Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent












Comptes de Signaux pour Membres
Tous les Comptes de Signaux
All Contests



France (Nord) Balance commerciale (SA) (Octobre)A:--
F: --
Zone Euro Emploi en glissement annuel (SA) (Troisième trimestre)A:--
F: --
Canada Emploi à temps partiel (SA) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Canada Taux de chômage (SA) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Canada Emploi à temps plein (SA) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Canada Taux de participation à l'emploi (SA) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Canada Emploi (SA) (Novembre)A:--
F: --
P: --
U.S. Indice des prix PCE MoM (Septembre)A:--
F: --
P: --
U.S. Revenu personnel MoM (Septembre)A:--
F: --
P: --
U.S. Indice des prix PCE de base MoM (Septembre)A:--
F: --
P: --
U.S. Indice des prix PCE YoY (SA) (Septembre)A:--
F: --
P: --
U.S. Indice des prix PCE de base YoY (Septembre)A:--
F: --
P: --
U.S. Dépenses personnelles MoM (SA) (Septembre)A:--
F: --
U.S. Prévisions d'inflation à 5-10 ans (Décembre)A:--
F: --
P: --
U.S. Dépenses réelles de consommation personnelle MoM (Septembre)A:--
F: --
U.S. Total hebdomadaire des foragesA:--
F: --
P: --
U.S. Forage hebdomadaire de pétrole totalA:--
F: --
P: --
U.S. Crédit à la consommation (SA) (Octobre)A:--
F: --
Chine, Mainland Réserve de change (Novembre)A:--
F: --
P: --
Japon Balance commerciale (Octobre)A:--
F: --
P: --
Japon PIB nominal révisé QoQ (Troisième trimestre)A:--
F: --
P: --
Chine, Mainland Importations YoY (CNH) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Chine, Mainland Exportations (Novembre)A:--
F: --
P: --
Chine, Mainland Importations (CNH) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Chine, Mainland Balance commerciale (CNH) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Chine, Mainland Exportations YoY (USD) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Chine, Mainland Importations en glissement annuel (USD) (Novembre)A:--
F: --
P: --
Allemagne Production industrielle MoM (SA) (Octobre)A:--
F: --
Zone Euro Indice de confiance des investisseurs Sentix (Décembre)A:--
F: --
P: --
Canada Indice national de confiance économiqueA:--
F: --
P: --
ROYAUME-UNI BRC Like-For-Like Retail Sales YoY (ventes au détail à l'identique) (Novembre)--
F: --
P: --
ROYAUME-UNI BRC Overall Retail Sales YoY (Ventes au détail globales) (Novembre)--
F: --
P: --
Australie Taux directeur O/N (emprunts)--
F: --
P: --
Relevé des taux d'intérêt de la RBA
Conférence de presse de la RBA
Allemagne Exportations en glissement mensuel (SA) (Octobre)--
F: --
P: --
U.S. NFIB Indice d'optimisme des petites entreprises (SA) (Novembre)--
F: --
P: --
Mexique Inflation à 12 mois (CPI) (Novembre)--
F: --
P: --
Mexique IPC de base en glissement annuel (Novembre)--
F: --
P: --
Mexique PPI YoY (Novembre)--
F: --
P: --
U.S. Weekly Redbook Commercial Retail Sales YoY (en anglais)--
F: --
P: --
U.S. JOLTS Offres d'emploi (SA) (Octobre)--
F: --
P: --
Chine, Mainland M1 Masse monétaire YoY (Novembre)--
F: --
P: --
Chine, Mainland M0 Masse monétaire YoY (Novembre)--
F: --
P: --
Chine, Mainland M2 Masse monétaire YoY (Novembre)--
F: --
P: --
U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année en cours (Décembre)--
F: --
P: --
U.S. Prévisions de la production de gaz naturel de l'EIA pour l'année prochaine (Décembre)--
F: --
P: --
U.S. Prévisions à court terme de la production de brut de l'EIA pour l'année prochaine (Décembre)--
F: --
P: --
Perspectives énergétiques mensuelles à court terme de l'EIA
U.S. Stocks hebdomadaires d'essence API--
F: --
P: --
U.S. Stocks hebdomadaires de pétrole brut API Cushing--
F: --
P: --
U.S. Stocks hebdomadaires de pétrole brut API--
F: --
P: --
U.S. Stocks hebdomadaires de pétrole raffiné API--
F: --
P: --
Corée du Sud Taux de chômage (SA) (Novembre)--
F: --
P: --
Japon Indice Reuters Tankan des entreprises non manufacturières (Décembre)--
F: --
P: --
Japon Indice manufacturier Reuters Tankan (Décembre)--
F: --
P: --
Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales MoM (Novembre)--
F: --
P: --
Japon Indice des prix des produits de base des entreprises nationales en glissement annuel (Novembre)--
F: --
P: --
Chine, Mainland PPI YoY (Novembre)--
F: --
P: --
Chine, Mainland IPC MoM (Novembre)--
F: --
P: --


Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat F&Q avec des Experts Filtres Calendrier économique Données OutilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
Les meilleurs chroniqueurs
Dernière mise à jour
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir

Pas de données
L’accord conclu est, dans l’ensemble, identique à celui rapporté par de nombreux médias au début de l’année dernière.
