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U.S. JOLTS Offres d'emploi (SA) (Octobre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Voici les principaux articles parus dans les pages économiques du New York Times. Reuters n'a pas vérifié ces articles et ne garantit pas leur exactitude.
- Warner Bros Discovery a entamé des négociations exclusives (link) avec Netflix en vue de vendre ses studios de cinéma et de télévision ainsi que le service de streaming HBO Max.
- Le gouvernement canadien a officiellement informé le constructeur automobile mondial Stellantis que le transfert de la production de sa Jeep Compass d'une usine de la banlieue de Toronto vers l'Illinois signifiait que l'entreprise n'avait pas respecté les contrats (link) couvrant des centaines de millions de dollars d'aide.
- La Food and Drug Administration américaine a déclaré que les gens devraient cesser d'utiliser (link) certains types de capteurs de glycémie après que le fabricant, Abbott Diabetes Care, a averti que les produits défectueux pourraient être liés à au moins sept décès.
- Harvey, un fabricant de logiciels juridiques d'I.A., a annoncé qu'il avait levé 160 millions de dollars (link) de nouveaux fonds à une valeur de 8 milliards de dollars.
Les Bourses mondiales ont terminé en ordre dispersé jeudi, l'Europe se montrant plutôt optimiste avec les espoirs de résolution du conflit ukrainien, tandis que Wall Street attend la réunion de la banque centrale américaine (Fed) la semaine prochaine.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,43%, Francfort de 0,79%, Londres de 0,19% et Milan a gagné 0,32%.
Sur le Vieux Continent, les marchés ont profité d'un "sentiment positif avec les espoirs de résolution prochaine du conflit ukrainien", commente Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM.
Plusieurs dirigeants européens ont cependant exprimé leur méfiance sur les efforts américains pour négocier la fin de la guerre en Ukraine avec la Russie, selon des notes relatives à un appel téléphonique consultées par l'hebdomadaire allemand Der Spiegel.
L'administration de Donald Trump est à la manoeuvre pour tenter de négocier la fin du conflit, mais elle est suspectée de vouloir favoriser les revendications de Vladimir Poutine.
A Wall Street, le Dow Jones a terminé proche de l'équilibre, ne lâchant que 0,07%, l'indice Nasdaq a pris 0,22% et l'indice élargi S&P 500 a grappillé 0,11%.
"Les gains restent modestes pour l'instant" malgré la "hausse des anticipations de baisse des taux de la Fed la semaine prochaine", note Kathleen Brooks, directrice de la recherche à XTB.
"Les investisseurs tentent de comprendre comment interpréter les données sur l'emploi (américain) publiées aujourd'hui, (...) il règne une certaine confusion", explique à l'AFP Tom Cahill, de Ventura Wealth Management.
Wall Street a accueilli peu avant l'ouverture les inscriptions hebdomadaires au chômage, qui sont ressorties en deçà des attentes (à 191.000 contre 220.000 escomptées).
Ces chiffres "ont chuté à un niveau pas vu depuis près de deux ans", remarque dans une note Patrick O'Hare, de Briefing.com.
"Les inscriptions sont très faibles (...) et ne semblent pas aller dans le même sens que les chiffres récents" sur le marché du travail aux Etats-Unis, note M. Cahill.
La veille, les chiffres de l'emploi privé s'étaient, en effet, montrés décevants, ce qui avait renforcé les perspectives d'assouplissement monétaire de la Fed avant sa dernière réunion de l'année.
Pour le moment, les investisseurs anticipent toujours massivement une nouvelle baisse des taux d'un quart de point le 10 décembre, ce qui constituerait la troisième détente consécutive.
Est désormais attendu l'indice d'inflation PCE pour le mois de septembre, qui sera publié vendredi, retardé à cause de la longue paralysie budgétaire ("shutdown") de 43 jours qui a touché les Etats-Unis.
"Le marché est en manque d'indicateur, il va donc analyser toutes les données possibles, même si elles arrivent tardivement", souligne Tom Cahill.
Côté devise, le billet vert gagnait 0,25% à 1,1642 dollar pour un euro vers 21H20 GMT.
Le pétrole a terminé en hausse: le Brent a gagné 0,94% à 63,26 dollars et le West Texas Intermediate a pris 1,22% à 59,67 dollars.
