septembre et des prix à la production (PPI), suivis mercredi les chiffres des demandes d'allocations chômage", résume Jim Reid, de la Deutsche Bank.
Ces données donneront des indices sur la décision de la Réserve fédérale: un marché du travail atone ouvrirait la voie à des baisses de taux pour soutenir l'économie. Au contraire, un chômage qui recule éloignerait cette perspective.
Discussions autour d'un accord de paix entre l'Ukraine et la Russie
Les Etats-Unis et l'Ukraine ont affirmé dans la nuit de dimanche à lundi qu'un "futur accord" de paix pour mettre fin au conflit avec la Russie "devra pleinement respecter la souveraineté" de Kiev, à l'issue de pourparlers "constructifs" à Genève.
A la cote européenne, les valeurs de la défense ont cédé du terrain. Parmi elles, Rheinmetall a reculé de 5,03%, BAE Systems de 3,56%, Thales de 1,50%, Leonardo 2,32% et Saab 5,57%.
Bayer bondit, Novo Nordisk chute
Le géant allemand de la santé et de l'agrochimie Bayer a bondi de 10,91% à Francfort après avoir annoncé dimanche soir des résultats d'études cliniques "positifs" concernant l'anticoagulant Asundexian, selon un communiqué.
A l'inverse, à Copenhague, les actions du laboratoire pharmaceutique danois Novo Nordisk, maison-mère de l'Ozempic, ont chuté 5,79% après que le groupe a annoncé des résultats décevants après des essais cliniques d'une molécule contre la maladie Alzheimer.
Le gaz en baisse, le pétrole monte
Les cours du gaz européen baissent lundi, ce dernier tombant même sous les 30 euros le mégawattheure pour la première fois depuis plus d'un an, lesté par des négociations du plan sur l'Ukraine.
Le TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, perdait 1,52%, à 29,74 euros le mégawattheure (MWh) vers 16H50 GMT, peu après être tombé à 29,20 euros le MWh, un plus bas depuis mai 2024.
Du côté du pétrole, le prix du baril de Brent de la mer du Nord prenait 0,51% à 62,88 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, gagnait 0,62% à 58,06 dollars.
Le bitcoin cédait quant à lui 0,60% à 87.437 dollars.
Le géant chinois du e-commerce JD.com, en passe de devenir le deuxième actionnaire de Fnac Darty, a déposé une demande d'autorisation préalable à Bercy, a indiqué le ministère de l'Economie à l'AFP lundi, confirmant une information du Monde.
JD.com, qui veut renforcer sa présence en Europe, est en cours de finalisation du rachat, pour quelque 2,2 milliards d'euros, du distributeur allemand Ceconomy, deuxième actionnaire du distributeur français avec 22% de son capital - derrière le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky (28%).
En septembre, face à l'arrivée attendue de JD.com au capital de Fnac Darty, le ministère de l'Economie avait demandé au groupe chinois de déposer une demande d'examen au titre du contrôle des investissements étrangers en France (IEF). Ce qu'a fait JD.com "il y a quelques jours", confirme Bercy.
A travers ce dispositif, la France compte préserver ses intérêts économiques en soumettant tout investissement étranger à une autorisation préalable dans certains secteurs sensibles.
Bercy a 30 jours pour statuer sur l'éligibilité de la demande. Si cette dernière est jugée recevable, Bercy pourra alors, le cas échéant, assortir son autorisation de conditions à l'entreprise avant son arrivée au capital. La procédure peut prendre jusqu'à trois mois.
Le ministère examinera "avec la plus grande rigueur et vigilance les conditions de ce potentiel rachat en application du droit", précise-t-il, ajoutant que les biens culturels vendus par Fnac Darty ne sont "pas des biens comme les autres".
Sont concernées par ce dispositif - qui s'articule autour d'un article du Code monétaire et financier - les activités de nature à porter atteinte à l'ordre public, à la sécurité publique ou aux intérêts de la défense nationale et par ailleurs les activités de recherche, de production ou de commercialisation d'armes, de munitions, de poudres et substances explosives sont concernées par la loi.
JD.com a par ailleurs lancé en France sa plateforme de vente en ligne Joybuy, où l'on trouve tous types de produits, de l'électronique aux vêtements, en passant par de l'alimentaire.
