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Banque du Japon : Des détaillants et des sociétés immobilières ont exprimé leur inquiétude quant à l’impact de la détérioration des relations nippo-chinoises.

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[CITIC Securities : La croissance du chiffre d'affaires des fournisseurs de cloud nord-américains, portée par l'IA, devrait s'accélérer] Selon une étude de CITIC Securities, 2026 sera une année de forte croissance du chiffre d'affaires pour les principaux fournisseurs de cloud computing nord-américains. L'entraînement et l'analyse des données par l'IA pour les grands comptes seront les principaux moteurs de la demande, tandis que la demande pour les services cloud traditionnels se redressera progressivement. Par ailleurs, la mise en service de centres de données et de puces sur mesure contribuera à atténuer la pénurie de puissance de calcul.

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Banque du Japon : Certains acteurs non manufacturiers ont exprimé leur inquiétude quant à l’impact négatif de la hausse des prix sur la consommation, ce qui freine la demande des touristes étrangers.

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Banque du Japon : Les entreprises ont fait part de leurs inquiétudes quant à l’impact des droits de douane américains, la hausse des coûts de main-d’œuvre et la pénurie de main-d’œuvre, autant de facteurs qui assombrissent leurs perspectives commerciales.

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Banque du Japon : Les entreprises citent la répercussion des coûts et une demande robuste comme facteurs d’amélioration des perspectives commerciales

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L'indice KOSPI de la Bourse de Séoul chute de plus de 2 %

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Ministère des Finances : La réglementation britannique des crypto-actifs débutera en octobre 2027

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Le chef des services secrets britanniques (MI6) met en garde contre la menace « agressive » de la Russie lors de son premier discours.

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L'indice Nikkei des actions japonaises recule de 0,8 % en début de séance.

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Banque du Japon : L’indice de confiance des petites entreprises manufacturières japonaises, à +6, est au plus haut depuis mars 2019.

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Indice Tankan de la Banque du Japon : l’indice des petites entreprises non manufacturières de mars devrait se situer à +10 (sondage Reuters : 10)

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Indice de l'emploi de la Banque du Japon (Tankan) : décembre -38

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Rapport de la Banque du Japon : Les grands fabricants japonais prévoient des bénéfices récurrents de -7,8 % pour l'exercice 2025/26.

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Rapport de la Banque du Japon : Les PME japonaises prévoient une hausse de 0,1 % de leurs investissements pour l’exercice 2025/26 (sondage Reuters : -0,4 %)

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Indice Tankan de la Banque du Japon : l’indice des petites entreprises manufacturières de mars devrait progresser de 2 % (sondage Reuters : 0 %)

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Rapport de la Banque du Japon : Les entreprises japonaises anticipent une hausse de l’IPC de 2,4 % d’ici un an.

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Indice de la Banque du Japon Tankan : décembre +10 par rapport à septembre +10

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Rapport de la Banque du Japon : Toutes les entreprises japonaises anticipent un taux de change moyen de l’euro à 164,45 yens pour l’exercice 2025/26

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Rapport de la Banque du Japon : Les grandes entreprises japonaises prévoient une hausse de 12,6 % de leurs investissements pour l’exercice 2025/26 (sondage Reuters : 12,0 %)

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Rapport de la Banque du Japon : Toutes les entreprises japonaises anticipent un taux de change moyen du dollar à 147,06 yens pour l’exercice 2025/26.

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ROYAUME-UNI Production dans le secteur de la construction en glissement annuel (Octobre)

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Chine, Mainland Croissance de l'encours des prêts YoY (Novembre)

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Chine, Mainland M2 Masse monétaire YoY (Novembre)

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Inde CPI YoY (Novembre)

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Inde Croissance des dépôts YoY

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Brésil Croissance de l'industrie des services en glissement annuel (Octobre)

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Mexique Production industrielle YoY (Octobre)

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République dominicaine Balance commerciale (Octobre)

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Le président de la Fed de Philadelphie, Henry Paulson, prononce un discours
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Canada Ventes en gros YoY (Octobre)

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Canada Stocks de gros MoM (Octobre)

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Canada Stocks de gros en glissement annuel (Octobre)

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Canada Ventes en gros MoM (SA) (Octobre)

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Allemagne Compte courant (hors SA) (Octobre)

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U.S. Total hebdomadaire des forages

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Japon Indice Tankan de diffusion de l'activité manufacturière (Quatrième trimestre)

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Japon Indice Tankan de diffusion de l'activité non manufacturière de grande ampleur (Quatrième trimestre)

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Japon Indice Tankan des perspectives des grandes entreprises non manufacturières (Quatrième trimestre)

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Japon Indice Tankan des perspectives de l'industrie manufacturière (Quatrième trimestre)

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Japon Indice Tankan de l'activité manufacturière (Quatrième trimestre)

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Japon Indice de diffusion Tankan pour les grandes entreprises manufacturières (Quatrième trimestre)

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Japon Tankan - Dépenses d'investissement des grandes entreprises en glissement annuel (Quatrième trimestre)

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ROYAUME-UNI Indice Rightmove des prix de l'immobilier en glissement annuel (Décembre)

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Chine, Mainland Production industrielle en glissement annuel (YTD) (Novembre)

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Chine, Mainland Taux de chômage dans les zones urbaines (Novembre)

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Arabie Saoudite CPI YoY (Novembre)

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Zone Euro Production industrielle YoY (Octobre)

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Zone Euro Production industrielle MoM (Octobre)

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Canada Ventes de logements existants MoM (Novembre)

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Zone Euro Total des avoirs de réserve (Novembre)

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ROYAUME-UNI Taux d'inflation attendu

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Canada Indice national de confiance économique

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Canada Mises en chantier de logements neufs (Novembre)

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U.S. Indice de l'emploi manufacturier de la Fed de New York (Décembre)

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U.S. Indice NY Fed Manufacturing (Décembre)

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Canada IPC de base en glissement annuel (Novembre)

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Canada Commandes en cours dans l'industrie manufacturière MoM (Octobre)

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U.S. Indice d'acquisition des prix de la Fed de New York pour l'industrie manufacturière (Décembre)

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U.S. NY Fed Manufacturing New Orders Index (en anglais) (Décembre)

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Canada Nouvelles commandes manufacturières MoM (Octobre)

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Canada Indice de base MoM (Novembre)

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Canada Indice des prix à la consommation (IPC) ajusté YoY (SA) (Novembre)

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Canada Stocks manufacturiers MoM (Octobre)

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Canada CPI YoY (Novembre)

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Canada IPC MoM (Novembre)

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Canada IPC en glissement annuel (SA) (Novembre)

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Canada Indice de référence MoM (SA) (Novembre)

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Canada IPC MoM (SA) (Novembre)

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Le gouverneur de la Réserve fédérale, Milan, a prononcé un discours
U.S. Indice NAHB du marché du logement (Décembre)

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Australie Composite PMI Prelim (Décembre)

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Australie Service PMI Prelim (Décembre)

