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ROYAUME-UNI BRC Like-For-Like Retail Sales YoY (ventes au détail à l'identique) (Novembre)--
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Australie Taux directeur O/N (emprunts)--
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Relevé des taux d'intérêt de la RBA
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Mexique Inflation à 12 mois (CPI) (Novembre)--
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U.S. JOLTS Offres d'emploi (SA) (Octobre)--
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Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
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Corée du Sud Taux de chômage (SA) (Novembre)--
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Japon Indice Reuters Tankan des entreprises non manufacturières (Décembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales MoM (Novembre)--
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Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales en glissement annuel (Novembre)--
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Italie Production industrielle YoY (SA) (Octobre)--
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Bon marché et service automatisé: la start-up allemande LAP Coffee, soutenue par de gros investisseurs, s'impose avec ses devantures bleu électrique dans Berlin. Un modèle qui inquiète les cafés indépendants et a fait naître un mouvement de contestation teinté de vandalisme.
Dans le quartier bobo huppé de Prenzlauer Berg, le menu affiché à l'extérieur est sans appel: 2,50 euros pour un cappuccino, 1,50 euro pour un espresso, et 3 euros pour un latte. C'est environ un euro moins cher que chez les concurrents du voisinage.
Fort de ces tarifs, malgré l'explosion du prix du café (+21,3% sur un an), le groupe est passé d'un site en 2023 à Berlin, à seize aujourd'hui. Et huit autres à Hambourg et Munich.
A l'intérieur, la déco est minimaliste. De jeunes clients se prennent en selfie devant de larges miroirs. Ca et là, quelques chaises mais l'aménagement n'incite pas à s'installer, on repart plutôt avec l'emblématique tasse bleue entre les doigts.
Derrière le comptoir, une barista lance le processus largement automatisé en touchant, sur un écran tactile, le logo de la boisson choisie. La machine se déclenche, verse le liquide. Il n'y a ni moulin, ni porte-filtre percolateur, ni tasseur.
- Bon prix vs cerise pourrie -
"Ça va très vite!", se réjouit Artur Kluge, un étudiant de 22 ans, attiré par les tarifs abordables.
Il juge le "goût correct", mais surtout, "3 euros, c'est en tout cas un bon prix pour un grand café".
Pourtant, en octobre, plusieurs devantures sont vandalisées à la peinture rouge.
Dans les rues, des affiches proclament que l'extension "agressive" de cette chaîne est la "cerise pourrie sur le gâteau d'une gentrification qui a déjà chassé trop de gens et de petits commerces de nos quartiers" .
A quelques minutes à pied d'un LAP Coffee, Umut Ekinci, patron du Auntie's Café, juge qu'il sera en "danger" si d'autres échoppes ouvraient à proximité.
La chaîne représente une petite révolution à Prenzlauer Berg, un quartier jamais conquis par les Starbucks et autres McDo, mais qui compte à lui seul six LAP.
"Là-bas, il suffit d'appuyer sur un bouton, de servir le café, dire au revoir et c'est tout", sermonne M. Ekinci. "Vu les prix, je pense que la plupart des clients sont satisfaits. Mais cela détruit les autres."
LAP, acronyme de "Life Among People" ("la vie parmi les gens"), se défend de tout dumping, affirmant que la chaîne est profitable grâce aux technologies employées.
Le cofondateur Ralph Hage, un ancien de Red Bull et de la banque Standard Chartered, assure à l'AFP que le secteur n'avait connu que "peu d'innovations depuis trente ans".
"Si nous pouvons proposer des prix justes (...) c'est tout simplement en rendant le processus plus efficace", souligne le patron.
Quant aux actes de vandalisme, il pointe un "petit groupe" de mécontents.
Il considère aussi sa société comme "une entreprise locale", et non comme l'émanation d'investisseurs carnassiers.
- Gros investisseurs -
Mario, militant au sein d'un collectif opposé à la chaîne et qui préfère rester anonyme, peste.
Pour lui, ce succès est surtout dû aux sociétés de capital-risque et capital-investissements dont les millions permettent à LAP de se développer à grande vitesse, prenant à la gorge les indépendants.
La start-up dispose d'investisseurs tel que Insight Partners, entreprise investie dans le numérique, la défense et l'intelligence artificielle. Ou encore HV Capital dont le portefeuille inclut le transporteur Flixbus, le géant de la mode Zalando et le droniste Quantum Systems.