Les Bourses mondiales vont majoritairement de l'avant lundi, portées par l'espoir ravivé d'une nouvelle baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed) en décembre, avant une série d'indicateurs économiques aux Etats-Unis et en Europe plus tard dans la semaine.
A Wall Street, peu après l'ouverture, vers 13H40 GMT, le S&P 500 prenait 0,70%, le Nasdaq 1,43% et 0,72%
En Europe, Paris était stable (-0,08), Londres avançait légèrement de 0,10% et Francfort s'octroyait 0,63%.
Les investisseurs s'accrochent aux propos du président de la Fed de New York, John Williams, qui a déclaré vendredi "continue(r) de voir de la marge pour un nouvel ajustement à court terme" des taux directeurs américains.
Les marchés ont été agréablement surpris par ces propos, alors que de plus en plus d'analystes tablaient sur une pause dans l'assouplissement monétaire de la Fed lors de sa prochaine réunion en décembre.
Avant Thanksgiving jeudi aux Etats-Unis, qui sera un jour férié où les marchés américains resteront fermés, plusieurs indicateurs économiques, dont la publication avait été suspendue pendant la période de paralysie budgétaire ("shutdown"), seront par ailleurs publiés.
Mardi, le marché se tournera vers les "ventes au détail de septembre et l'indice d'inflation des prix à la production (PPI), suivis mercredi des demandes d'allocations chômage et des commandes de biens durables", résume Jim Reid, économiste de Deutsche Bank.
"Les données sur les demandes d'allocations chômage seront particulièrement importantes, étant donné qu'il n'y aura pas de nouvelles données sur l'emploi. "La Fed devrait s'appuyer fortement sur ces chiffres avant sa réunion de politique monétaire" qui se tiendra les 9 et 10 décembre.
En Europe, le marché sera notamment attentif vendredi aux estimations préliminaires d'inflation de novembre en Allemagne, en France et en Italie.
Discussions autour d'un accord de paix entre l'Ukraine et la Russie
Les Etats-Unis et l'Ukraine ont affirmé dans la nuit de dimanche à lundi qu'un "futur accord" de paix pour mettre fin au conflit avec la Russie "devra pleinement respecter la souveraineté" de Kiev, à l'issue de pourparlers "constructifs" à Genève entre Américains, Ukrainiens et Européens.
A la cote européenne, les valeurs de la défense évoluaient en baisse. Parmi elles, Rheinmetall reculait de 4,44%, BAE Systems de 2,80%, Thales cédait 2,29%, Leonardo 2,24% et Saab 4,33%.
Julius Baer réduit la voilure
La banque suisse Julius Baer a terminé l'examen de ses activités de crédit et a décidé réduire certaines positions dans son portefeuille de prêts, principalement dans l'immobilier résidentiel et commercial, a-t-elle annoncé lundi.
A Zurich, le titre s'enfonçait de 5,54%.
Bayer bondit, Novo Nordisk chute
Le géant allemand de la santé et de l'agrochimie Bayer bondissait de 11,04% à Francfort après avoir annoncé dimanche soir des résultats d'études cliniques "positifs" concernant l'anticoagulant Asundexian, selon un communiqué.
A l'inverse, à Copenhague, les actions du laboratoire pharmaceutique danois Novo Nordisk, maison-mère de l'Ozempic, chutaient de 9,21% après que le groupe a annoncé des résultats décevants après des essais cliniques d'une molécule contre la maladie Alzheimer.
Le pétrole et le gaz en baisse
Les cours du pétrole et celui du gaz européen baissent lundi, ce dernier tombant même sous les 30 euros le mégawattheure pour la première fois depuis plus d'un an, lesté par des négociations du plan sur l'Ukraine.
Le TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, perdait 2,44%, à 29,46 euros le mégawattheure (MWh) vers 13H40 GMT, peu après être tombé à 29,20 euros le MWh, un plus bas depuis mai 2024.
Du côté du pétrole, le prix du baril de Brent de la mer du Nord cédait 0,11% à 62,49 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, s'inclinait de 0,09% à 58,01 dollars.
Le bitcoin cédait quant à lui 1,85% à 86.341 dollars. Ce niveau est en hausse par rapport à son plus bas niveau en sept mois (80.553 dollars) mais reste nettement inférieur à son pic de 126.200 dollars atteint le 6 octobre.
Les Bourses mondiales évoluent avec prudence lundi, avant une série d'indicateurs économiques aux Etats-Unis et en Europe plus tard dans la semaine, dans un marché porté par l'espoir ravivé d'une nouvelle baisse des taux de la banque centrale américaine en décembre.