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Australie PMI manufacturier préliminaire (Décembre)

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Japon PMI manufacturier préliminaire (SA) (Décembre)

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          Aperçu rapide du marché - 11 décembre 2025

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          Actions

          Crypto-monnaie

          Résumé:

          La Réserve fédérale américaine a abaissé le taux des fonds fédéraux de 25 points de base à 3,5 %-3,75 % lors de sa réunion de mercredi, par un vote de 9 contre 3, avec deux dissidents faucons (Goolsbee et Schmid, qui étaient favorables à une politique monétaire accommodante) et un dissident accommodant (Stephen Miran, qui était favorable à une réduction plus importante de 50 points de base).

          facteurs et catalyseurs du marché

          Actions : Les actions sont confrontées à un retour à la réalité, les craintes liées à l'IA d'Oracle pesant sur les contrats à terme du S&P 500 et annulant le rebond d'hier, impulsé par la Fed.
          • Volatilité : La volatilité implicite reste modérée, le VIX se situant autour de 15, même si les options sur indices montrent une demande renouvelée de couvertures contre le risque de baisse.
          • Actifs numériques : le Bitcoin glisse sous les 90 000 et le flux d’options reste baissier sur les valeurs individuelles, tandis que l’activité des ETF devient plus équilibrée en cette fin d’année.
          • Devises : Le dollar américain s'est affaibli suite aux indications du FOMC et à la baisse des rendements des bons du Trésor américain.
          Matières premières : Les métaux précieux reculent après la forte hausse provoquée par la décision du FOMC ; le pétrole brut se stabilise avant la publication des rapports de l'AIE et de l'OPEP ; le gaz en Europe chute à son plus bas niveau en 20 mois en raison de températures douces.
          • Obligations : Les bons du Trésor américain ont progressé suite à la décision et aux indications du FOMC.
          Événements macroéconomiques : inscriptions hebdomadaires au chômage aux États-Unis, balance commerciale et adjudication d'obligations à 30 ans

          Titres macroéconomiques

          La Réserve fédérale américaine a abaissé son taux directeur de 25 points de base lors de sa réunion de mercredi, le ramenant à une fourchette de 3,5 % à 3,75 %, par un vote de 9 voix contre 3. Deux juges partisans d'une politique monétaire restrictive (Goolsbee et Schmid, favorables au maintien du taux directeur) et un juge partisan d'une politique monétaire accommodante (Stephen Miran, partisan d'une baisse plus importante de 50 points de base) ont voté contre. Les membres étaient partagés quant à savoir si l'inflation ou le marché du travail devait être leur principale préoccupation. Finalement, la décision a été prise afin de se prémunir contre un ralentissement des embauches plus marqué que prévu. La Fed a maintenu ses projections de taux inchangées, prévoyant une baisse de 25 points de base en 2026, tout en revoyant à la hausse ses prévisions de croissance du PIB et en abaissant légèrement ses estimations d'inflation (PCE). Les prévisions de chômage sont restées stables à 4,5 % pour 2025 et à 4,4 % pour 2026.
          Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a évoqué la possibilité de nouvelles baisses de taux, au-delà de celle prévue pour l'année prochaine. Cette déclaration a incité les opérateurs à revoir à la hausse la probabilité d'au moins deux baisses en 2026, la portant à environ 68 %. Elle laissait également entrevoir une pause potentielle pour analyser les données économiques, conditionnant ainsi le rythme des baisses à la publication de ces données. Les responsables politiques ont par ailleurs relevé leurs prévisions de croissance et légèrement abaissé celles concernant l'inflation pour 2025 et 2026.
          La Banque du Canada a maintenu son taux directeur à 2,25 % en décembre 2025, le jugeant approprié. Le PIB a progressé de 2,6 % au troisième trimestre, le taux de chômage a reculé à 6,5 % et l’inflation (IPC) a ralenti à 2,2 %. Les décideurs politiques ont souligné l’impact de l’incertitude mondiale sur le PIB. Ils estiment que le taux actuel est adéquat pour maintenir une inflation de 2 %, mais sont prêts à l’ajuster au besoin.
          Le gouvernement suisse a annoncé que les droits de douane américains de 15 % sur les produits suisses seront appliqués rétroactivement à compter du 14 novembre.
          L'Australie a enregistré une perte inattendue de 21 300 emplois en novembre, soit le recul mensuel le plus important depuis février, tandis que le taux de chômage est resté stable à 4,3 %. Ces signes de ralentissement du marché du travail pourraient contraindre la Banque de réserve d'Australie (RBA) à maintenir ses taux d'intérêt au lieu de les relever en début d'année prochaine.

          Actions

          États-Unis : Après le rebond d'hier suite à la décision de la Fed, les contrats à terme sur le S&P 500 laissent présager une baisse de près de 1 %, les investisseurs réévaluant la situation. Le Dow Jones a progressé de 1,1 %, le S&P 500 de 0,7 % et le Nasdaq a effacé ses pertes initiales pour clôturer en hausse de 0,4 % après que la Réserve fédérale a abaissé ses taux de 25 points de base et annoncé une nouvelle baisse l'année prochaine. Le ton de la conférence de presse de Jerome Powell a rassuré les marchés quant à la faible probabilité de nouvelles hausses, et les opérateurs estiment désormais qu'au moins deux baisses en 2026 sont envisageables. Le secteur industriel a mené la hausse, Amazon gagnant 1,7 % grâce à son projet d'investir 35 milliards de dollars en Inde et JPMorgan 3,2 %. À l'inverse, Microsoft a chuté de 2,8 % après avoir présenté un investissement de 17,5 milliards de dollars en Inde, et Oracle a plongé de plus de 11 % après la clôture, la faiblesse des revenus du cloud et les importants investissements dans les centres de données d'IA soulevant des interrogations quant à la pertinence d'un financement de l'expansion par l'emprunt. Ce dernier élément a contribué à modifier l'attitude du marché vers une position plus défensive, le SP 500 reculant de 0,9 % avant la séance européenne.
          Europe : Les marchés boursiers européens ont légèrement reculé mercredi, les investisseurs restant prudents avant la décision de la Fed. L'indice STOXX 50 a perdu 0,2 % et le STOXX 600 est resté quasiment stable. L'appétit pour le risque était limité, mais certaines valeurs ont connu des variations marquées. Aegon a chuté de près de 10 % après avoir confirmé son intention de transférer son siège social aux États-Unis et de changer de nom pour devenir Transamerica, tandis que Vinci et Rheinmetall ont également pesé sur les indices. Du côté positif, Siemens Energy a gagné plus de 4 % suite aux prévisions optimistes de son concurrent américain GE Vernova, qui ont mis en évidence la demande pour les réseaux électriques, et Ocado a enregistré une hausse à deux chiffres. La bonne performance de HSBC, Novo Nordisk et Roche a contribué à amortir le repli du marché, les investisseurs se tournant désormais vers les prochaines réunions de la Banque centrale européenne et de la Banque d'Angleterre.
          Asie : Les marchés asiatiques ont affiché des performances mitigées, les investisseurs réagissant à la politique de la Fed et à une nouvelle publication de chiffres d'inflation décevants en Chine. L'indice Hang Seng a reculé d'environ 0,5 %, enregistrant ainsi sa troisième baisse consécutive et son plus bas niveau en deux semaines, sous la pression des tensions observées plus tôt à Wall Street et des inquiétudes persistantes concernant la croissance chinoise. La faiblesse des prix à la production et à la consommation a mis en évidence une demande atone, même si les nouvelles indications de soutien budgétaire du Politburo ont limité l'ampleur du repli. Les indices chinois continentaux ont souffert du poids des valeurs immobilières et industrielles, tandis que certaines valeurs financières et technologiques ont apporté un certain soutien à Hong Kong. Dans toute la région, l'attention se porte désormais sur la manière dont les banques centrales locales réagiront à la décision de la Fed et sur la capacité des données économiques chinoises à venir à stabiliser le marché.

