Facteurs fondamentaux clés :

Politique commerciale des États-Unis :

Le président Trump exempte temporairement les constructeurs automobiles du Mexique et du Canada des droits de douane pendant un mois.

Il envisage également de supprimer les droits de douane sur certains produits agricoles des deux pays.

Données économiques australiennes :

L'excédent commercial a augmenté à 5 620 millions en janvier (plus que prévu).

Les exportations ont augmenté de 1,3 %, atteignant leur plus haut niveau depuis 11 mois, tandis que les importations ont diminué de 0,3 %.

Les permis de construire ont bondi de 6,3 %, marquant ainsi leur deuxième mois de croissance.

La croissance du PIB au quatrième trimestre 2024 a été de 0,6 % (plus élevée que prévu).

Facteurs économiques américains :

Le dollar américain (DXY) est à 104,30, en difficulté en raison des inquiétudes concernant le ralentissement de la croissance.

Ralentissement du marché de l'emploi américain : ADP a fait état de 77 000 nouveaux emplois en février (bien en dessous des 140 000 prévus).

Les traders attendent le rapport sur les salaires non agricoles (NFP) de vendredi, montrant des gains de 160 000 emplois.

L'indice PMI manufacturier américain est tombé à 50,3 (légèrement en dessous des attentes).

Impact économique de la Chine :

L'indice PMI des services chinois a augmenté à 51,4, signalant une activité économique stable.

La Chine a éliminé 530 milliards de dollars de créances douteuses et prévoit de donner la priorité à la reprise du secteur immobilier en 2025.

La Chine vise une croissance économique de 5 % d’ici 2025 tout en stabilisant les marchés boursiers et immobiliers.

Risques géopolitiques :

La Chine menace de réagir avec fermeté aux hausses de tarifs douaniers décidées par Trump, ce qui pourrait affecter le dollar australien en raison de la dépendance commerciale de l'Australie à l'égard de la Chine.

Le vice-gouverneur de la RBA, Andrew Hauser, prévient que l'incertitude du commerce mondial est à son plus haut niveau depuis 50 ans, ce qui pourrait avoir un impact sur la confiance des entreprises et des investissements.

Principaux points à retenir pour les traders :

L'AUDUSD montre une dynamique haussière à court terme mais fait face à une résistance proche de 0,6380 et 0,6408.

Le dollar américain reste sous pression, mais les données économiques (rapport NFP) pourraient modifier le sentiment.

Gardez un œil sur les politiques commerciales de la Chine et les tarifs douaniers américains, car ils pourraient influencer la force de l'AUD.

AUDUSD – Période D1

Le prix a récemment franchi les plus bas précédents sur le graphique journalier de l'AUDUSD, suivi d'un rapide retracement. Le retracement a maintenant atteint la zone d'approvisionnement et devrait bientôt subir une pression baissière. Jetons cependant un œil à l'évolution des prix sur le graphique de l'échelle de temps inférieure.

AUDUSD – Période H4

L'évolution des prix sur le graphique de l'AUDUSD sur une période de 4 heures correspond parfaitement au sentiment baissier déjà décrit ci-dessus. En plus de la zone d'approvisionnement se produisant au niveau de retracement de Fibonacci à 88 %, il existe également une confluence du modèle SBR, comme le montre le graphique de l'intervalle de temps de 4 heures ci-dessus.

Attentes des analystes :

Direction : baissière

Invalidation - 0,64109

Objectif - 0,62313

Source : ACTIONFOREX

L'euro a dépassé jeudi le niveau de 1,08 et a atteint son plus haut niveau en quatre mois après la décision largement attendue de la BCE de réduire ses taux d'intérêt de 25 pb à 2,5%, sa sixième baisse de taux depuis juin.

La banque centrale a déclaré que la politique monétaire devenait sensiblement moins restrictive et a laissé la porte ouverte à un nouvel assouplissement, répétant sa phrase habituelle selon laquelle les actions futures dépendront des données économiques à venir.