L'accord conclu reflète, dans les grandes lignes, celui rapporté par de nombreux médias en début de semaine dernière, les négociations ayant progressé sérieusement depuis lors.
En clair, cet accord bipartisan ouvrirait la voie à un ensemble de mesures législatives « 3+1 » : une résolution de financement provisoire pour les agences fédérales jusqu’au 30 janvier, ainsi que trois projets de loi de financement spécifiques pour le ministère de l’Agriculture, le ministère des Anciens Combattants et le fonctionnement du Congrès pour l’intégralité de l’exercice budgétaire en cours. En échange de leur vote, les démocrates ont obtenu de l’administration Trump la promesse de réembaucher les fonctionnaires fédéraux licenciés au début du blocage budgétaire le mois dernier, ainsi que celle d’un vote au Sénat sur la prolongation des crédits d’impôt Obamacare arrivant à échéance.
Cet accord a déjà franchi une étape procédurale importante au Sénat, la chambre haute ayant voté par 60 voix contre 40 en faveur de l'examen d'un projet de loi de financement provisoire adopté par la Chambre des représentants il y a plusieurs semaines. Par souci de simplicité, ce projet de loi sert de cadre à l'accord susmentionné, dont le texte sera désormais intégré à la loi de financement provisoire.
Bien que cette étape soit importante, de nombreux obstacles restent à franchir avant que le financement fédéral puisse être rétabli. Le Sénat doit tout d'abord procéder à un vote final sur le projet de loi de finances. Si ce vote est possible dès aujourd'hui, il pourrait être bloqué par le refus d'un seul sénateur de céder la parole. Quoi qu'il en soit, une fois le projet de loi approuvé par le Sénat, la Chambre des représentants devra également l'approuver. Cette procédure risque d'être longue, étant donné que les représentants sont toujours en déplacement depuis la mi-septembre et que les nombreuses perturbations du trafic aérien (conséquences du blocage budgétaire) compliquent leur retour à Washington.
Si le projet de loi susmentionné obtient finalement le nombre de voix requis dans les deux chambres du Congrès, l'attention des acteurs du marché se portera alors sur l'impact de la paralysie des services publics, tant celui qui s'est déjà produit que celui qui pourrait encore survenir.
Concernant l'impact déjà constaté, on estime généralement que chaque semaine de fermeture des services publics ampute la croissance du PIB américain d'environ 0,1 point de pourcentage au cours du trimestre concerné, la totalité de cette perte de production étant ensuite récupérée le mois suivant. Il est probable que le choc économique de la fermeture actuelle, du moins au cours de la dernière semaine, soit légèrement plus important, compte tenu de facteurs tels que l'augmentation du nombre de retards dans le trafic aérien.
Quant aux autres secteurs de l'économie, si la confiance des consommateurs a été fortement ébranlée par l'impasse à Washington, l'indice UMich ayant chuté à un niveau proche de ses plus bas historiques selon les premières estimations de novembre, cette baisse n'a toutefois que peu ou pas influencé les dépenses de consommation sur la majeure partie du cycle. De plus, l'accord susmentionné prévoyant le versement intégral des arriérés de salaire aux fonctionnaires fédéraux licenciés, un autre risque potentiel pour la consommation a été écarté.
Concernant le marché du travail, il est clair que le rapport sur l'emploi d'octobre (dont nous reparlerons plus loin) sera extrêmement complexe. Les licenciements de près de 700 000 fonctionnaires fédéraux suffiraient probablement à faire grimper le taux de chômage officiel (U-3) à environ 4,8 %, sans même prendre en compte les pertes d'emplois potentielles liées au manque de financement fédéral. Ce facteur pourrait également fausser le rapport sur l'emploi de novembre, selon la date précise de la reprise des activités gouvernementales, cette semaine servant de référence. Cela dit, à l'instar du retour à la normale de la production économique, on peut s'attendre à ce que la majorité de ces travailleurs réintègrent rapidement le marché du travail, voire immédiatement, une fois la paralysie des services publics levée.