          Volatilité

          Le S&P 500 a clôturé à 6 886,68 points mercredi, en hausse de 0,67 %, tandis que les contrats à terme affichaient une légère baisse ce matin. Les options à court terme anticipent désormais une variation intraday d'environ ±36 points (±0,52 %) ​​sur la base de l'option strangle à échéance fixe autour du prix d'exercice de 6 890, ce qui maintient la fourchette de prix attendue étroite. L'indice VIX a reculé à environ 15,8, les mesures à très court terme (VIX1D, VIX9D) chutant encore davantage, signe d'une atténuation des inquiétudes liées aux événements après la décision de la Fed, mais d'un intérêt toujours élevé pour la couverture des fluctuations des données économiques.
          Les flux d'options sur indices sont restés défensifs. Les nouvelles positions sur le S&P 500 se sont concentrées sur des options de vente hors de la monnaie, rentables uniquement en cas de repli plus marqué. Parallèlement, les options sur le VIX ont enregistré des achats importants d'options d'achat à échéance 2026, un pari classique sur les pics de volatilité futurs plutôt que sur une tension immédiate. Les flux sur le Mini-SPX (XSP) ont affiché un positionnement baissier similaire, mais de moindre ampleur. La décision de la BNS sur les taux d'intérêt, les demandes d'allocations chômage aux États-Unis, l'adjudication d'obligations du Trésor à 30 ans, ainsi que les résultats de Broadcom, Costco et Lululemon, constituent les prochains catalyseurs que les investisseurs surveilleront attentivement afin de déceler toute rupture avec ce régime de faible volatilité, caractérisé par une couverture adéquate et un calme relatif.

          Actifs numériques

          Le Bitcoin s'échange légèrement au-dessus de 90 000 USD, en baisse de 2 à 3 % après être brièvement passé sous ce seuil durant la nuit, signe d'un découplage persistant avec les actions malgré la baisse des taux de la Fed. L'Ether se maintient aux alentours de 3 200 USD, tandis que les principales cryptomonnaies sont également en repli. L'activité des ETF au comptant reste mitigée : ETHA continue d'attirer des flux réguliers, tandis qu'IBIT enregistre des volumes importants mais sans tendance claire, notamment après la réduction par Standard Chartered de son objectif de Bitcoin pour 2025 à 100 000 unités.
          Le positionnement sur les options reste défensif. Environ 279 millions de dollars de primes supplémentaires ont été investis dans des options de vente à la baisse sur les cryptomonnaies, principalement en raison de positions fortement dans la monnaie sur MSTR et d'une protection notable sur COIN, CLSK et CIFR. À l'inverse, les options sur ETF IBIT et ETHA demeurent plus équilibrées entre couvertures et prises de position haussières sélectives, ce qui suggère que les investisseurs privilégient les valeurs individuelles pour une expression baissière agressive tout en conservant la flexibilité des ETF jusqu'à la fin de l'année.

          Revenu fixe

          Les bons du Trésor américain ont progressé suite à la décision du FOMC, légèrement plus accommodante que prévu. La Fed a en effet abaissé ses taux malgré l'amélioration des prévisions de croissance et la révision à la baisse de ses prévisions d'inflation pour l'année prochaine. Le rendement de l'obligation de référence à 2 ans s'établit à 3,53 %, soit neuf points de base de moins que son plus haut de la veille, tandis que le rendement à 10 ans recule également, à 4,20 %, soit huit points de base de moins que son plus haut de la veille.
          Les obligations d'État japonaises ont progressé, emboîtant le pas au marché des bons du Trésor américain suite à la réunion du FOMC. Le rendement de référence des obligations d'État japonaises à 10 ans a reculé à 1,925 %, soit une baisse de près de cinq points de base par rapport aux sommets de mercredi.
          · Les obligations d'État allemandes à 10 ans ont progressé après que leur rendement a atteint hier un nouveau sommet plurimensuel, juste en dessous de 2,90 %, clôturant la journée aux alentours de 2,85 %.

          matières premières

          Les métaux précieux ont bénéficié de la baisse attendue des taux directeurs du FOMC, ce qui a contribué à l'affaiblissement du dollar et des rendements des bons du Trésor. L'argent a brièvement atteint un nouveau record proche de 63 USD avant de subir, à l'instar de l'ensemble du secteur des métaux, des prises de bénéfices dans un contexte de détérioration de l'affinité pour le risque sur les marchés actions. L'or, quant à lui, reste confiné dans une fourchette d'environ 90 USD autour de 4 200 USD, un niveau qui se maintient depuis deux semaines, les investisseurs faisant le point après une année de gains exceptionnels. Une ligne de tendance haussière établie en août, aux alentours de 4 180 USD, continue d'offrir un support, même si une cassure à la baisse pourrait engendrer un risque de repli à court terme.
          Le prix du pétrole brut se maintient près du bas de sa fourchette habituelle malgré la saisie par les États-Unis d'un pétrolier sous sanctions au large du Venezuela, une mesure susceptible de réduire les approvisionnements vénézuéliens. À la veille des importantes mises à jour mensuelles de l'AIE et de l'OPEP, Trafigura, l'un des plus grands négociants de matières premières au monde, a indiqué cette semaine s'attendre à une forte augmentation de l'offre sur le marché, alors même que la demande mondiale montre des signes de ralentissement.
          Les prix du gaz en Europe ont chuté à leur plus bas niveau en 20 mois, à 26,6 EUR/MWh (9,13 USD/MMBtu), soit une baisse de 42 % sur un an. Cette chute s'explique par la persistance de températures douces qui continuent de freiner la demande de chauffage, tandis que les opérateurs suivent de près l'évolution de la situation concernant un accord de paix entre la Russie et l'Ukraine. Les dernières prévisions saisonnières à long terme annoncent des températures supérieures à la normale jusqu'au début de l'année prochaine.

          devises

          Le dollar s'est déprécié suite aux conclusions relativement accommodantes de la réunion du FOMC, tandis que les rendements des bons du Trésor américain ont fortement chuté sur l'ensemble de la courbe. La paire EUR/USD a brièvement franchi la barre des 1,1700 jeudi, une première depuis mi-octobre, avant de se replier. La paire USD/JPY a quant à elle chuté jusqu'à 155,49 avant de trouver un support, s'échangeant autour de 156,00 en fin de journée à Tokyo jeudi.
          Le dollar australien a brusquement chuté suite à la publication de données sur l'emploi surprenantes pendant la nuit. Les créations d'emplois à temps plein ont été décevantes et le taux de chômage s'est stabilisé à 4,3 % en raison d'une baisse du taux d'activité. Après avoir progressé dans le contexte de la faiblesse du dollar américain suite à la réunion du FOMC, atteignant un sommet à 0,6679, la paire AUD/USD est retombée à 0,6635.