La monnaie unique maintient une forte accélération haussière pour le quatrième jour consécutif, soutenue par l'affaiblissement du dollar et le facteur le plus significatif, signalant que le prochain gouvernement allemand va créer un fonds de 500 milliards d'euros pour stimuler l'armée et relancer la croissance économique de la plus grande économie de l'UE, qui est en récession pour la deuxième année.

Le dernier rallye brutal (l'EUR/USD est en passe de réaliser le plus gros gain hebdomadaire depuis la troisième semaine de mars 2020) a considérablement amélioré la situation technique sur le graphique journalier. Cependant, un élan trop tendu et des indicateurs stochastiques suggèrent que les haussiers pourraient commencer à perdre du terrain, ce qui entraînerait une prise de bénéfices partielle.

Les perspectives à court terme devraient rester positives, car l'action est soutenue par des fondamentaux fortement favorables et des études techniques haussières, avec un scénario probable de baisses limitées (idéalement contenues par 200DMA / Fibo cassé 50%) pour offrir de meilleurs niveaux pour rejoindre le marché haussier pour une extension vers 1,0872 (200WMA) et 1,0969/1,1000 cibles (Fibo 76,4% de 1,1214/1,0177 / psychologique) en extension.

Rés : 1,0853 ; 1,0872 ; 1,0900 ; 1,0969
Sup : 1,0800 ; 1,0725 ; 1,0695 ; 1,0630

Source : ACTIONFOREX

Le dollar australien s'affaiblit tandis que le dollar américain reste ferme avant la publication des emplois non agricoles de vendredi.

L'AUD pourrait trouver du soutien après que Trump ait exempté les produits mexicains et canadiens dans le cadre de l'AEUMC de ses tarifs douaniers de 25 % proposés.

Le NFP américain devrait augmenter à 160 000 en février, contre 143 000 en janvier, chiffre plus faible.

Le dollar australien (AUD) reste faible face au dollar américain (USD) pour la deuxième journée consécutive vendredi. La paire AUD/USD fait face à des vents contraires modestes alors que l'USD se stabilise avant le prochain rapport sur les emplois non agricoles (NFP) lors de la session nord-américaine.

La Banque de réserve d'Australie (RBA) maintient ses prévisions de croissance économique qui devrait ralentir vers 2 % d'ici 2025. Bien que sa position ait précédemment renforcé la force de l'AUD, les investisseurs restent prudents quant aux changements de politique potentiels en réponse à l'inflation et à la dynamique du marché du travail.

Le dollar australien pourrait être soutenu par l'apaisement des inquiétudes après que le président américain Donald Trump a de nouveau modifié sa position sur les tarifs douaniers. Trump a exempté les produits mexicains et canadiens couverts par l'AEUMC de ses tarifs douaniers proposés de 25 %.

Le dollar australien a connu des difficultés malgré des données du PIB australien plus fortes que prévu dans un contexte d'incertitudes liées à la politique commerciale et de préoccupations économiques plus larges. Au quatrième trimestre 2024, le PIB australien a augmenté de 0,6 % en glissement trimestriel, dépassant l'expansion de 0,3 % du troisième trimestre et dépassant les attentes du marché de 0,5 %. Sur une base annuelle, le PIB a grimpé à 1,3 % au quatrième trimestre, contre 0,8 % au trimestre précédent.

En attendant, les tensions géopolitiques demeurent un risque de baisse. Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a averti mercredi soir que la Chine était prête à s'engager dans « n'importe quel type » de guerre en réponse à l'escalade des tarifs douaniers de Trump, selon la BBC. Étant donné le statut de la Chine en tant que premier partenaire commercial de l'Australie, cette évolution pourrait peser sur le dollar australien.

Le dollar australien baisse tandis que le dollar américain se stabilise avant la publication des emplois non agricoles

L'indice du dollar américain (DXY), qui mesure le dollar par rapport à six devises majeures, se négocie autour de 104,10 au moment de la rédaction de cet article. Le billet vert subit une pression à la baisse en raison des inquiétudes concernant le ralentissement de l'économie américaine.