Meta avance
A la Bourse de New York, Meta (Facebook, Instagram) a avancé (+3,43% à 661,53 dollars) après des informations de l'agence Bloomberg selon lesquelles l'entreprise devrait réduire jusqu'à 30% ses investissements dans le métavers, les univers virtuels érigés en priorité stratégique depuis quatre ans, alors que le groupe se recentre sur le développement de l'intelligence artificielle (IA).
Beaucoup d'investisseurs s'interrogeaient, en effet, sur la pertinence de dépenses majeures dans le métavers, dont le modèle économique reste encore à établir.
De bonnes nouvelles pour l'automobile
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi l'allègement de la réglementation sur la consommation et les émissions des véhicules, évoquant une baisse de leur prix d'achat.
L'annonce soutient les constructeurs automobiles européens, qui se sont affichés en franche hausse jeudi. "Le marché applaudit systématiquement lorsqu'il y a moins de réglementation", explique Christopher Dembik.
A Francfort, les constructeurs ont également profité de Bank of America (BofA) qui relève sa recommandation de "neutre" à "achat" sur la holding Porsche SE (+5,70%), actionnaire majoritaire de Volkswagen (+2,72%). Le constructeur Porsche AG a gagné 4,39%. BofA a par ailleurs relevé son objectif de cours pour BMW (+4,13%) et relevé de "sous performeur" à "neutre" sa recommandation sur Mercedes-Benz (+4,35%).
A Paris, Stellantis a terminé en hausse de 3,75% et Renault de 6,35%.
par Nora Eckert et Giulio Piovaccari
Le directeur général de Stellantis a déclaré jeudi que le constructeur automobile se concentrait sur la production de véhicules hybrides sur le marché américain, un changement de stratégie alors que son prédécesseur mettait l'accent sur les modèles entièrement électriques.
"Nous croyons vraiment que l'hybride sera l'un des groupes motopropulseurs préférés aux États-Unis", a déclaré Antonio Filosa lors d'une conférence organisée par Goldman Sachs.
Il a précisé que le constructeur automobile se focalisait davantage sur les hybrides traditionnels que sur les modèles hybrides rechargeables, pour lesquels il ne voit pas la même demande.
Antonio Filosa a mis en avant la Jeep Cherokee hybride du constructeur automobile et a déclaré que Stellantis essayait d'élargir son offre à l'ensemble de sa gamme.
Le directeur général s'efforce d'inverser les fortes pertes de parts de marché aux États-Unis qui ont contribué au départ de son prédécesseur, Carlos Tavares, il y a un an.
Cette semaine, le nouveau directeur général du groupe né de la fusion entre PSA et FCA s'est joint au directeur général de Ford Motor pour rencontrer le président américain Donald Trump afin de discuter de sa proposition de réduire les réglementations en matière d'économie de carburant.
L'assouplissement de ces réglementations permet aux constructeurs automobiles d'augmenter la production de modèles à essence et d'alléger la pression sur la production de véhicules électriques (VE).
Cette année, Stellantis a réintroduit son moteur HEMI 8 cylindres sur certains modèles alors que les concessionnaires et clients le réclamaient.
Le jour de l'annonce, 10.000 commandes ont été enregistrées. Quelque 50.000 commandes ont été enregistrées dans les six semaines qui ont suivi, a-t-il ajouté.
"Il y a là une grande opportunité d'amélioration du mix et du volume", a-t-il déclaré.
La part de marché de Stellantis était de 7% aux États-Unis au premier semestre de l'année, a déclaré son directeur général. Elle est passée à 8% au troisième trimestre.
Antonio Filosa s'attend à ce que le constructeur automobile gagne encore des parts de marché avec les lancements de véhicules à venir.




par Claude Chendjou
Les Bourses européennes ont terminé jeudi en légère hausse, tandis que Wall Street hésitait à la mi-séance après la publication d'indicateurs mitigés sur l'économie américaine.
À Paris, le CAC 40 a fini sur un gain de 0,43% à 8.122,03 points. Le Footsie britannique CURRENCYCOM:UK100 a avancé de 0,19% et le Dax allemand a progressé de 0,85%.
L'indice EuroStoxx 50 a gagné 0,49% et le FTSEurofirst 300 0,48%. Le Stoxx 600 a avancé de 0,51% avec le soutien des compartiments de l'automobile (.SXAP) (+2,34%), de l'industrie (.SXNP) (+1,36%) et des nouvelles technologies (.SX8P) (+0,72%), qui ont réagi à l'actualité des entreprises.
Au moment de la clôture en Europe, le Dow Jones recule de 0,04%, tandis que le Standard & Poor's 500 grappille 0,07% et le Nasdaq grignote 0,14% après avoir tous trois ouvert dans le vert.