          Source : SAXO

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          Une baisse des taux de la Fed pas si radicale – Nous maintenons notre position

          Banque Danske

          Forex

          Actions

          Économique

          À l'honneur aujourd'hui

          En Norvège, la publication de l'enquête régionale est imminente. Nous prévoyons qu'elle confirmera la poursuite d'une croissance modérée, un taux d'utilisation des capacités globalement stable et un niveau d'activité légèrement inférieur à la normale. Plus précisément, nous anticipons que les répondants à l'enquête prévoient une croissance de 0,3 % à 0,4 % pour le prochain trimestre, un taux d'utilisation des capacités inchangé à 35 % et une baisse du nombre d'entreprises confrontées à une pénurie de main-d'œuvre, passant de 25 % à 24 %.

          En Suède, les chiffres définitifs de l'inflation de novembre sont en cours de publication. Les chiffres préliminaires ont surpris par leur baisse, avec un IPC de 0,3 % en glissement annuel, un CPIF de 2,3 % en glissement annuel et un CPIF hors énergie de 2,4 % en glissement annuel. Les estimations préliminaires étant généralement fiables, des révisions importantes sont peu probables. Il sera intéressant d'analyser les détails afin de comprendre les facteurs à l'origine de cette surprise. Il s'agira notamment de déterminer si ce faible résultat est lié à des variations saisonnières ou à d'autres causes sous-jacentes.

          Du côté des banques centrales, l'attention se porte sur la Banque nationale suisse, où nous prévoyons un maintien du taux directeur à 0,00 %. La Banque centrale de Turquie devrait également annoncer sa décision concernant les taux d'intérêt.

          Actualités économiques et boursières

          Que s'est-il passé hier ?

          Aux États-Unis, la Réserve fédérale a abaissé son taux directeur de 25 points de base, le ramenant à 3,50-3,75 %, hier soir, comme prévu. Miran a voté pour une baisse plus importante de 50 points de base, tandis que Schmid et Goolsbee ont voté contre, préférant le maintien du taux, conformément à nos attentes. Nous (et les marchés) nous attendions à ce que Powell s'oppose aux anticipations du marché concernant de nouvelles baisses de taux pour 2026. Cependant, son absence de communication claire sur les perspectives a entraîné une baisse des rendements des bons du Trésor américain et un affaiblissement général du dollar américain pendant la conférence de presse. Nous maintenons notre recommandation sur la Fed et anticipons deux dernières baisses de taux en mars et juin. La Fed a également annoncé des achats de réserves de bons du Trésor à hauteur de 40 milliards de dollars par mois à compter du 12 décembre, ce qui indique un assouplissement des politiques de liquidités plus anticipé que prévu.

          Avant la réunion, l'indice américain du coût de l'emploi au troisième trimestre a signalé une croissance des salaires légèrement inférieure aux prévisions, à 0,8 % en glissement trimestriel (contre 1,0 % précédemment). Ce rythme est proche de l'idéal pour la Fed – soutenant la consommation sans alimenter l'inflation – et est de nature à rassurer les investisseurs quant à leurs risques.

          En Suède, les données d'activité économique d'octobre ont révélé un léger repli, dû à une baisse de la production des entreprises et à un recul de la consommation des ménages. L'indicateur du PIB a diminué de 0,3 % en glissement mensuel, mais sa volatilité appelle à une interprétation prudente. Globalement, ces données confirment nos prévisions de croissance plus faible pour le quatrième trimestre, reflétant les effets différés du ralentissement estival, et ne remettent pas en cause les perspectives positives à l'horizon 2026.

          En Norvège, l'inflation sous-jacente a reculé en novembre à 3,0 % en glissement annuel (prévisions : 3,1 %, précédente : 3,0 %), sous l'effet de la hausse des prix des biens nationaux et importés, hors produits alimentaires. La croissance annuelle des appareils électroménagers et électroniques s'est rapprochée des niveaux de septembre, ce qui indique que la volatilité a probablement été influencée par les ajustements liés à la « semaine noire ». Ce chiffre est légèrement inférieur à l'estimation de la Banque de Norvège (Norges Bank) issue de son rapport de septembre sur les taux directeurs (MPR), confirmant ainsi la tendance désinflationniste. Bien que cela ne devrait pas influencer la politique de taux de la Banque de Norvège la semaine prochaine, cette situation lui offre la possibilité d'annoncer un cycle de baisses de taux plus agressif, en fonction des résultats de l'enquête du Réseau régional publiée aujourd'hui.

          Au Canada, la Banque du Canada a maintenu son taux directeur inchangé à 2,25 %, comme on s'y attendait généralement.

          Au Danemark, l'inflation est restée stable à 2,1 % en novembre par rapport à l'année précédente. Les prix des produits alimentaires ont baissé de 0,9 % par rapport à octobre, ce qui pourrait avoir un impact positif sur le moral des consommateurs.

          Actions : Les investisseurs en actions ont salué hier la baisse des taux de la Fed, jugée moins restrictive que prévu. Le S&P 500 a bondi de 1 % lors de la conférence de presse, clôturant finalement en hausse de 0,7 %, tandis que le Russell 2000 (petites capitalisations) progressait de 1,3 %. Cette décision a déclenché une nette préférence pour les valeurs cycliques : les valeurs cycliques de rendement, comme les matériaux, l'industrie et la consommation discrétionnaire, ont toutes progressé d'environ 2 %. C'est un constat intéressant. Plus tôt cette année, nous avions observé une hausse des valeurs de croissance cycliques (principalement les valeurs à forte croissance économique) suite à des annonces de taux accommodants. Cette fois-ci, la réaction des marchés a été plus spontanée, les anticipations d'une économie plus robuste ayant alimenté la hausse, plutôt que la baisse des rendements. Cela confirme parfaitement notre analyse.