Les opérateurs suivent désormais de près le rapport NFP (Nonfarm Payrolls) de vendredi aux Etats-Unis, qui devrait faire état d'un modeste rebond de la croissance de l'emploi. Les projections suggèrent que les créations nettes d'emplois atteindront 160 000 en février, contre 143 000 en janvier.

Les demandes initiales d'allocations chômage aux Etats-Unis pour la semaine se terminant le 1er mars ont chuté à 221 000, contre 242 000 la semaine précédente, selon le ministère américain du Travail (DOL) jeudi. Ce chiffre est inférieur au consensus du marché de 235 000. L'évolution de l'emploi ADP pour février n'a fait état que de 77 000 nouveaux emplois, ce qui est nettement inférieur aux 140 000 prévus et bien en deçà des 186 000 de janvier.

Le président de la Fed d'Atlanta, Raphael Bostic, a déclaré jeudi soir que l'économie américaine était en pleine mutation et qu'il était difficile de savoir où les choses allaient se situer. Bostic a également souligné plus tard que la Fed restait déterminée à ramener l'inflation à 2 % tout en s'efforçant de minimiser les perturbations sur le marché du travail. Il a également souligné que le sentiment des entreprises joue un rôle clé dans son approche de la fixation des taux d'intérêt.

Le Livre beige de mars publié par la Réserve fédérale (Fed) revêt une importance accrue à l'heure où les inquiétudes grandissent quant à l'impact économique des mesures commerciales du président Trump. Des signes de tension apparaissent au sein de l'économie américaine, avant même la mise en œuvre complète de ses mesures commerciales.

L'excédent commercial de l'Australie a atteint 5 620 millions en janvier, dépassant les 5 500 millions attendus et s'améliorant par rapport aux 4 924 millions précédents (révisé de 5 085 millions). Les exportations ont augmenté de 1,3 % en glissement mensuel par rapport au mois précédent, atteignant un sommet de 11 mois grâce à l'or non monétaire. Dans le même temps, les importations ont diminué de 0,3 % en glissement mensuel, après une forte hausse de 5,9 % le mois précédent, selon le Bureau australien des statistiques.

En Australie, les permis de construire ont augmenté de 6,3 % en glissement mensuel en janvier, une hausse significative par rapport à la croissance de 1,7 % en décembre, révisée à la hausse. Il s'agit du deuxième mois consécutif d'expansion et du rythme le plus rapide depuis juillet dernier.

L'indice composite des directeurs d'achat (PMI) de la Banque Judo a reculé à 50,6 en février contre 51,1 en janvier, marquant le cinquième mois consécutif de croissance de l'activité économique, bien qu'à un rythme plus lent. L'indice PMI des services a également reculé à 50,8 contre 51,2, reflétant une expansion continue pour le treizième mois consécutif, bien qu'à un rythme modéré.

Andrew Hauser, vice-gouverneur de la Banque centrale d'Australie (RBA), a souligné que l'incertitude liée au commerce mondial n'avait jamais été aussi élevée depuis 50 ans. Il a averti que l'incertitude découlant des tarifs douaniers imposés par le président américain Donald Trump pourrait inciter les entreprises et les ménages à retarder leurs projets et leurs investissements, ce qui pourrait peser sur la croissance économique.

La Chine a éliminé un record de 3.800 milliards de yuans (530 milliards de dollars) d'actifs douteux en 2024, alors que les autorités ont intensifié leurs efforts pour lutter contre les risques financiers, selon le régulateur financier du pays. À l'horizon 2025, les régulateurs font du marché immobilier une priorité absolue, signalant des efforts continus pour stabiliser l'économie et rétablir la confiance dans un secteur immobilier en difficulté.

Le dollar australien teste la limite inférieure du canal ascendant près de 0,6300

L'AUD/USD évolue à près de 0,6320 vendredi, l' analyse technique du graphique journalier montrant que la paire est confinée dans un nouveau modèle de canal ascendant, indiquant un biais haussier. L'indice de force relative (RSI) sur 14 jours reste supérieur à 50, ce qui renforce encore les perspectives haussières .