"Il devient de plus en plus difficile pour les petites structures indépendantes, qui ne sont pas équipées pour réaliser des profits rapides, de trouver des locaux lorsque ces grandes chaînes, qui peuvent probablement payer un loyer illimité, se développent", dénonce Mario auprès de l'AFP.
Les flyers affichés dans le quartier martèlent cet argumentaire, dénonçant "de gros investisseurs impliqués dans le développement de drones militaires et de systèmes d'armes basés sur l'IA".
Si la "tendance se poursuit", redoute Mario, "nous n'aurons bientôt plus dans le centre-ville que des chaînes soutenues par de grands fonds et des restaurants de luxe".
par Paolo Laudani
De nombreux changements ont eu lieu parmi les directeurs généraux au cours des 18 derniers mois, et l'annonce par Walmart que son directeur général Doug McMillon prendra sa retraite en janvier n'est que la dernière en date.
Les performances de ces entreprises ont été variables, mais celles de Walmart ont été parmi les plus fortes.
Une analyse Reuters des entreprises qui ont changé de direction au cours des 18 derniers mois, notamment Nestlé et Starbucks , montre quelles sont celles qui ont réalisé les meilleurs résultats sous le mandat de leurs directeurs généraux.
En termes totaux annualisés, la société qui a offert les meilleurs rendements à ses actionnaires est Pandora .
Sous la direction d'Alexander Lacik, aux commandes depuis février 2019, la marque de bijoux danoise a affiché des rendements totaux annualisés de 17%, calculés depuis la veille de l'entrée en fonction du directeur général jusqu'au 14 novembre 2025.
En septembre , la société a annoncé que Lacik prendrait sa retraite en mars prochain et que Berta de Pablos-Barbier, responsable du marketing, lui succéderait.
Walmart arrive en deuxième position sur la liste. Son rendement total annualisé s'est élevé à 15 % au cours de la décennie écoulée depuis janvier 2014 sous la direction de McMillon.
Le directeur général, qui sera remplacé par le chef de la division américaine John Furner, a rejoint l'entreprise en janvier 2014 .
La marque allemande de vêtements de sport Puma , qui, sous la direction d'Arne Freundt, a enregistré un rendement total annualisé négatif de 36,6 %, est à la traîne dans ce tableau de bord des directeurs généraux. Il a été remplacé en avril par l'ancien directeur des ventes d'Adidas , Arthur Hoeld.
Si l'on considère le rendement total, le groupe de luxe français Kering remporte la palme, car il a généré un rendement total de 520 % pour ses actionnaires au cours des 20 dernières années, avec François-Henri Pinault à la tête de l'entreprise entre mars 2005 et septembre de cette année .
Walmart arrive en deuxième position avec 419 %, tandis que le groupe de boissons Diageo , Nike et le fabricant de KitKat, Nestlé, figurent parmi les plus mauvais élèves.
Voici les principaux articles parus dans les pages économiques du New York Times. Reuters n'a pas vérifié ces articles et ne garantit pas leur exactitude.
- Un rapport des services de renseignement du Pentagone indique que la Chine pourrait essayer d'acquérir la technologie avancée des F-35 (link) en Arabie saoudite si l'administration Trump vend des avions à réaction au royaume.
- L'administration Trump prépare de larges exemptions (link) à certains droits de douane afin d'atténuer la hausse des prix des denrées alimentaires qui a provoqué l'inquiétude des consommateurs américains.
- Les travailleurs de Boeing dans la région de St. Louis ont approuvé un nouveau contrat (link), mettant fin à une grève qui a commencé il y a plus de trois mois.
- Plus de 1 000 travailleurs de Starbucks dans environ 65 magasins à travers les États-Unis ont rejoint une grève (link) lors de la "Journée de la tasse rouge"
La Bourse de New York a reculé jeudi, les questionnements autour des dépenses liées à l'intelligence artificielle (IA) plombant les valeurs technologiques, tandis que les investisseurs ont réévalué aussi en baisse leurs anticipations de nouvelles diminutions des taux de la banque centrale américaine (Fed).
Au lendemain d'un record en clôture, le Dow Jones a perdu 1,65%. L'indice Nasdaq s'est replié de 2,29% et l'indice élargi S&P 500 a cédé 1,65%.
Après 43 jours de "shutdown", le déblocage budgétaire aux Etats-Unis "est devenu un événement où l'on achète la rumeur et vend la nouvelle", c'est-à-dire qu'il avait déjà été intégré dans les cours ces derniers jours, a estimé Jose Torres, analyste d'Interactive Brokers.