En ce qui concerne les données économiques, même si le gouvernement rouvre bientôt ses portes, cela ne signifie pas que toutes les publications économiques retardées seront soudainement publiées comme par magie.
Concernant les données sur l'emploi, le BLS devrait pouvoir publier le rapport de septembre assez rapidement (seulement trois jours ouvrables après la fin de la paralysie administrative de 2013), les données ayant déjà été collectées et compilées. Le rapport d'octobre, en revanche, est une tout autre affaire. Aucune collecte de données n'ayant eu lieu pendant la paralysie administrative, le BLS, bien qu'envoyant les enquêtes habituelles dès la reprise des activités, demandera à la population de se remémorer la situation de l'emploi d'il y a environ quatre semaines, ce qui soulève naturellement des inquiétudes quant à la fiabilité des données. Il en va de même pour le rapport de novembre, dont les données doivent être collectées cette semaine et dont la publication pourrait également être retardée en fonction de la date de rétablissement des financements.
L'impact de la fermeture des services publics sur les autres indicateurs économiques risque d'être plus important et plus durable. Concernant l'inflation, par exemple, les données des indices des prix à la consommation (IPC) et des prix à la production (IPP), et par extension celles de l'indice des dépenses de consommation personnelle (PCE), sont collectées tout au long du mois, certaines données de prix pour l'IPC étant encore recueillies physiquement auprès de différents points de vente. Bien que le Bureau des statistiques du travail (BLS) puisse estimer les données manquantes, il est fort improbable qu'il choisisse cette voie. Cela accroît le risque que le BLS décide plutôt de ne pas publier les données de l'IPC pour octobre, et que le rapport de novembre ne soit jamais publié, selon la date exacte de la réouverture des services publics.
Bien entendu, nous attendons la confirmation des organismes concernés quant aux calendriers précis de collecte et de publication des données, dès que le financement sera rétabli. Toutefois, il est fort probable que les perturbations du calendrier habituel de collecte et de publication des données persistent jusqu'au début de l'année prochaine, ce qui signifie que les décideurs politiques et les acteurs du marché devront probablement naviguer à vue pendant un certain temps.
Naturellement, les marchés ont réagi positivement à l'annonce d'une possible réouverture prochaine du gouvernement : les contrats à terme sur actions ont progressé, le dollar s'est légèrement raffermi et les bons du Trésor se sont affaiblis sur l'ensemble de la courbe.
Cette réaction, bien qu'évidente, est tout à fait logique, car le rétablissement du financement permettrait d'éliminer un obstacle important à la croissance, mais aussi une part considérable d'incertitude qui obscurcissait de plus en plus les perspectives, permettant ainsi aux acteurs du marché de se recentrer sur ce qui demeure un argumentaire solide en faveur d'une économie sous-jacente robuste, d'une croissance des bénéfices résiliente, d'un contexte monétaire qui continue de s'assouplir et d'un ton plus apaisé en matière de commerce.
Dès la réouverture des services gouvernementaux, les hypothèses sous-jacentes à ce scénario optimiste seront examinées de près. Bien que nous ayons tous, en nous basant sur diverses données du secteur privé, supposé que l'économie avait peu évolué ces six dernières semaines, nous pourrions bientôt disposer de données permettant de confirmer ou d'infirmer cette hypothèse. Se pose également la question du contexte de politique monétaire : mon scénario de base reste celui d'une nouvelle baisse de 25 points de base par la Fed lors de sa réunion de décembre, malgré les déclarations de Jerome Powell, président de la Fed, selon lesquelles une telle décision est loin d'être acquise. Si les indicateurs du marché du travail à venir confirment cette stagnation, comme cela est probable, une telle baisse deviendra sans doute beaucoup plus probable, ouvrant la voie à un réajustement des anticipations de taux vers un modèle plus accommodant. La courbe OIS du dollar américain n'indique d'ailleurs qu'une probabilité de deux sur trois d'une nouvelle baisse d'ici la fin de l'année.
La semaine dernière a été difficile : elle a été marquée par un ensemble de données américaines rares et décourageantes. La baisse des rendements n'a pas réussi à stimuler l'appétit pour le risque, et des résultats technologiques meilleurs que prévu n'ont pas suffi à convaincre les investisseurs de revenir. OpenAI a même laissé entendre que les États-Unis pourraient justifier leur dette de mille milliards de dollars — autrement dit, c'était catastrophique.