A la hausse, la première résistance apparaît au plus haut de trois mois de 0,6408, enregistré le 21 février, suivi de la limite supérieure du canal ascendant à 0,6440.

Le support immédiat de l'AUD/USD se situe à la moyenne mobile exponentielle (EMA) sur 50 jours de 0,6309, qui s'aligne sur la limite inférieure du canal ascendant. Un support supplémentaire est observé à l'EMA sur neuf jours de 0,6299. Une cassure en dessous de cette zone de support clé pourrait déclencher de nouvelles baisses, retestant potentiellement le plus bas de quatre semaines de 0,6187, enregistré le 5 mars.

AUD/USD : graphique journalier

Prix ​​du dollar australien aujourd'hui

Le tableau ci-dessous montre la variation en pourcentage du dollar australien (AUD) par rapport aux principales devises cotées aujourd'hui. Le dollar australien a été le plus faible par rapport au dollar canadien.

La carte thermique montre les variations en pourcentage des principales devises les unes par rapport aux autres. La devise de base est sélectionnée dans la colonne de gauche, tandis que la devise de cotation est sélectionnée dans la ligne supérieure. Par exemple, si vous sélectionnez le dollar australien dans la colonne de gauche et que vous vous déplacez le long de la ligne horizontale jusqu'au dollar américain, la variation en pourcentage affichée dans la case représentera AUD (base)/USD (cotation).

Source : FXSTREET

Principaux facteurs de la faiblesse du NZD

Perspectives et prévisions

Source : Poundsterlinglive

Les marchés financiers européens ont fortement progressé et les coûts d'emprunt allemands ont grimpé en flèche après que les futurs dirigeants du pays ont annoncé un accord historique visant à assouplir la règle du « frein à l'endettement » afin de stimuler les dépenses de défense.

Le rendement – ​​en fait le taux d’intérêt – des obligations d’État allemandes à 30 ans a augmenté d’environ 25 points de base pour atteindre 3,08 %, soit sa plus forte hausse quotidienne depuis octobre 1998.

L'indice Dax 30, qui suit les plus grandes entreprises allemandes, a progressé de 3,6%, porté par les valeurs industrielles. Les cours des actions ont également bondi à Londres, Paris et Milan, les investisseurs espérant qu'une augmentation massive des dépenses européennes en matière de défense et d'infrastructures permettrait de relancer l'économie de la région.

Les actions de défense ont fortement augmenté ces dernières semaines, alors que les dirigeants mondiaux s'efforcent de réunir le financement nécessaire à une augmentation considérable des dépenses militaires, dans un contexte d'inquiétudes croissantes concernant l'engagement de Donald Trump en faveur de la sécurité européenne.

L'UE a présenté mardi un plan visant à débloquer près de 800 milliards d'euros (670 milliards de livres sterling) pour les dépenses de défense, tandis que le gouvernement britannique a déclaré la semaine dernière qu'il augmenterait ses dépenses de 2,3 % du PIB à 2,5 % d'ici 2027, soit deux ans plus tôt que prévu, soit 6 milliards de livres sterling supplémentaires par an.

L'action du constructeur automobile et d'armement allemand Rheinmetall a progressé de 7,2% mercredi, soit une hausse de 99% depuis le début de l'année. Le britannique BAE Systems a progressé de 41% depuis le début de l'année, l'italien Leonardo de 73% et Thales, coté à Paris, de 78%.

L'euro a progressé de 1,5% face au dollar américain, à environ 1,08 euro. La livre sterling a également progressé face au dollar, dans un contexte de mouvements spectaculaires sur les marchés, les investisseurs ayant également réagi aux propos du secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, suggérant qu'un accord pourrait « probablement » être conclu pour apaiser la guerre commerciale de Trump avec le Canada et le Mexique.

Certains analystes estiment que le dollar risque de perdre son statut de « valeur refuge » auprès des investisseurs internationaux, alors que les guerres commerciales de Trump ébranlent la première économie mondiale. « La vitesse et l'ampleur des changements mondiaux sont si rapides qu'il faut envisager cette possibilité », a déclaré George Saravelos, responsable mondial de la recherche sur les devises chez Deutsche Bank.