En Europe, vers 13H00 GMT, Paris était stable (-0,01%), Londres avançait légèrement de 0,25% et Francfort s'octroyait 0,66%.
Les indices boursiers américains s'acheminaient quant à eux vers une ouverture en hausse: le S&P 500 prenait 0,49% et le Nasdaq 0,73% selon leurs contrats à terme.
Les investisseurs s'accrochent aux propos du président de la Fed de New York, John Williams, qui a déclaré vendredi "continue(r) de voir de la marge pour un nouvel ajustement à court terme" des taux directeurs américains.
Avant Thanksgiving jeudi aux Etats-Unis, qui sera un jour férié où les marchés américains resteront fermés, plusieurs indicateurs économiques, dont la publication avait été suspendue pendant la période de paralysie budgétaire ("shutdown"), seront publiés.
Mardi, le marché se tournera ainsi vers les "ventes au détail de septembre et l'indice d'inflation des prix à la production (PPI), suivis mercredi des demandes d'allocations chômage et des commandes de biens durables", résume Jim Reid, économiste de Deutsche Bank.
"Les données sur les demandes d'allocations chômage seront particulièrement importantes, étant donné qu'il n'y aura pas de nouvelles données sur l'emploi. La Réserve fédérale devrait s'appuyer fortement sur ces chiffres avant sa réunion de politique monétaire" qui se tiendra les 9 et 10 décembre, poursuit-il.
En Europe, le marché sera notamment attentif vendredi aux estimations préliminaires d'inflation de novembre en Allemagne, en France et en Italie.
Au Royaume-Uni, la présentation du projet de budget par la ministre des Finances Rachel Reeves mercredi sera l'événement principal de la semaine.
Vers un accord de paix entre l'Ukraine et la Russie
Les Etats-Unis et l'Ukraine ont affirmé dans la nuit de dimanche à lundi qu'un "futur accord" de paix pour mettre fin au conflit avec la Russie "devra pleinement respecter la souveraineté" de Kiev, à l'issue de pourparlers "constructifs" à Genève entre Américains, Ukrainiens et Européens.
A la cote européenne, les valeurs de la défense évoluaient en baisse. Parmi elles, Rheinmetall reculait de 3,65%, BAE Systems de 2,20%, Thales cédait 1,54%, Leonardo 1,43% et Saab 3,58%.
Julius Baer réduit la voilure
La banque suisse Julius Baer a terminé l'examen de ses activités de crédit et a décidé réduire certaines positions dans son portefeuille de prêts, principalement dans l'immobilier résidentiel et commercial, a-t-elle annoncé lundi.
A Zurich, le titre s'enfonçait de 5,33%.
Bayer bondit, Novo Nordisk chute
Le géant allemand de la santé et de l'agrochimie Bayer bondissait de 10,55% à Francfort après avoir annoncé dimanche soir des résultats d'études cliniques "positifs" concernant l'anticoagulant Asundexian, selon un communiqué.
A l'inverse, à Copenhague, les actions du laboratoire pharmaceutique danois Novo Nordisk, maison-mère de l'Ozempic, chutaient de 10,16% après que le groupe a annoncé des résultats décevants après des essais cliniques d'une molécule contre la maladie Alzheimer.
Le pétrole et le gaz en baisse
Les cours du pétrole et celui du gaz européen baissent lundi, ce dernier tombant même sous les 30 euros le mégawattheure pour la première fois depuis plus d'un an, lesté par des négociations du plan sur l'Ukraine.
Le TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, perdait 2,99%, à 29,30 euros le mégawattheure (MWh) vers 13H00 GMT, peu après être tombé à 29,20 euros le MWh, un plus bas depuis mai 2024.
Du côté du pétrole, le prix du baril de Brent de la mer du Nord cédait 0,26% à 62,72 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, s'inclinait de 0,22% à 58,19 dollars.
Le bitcoin cédait quant à lui 2,27% à 85.972 dollars. Ce niveau est en hausse par rapport à son plus bas niveau en sept mois (80.553 dollars) mais reste nettement inférieur à son pic de 126.200 dollars atteint le 6 octobre.
Les Bourses mondiales gagnent du terrain lundi, à l'entame d'une semaine riche en publications économiques aux Etats-Unis et en Europe, dans un marché porté par l'espoir d'une nouvelle baisse des taux de la banque centrale américaine d'ici à la fin de l'année.