Selon lui, "les investisseurs concentrent désormais leur attention sur les valorisations élevées des valeurs technologiques et sur une série de déclarations prudentes de la part des représentants de la Fed".
Comme plus tôt dans la semaine, les "Sept Magnifiques", surnom donné aux grands noms de la tech, ont fini majoritairement à la peine, à l'instar de Nvidia (-3,58%), Tesla (-6,64%) ou Alphabet (-2,89%).
Des doutes émergent parmi certains acteurs du marché "concernant la possibilité que les importantes dépenses d'investissement dans l'IA se traduisent par des rendements élevés", a souligné Jose Torres.
La compétition féroce pour le développement de l'IA générative a conduit les géants du secteur à multiplier leurs dépenses d'investissement, à coups de dizaines voire centaines de milliards de dollars.
En parallèle, les investisseurs craignent de plus en plus que la banque centrale américaine ne suspende sa politique de détente monétaire.
La présidente de la Fed de Boston Susan Collins, qui vote cette année sur les taux directeurs, a affirmé mercredi que "la barre (était) plutôt haute" pour envisager une nouvelle détente des taux à court terme, en ajoutant qu'elle voudrait d'abord s'assurer que l'inflation décélère "durablement".
Et jeudi, selon l'agence Bloomberg, un de ses collègues, Alberto Musalem, a exprimé un avis similaire, estimant que "la marge de manoeuvre pour un nouvel assouplissement est limitée sans que la politique monétaire ne devienne trop accommodante".
Ces propos ont eu un fort impact chez les acteurs du marché, qui sont actuellement partagés quant à une nouvelle réduction des taux de la Fed en décembre, selon l'outil de veille CME FedWatch. Ils étaient pourtant plus confiants la veille.
Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain s'inscrivait autour de 4,12% vers 21H25 GMT contre 4,07% la veille.
Côté entreprises, Disney (-7,75% à 107,61 dollars) a été plombé par ses résultats du quatrième trimestre de son exercice comptable décalé.
Son chiffre d'affaires totalise 22,5 milliards de dollars (-0,5%), quand le marché attendait 22,8 milliards, un repli explicable notamment par les performances en demi-teinte des films des studios du groupe.
Le spécialiste des équipements de télécommunications Cisco (+4,62% à 77,38 dollars) a lui profité de ses performances financières, jugées encourageantes par les investisseurs.
Le géant américain du café Starbucks (-0,94% à 86,44 dollars) a cédé un peu de terrain, alors que des employés syndicalisés ont lancé jeudi une grève d'une durée indéterminée à travers les Etats-Unis.
Les entreprises américaines de tous les secteurs intensifient les suppressions d'emplois, prolongeant une tendance de réduction des effectifs qui se poursuit depuis 2024, car elles donnent la priorité à la réduction des coûts et à la rationalisation des opérations dans un environnement économique difficile.
Se joignant à cette liste, Verizon prévoit de supprimer environ 15 000 emplois , selon une source proche du dossier .
Voici quelques-unes des entreprises qui ont annoncé des suppressions d'emplois jusqu'à présent en 2025:
* ConocoPhillips licencie des employés dans ses opérations canadiennes, selon trois sources et une note de service de la société examinée par Reuters.
** La société Paramount Skydance va entamer une importante série de licenciements avec environ 1.000 suppressions d'emplois, a déclaré à Reuters une source au fait de l'affaire.
*** La société UnitedHealth a offert aux employés de son unité de gestion des avantages sociaux la possibilité d'accepter des rachats en février et pourrait procéder à des licenciements si le quota de démissions n'est pas atteint, selon un rapport de CNBC.
**** Les licenciements chez Morgan Stanley visent à améliorer l'efficacité opérationnelle et ne sont pas liés aux conditions actuelles du marché, a déclaré à Reuters une personne au fait du dossier.
La Bourse de New York évoluait en baisse jeudi, alors que les investisseurs assimilent la résolution de la plus longue paralysie budgétaire de l'histoire des Etats-Unis, qui avait notamment suspendu la publication de statistiques économiques clés.
Vers 14H50 GMT, le Dow Jones perdait 0,20% au lendemain d'un record en clôture. L'indice Nasdaq reculait de 1,31% et l'indice élargi S&P 500 lâchait 0,74%.