Dans un changement radical de politique économique après des années de respect de règles strictes sur la dette publique, le futur chancelier allemand, Friedrich Merz, a déclaré mardi que les dépenses de défense supérieures à 1% du PIB seraient exemptées de la règle de la dette du pays.

Le plan, approuvé par les sociaux-démocrates de centre-gauche, qui devraient former une coalition avec l'Union chrétienne-démocrate (CDU) de Merz, prévoit également la création d'un fonds de 500 milliards d'euros pour financer les dépenses d'infrastructures du pays au cours des dix prochaines années. Toute levée du frein à l'endettement doit recueillir une majorité des deux tiers au Bundestag.

Les plus grandes entreprises allemandes de construction et d'ingénierie ont enregistré mercredi de fortes hausses de leurs actions. Le cimentier Heidelberg Materials a bondi de 17%, le groupe de services industriels Bilfinger de 18% et le groupe de construction Hochtief de 15,5%. Le groupe d'ingénierie et d'acier ThyssenKrupp a progressé de 13,4%.

Reprenant les propos de Mario Draghi, l'ancien président de la Banque centrale européenne pendant la crise de la dette de la zone euro, Merz a déclaré que l'Allemagne ferait « tout ce qu'il faut » en matière de défense. Sous la pression d'une augmentation des dépenses de défense de 2,1 % du PIB l'an dernier, les analystes de Morgan Stanley estiment que le montant total du plan allemand pourrait atteindre plus de 1 000 milliards d'euros.

Holger Schmieding, économiste en chef de la banque Berenberg, a déclaré que ce plan équivalait à un « très gros bazooka » susceptible de transformer la plus grande économie européenne. « Il s'agit d'un changement budgétaire radical pour l'Allemagne », a-t-il déclaré.

« L’augmentation des dépenses de défense envoie un signal clair à Vladimir Poutine et à Donald Trump ainsi qu’aux amis européens de l’Allemagne, selon lequel l’Allemagne prend au sérieux sa défense et son aide à l’Ukraine. »

Décrit comme « l’un des changements de paradigme les plus historiques de l’histoire allemande d’après-guerre » par les économistes de la Deutsche Bank, l’accord mettra effectivement de côté le frein à l’endettement constitutionnel, ou schuldenbremse, pour les dépenses de défense.

Introduite en 2009 par Angela Merkel après la crise financière, cette règle, qui limite souvent l'emprunt fédéral annuel à 0,35 % du PIB, était symbolique de l'approche stricte de l'Allemagne en matière de politique fiscale et de dépenses.

Les analystes de la ville ont déclaré que la mise à l'écart de cette règle changerait la donne pour l'économie du pays dans un contexte de grands défis liés à l'effondrement de la production industrielle, affaiblie par la faiblesse de la demande et la concurrence des fabricants chinois de véhicules électriques.

« L’Allemagne était confrontée à une trajectoire de croissance potentielle se dirigeant vers zéro dans les années à venir. [Le coup de pouce dans la défense et les infrastructures] propulse les perspectives de croissance vers 1,5-2 % à partir de 2027 », ont écrit les analystes de Bank of America dans une note adressée à leurs clients.

Le plan de relance, alimenté par la dette, a un coût, qui se traduit par une hausse du rendement des obligations à 10 ans à près de 2,7 %. Cependant, les coûts d’emprunt allemands restent nettement inférieurs à ceux des États-Unis et du Royaume-Uni, où les rendements ont atteint plus de 4 %.

Source : Theguardian

« Vous savez ce que cela signifie pour le BTC… »

Graphique sur 1 jour de l'indice du dollar américain (DXY). Source : Cointelegraph/TradingView

« Le 25 mars est la date approximative. »

Graphique sur les actifs à risque par rapport à la masse monétaire mondiale M2. Source : Colin Talks Crypto/X

Les dernières données du service de prédiction Kalshi donnent 71 % de chances d'une réserve de Bitcoin cette année, soit la probabilité la plus élevée jamais atteinte.

Source : Kalshi

Source : Cointelegraph