En Europe, vers 08H30 GMT, Paris prenait 0,35%, Londres 0,42% et Francfort s'octroyait une hausse plus franche de 1,10%.
En Asie, Hong Kong bondissait de 1,97% dans les derniers échanges, Shenzhen a gagné 0,37%, Shanghai est restée stable (+0,05%), tandis que Séoul a terminé en légère baisse de 0,19%. Tokyo est quant à elle fermée en raison d'un jour férié.
Les investisseurs s'accrochent aux propos du président de la Fed de New York, John Williams, qui a déclaré vendredi "continue(r) de voir de la marge pour un nouvel ajustement à court terme" des taux directeurs américains.
Avant Thanksgiving jeudi aux Etats-Unis, qui sera un jour férié où les marchés américains resteront fermés, plusieurs indicateurs économiques, dont la publication avait été suspendue pendant la période de paralysie budgétaire ("shutdown"), seront publiés.
Mardi, le marché se tournera ainsi vers les "ventes au détail de septembre et l'indice d'inflation des prix à la production (PPI), puis mercredi des demandes d'allocations chômage et des commandes de biens durables", résume Jim Reid, économiste de Deutsche Bank.
"Les données sur les demandes d'allocations chômage seront particulièrement importantes, étant donné qu'il n'y aura pas de nouvelles données sur l'emploi. La Réserve fédérale devrait s'appuyer fortement sur ces chiffres avant sa réunion de politique monétaire" qui se tiendra les 9 et 10 décembre, poursuit-il.
En Europe, le marché sera notamment attentif vendredi aux estimations préliminaires d'inflation de novembre en Allemagne, en France et en Italie.
Au Royaume-Uni, la présentation du projet de budget par la ministre des Finances Rachel Reeves mercredi sera l'événement principal de la semaine.
Selon une estimation régulièrement citée par la presse et les analystes, Rachel Reeves a besoin de quelque 20 milliards de livres pour remettre le pays sur la trajectoire de l'équilibre budgétaire, le déficit avoisinant 5% du PIB.
Alibaba fait mouche
A la Bourse de Hong Kong, Alibaba bondissait de plus de 5% dans les derniers échanges après avoir annoncé que son modèle d'intelligence artificielle de nouvelle génération, Qwen 3, équivalent chinois de ChatGPT, "avait attiré plus de 10 millions d'utilisateurs et pourrait rivaliser" avec son concurrent américain, explique Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
"Futur accord" de paix entre l'Ukraine et la Russie
Les Etats-Unis et l'Ukraine ont affirmé dans la nuit de dimanche à lundi qu'un "futur accord" de paix pour mettre fin au conflit avec la Russie "devra pleinement respecter la souveraineté" de Kiev, à l'issue de pourparlers "constructifs" à Genève entre Américains, Ukrainiens et Européens.
A la cote européenne, les valeurs de la défense évoluaient en baisse. Parmi elles, Rheinmetall reculait de 2,73%, BAE Systems de 0,99%, Thales cédait 1,54%, Leonardo 1,15% et Saab 2,33%.
Bayer bondit à Francfort
Le géant allemand de la santé et de l'agrochimie Bayer bondissait de plus de 9% à Francfort après avoir annoncé dimanche soir des résultats d'études cliniques "positifs" concernant l'anticoagulant Asundexian, selon un communiqué.
Le produit a été utilisé en prévention chez des patients ayant déjà été atteint par un AVC. L'étude a été contrôlée par placebo, en double aveugle, et menée sur 12.300 patients.
Le gaz en baisse
Le gaz naturel européen est tombé sous les 30 euros le mégawatt-heure (-1,22% à 29,83 euros vers 08H30 GMT) pour la première fois depuis plus d'un an, lesté notamment une augmentation des importations et par les négociations sur la fin de la guerre en Ukraine.
La géopolitique tirait aussi les prix du pétrole vers le bas: le baril de Brent de la mer du Nord s'échangeait à 62,24 dollars (-0,51%) et celui de son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate à 57,74 euros (-0,55%).
Le bitcoin cédait quant à lui 1,23% à 86.881 dollars. Ce niveau est en hausse par rapport à son plus bas niveau en sept mois (80.553 dollars) mais reste nettement inférieur à son pic de 126.200 dollars atteint le 6 octobre.
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Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
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