Mais ce matin, le calme semble revenu. L'annonce d'une possible fin du blocage budgétaire aux États-Unis a remonté le moral des marchés, le Sénat ayant réuni les 60 voix nécessaires pour franchir la première étape de l'accord. Ce n'est que le début d'une saga politique qui pourrait encore s'éterniser, mais les investisseurs saisissent le moindre signe d'avancée pour mettre fin au plus long blocage budgétaire de l'histoire américaine et analysent les données économiques – des données essentielles pour comprendre la situation de l'économie américaine, l'évolution de l'inflation et de l'emploi, et les prochaines étapes que devrait entreprendre la Réserve fédérale (Fed).
Concernant la Fed : certains membres se montrent prudents, tandis que d’autres semblent accorder plus d’importance à l’inflation qu’à la dégradation du marché du travail. Le rapport Challenger de la semaine dernière a fait état des plus fortes pertes d’emplois enregistrées en octobre depuis 2003, et l’enquête de l’Université du Michigan, publiée vendredi, laissait entrevoir une détérioration du moral des investisseurs, des perspectives moroses et des perspectives d’inflation mitigées, les anticipations d’inflation à un an atteignant 4,7 %. La situation est incertaine.
Pourtant, le taux de financement au jour le jour garanti (SOFR) a chuté la semaine dernière sous la barre des 4 %, son plus bas niveau en trois ans. Ce n'est pas dû à une décision de la Fed – le SOFR n'est pas un taux qu'elle fixe directement. Il s'agit d'un taux de marché reflétant les frais que les banques et les investisseurs s'appliquent mutuellement pour obtenir des liquidités au jour le jour garanties par des bons du Trésor. Lorsque les liquidités abondent, le taux baisse naturellement. Or, le système dispose d'un excédent de liquidités : près de 7 500 milliards de dollars sont détenus dans les fonds monétaires américains, tandis que les adjudications de bons du Trésor américain ont été moins importantes – notamment parce que la menace d'une paralysie des services gouvernementaux a compliqué les plans d'émission. Autrement dit, la Fed n'a pas actionné le levier – c'est le marché qui l'a fait, en réagissant à cet excédent de liquidités. Cette liquidité accrue pourrait soutenir les actifs risqués cette semaine, si l'actualité reste calme.
Les contrats à terme laissent entrevoir un début encourageant, et si le gouvernement américain parvient à rouvrir ses services, ce serait la cerise sur le gâteau. L'indice S&P 500 a rebondi d'environ 2 % depuis que les rumeurs d'une possible fin du confinement ont circulé vendredi dernier.
Ajoutez à cela les propos de Jensen Huang lors de la journée sportive annuelle de TSMC samedi dernier – affirmant que « l'activité est très solide et qu'elle progresse de mois en mois, de plus en plus », et qu'ils ont besoin de davantage de puces de TSMC – et les investisseurs semblent oublier les remous de la semaine dernière. L'action TSMC progresse de plus de 1 %, SoftBank bondit de 2,5 %, le coréen SK Hynix de plus de 5 % et les contrats à terme du Nasdaq affichent les meilleures performances. Espérons que cette tendance se maintienne !
Sur le marché des changes, le dollar américain est stable ce matin. La devise a subi de nouvelles pressions à la vente la semaine dernière après avoir échoué à franchir la moyenne mobile à 200 jours. La fin du blocage budgétaire aux États-Unis devrait, en théorie, donner un coup de pouce au dollar et tester certains niveaux techniques face aux principales devises. La paire EUR/USD a testé la semaine dernière un support proche du retracement mineur de Fibonacci de 23,6 % de la hausse depuis le début de l'année, autour de 1,1480. La livre sterling a plongé avant de repasser au-dessus du retracement de 38,2 % de sa propre hausse depuis le début de l'année. La paire USD/JPY a initialement baissé après que le ministre des Finances a affiché une position ferme face aux vendeurs. Cependant, les vendeurs de yen sont de retour depuis vendredi, soutenant le dollar américain, parallèlement à la hausse des rendements américains ce matin, qui affiche une progression d'environ 1 % sur l'ensemble de la courbe.
Les données économiques américaines seront peu nombreuses cette semaine en raison des fermetures d'entreprises, mais les résultats de CoreWeave (fournisseur de néo-cloud soutenu par Nvidia), de Cisco et de Disney seront scrutés de près, ainsi que les déclarations 13F attendues vendredi. La position importante de Michael Burry à la baisse sur Nvidia et Palantir a contribué à l'aversion au risque de la semaine dernière. Les investisseurs seront attentifs à tout signe de réduction de l'exposition ou de maintien des paris à la baisse sur les géants de la tech.