          Le secteur de la santé mérite une attention particulière, ayant affiché une très forte performance hier lors d'une séance axée sur la prise de risque. Ce comportement, bien qu'inhabituel, peut paraître surprenant, mais le secteur de la santé s'est comporté comme un secteur cyclique ces derniers temps. Malgré une hausse spectaculaire, nous prenons nos bénéfices aujourd'hui et modérons notre recommandation sur le secteur de la santé. En effet, notre recommandation positive sur ce secteur reposait jusqu'à présent sur une valorisation erronée, un argument qui a rapidement évolué. La décote relative est passée de 20 % à 10 % par rapport aux marchés mondiaux au cours des trois derniers mois, ce qui nous semble justifié à ce stade du cycle. Par exemple, le secteur de la santé se négocie désormais à un multiple proche de celui des biens de consommation de base, après avoir accusé une décote de 20 % à son point bas.

          Marchés financiers et de change : La baisse des taux de la Fed hier était relativement équilibrée, mais compte tenu des attentes des marchés quant à une réduction plus restrictive, les réactions ont été légèrement modérées. Les taux se sont légèrement redressés et le dollar américain s'est affaibli, l'EUR/USD s'échangeant à 1,169. Seules de faibles et transitoires réactions négatives ont été observées sur les paires EUR/SEK et EUR/NOK suite à la décision du FOMC. Avant cette décision, les taux européens ont de nouveau augmenté, enregistrant ainsi leur cinquième journée consécutive de hausse. Toute possibilité de baisse des taux de la BCE pour 2026 est désormais écartée. Ce matin, l'EUR/SEK s'établit à 10,84 et l'EUR/NOK à 11,83.

          Source : Danske Bank

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          La faiblesse record du yen face au yuan accroît les risques d'inflation au Japon.

          Winkelmann

          Forex

          Économique

          Le yen a atteint un niveau record face au yuan offshore cette semaine, suscitant des inquiétudes quant à une inflation importée au Japon, où la normalisation de la politique de la banque centrale reste progressive.

          La monnaie japonaise s'est également affaiblie face au yuan onshore chinois, étroitement contrôlé, la paire de devises oscillant près de son plus bas niveau depuis 1992. Le yuan offshore a été introduit en 2010.

          La prudence de la Banque du Japon et les inquiétudes budgétaires persistantes pèsent sur le yen, dont la faiblesse s'est étendue au-delà du dollar et de l'euro pour toucher les devises de partenaires commerciaux clés comme la Chine et l'Australie. Le retard pris dans la normalisation des conditions monétaires maintient le taux de change effectif réel du yen proche de ses plus bas niveaux depuis plusieurs décennies et pourrait amplifier les pressions inflationnistes liées aux importations, la Chine étant le principal fournisseur du Japon, même dans un contexte de tensions politiques latentes.

          « Un yen faible est problématique car il accroît le risque d'inflation, ce qui est politiquement impopulaire », a déclaré Moh Siong Sim, stratégiste de change à la Banque de Singapour. « La Banque du Japon doit trouver un juste équilibre pour freiner la faiblesse du yen tout en contenant la pression à la hausse sur les rendements des obligations d'État japonaises. »

          La Banque du Japon devrait relever ses taux d'intérêt de 25 points de base lors de sa réunion de politique monétaire la semaine prochaine, les swaps d'indice au jour le jour intégrant une probabilité de 92 % de cette décision. Pourtant, les investisseurs maintiennent leurs positions baissières sur le yen, anticipant que les rendements japonais resteront nettement inférieurs à ceux des États-Unis, même après une éventuelle intervention de la Banque du Japon.

          Par ailleurs, certains doutent que Pékin tolère une appréciation durable du yuan. Une monnaie plus ferme favorise les entrées de capitaux et les objectifs d'ouverture financière de la Chine, mais une appréciation excessive risque de compromettre les exportations, pilier essentiel de son économie.

          Les opérateurs observeront attentivement si la Banque populaire de Chine laissera se répercuter les gains récents du yuan offshore lors des prochaines fixations, ou si elle freinera toute nouvelle appréciation.

          Source : Bloomberg Europe

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          Le marché immobilier britannique souffre de restrictions budgétaires, la RICS signalant une faible demande.

          Justin

          Politique

          Économique

          Le marché immobilier britannique a montré des signes de faiblesse en novembre, la dernière enquête de la Royal Institution of Chartered Surveyors reflétant ce que les analystes ont qualifié de réaction peu enthousiaste des agents immobiliers à l'annonce du budget du gouvernement.

          L'étude du marché résidentiel britannique réalisée par RICS a révélé que tous les indicateurs à court terme sont devenus négatifs, les prix des logements continuant de subir une légère pression à la baisse au niveau national.

          L'organisme professionnel a indiqué que ce contexte morose devrait persister au cours des prochains mois, selon le rapport.

          Les demandes de renseignements de nouveaux acheteurs ont chuté de 32 % en novembre, aggravant la situation par rapport à la baisse de 24 % enregistrée en octobre et marquant le niveau le plus faible depuis fin 2023, selon les données de l'enquête.

          Il s'agissait du cinquième rapport consécutif où l'indicateur restait négatif, la plupart des régions du Royaume-Uni connaissant une tendance négative constante en matière d'intérêt des nouveaux acheteurs.

          Les ventes conclues ont enregistré une baisse de 24 % en novembre, un chiffre globalement inchangé par rapport à la baisse de 23 % enregistrée en octobre.

          Les perspectives de ventes à court terme se sont légèrement dégradées, les prévisions pour les trois prochains mois passant d'une baisse de 3 % à un recul de 6 %, ce qui suggère une vision à court terme plus négative.

          Cependant, les perspectives à 12 mois se sont améliorées, le chiffre de novembre passant d'une baisse de 7 % en octobre à une croissance de 15 %.

          Les nouvelles commandes de vendeurs ont enregistré une baisse de 19 % en novembre, un chiffre quasiment identique à celui d'octobre (-20 %). L'agence immobilière a suggéré qu'un nombre réduit de propriétaires étaient disposés à entamer le processus de vente avant l'annonce du budget.

          Les prix de l'immobilier ont enregistré une baisse nette de 16 % en novembre, contre 19 % en octobre. Ces tendances à la baisse ont été les plus marquées dans les régions dites « traditionnellement confrontées à des difficultés d'accès au logement », notamment le Sud-Est, l'Est-Anglie et Londres.

          Les prévisions concernant l'évolution des prix de l'immobilier à court terme sont également restées négatives, avec 15 % d'entre eux anticipant une baisse des prix au cours des trois prochains mois, soit légèrement plus que les 12 % qui prévoyaient une baisse en octobre.

          Toutefois, les perspectives à 12 mois se sont renforcées, avec 24 % des participants à l'enquête qui s'attendent à une hausse des prix, contre 16 % en octobre, soit le chiffre le plus élevé depuis juin.

          Le marché locatif a également montré des signes de faiblesse. La demande locative a enregistré une baisse nette de 22 % en novembre, une nette détérioration par rapport au recul de 4 % observé en octobre.

          Les instructions des propriétaires ont chuté de 39 % en novembre, contre une baisse de 34 % en octobre, ce qui représente le niveau le plus faible depuis avril 2020.