Les investisseurs analysent une nouvelle série de données aux Etats-Unis sur le marché de l'emploi afin d'affiner les perspectives en matière de trajectoire des taux directeurs de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui se réunit la semaine prochaine.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis montrent qu'elles sont tombées la semaine dernière à leur plus bas niveau depuis plus de trois ans, mais une estimation de la Fed de Chicago suggère que le taux de chômage dans le pays s'est maintenu à près de 4,4% en novembre, tandis que l'enquête du cabinet ADP, publiée mercredi, avait révélé une destruction surprise des emplois le mois dernier.
Les commandes à l'industrie aux Etats-Unis, quant à elles, ont augmenté à un rythme moindre que prévu en septembre, de 0,2% sur un mois, les industriels continuant d'être affectés par le relèvement des droits de douane.
Ces statistiques contrastées - et pour certaines publiées avec retard -peinent à donner une direction claire sur l'économie américaine alors que les investisseurs ont navigué à vue pendant 43 jours en raison du plus long "shutdown" de l'histoire des Etats-Unis.
En Europe, la principale statistique du jour a porté sur les ventes au détail dans la zone euro, qui sont restées stables d'un mois sur l'autre en octobre, conformément aux attentes.
Cela n'a pas non plus permis d'offrir au marché un véritable catalyseur, qui pourrait être la publication vendredi aux Etats-Unis du tant attendu indice PCE des prix, mesure de l'inflation privilégiée par la Fed.
Les contrats à terme sur les fonds fédéraux donnent actuellement une probabilité de près de 90% concernant une baisse des taux de la Fed de 25 points de base ce mois-ci, contre une probabilité d'environ 60% le mois dernier, selon l'outil FedWatch de CME Group.
VALEURS EN EUROPE
Les constructeurs automobiles Porsche (+6,13%), Mercedes (+4,80%), Volvo Car (+4,86%), Volkswagen (+2,99%), Renault (+6,35%) et Stellantis (+3,58%) ont fini dans le vert après que le président américain Donald Trump a proposé d'assouplir les normes en matière d'économie de carburant afin de faciliter la vente de voitures à essence.
STMicroelectronics (STMMI.PA), Soitec et ASM International ont avancé respectivement de 3,39%, 2,74% et 2,34%, profitant de la bonne tenue du secteur technologique après que l'agence Bloomberg a rapporté que le fabricant chinois de puces Cambricon envisage de tripler sa production en 2026 pour remplacer Nvidia sur le marché chinois de l'intelligence artificielle (IA).
Schneider Electric et Siemens Energy ont gagné respectivement 3,50% et 2,67%, JPMorgan ayant relevé sa recommandation de "neutre" à "surpondérer" sur les deux groupes.
Société générale a pris 3,27% à la faveur d'un relèvement de recommandation à "acheter" de la part de Goldman Sachs.
Philips a plongé de 5,61% à la suite de la révision à la baisse des prévisions de croissance pour 2026 du groupe néerlandais de technologies de santé.
CHANGES
Le dollar continue de se déprécier face à un panier de devises de référence , en anticipation d'une baisse des taux de la Fed la semaine prochaine, s'acheminant vers une dixième séance consécutive dans le rouge. Le billet vert est ainsi près d'un creux de cinq semaines et affiche un repli de près de 9% depuis le début de l'année.
L'euro recule de 0,13%, à 1,165 dollar après avoir grimpé en séance à 1,681, proche de son pic du 17 octobre, alors que les PMI ont montré mercredi que l'activité économique dans la zone euro avait accéléré en novembre à son rythme le plus rapide en 30 mois.
La livre sterling s'échange à 1,3350 dollar, restant près de son sommet du 28 octobre.
Le bitcoin marqué une pause, cédant jeudi 1,19% à 92.617,85 dollars, après avoir progressé de plus de 8% au cours des deux dernières séances.
TAUX
Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans se tend, prenant 4,4 points de base, à 4,102%, ce qui pourrait mettre fin à trois séances de baisse. Les investisseurs ont réduit leurs achats d'obligations et consolidé leurs positions avant la réunion de la Fed.
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) a fini en hausse de 2,4 points base, à 2,770%, et celui à deux ans (DE2YT=RR) a pris 1,9 point, à 2,076%, suivant la tendance sur les Treasuries américains.