Ailleurs, l'inflation chinoise a connu une hausse inattendue le mois dernier, suite à un ralentissement de la déflation à la production. Contrairement à l'Occident, qui n'a pas besoin d'une inflation plus élevée, c'est une bonne nouvelle pour la Chine : le pays s'efforce depuis des années de stimuler la consommation, et les prix à la production sont en baisse depuis près de trois ans. Cela dit, cette surprise d'octobre pourrait être temporaire, notamment en raison du jour supplémentaire accordé pendant la Semaine d'or.
Malgré tout, le brut américain se porte mieux ce matin, dépassant les 60 dollars le baril, probablement grâce aux données encourageantes sur l'inflation en provenance de Chine. Cependant, le brut américain reste sous pression, s'inscrivant dans une tendance baissière de long terme amorcée cet été, influencée par la stratégie de l'OPEP visant à augmenter sa production. Le cartel a annoncé une pause dans la hausse de sa production entre janvier et mars, et le rapport mensuel sur le pétrole, attendu mercredi, devrait apporter des éclaircissements : l'OPEP tentera-t-elle de stabiliser les prix ou continuera-t-elle de les laisser baisser pour gagner des parts de marché ?



L'administration Trump a suspendu une enquête sur l'industrie navale chinoise, ce qui a incité Pékin à riposter en suspendant sa propre enquête et en reportant l'application des droits portuaires spéciaux pour les navires américains.
Le Bureau du représentant américain au commerce a annoncé la suspension de l'enquête pour un an à compter de lundi minuit, heure locale. Quelques minutes plus tard, le ministère chinois des Transports a fait une annonce similaire, indiquant que ses actions étaient également reportées afin de mettre en œuvre le consensus dégagé lors des récentes négociations commerciales avec les États-Unis.
Les États-Unis continueront de négocier avec la Chine au sujet des questions soulevées par l'enquête, a déclaré le représentant américain au commerce dans un communiqué.
Ces suspensions permettent de réduire certains coûts et l'incertitude pour un secteur qui devait s'acquitter de frais de livraison de marchandises aux États-Unis. Elles concrétisent l'un des accords conclus par les présidents Donald Trump et Xi Jinping lors de leurs entretiens en Corée du Sud à la fin du mois dernier.
L'imposition de droits portuaires réciproques menaçait de bouleverser le transport maritime mondial, d'augmenter les tarifs de fret et de perturber le flux de marchandises, notamment de matières premières essentielles comme le pétrole. L'enquête chinoise figurait parmi les mesures de rétorsion annoncées à la mi-octobre et visait à évaluer l'impact de l'enquête américaine sur le secteur maritime du pays.
Selon une fiche d'information publiée la semaine dernière, les États-Unis suspendront les droits de douane sur les importations de grues portuaires et de châssis en provenance de Chine, ainsi que les taxes perçues sur les navires marchands construits et exploités en Chine faisant escale dans les ports américains.
La concession américaine a été critiquée la semaine dernière par les groupes industriels et syndicaux américains, qui ont fait valoir qu'elle compromettrait les efforts de l'administration Trump pour développer un secteur de construction navale américain.
Trump cherchait à contrer l'influence croissante de la Chine sur le secteur de la construction navale grâce à l'enquête désormais suspendue, ainsi qu'à des accords avec le Japon et la Corée du Sud pour aider les États-Unis à relancer une industrie navale nationale moribonde.
Le bassin du Congo, une région de forêt tropicale plus vaste que l'Inde, est à un point où de nouveaux dégâts pourraient priver le monde d'un rempart essentiel contre le changement climatique.
Telle est la conclusion du premier rapport scientifique exhaustif sur l'état de l'environnement dans une région s'étendant de Cross River au Nigéria à la vallée du Rift en Afrique de l'Est. Un résumé de ce rapport de 800 pages, rédigé par 177 experts de la région et d'ailleurs, a été publié lundi à l'occasion de la COP 30, la conférence internationale sur le climat qui se tient à Belém, au Brésil.
Les forêts de la région absorbent actuellement 600 millions de tonnes de dioxyde de carbone par an, soit l'équivalent des émissions de l'Allemagne. Ce bassin constitue ainsi le plus grand puits de carbone tropical au monde. Or, la déforestation menace de compromettre leur capacité à absorber le carbone atmosphérique, un bouleversement qui mettrait en péril le climat mondial.
« Si nous ne prenons pas le problème en main dans les dix prochaines années, il deviendra incontrôlable », a déclaré Lee White, ancien ministre de l'Environnement du Gabon, lors d'une interview. « Un problème majeur se développe et nous ne parvenons pas à le résoudre, tandis qu'une formidable opportunité nous échappe. »
Il y a vingt ans, le bassin du Congo absorbait 4,5 milliards de tonnes de carbone, soit presque l'équivalent des émissions des États-Unis, selon White. Mais l'agriculture sur brûlis, où les agriculteurs allument des feux pour créer des terres cultivables, l'intensification de l'exploitation forestière et la demande croissante de charbon de bois contribuent à la réduction des forêts.