          RBC Marchés des capitaux a attribué l'affaiblissement du marché locatif à une combinaison d'incertitudes budgétaires et à l'adoption récente de la Loi sur la réforme du logement locatif.

          Il a ajouté que les récentes modifications apportées à l'impôt sur le revenu foncier et à la soi-disant « taxe sur les résidences de luxe » pourraient encore réduire l'appétit des propriétaires bailleurs pour l'investissement locatif à court terme.

          Les agents immobiliers prévoient désormais une hausse des loyers de 2,5 % au cours des 12 prochains mois, soit légèrement en dessous de la prévision moyenne de 3 % enregistrée au cours des six derniers mois.

          Les analystes de RBC ont indiqué que les ménages britanniques manifestent traditionnellement un vif intérêt pour les annonces immobilières le matin du lendemain de Noël, et que des chiffres de consultation records sont attendus sur Rightmove.

          Ils prévoyaient que l'enquête RICS de décembre serait plus optimiste que l'édition de novembre, publiée après le budget.

          Source : Investissement

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          La Banque du Japon hésite à intervenir face à la hausse des rendements.

          Olivia Brooks

          Lier

          Économique

          La Banque du Japon estime qu'il est peu nécessaire d'intervenir en urgence pour freiner la hausse des rendements obligataires, une décision qui va à l'encontre de ses efforts pour réduire les mesures de relance, ont indiqué trois sources proches du dossier.

          L'anticipation croissante par le marché d'une hausse des taux d'intérêt en décembre a fait grimper le rendement de l'obligation d'État japonaise de référence à 10 ans (JGB) à un niveau record en 18 ans cette semaine, attirant l'attention sur la manière dont la banque centrale pourrait réagir.

          Le gouverneur de la Banque du Japon, Kazuo Ueda, s'exprimant mardi au Parlement, a déclaré que les récentes hausses des rendements obligataires étaient « relativement rapides » et a réaffirmé la capacité de la banque centrale à réagir promptement dans des circonstances exceptionnelles.

          Les décideurs politiques suivent de près l'évolution du marché, mais hésitent à intervenir pour le moment, par exemple en augmentant leurs achats d'obligations ou en menant des opérations de marché d'urgence, ont indiqué les sources, évoquant un seuil d'intervention élevé.

          Ils ont également indiqué qu'il n'était pas nécessaire dans l'immédiat de modifier le plan de la Banque du Japon visant à réduire progressivement ses achats d'obligations, y compris celles à très longue échéance qui ont récemment fait grimper les rendements à des niveaux records.

          « Il faudrait une vente massive et paniquée, déconnectée des fondamentaux, ce que le Japon ne constate pas actuellement », a déclaré l'une des sources, évoquant l'obstacle important que représente pour la Banque du Japon une intensification de ses achats d'obligations, un avis partagé par deux autres sources.

          Selon eux, la récente hausse des rendements s'explique plutôt par l'attitude attentiste des investisseurs face à l'incertitude quant à l'ampleur des hausses de taux que la Banque du Japon pourrait finalement observer, et quant au volume d'obligations que le gouvernement vendra pour financer le budget du prochain exercice.

          Ueda a indiqué que la Banque du Japon apportera des précisions sur sa future trajectoire de hausse des taux lorsque le conseil décidera de les relever de 0,5 % à 0,75 % – une décision que les marchés anticipent lors de la réunion de politique monétaire de la semaine prochaine.

          L’an dernier, la Banque du Japon a mis fin à un programme de relance massif qui a duré dix ans, notamment en abandonnant son contrôle de la courbe des taux obligataires et en ralentissant le rythme des achats d’obligations d’État japonaises.

          En présentant son plan de réduction progressive des achats d'actifs, la Banque du Japon a déclaré que si les taux à long terme devraient être déterminés par les marchés, elle réagirait « avec souplesse » si les rendements augmentaient rapidement de manière déconnectée des fondamentaux.

          Ueda a répété ces propos à chaque fois qu'on l'a interrogé sur les variations de rendement lors de points de presse ou au Parlement, y compris mardi.

          Le rendement des obligations d'État japonaises à 10 ans a atteint lundi un sommet en 18 ans à 1,97 %, s'approchant ainsi du seuil psychologique important de 2 % qui n'a pas été franchi depuis près de deux décennies.

          La Banque du Japon se concentrera sur les facteurs à l'origine de ces mouvements plutôt que sur des niveaux de rendement spécifiques, et restera prudente quant à toute intervention, car cela enverrait un mauvais signal aux marchés, laissant croire qu'elle pourrait abandonner ses efforts de normalisation de la politique monétaire, ont indiqué les sources.

          Selon eux, une intervention donnerait également aux marchés l'impression que la Banque du Japon a fixé une limite quant à son intervention, ce qui irait à l'encontre de sa volonté de laisser les forces du marché déterminer les variations du prix des obligations.

          Les rendements monétaires ont progressé dans le monde entier ces dernières semaines, de nombreuses banques centrales ayant indiqué être arrivées au terme ou proches de la fin de leur cycle d'assouplissement, tandis que la Banque du Japon devrait relever ses taux lors de sa réunion de politique monétaire la semaine prochaine.

          Les rendements des obligations d'État japonaises ont également augmenté en raison des anticipations selon lesquelles la politique budgétaire expansionniste de la Première ministre Sanae Takaichi entraînerait une émission massive d'obligations, au moment même où la Banque du Japon réduisait sa présence sur le marché.

          Source : Investissement

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          Pourquoi les géants de la tech investissent massivement en Inde, à hauteur de milliards ?

          Samantha Luan

          Actions

          Économique

          Pourquoi les géants de la tech investissent des milliards en Inde_1

          Un slogan relatif à l'intelligence artificielle (IA) est affiché sur un écran dans le pavillon Intel, lors de la 54e réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, le 16 janvier 2024.

          Les géants de la tech investissent massivement en Inde, misant sur des milliards de dollars, attirés par l'abondance de ressources pour la construction de centres de données, un vivier important de talents et d'utilisateurs numériques, et les opportunités de marché.

          En moins de 24 heures, Microsoft et Amazon ont promis plus de 50 milliards de dollars pour l'infrastructure cloud et d'IA de l'Inde, tandis qu'Intel a annoncé lundi son intention de fabriquer des puces dans le pays afin de tirer profit de la demande croissante de PC et de l'adoption rapide de l'IA.

          Bien que l'Inde soit à la traîne par rapport aux États-Unis et à la Chine dans la course au développement d'un modèle fondamental d'IA natif, et qu'elle ne dispose pas d'une grande entreprise nationale d'infrastructure d'IA, elle souhaite tirer parti de son expertise dans le secteur des technologies de l'information pour créer et déployer des applications d'IA au niveau de l'entreprise, offrant ainsi aux géants de la tech une formidable opportunité.