L'écart de rendement entre le Bund et l'OAT française à dix ans (DE10FR10=RR) s'est maintenu à environ 75 points de base alors que le suspense demeure sur le volet recettes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) française pour 2026 en débat à l'Assemblée nationale.
PÉTROLE
L'enlisement des discussions sur l'Ukraine, avec notamment le président russe Vladimir Poutine qui a répété que Moscou parachèverait la conquête du Donbass par la force si l'armée ukrainienne ne s'en retire pas, fait monter le marché pétrolier. L'Arabie saoudite a en outre abaissé ses prix du pétrole pour janvier en Asie à leur plus bas niveau en cinq ans, ce qui pourrait stimuler les achats chinois.
Le Brent prend 1,34% à 63,51 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) 1,63% à 59,91 dollars .
A SUIVRE VENDREDI:
Les Bourses mondiales évoluent sans direction claire jeudi, l'Europe se montrant plus optimiste que Wall Street avec les attentes de baisses de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) ainsi que les espoirs de résolution du conflit ukrainien.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,43%, Francfort de 0,79%, Londres de 0,19% et Milan a gagné 0,32%.
Les marchés européens ont profité d'un "sentiment positif avec les espoirs de résolution prochaine du conflit ukrainien", commente Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM.
Merz, Macron et d'autres dirigeants européens ont cependant exprimé leur méfiance sur les efforts américains pour négocier la fin de la guerre en Ukraine avec la Russie, selon des notes relatives à un appel téléphonique consultées par l'hebdomadaire allemand Der Spiegel.
L'administration de Donald Trump est à la manoeuvre pour tenter de négocier la fin de la guerre en Ukraine, mais elle est suspectée de vouloir favoriser les revendications de Vladimir Poutine.
A Wall Street, vers 16H45, le Dow Jones perdait 0,06% quand l'indice Nasdaq prenait 0,13% et l'indice élargi S&P 500 0,05%. Les trois indices avaient ouvert en légère hausse.
Sur les marchés d'actions, "les gains restent modestes pour l'instant" malgré la "hausse des anticipations de baisse des taux de la Fed la semaine prochaine", note Kathleen Brooks, directrice de la recherche à XTB.
Selon ADP/Stanford Lab, l'économie américaine a détruit 32.000 emplois en novembre dans le secteur privé, un ralentissement du marché du travail donnant à la Fed plus de marges de manoeuvre pour abaisser ses taux directeurs afin de stimuler l'activité.
"Ce rapport sur l'emploi est aussi le dernier dont dispose la Réserve fédérale avant sa réunion décisive" de politique monétaire les 9 et 10 décembre, relève Grégoire Kounowski, conseiller en investissement de Norman K.
"Ce n'est que quelques jours plus tard, le 16 décembre, que le Bureau of Labor Statistics (BLS) reprendra la publication de ses données sur la situation de l'emploi tous secteurs confondus, après une interruption due au shutdown", explique-t-il.
Vendredi, les chiffres de l'inflation pour le mois de septembre seront ainsi également scrutés.
Mais pour Kathleen Brooks, "le changement dans les attentes de baisses de taux de la Fed est essentiellement neutre pour les actions: la baisse à court terme ne rend pas plus probables les baisses supplémentaires" en 2026, estime-t-elle.
"À moins que la Fed n'indique qu'elle réduira les taux plus rapidement que prévu" l'an prochain, "nous pourrions voir les actifs risqués reculer", poursuit-elle.
Côté devise, le dollar gagnait 0,12% à 1,1657 dollar pour un euro vers 16H45 GMT.
De bonnes nouvelles pour l'automobile
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi l'allègement de la réglementation sur la consommation et les émissions des véhicules, évoquant une baisse de leur prix d'achat.
L'annonce soutient les constructeurs automobiles européens, qui se sont affichés en franche hausse jeudi. "Le marché applaudit systématiquement lorsqu'il y a moins de règlementation", explique Christopher Dembik.
Par ailleurs, Christine Romar, analyste chez CMC Markets, note que "la suppression des moteurs à combustion prévue à Bruxelles à partir de 2035 devrait être annulée".
Un "baume sur les plaies des champions des moteurs à combustion +Made in Germany+, qui s'efforcent tous de passer à la mobilité électrique, mais qui continuent de réaliser des marges plus élevées grâce à leurs nombreuses années d'ingénierie dans le domaine des moteurs à essence et diesel", pour l'analyste.