« Le bassin du Congo se trouve à un tournant décisif », affirment les scientifiques dans le rapport, inspiré d'une publication similaire sur la région amazonienne parue lors de la COP 2021. Il abrite une biodiversité sans pareille, mais c'est aussi une région marquée par une croissance démographique rapide, une pauvreté persistante, une gouvernance fragile et des impératifs de développement contradictoires.
L'Amazonie sert, à certains égards, d'avertissement pour le bassin du Congo. La forêt couvre une superficie deux fois supérieure à celle du bassin du Congo, mais certaines parties de la région sont devenues une source d'émissions plutôt qu'un puits de carbone, principalement en raison de la déforestation. Les autres puits de carbone mondiaux, tels que le pergélisol et les forêts boréales, sont également menacés par le réchauffement climatique.
Outre son rôle dans la lutte contre le changement climatique, le bassin du Congo est un facteur déterminant des régimes de précipitations en Afrique, notamment en Égypte et dans les pays confrontés à un stress hydrique en Afrique de l'Est, de l'Ouest et du Nord. Environ 70 % des précipitations qui tombent sur le bassin sont recyclées dans l'atmosphère puis retombent sur l'ensemble de la région.
« Si vous perdez le bassin du Congo, vous perdez l'eau », a déclaré White, un scientifique britannique qui a accédé au gouvernement du Gabon après être venu dans le pays en 1989 pour y effectuer des recherches doctorales.
Bien qu'il ait perdu son poste de ministre de l'Environnement lors d'un coup d'État militaire quelques mois après la création du Groupe scientifique pour le bassin du Congo en 2023, ses collègues scientifiques l'ont choisi comme envoyé spécial, en reconnaissance de son rôle pionnier dans les tentatives visant à obtenir des fonds de compensation carbone pour récompenser le Gabon d'avoir préservé ses forêts.
L’état des forêts africaines varie du Gabon, où environ 90 % du territoire est couvert d’arbres, à la République démocratique du Congo, où l’agriculture sur brûlis est répandue et où la forêt subit la pression d’une population de plus de 100 millions d’habitants.
« Il est urgent de mettre fin à la contradiction persistante qui caractérise les économies du bassin du Congo », écrivent les scientifiques dans leur rapport. « Les forêts et les ressources renouvelables font vivre des millions de personnes, tandis que les recettes de l’État sont fortement liées aux ressources non renouvelables – l’exploitation minière et le pétrole. »
Les scientifiques ont appelé à une série d'interventions pour enrayer le dépérissement des forêts dans la région, notamment des pratiques agricoles plus durables et un financement climatique innovant. Ce dernier point est une priorité de la COP30, le Fonds pour la préservation des forêts tropicales, récemment créé au Brésil, ayant déjà reçu près de 5 milliards de dollars de promesses de dons avant même le début des négociations climatiques lundi. Les pays possédant des forêts tropicales recevront une contribution pour chaque hectare conservé, et la République démocratique du Congo figure parmi ceux qui en bénéficieraient le plus.
« Historiquement, le bassin du Congo a bénéficié de moins de financements internationaux pour la protection des forêts que l’Amazonie ou l’Asie du Sud-Est », ont-ils déclaré. « Combler cet écart nécessite une approche globale », qui impliquerait une augmentation des investissements publics et des recettes issues de la vente de crédits carbone et de droits de biodiversité.
« Avec les incitations appropriées, par le biais des marchés du carbone et d'autres mécanismes, le bassin du Congo devrait recevoir des dizaines de milliards de dollars pour le stockage du carbone », ont-ils déclaré.
La forte impulsion donnée au développement des capacités pour répondre aux besoins des applications d'intelligence artificielle (IA) s'est transformée en une bulle spéculative autour des actions technologiques et des infrastructures connexes, y compris les centres de données.
Des États-Unis à la Corée du Sud, les entreprises de la chaîne d'approvisionnement en intelligence artificielle voient leurs actions atteindre des sommets historiques. Ces valorisations sont comparables aux niveaux observés en 2000, lors de l'éclatement de la bulle Internet.
Par exemple, la Bourse de Corée affiche la meilleure performance mondiale cette année grâce à la flambée des cours des actions de SK Hynix et de Samsung Electronics. Ces entreprises fabriquent des puces mémoire pour les applications d'IA et les fournissent directement à Nvidia Corp, qui produit les processeurs graphiques haute performance indispensables aux centres de données pilotés par l'IA.