La loi mettant fin au blocage budgétaire ("shutdown") de plus de 40 jours - un record historique - a été promulgué mecredi par le président américain Donald Trump.
Depuis le 1er octobre, plus d'un million de fonctionnaires n'étaient pas payés. Le versement de certaines aides a été fortement perturbé, de même que la publication de données économiques officielles essentielles pour prendre le pouls de l'économie américaine.
"La fin du +shutdown+ est une bonne nouvelle", mais les investisseurs vont désormais "se concentrer sur toutes les données économiques à venir pour tenter de tirer des conclusions" quant au futur de la politique monétaire américaine, commente auprès de l'AFP Sam Stovall, de CFRA.
"La plupart des données prendront un certain temps à être publiées, si tant est qu'elles le soient", préviennent toutefois les analystes de Briefing.com.
La place américaine va aussi surveiller avec attention les prochaines interventions des gouverneurs de la banque centrale américaine (Fed).
"Les attentes concernant un nouvel assouplissement monétaire de la part de la Fed s'estompent déjà", avancent les analystes de Briefing.com.
Dans un texte transmis à la presse, l'une des responsables de la banque centrale, Susan Collins, a déclaré qu'en "l'absence de signes d'une détérioration notable du marché du travail, (elle) hésiterai(t) à assouplir davantage la politique monétaire."
Des propos qui s'ajoutent à ceux du patron de la Fed, Jerome Powell, selon qui qu'une détente supplémentaire est "loin" d'être acquise à la prochaine réunion de l'institution.
Les acteurs du marché sont aujourd'hui partagés sur une nouvelle réduction des taux de la Fed en décembre, selon l'outil de veille CME FedWatch. Ils étaient pourtant quasi-unanimes un mois plus tôt.
Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain s'inscrivait à 4,10% vers contre 4,07%, la veille.
Côté entreprises, "nous assistons actuellement à une rotation classique", observe David Miller, de Catalyst Funds.
"Les investisseurs réalisent des bénéfices sur les valeurs technologiques à très forte capitalisation après une longue période de hausse (...) et réorientent leurs investissements vers des secteurs dont les valorisations sont plus raisonnables, notamment l'industrie, la finance, l'énergie et la santé", détaille l'analyste.
C'est la raison pour laquelle le recul du Nasdaq - indice à forte coloration technologique - est plus marqué que celui du Dow Jones, qui regroupe des entreprises et des industries plus traditionnelles.
Au tableau des valeurs, Disney a publié jeudi un chiffre d'affaires en légère baisse et inférieur aux prévisions des analystes pour le quatrième trimestre de son exercice comptable décalé, provoquant un net repli du titre (-8,35% à 106,91 dollars).
Le chiffre d'affaires se monte à 22,5 milliards de dollars (-0,5%), selon un communiqué, quand le marché attendait 22,8 milliards, un repli explicable notamment par les performances en demi-teinte des films des studios du groupe.
Le spécialiste des équipements de télécommunications Cisco était recherché (+4,27% à 77,12 dollars) après la publication de ses résultats trimestriels, considérés par les investisseurs comme encourageants.
Le géant américain du café Starbucks évoluait dans le rouge (-0,65% à 86,69 dollars) alors que du personnel syndicalisé a lancé jeudi une grève reconductible à travers les Etats-Unis.
** Les actions des chaînes de cafés américaines grimpent après que le secrétaire au Trésor américain Scott Bessent a annoncé une réduction des droits de douane sur le café
** Starbucks en hausse d'environ 3 % à 88,95 $, Dutch Bros en hausse de 5,3 % à 59,01 $
** Scott Bessent a déclaré que les Américains verraient dans les prochains jours des "annonces substantielles" visant à réduire les prix de produits tels que le café, les bananes et d'autres articles qui ne sont pas cultivés aux États-Unis.
** SBUX a déclaré à la fin du mois que ses marges ont été affectées par la hausse des coûts des grains de café
** Les prix mondiaux des grains d'arabica bruts ont augmenté de plus d'un cinquième cette année, après une hausse de 70 % en 2024, en raison de problèmes d'approvisionnement dus aux droits de douane de 50 % imposés par le président Donald Trump au Brésil, principal producteur, ainsi que de problèmes climatiques
** Jusqu'à la dernière clôture, les actions de Starbucks ont baissé de 3,5 % depuis le début de l'année; Dutch Bros a augmenté de 12 % depuis le début de l'année
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