A Francfort, les constructeurs ont également profité de Bank of America (BofA) qui relève sa recommandation de "neutre" à "achat" sur la holding Porsche SE (+5,70%), actionnaire majoritaire de Volkswagen (+2,72%). Le constructeur Porsche AG a gagné 4,39%. BofA a par ailleurs relevé son objectif de cours pour BMW (+4,13%) et relevé de "sous performeur" à "neutre" sa recommandation sur Mercedes-Benz (+4,35%).
A Paris, Stellantis a terminé en hausse de 3,75% et Renault de 6,35%.
Trustpilot s'écrase
Le site d'avis en ligne danois Trustpilot, coté à Londres, a dévissé de 31,68% jeudi après avoir été étrillé par un rapport du vendeur à découvert Grizzly Research qui parle notamment de méthodes "d'extorsion", l'entreprise rejetant pour sa part des "allégations trompeuses".
par David Shepardson
L'administration Trump affirme que sa nouvelle proposition de réduction de la consommation de carburant pourrait permettre aux constructeurs automobiles de reprendre la construction de breaks, un élément essentiel des voyages en famille dans les années 1970 et 1980.
"Cette règle permettra en fait de ramener le break des années 1970, avec peut-être un peu de bois sur le côté", a déclaré le secrétaire aux transports Sean Duffy sur la chaîne CNBC. "Nous pouvons redonner le choix aux consommateurs: oui, le monospace est génial, mais le break l'est aussi"
L'administration nationale de la sécurité routière (National Highway Traffic Safety Administration) du ministère des transports a déclaré dans sa proposition de mercredi que les réglementations en matière d'économie de carburant ont conduit les constructeurs à remodeler le marché de manière imprévue, "notamment en éliminant presque totalement la production de breaks"
Les trois constructeurs automobiles de Detroit ont mis fin à la production de breaks de grande taille au milieu des années 1990, mais les constructeurs américains ont continué à produire des breaks plus petits jusqu'en 2008.
Les voitures sont soumises à des normes plus strictes que les camions. Les breaks sont considérés comme des voitures particulières, tandis que les monospaces et les véhicules utilitaires multisegments sont des camions légers.
L'administrateur de la NHTSA, Jonathan Morrison, a soulevé séparément la question des breaks lors d'un appel avec les constructeurs automobiles en début de semaine.
Mercredi, la NHTSA a proposé de réduire considérablement les exigences en matière d'économie de carburant pour les années modèles 2022 à 2031, en exigeant 34,5 miles par gallon en moyenne d'ici 2031, contre 50,4 miles par gallon (21,4 km par litre).
La NHTSA estime que la règle proposée réduirait le coût initial moyen des véhicules de 930 dollars, mais augmenterait la consommation de carburant d'environ 100 milliards de gallons jusqu'en 2050, ce qui coûterait aux Américains jusqu'à 185 milliards de dollars supplémentaires en carburant et augmenterait les émissions de dioxyde de carbone d'environ 5 %.
Les transports représentent le pourcentage le plus important des émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis.
Au début de l'année, Donald Trump a signé une loi qui mettait fin aux pénalités imposées aux constructeurs automobiles en matière d'économie de carburant, et la NHTSA a déclaré qu'ils n'étaient pas confrontés à des amendes remontant à l'année-modèle 2022 .




par Claude Chendjou
Wall Street est attendue sans grand changement jeudi à l'ouverture, tandis que les Bourses européennes sont sur de faibles variations à la mi-séance dans des échanges sans conviction en attendant un indicateur clé d'inflation aux Etats-Unis, qui pourrait influer sur la politique de la Fed.
Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en hausse de 0,13% pour le Dow Jones , de 0,08% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,02% pour le Nasdaq alors que les actions américaines ont enregistré mercredi leur septième gain en huit séances.
À Paris, le CAC 40 gagne 0,41% à 8.120,63 points vers 12h15 GMT. À Francfort, le Dax avance de 0,77% et à Londres, le FTSE CURRENCYCOM:UK100 prend 0,26%.
L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 progresse de 0,41% et l'EuroStoxx 50 de la zone euro de 0,42%. Le Stoxx 600 avance de 0,41% avec une légère amélioration de l'appétit pour le risque après deux séances d'encéphalogramme plat.
Les timides gains du jour en Europe sont portés par les compartiments de l'automobile (.SXAP) (+2,55%), de l'industrie (.SXNP) (+1,02%) et des nouvelles technologies (.SX8P) (+0,81%), trois secteurs soutenus par l'actualité.