          « Disposer d’un modèle ou d’un système informatique ne suffit pas à une entreprise pour utiliser efficacement l’IA ; il faut des sociétés qui développent la couche applicative et un large vivier de talents pour les déployer », a déclaré S. Krishnan, secrétaire au ministère indien de l’Électronique et des Technologies de l’information, à CNBC.

          L'université de Stanford classe l'Inde parmi les quatre premiers pays, aux côtés des États-Unis, de la Chine et du Royaume-Uni, dans le classement mondial et national du dynamisme de l'IA. GitHub, une communauté de développeurs, place l'Inde en tête avec 24 % des projets réalisés à l'échelle mondiale.

          L'opportunité pour l'Inde réside davantage dans le « développement d'applications » qui permettront de générer des revenus pour les entreprises d'IA, a déclaré Krishnan.

          Mardi, Microsoft a annoncé un investissement de 17,5 milliards de dollars dans le pays, réparti sur 4 ans, visant à développer l'infrastructure hyperscale, à intégrer l'IA dans les plateformes nationales et à améliorer la préparation de la main-d'œuvre.

          « Cet investissement de grande ampleur confère à Microsoft un avantage de pionnier dans les centres de données riches en GPU, tout en faisant d'Azure la plateforme privilégiée pour les charges de travail d'IA en Inde, et en renforçant l'alignement avec l'initiative gouvernementale en faveur des infrastructures publiques d'IA », a déclaré Tarun Pathak, directeur de recherche chez Counterpoint Research.

          Amazon a annoncé mercredi son intention d'investir plus de 35 milliards de dollars, en plus des 40 milliards déjà investis dans le pays.

          Ces derniers mois, des géants de l'IA et de la technologie tels qu'OpenAI, Google et Perplexity ont offert gratuitement leurs outils à des millions d'Indiens, Google confirmant par ailleurs son intention d'investir 15 milliards de dollars dans la construction de centres de données pour un nouveau pôle d'IA dans le sud de l'Inde.

          « L’Inde combine une immense base d’utilisateurs numériques, une demande en cloud et en IA en pleine croissance et un écosystème informatique de haut niveau capable de développer et d’utiliser l’IA à grande échelle, ce qui en fait bien plus qu’un simple marché pour les utilisateurs : un véritable centre névralgique d’ingénierie et de déploiement », a déclaré Pathak.

          Opportunités de centres de données

          L'Inde bénéficie de plusieurs atouts pour la construction de centres de données. Des marchés comme le Japon, l'Australie, la Chine et Singapour, dans la région Asie-Pacifique, sont arrivés à maturité. Singapour, l'un des plus anciens pôles de centres de données de la région, dispose de peu d'espace pour déployer des centres de données à grande échelle en raison de la rareté des terrains disponibles.

          L'Inde dispose d'un espace considérable pour le développement de centres de données à grande échelle. Comparé aux pôles européens de centres de données, le coût de l'énergie en Inde est relativement bas. Conjugué à la capacité croissante du pays en matière d'énergies renouvelables – essentielle pour les centres de données énergivores –, le modèle économique devient particulièrement attractif.

          La demande locale, alimentée par l'essor du commerce électronique — un moteur important de la croissance des centres de données ces dernières années — et par d'éventuelles nouvelles règles concernant le stockage des données des médias sociaux, renforce cet argument.

          En clair : l’Inde entre dans une situation idéale où convergent les fournisseurs mondiaux de services cloud, les acteurs de l’IA et la numérisation nationale pour créer l’un des marchés de centres de données les plus dynamiques au monde.

          « L’Inde est un marché essentiel et l’une des régions où les dépenses en IA connaissent la croissance la plus rapide en Asie-Pacifique », a déclaré Deepika Giri, vice-présidente associée et responsable de la recherche, IA et mégadonnées, chez International Data Corporation.

          « Un manque important, et donc une opportunité considérable, réside dans la pénurie d'infrastructures informatiques adaptées à l'exécution des modèles d'IA », a-t-elle ajouté. Les géants de la tech cherchent à tirer profit de cette opportunité en Inde en investissant massivement dans le cloud et les centres de données.

          Les entreprises mondiales développent leurs capacités à proximité de leurs bases de services dans des villes informatiques comme Bangalore, Hyderabad et Pune, délaissant les centres traditionnels comme Mumbai et Chennai, plus proches des points d'atterrissage des câbles, car elles construisent des centres de données en Inde pour le monde entier, a déclaré Krishnan.

          Source : CNBC

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          FOMC : Préserver les options

          WELLS FARGO

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          Résumé

          · Comme prévu, le FOMC a réduit la fourchette cible des fonds fédéraux de 25 points de base à 3,50 %-3,75 % et a indiqué que tout assouplissement supplémentaire devra relever un seuil plus élevé lors de sa prochaine réunion le 28 janvier.
          La déclaration publiée après la réunion a souligné le durcissement des conditions pour de futures baisses, en indiquant que le FOMC examinait désormais « l’ampleur et le calendrier » d’ajustements supplémentaires. L’idée que le FOMC ne serait pas aussi prompt à abaisser à nouveau le taux directeur à court terme a probablement contribué à limiter à deux le nombre de voix dissidentes partisanes d’une politique monétaire restrictive (celles des présidents Goolsbee et Schmid). Le gouverneur Miran a de nouveau voté contre, se prononçant en faveur d’une baisse de 50 points de base.
          Malgré deux avis dissidents restrictifs et le fait que le graphique à points révèle que quatre autres présidents de banques régionales préféraient maintenir le taux directeur inchangé aujourd'hui, le Comité conserve une orientation accommodante. Le résumé actualisé des projections économiques indique que l'estimation médiane du taux directeur à la fin de l'année prochaine s'établit à 3,375 %, un chiffre inchangé par rapport à septembre.
          L'anticipation d'un assouplissement des politiques monétaires l'an prochain par la plupart des membres reflète des projections indiquant un taux de chômage légèrement supérieur aux estimations de la plupart des participants concernant le plein emploi. L'inflation reprendra sa progression vers l'objectif de 2 % fixé par le FOMC, sans toutefois l'atteindre pleinement. La projection médiane du taux de chômage pour le quatrième trimestre 2026 est restée inchangée à 4,4 %, tandis que l'estimation médiane de l'inflation PCE globale et sous-jacente a légèrement diminué, s'établissant respectivement à 2,4 % et 2,5 %. Plus notable encore, l'estimation médiane de la croissance du PIB pour l'an prochain a progressé d'un demi-point de pourcentage pour atteindre 2,3 % (en glissement trimestriel), la rapprochant ainsi de notre estimation supérieure au consensus, fixée à 2,5 %.
          De nombreuses données économiques seront publiées d'ici la prochaine réunion, le 28 janvier. Nous les suivrons de près et adapterons nos prévisions en conséquence. Notre scénario de base reste que le cycle d'assouplissement monétaire actuel n'est pas terminé, mais qu'il entre plutôt dans une phase de ralentissement. Nous anticipons toujours deux nouvelles baisses de 25 points de base de la part du FOMC lors des réunions de mars et de juin prochains.
          La Réserve fédérale a également annoncé le lancement d'achats de réserves obligatoires (ARO) afin de maintenir le contrôle des taux d'intérêt à court terme, de préserver des réserves bancaires suffisantes et d'assurer le bon fonctionnement des marchés financiers. Les responsables de la Fed ont clairement indiqué depuis des mois que cette mesure ne constitue en aucun cas un changement d'orientation de la politique monétaire. Nous partageons cette analyse et le lancement des ARO n'aura aucune incidence sur notre interprétation de l'orientation de la politique monétaire.