Les bourses de Hong Kong et de Taïwan ont également profité de l'essor de l'IA. Des entreprises comme le géant du e-commerce Alibaba Group Holding Ltd, le fabricant de smartphones Xiaomi Corp (tous deux chinois) et Taiwan Semiconductor Manufacturing Co Ltd (TSMC) ont été les principaux moteurs de la hausse de leurs marchés respectifs cette année.
L'engouement pour les actions et les infrastructures liées à l'IA s'explique par les investissements colossaux des entreprises technologiques dans la construction de ces infrastructures. Google, Meta, Amazon et Microsoft dépensent des milliards pour acquérir des serveurs, des processeurs et des puces mémoire à haut débit afin de construire des centres de données. Ces quatre géants de la tech investissent à eux seuls 700 millions de dollars américains (2,9 milliards de ringgits malaisiens) dans les centres de données cette année, et les prévisions tablent sur 3 000 milliards de dollars américains d'ici 2029.
Les centres de données répondent à une grande variété d'usages. Cependant, à l'ère de l'IA, ils sont considérés comme essentiels pour permettre aux start-ups spécialisées en IA d'alimenter et d'entraîner leurs applications de modélisation du langage naturel (LLM).
Les start-ups spécialisées en intelligence artificielle, telles qu'OpenAI et Anthropic, sont financées par des investisseurs convaincus que leurs applications seront à l'origine de la prochaine révolution technologique. Jusqu'au troisième trimestre de cette année, les sociétés de capital-risque ont injecté près de 200 milliards de dollars dans ces start-ups, soit plus de 50 % du total des investissements réalisés.
Cependant, aucun modèle rentable n'a encore fait ses preuves. Des milliards sont investis dans les start-ups d'IA, mais aucune n'a généré de retour sur investissement. Même OpenAI, propriétaire de ChatGPT, engloutit des milliards chaque année.
Ce qui nous amène à nous demander si les start-ups spécialisées en IA continueront d'attirer de nouveaux investisseurs. Et par conséquent, la demande en centres de données continuera-t-elle de croître ?
Bien que la bourse malaisienne soit restée stable autour de 1 600 points, le pays a profité de l'essor de l'intelligence artificielle. En effet, la Malaisie est le principal pôle de centres de données de la région depuis deux années consécutives.
D'après un rapport de recherche, la Malaisie deviendra un pôle majeur de centres de données en Asie-Pacifique dans les prochaines années. À cet égard, le gouvernement a approuvé la construction de 143 centres de données en Malaisie depuis 2021.
Mais combien seront réellement construites au final, sachant que les valorisations des start-ups en IA seraient actuellement dans une bulle ? Ces start-ups continueront-elles à attirer des investissements ?
Aujourd'hui encore, les infrastructures construites pour les centres de données dépassent la demande réelle. Les dernières informations divulguées au Parlement indiquent qu'à fin juin, la consommation d'électricité des centres de données ne représentait que 47 % de la demande déclarée de 1 276 MW.
Le vice-ministre de l'Investissement, du Commerce et de l'Industrie, Liew Chin Tong, a déclaré au Parlement la semaine dernière qu'une révision des besoins en énergie des centres de données avait été effectuée afin de réorienter les ressources et de veiller à ce que Tenaga Nasional Bhd ne se retrouve pas avec des « actifs échoués ».
Contrairement à d'autres marchés boursiers asiatiques, la bulle de l'IA n'a pas eu d'impact sur le marché boursier malaisien dans son ensemble.
Certaines entreprises technologiques ont vu leurs cours boursiers se redresser cette année. Cependant, cela s'explique principalement par la forte survente de leurs titres due aux problèmes tarifaires du premier semestre. L'entreprise la plus proche d'un investissement direct dans l'IA est YTL Power International Bhd (KL : YTLPOWR ), qui a construit un centre de données équipé de puces Nvidia et dont le cours de l'action est actuellement en retrait par rapport à son plus haut niveau.
Les géants du BTP Gamuda Bhd (KL : GAMUDA ) et IJM Corp Bhd (KL : IJM ) ont remporté des contrats pour la construction de centres de données. Cependant, ces contrats viennent simplement s'ajouter à leurs carnets de commandes déjà bien remplis et n'ont pas eu d'impact significatif sur le cours de leurs actions.
Parmi les rares entreprises à tirer profit du marché des centres de données figure MN Holdings Bhd, spécialisée dans la construction d'infrastructures électriques, telles que des sous-stations, pour ces centres. Son cours de bourse atteint des sommets historiques, les investisseurs anticipant de nouvelles créations d'emplois liées aux centres de données.