La tendance de fond sur les marchés reste néanmoins centrée sur les décisions futures de la Réserve fédérale américaine (Fed) alors qu'un assouplissement monétaire est attendu mercredi prochain au regard de la faiblesse des dernières données sur le marché du travail, comme celles du cabinet ADP.
Les investisseurs surveilleront à 13h30 GMT les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis pour pourraient confirmer une détérioration du marché du travail, ainsi que le rapport Challenger, Gray & Christmas sur les licenciements en novembre. L'indicateur sur les dépenses de consommation personnelle aux Etats-Unis pour le mois septembre, dont la publication est prévue vendredi, est également dans le viseur des marchés.
Les contrats à terme sur les fonds fédéraux évaluent à 89% la probabilité d'une réduction de 25 points de base des taux de la Fed ce mois-ci, contre une probabilité de 83,4% il y a une semaine, selon l'outil FedWatch de CME Group.
LES VALEURS À SUIVRE À WALL STREET
Salesforce s'adjuge 2,3% en avant-Bourse après avoir relevé mercredi soir ses prévisions de chiffre d'affaires et de bénéfice ajusté pour l'exercice 2026.
VALEURS EN EUROPE
Les constructeurs automobiles Porsche (+5,22%), Mercedes (+4,77%), Volvo Car (+3,82%), Volkswagen (+3,08%), Renault (+5,66%) et Stellantis (+4,03%) sont bien orientés après que le président américain Donald Trump a proposé d'assouplir les normes en matière d'économie de carburant afin de faciliter la vente de voitures à essence.
STMicroelectronics (STMMI.PA), Soitec et ASM International avancent de 1,41% et 4,34%, profitant de la bonne tenue du secteur technologique après que l'agence Bloomberg a rapporté que le fabricant chinois de puces Cambricon envisage de tripler sa production en 2026 pour remplacer Nvidia sur le marché chinois de l'intelligence artificielle (IA).
Schneider Electric et Siemens Energy gagnent respectivement 2,98% et 1,71%, JPMorgan ayant relevé sa recommandation de "neutre" à "surpondérer" sur les deux groupes.
Société générale prend 2,34% à la faveur d'un relèvement de recommandation à "acheter" de la part de Goldman Sachs.
Philips plonge de 7,27%, en queue du Stoxx 600, à la suite de la révision à la baisse des prévisions de croissance pour 2026 du groupe néerlandais de technologies de santé.
TAUX
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) monte de 1,2 point de base, à 2,757%, suivant la tendance sur les bons du Trésor américain alors que les investisseurs attendent les décisions de la Fed et de nouveaux indicateurs.
Le rendement des obligations japonaises à 30 ans (JP30YT=RR), qui a grimpé jeudi à un sommet sans précédent à 3,445%, a par ailleurs contribué à soutenir la demande lors d'une adjudication de dette, au moment même où le gouvernement prévoit un plan de relance massif alimenté par la dette.
Aux Etats-Unis, le rendement des Treasuries à dix ans avance de 2,5 points de base, à 4,082%, contre 4,059% la veille.
CHANGES
Le dollar (-0,06%) se maintient près d'un creux de cinq semaines face à un panier de devises internationales, après des indicateurs américains qui ont renforcé l'hypothèse d'une baisse des taux de la Fed la semaine prochaine. Le billet vert a perdu près de 9% depuis le début de l'année.
L'euro grappille 0,05%, à 1,1675 dollar, proche de son pic du 17 octobre, alors que les PMI ont montré mercredi que l'activité économique dans la zone euro avait accéléré en novembre à son rythme le plus rapide en 30 mois.
La livre sterling s'échange à 1,3351 dollar (-0,01%), oscillant près de son sommet du 28 octobre.
PÉTROLE
Le marché pétrolier monte dans un contexte d'enlisement des pourparlers de paix sur l'Ukraine, le président russe Vladimir Poutine ayant répété que Moscou parachèvera la conquête du Donbass par la force si l'armée ukrainienne ne s'en retire pas.
Le Brent progresse de 0,38% à 62,91 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) gagne 0,51% à 59,25 dollars .
PRINCIPAUX INDICATEURS ÉCONOMIQUES À L'AGENDA DU 4 DÉCEMBRE :
PAYS | GMT | INDICATEUR | PÉRIODE | CONSENSUS | PRÉCÉDENT |
|---|---|---|---|---|---|
USA | 13h30 | Inscriptions hebdo. au chômage | sem au 29 nov. | 220.000 | 216.000 |
USA | 15h00 | Commandes à l'industrie | septembre | +0,5% | +1,4% |
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