          Une coupe pour clôturer l'année

          Comme prévu, le FOMC a abaissé la fourchette cible des taux des fonds fédéraux de 25 points de base, la ramenant à 3,50 %-3,75 %, à l'issue de sa réunion de décembre. Comme anticipé, cette décision n'a pas fait l'unanimité. Trois membres votants se sont opposés à la mesure, des voix dissidentes s'exprimant aussi bien en faveur d'une politique monétaire plus restrictive que d'une politique plus accommodante. Plus précisément, le gouverneur Miran a voté contre une baisse plus marquée, de 50 points de base, tandis que les présidents Schmid (Kansas City) et Goolsbee (Chicago) ont voté contre, préconisant le maintien du taux directeur inchangé.

          La diversité des opinions quant à la meilleure stratégie à adopter reflète le contexte complexe dans lequel se trouve le FOMC. En raison de la paralysie des services gouvernementaux, le FOMC n'a pas pu publier plusieurs indicateurs économiques clés initialement prévus (par exemple, le PIB du troisième trimestre, la situation de l'emploi et l'IPC d'octobre-novembre, etc.). Toutefois, les dernières données disponibles continuent de révéler certaines tensions concernant les objectifs du Comité en matière d'emploi et d'inflation (figures 1 et 2).

          Avec 75 points de base de baisse depuis septembre et une politique monétaire moins restrictive, le seuil pour un nouvel assouplissement est plus élevé. Dans sa déclaration à l'issue de la réunion, le Comité s'est ménagé une plus grande marge de manœuvre quant aux baisses futures, indiquant que « dans le cadre de l'examen de l'ampleur et du calendrier d'ajustements supplémentaires de la fourchette cible… », le passage souligné étant nouveau dans la déclaration. L'idée que le FOMC ne sera pas aussi prompt à baisser les taux à court terme a probablement contribué à limiter le nombre de voix dissidentes plus restrictives.

          Le résumé des projections économiques a révélé un certain malaise au sein du Comité, outre les deux avis dissidents partisans d'une politique monétaire restrictive. Le graphique à points a montré que six participants au total n'étaient pas favorables à une baisse du taux directeur lors de la réunion d'aujourd'hui, ce qui implique que quatre présidents régionaux sans droit de vote préféraient également le maintien du taux directeur inchangé. Néanmoins, une tendance à un nouvel assouplissement monétaire persiste au sein du Comité. La médiane des projections à l'horizon 2026 et 2027 est restée respectivement à 3,375 % et 3,125 %. La médiane à plus long terme est demeurée inchangée à 3,00 %, le graphique à points illustrant que tous les participants, à l'exception de deux, considèrent le taux directeur actuel comme au moins quelque peu restrictif.

          Le changement le plus important apporté au SEP concerne la révision à la hausse des perspectives de croissance pour 2026, la projection médiane passant de 1,8 % à 2,3 %. Cette modification reflète probablement en partie la paralysie des services gouvernementaux, la croissance du PIB réel au quatrième trimestre 2025 devant subir un ralentissement significatif, ce qui devrait favoriser un rebond de l'économie au quatrième trimestre 2026. Toutefois, cette dynamique n'explique pas entièrement cette évolution et rapproche la projection médiane des membres du FOMC de notre prévision, supérieure au consensus, d'une croissance du PIB réel de 2,5 % l'année prochaine. Par ailleurs, les modifications ont généralement été plus mineures, avec quelques légères révisions à la baisse des prévisions d'inflation pour l'année prochaine et un statu quo concernant les projections médianes à long terme de la croissance du PIB réel et du taux de chômage.

          La Réserve fédérale a également annoncé qu'elle recommencerait à augmenter son bilan dans les prochains jours par l'achat de bons du Trésor. Comme nous l'avons déjà indiqué, ces achats visent à maintenir la maîtrise des taux d'intérêt à court terme, à garantir des réserves bancaires suffisantes et à assurer le bon fonctionnement des marchés financiers. Les responsables de la Fed ont clairement affirmé depuis des mois que cette mesure ne constitue en aucun cas un changement d'orientation de la politique monétaire. Nous partageons cette analyse, et le lancement des achats de réserves obligatoires n'aura aucune incidence sur notre interprétation de l'orientation de la politique monétaire.

          Plus précisément, la banque centrale a annoncé que les opérations de rachat de titres (ORT) débuteraient le 12 décembre, avec un montant initial de 40 milliards de dollars pour le mois. Les indications publiées après la réunion précisent que « le rythme des ORT restera élevé pendant quelques mois afin de compenser les fortes hausses attendues des engagements hors réserves en avril. Par la suite, le rythme des achats totaux devrait diminuer sensiblement, conformément aux variations saisonnières attendues des engagements de la Réserve fédérale. » Notre hypothèse de travail est que le rythme d'« équilibre » à moyen terme des ORT sera de 25 milliards de dollars par mois afin de maintenir des réserves bancaires suffisantes. Nous interprétons ces indications comme signifiant que les ORT ralentiront progressivement pour se situer approximativement à ce niveau à partir du printemps. Si cette prévision se confirme, le bilan de la Fed augmentera d'environ 370 milliards de dollars en 2026 et le ratio réserves/PIB atteindra 9,7 % à la fin de l'année prochaine, un niveau nettement supérieur aux points bas de septembre 2019, lorsque les marchés des pensions ont connu une forte volatilité (figure 6).

          Notre scénario de base reste que le cycle d'assouplissement monétaire actuel n'est pas terminé, mais qu'il entre plutôt dans une phase de ralentissement. Bien que le marché du travail soit loin de s'effondrer, le ralentissement de la croissance, qui le place en deçà du plein emploi, justifie un retour de la politique monétaire à une position plus neutre. La tendance à la baisse de l'inflation devrait se poursuivre l'année prochaine, à mesure que l'effet initial des droits de douane s'estompe, ce qui atténuerait la tension entre les objectifs du FOMC en matière d'emploi et d'inflation. Nous continuons d'anticiper deux baisses de taux de 25 points de base l'année prochaine, lors des réunions de mars et de juin. Les données économiques de la semaine prochaine, et plus particulièrement le rapport sur l'emploi de mardi (qui devrait atteindre un niveau historiquement bas) et l'IPC de novembre jeudi, seront déterminantes pour les perspectives économiques. Nous publierons des analyses en amont de ces publications dans les prochains jours.

          Source : Wells Fargo Securities

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