Aux États-Unis, même les investisseurs les plus optimistes du secteur technologique admettent que le marché de l'IA est en pleine bulle. Ils estiment que les milliards investis dans les start-ups spécialisées en IA ne sont pas viables à long terme.
Jeff Bezos, d'Amazon.com Inc., qualifie quant à lui l'engouement pour l'IA de « bulle positive », car il laisse derrière lui une infrastructure qui permet le développement continu de cette technologie. Ceux qui partagent l'optimisme de Bezos citent l'exemple des plateformes de commerce électronique qui ont émergé après l'éclatement de la bulle Internet en 2000, révolutionnant les secteurs B2B et B2C en permettant la livraison de produits à un coût bien inférieur à celui pratiqué auparavant.
L'émergence de Facebook et Google a bouleversé les secteurs de la publicité et des médias en offrant aux entreprises un accès plus facile à leurs clients cibles. Cependant, les sceptiques soulignent que la révolution technologique qui a suivi l'éclatement de la bulle Internet a rapidement généré des profits pour ceux qui sont restés dans le secteur. En quelques années, les bénéfices générés par le commerce électronique ont largement compensé les pertes.
Il n'en va pas de même pour l'engouement autour de l'IA. Certains estiment que des sommes colossales sont investies dans la création de plateformes onéreuses, dans l'espoir que cette technologie finisse par être utilisée par le grand public.
À ce jour, les applications d'IA n'ont pas permis de réduire les coûts opérationnels des entreprises ni de remplacer les employés. Même dans les centres d'appels, où l'IA est utilisée pour automatiser les réponses répétitives, le contact humain reste indispensable. Les principaux utilisateurs de l'IA sont les développeurs de logiciels.
On craint que les plateformes d'IA ne se transforment à terme en d'autres plateformes technologiques telles que la blockchain, la réalité virtuelle et le métavers, qui n'ont pas encore connu de demande massive.
En l'absence d'applications rentables ou d'une application phare générant de la demande, la question de la pérennité se pose. À cet égard, si l'engouement pour l'IA s'estompe, la nécessité des centres de données sera remise en question.
Pimpinan Ehsan Bhd, classée comme société de trésorerie sans activité principale depuis mai 2018, a reçu un avis de radiation de la cote il y a environ trois semaines. Cette décision fait suite au fait que son projet d'intégrer des actifs renouvelables à son activité principale n'a pas obtenu les autorisations nécessaires dans les délais impartis.
PEB a fait appel de la décision de radiation et attend le résultat.
La restructuration de PEB s'articule autour de l'acquisition de reNikola Holdings Sdn Bhd, une société possédant de nombreux actifs dans le domaine des énergies renouvelables répartis dans plusieurs États. Les principaux actionnaires de cette société sont Boumhidi Abdelali et Tengku Zaiton Sultan Abu Bakar.
PEB a entamé sa restructuration en mars 2021. Après consultation avec la Securities Commission Malaysia (SC), la restructuration est en attente d'une clarification de la Energy Commission (EC) concernant une approbation écrite de la transaction.
Pour l'instant, l'approbation écrite de la Commission européenne concernant reNikola n'est toujours pas parvenue, ce qui a pour conséquence de laisser la restructuration dans l'incertitude.
D'après les annonces, reNikola a écrit à la CE en mai 2024 pour solliciter des approbations et a eu plusieurs discussions depuis septembre de l'année dernière.
Seule la Commission européenne connaît les raisons de ce blocage. Il serait souhaitable qu'elle divulgue les motifs de son incapacité à accorder cette approbation.
Dans un nouveau rebondissement, PEB a annoncé la semaine dernière que reNikola avait reçu une notification du ministère de la Transition énergétique et de la Transformation de l'eau (Petra) indiquant que le vice-premier ministre avait pris note de la question et qu'elle était actuellement examinée par le ministère.
Il est étrange que la mise à jour de PEB concernant sa restructuration mentionne explicitement le vice-Premier ministre, en l'occurrence Datuk Seri Fadillah Yusof. En admettant que l'entreprise ait une opinion bien précise, il est probable que la mention du « vice-Premier ministre » soit due au fait que Fadillah est le ministre en charge de Petra.
Néanmoins, le fait que le vice-premier ministre ait pris note de l'affaire renforce l'attention portée à une éventuelle radiation de PEB de la cote.
Compte tenu des grands noms impliqués dans l'opération, il sera intéressant de voir comment Bursa Malaysia statuera sur l'appel de PEB en vue d'une prolongation.
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités

FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire